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Liliane N.

Liliane N.

Samuel Eto’o Fils l’ancien capitaine des Lions indomptables s’est entretenu avec le Président tchadien le 15 octobre 2020,

Samuel Eto’o Fils est en ce moment au Tchad pays voisin et ami du Cameroun. Le pichichi a été reçu en audience par le Chef de l’Etat tchadien Idriss Deby Itno. Selon nos sources, l’ancien capitaine des Lions indomptables a parlé avec le Maréchal Deby, du développement du football au Tchad. Il a aussi été question de la construction d’une école de football qui sera  dans la capitale tchadienne Djamena. Elle sera en fait le fruit d’un partenariat entre l’Etat tchadien et la Fondation Samuel Eto’o.   

Après son audience avec le Maréchal Idriss Deby Itno, Samuel Eto’o s’est entretenu avec Hinda Deby Itno la Première Dame du Tchad. Ils ont parlé d’un partenariat possible entre l’organisation du pichichi et la Fondation «Grand Cœur» de la Première dame tchadienne.

Il convient de noter que Samuel Eto’o Fils est allé au Tchad pour présider la finale du tournoi «L’Ecole des Champions», organisé par le Tchadien Naïr Abakar, le conseiller Jeunesse de l’Union Africaine (UA). Le pichichi quadruple ballon d’or africain a saisi l’occasion pour prodiguer des conseils aux jeunes footballeurs tchadiens qui rêvent de faire carrière dans le football et qui souhaitent tutoyer les sommets du football mondial.

La cérémonie a permis à Samuel Eto’o de choisir 15 jeunes tchadiens, qui bénéficieront d’une bourse de deux ans de formation au sein de la Kadji Sports Academy (KSA) à Douala, au Cameroun.

Liliane N.

René Emmanuel Sadi le Ministre de la Communication affirme qu’un parti politique peut bien poser les conditions de sa participation à une élection.

Ce qui est permis à un parti politique de faire en ce qui concerne une élection, est qu’il peut conditionner sa participation à ce processus électoral. Cependant, le parti en question ne peut pas poser des conditions à l’organisation d’une élection, comme l’a fait le Mouvement pour la renaissance du Cameroun (Mrc), avec les toutes premières régionales que le pays va organiser le 6 décembre 2020. René Emmanuel Sadi le dit dans la réponse du gouvernement au communiqué de presse des experts du Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l’homme sur la situation du Mrc et ses partisans, qu’il a rendue publique hier 14 octobre 2020.

Rappel

Il faut rappeler que Maurice Kamto le leader du Mrc a demandé aux autorités, de résoudre la crise anglophone et de réformer de façon consensuelle le Code électoral avant la convocation de tout corps électoral. Kamto avait indiqué que si les choses ne se passent pas ainsi, il appellerait au départ du Président de la République et lancerait un nouveau Plan de résistance nationale.

«Organiser des élections régionales ou toute autre élection politique dans ces conditions ne serait rien moins qu’un mépris supplémentaire des préoccupations constantes des Camerounais et des suggestions réitérées des partenaires internationaux de notre pays. Aussi, j’annonce que toute convocation du corps électoral par le gouvernement illégal et illégitime de Yaoundé, avant la prise en compte et une mise en application effective des deux exigences rappelées ci-dessus, emportera AUTOMATIQUEMENT lancement d’une gigantesque campagne nationale d’APPEL AU DÉPART PUR ET SIMPLE DE M. PAUL BIYA DU POUVOIR, sans qu’il y ait besoin d’attendre une nouvelle communication à cet égard», avait-il déclaré le 24 août 2020 en conférence de presse.

Emmanuel Sadi

Dans la réponse faite suite au communiqué de presse des experts de l’Onu, René Emmanuel Sadi note que le Mrc a déjà eu à participer à des élections organisées dans ce pays avec le même Code électoral. Et pour ce qui est de la crise anglophone, le porte-parole du gouvernement indique qu’il y a des avancées.

«S’agissant  principalement  des  motifs  invoqués  pour justifier  les  marches  du  MRC,  il  convient  de  relever  d’une part,  que  le  Code  Electoral  en  vigueur  aura  permis l’organisation  de  plusieurs  scrutins  antérieurs  auxquels tous  les  partis politiques  ont  pris  part,  y  compris  le  MRC, et que, d’autre part, la situation dans les régions du Nord-Ouest  et  du  Sud-Ouest  connait  une  évolution  positive réelle et que tout est mis en oeuvre par le Gouvernement, sous  la  Très  Haute Impulsion  de  MONSIEUR  LE PRESIDENT  DE  LA  REPUBLIQUE,  SON  EXCELLENCE  PAUL BIYA, pour parvenir à  un retour définitif à la paix  et  à   une vie normale dans ces deux régions», peut-on lire dans la réponse du gouvernement.

Liliane N.

 

 

Le Collectif des enseignants indignés explique que leurs collègues ont été enlevés dans leurs établissements scolaires.

L’information est relayée par le quotidien Le Messager parue en kiosque le 15 octobre 2020. Il y a près de 10 enseignants qui ont été kidnappés dans la région du Nord-Ouest, le 5 octobre dernier. Les groupes séparatistes qui sévissent dans ladite région anglophone et au Sud-Ouest sont soupçonnés d’être les auteurs de cet enlèvement.

Le Collectif des enseignants indignés qui s’offusque de cet autre kidnapping rapporte dans Le Messager, que leurs collègues ont été enlevés alors qu’ils se trouvaient dans les établissements scolaires où ils exercent. Le Collectif indique qu’il s’agit de «M. Seydou Mbangyah, proviseur du lycée bilingue de Baba1, dans le Ngoketunjia. M. Chayi Sungha, Intendant au GBHS Baba1, enlevé au même moment que son proviseur M. Ntam Yuh, enseignant au lycée de Bambui, dans la Mezam».   

Il convient de rappeler que les séparatistes ont l’habitude de kidnapper les enseignants. La raison étant qu’ils ne veulent pas de la scolarisation des enfants des régions anglophones. Pour cette rentrée scolaire 2020-2021, où on a cru que les choses seraient différentes, ces sécessionnistes ont posé au gouvernent.

Ces conditions sont qu’«aucune école gouvernementale ne rouvrirait à moins qu'elle ne change de nom en «écoles communautaires », «les écoles doivent respecter les jours de villes mortes» , «pas de chant de l'hymne national camerounais dans les écoles», « pas d'enseignement de l'histoire du français et du Cameroun français dans les écoles», «l’enseignement des langues maternelles doit être encouragé» et enfin, «toutes les écoles doivent prendre des mesures adéquates pour protéger les élèves et les enseignants du Covid 19 ».

Rentrée scolaire 2020-2021: Les séparatistes posent des conditions au gouvernement

 

Liliane N.

Serge Espoir Matomba le premier Secrétaire du Peuple uni pour la rénovation sociale condamne les actes de vandalisme, qui ont été faits sur les façades de l’Ambassade du Cameroun à Berlin, le 13 octobre 2020.

Pour Serge Espoir Matomba, on ne peut pas sous le prétexte du slogan «Biya must go», se livrer à des actes de vandalisme. Le premier Secrétaire du Peuple uni pour la rénovation sociale (Purs) trouve déplorable le fait que des individus parce que opposés au régime Biya, sont allés vandalisés les murs de l’Ambassade du Cameroun à Berlin. L’ancien candidat à l’élection présidentielle de 2018 pense que tout le monde doit être responsable.

«Tous responsables ! L’activisme et le slogan « Biya must go » ne doivent  pas pousser certains compatriotes  à piétiner  nos institutions.  Les dégradations qui se font çà et là dans nos ambassades sont à condamner et nous impactent tous. Surtout le contribuable Camerounais », a écrit Serge Espoir Matomba, le 15 octobre 2020, sur sa page Facebook.

Le premier Secrétaire du Purs n’est pas contre le fait que des gens veuillent exprimer leur mécontentement. Seulement, pour lui, cela ne doit pas se faire en détruisant les biens publics communs au peuple camerounais.

«S’opposer  ce n’est pas détruire ou salir. Nous devons être capables de nous placer au-delà de la personne du  président en fonction. Ce patrimoine appartient à tous les Camerounais. Y apposer des graffitis, revient à insulter toute la nation.  Honte à ceux qui se livrent à de telles ignominies », a écrit Serge Espoir Matomba.

Liliane N.

 

Le Collectif d’avocats Sylvain Souop affirme que le Ministre Atanga Nji, le Délégué général à la Sûreté nationale Martin Mbarga Nguele et Landry Galax Etoga le Sécrétaire d’Etat à la Défense sont appelées à la discussion contradictoire et publique.

Ce jeudi 15 octobre 2020, le procès de Maurice Kamto président du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (Mrc) va s’ouvrir au Tribunal de Première Instance de Yaoundé centre administratif. Le leader du Mrc assigné à résidence depuis le 20 septembre 2020, a décidé d’engager une procédure judiciaire contre l’Etat du Cameroun représenté par les autorités en charge du maintien de l’ordre à savoir le Ministre de l’Administration territoriale, la Délégation général à la sûreté nationale et le Secrétariat d’Etat à la Défense. Dans le communiqué que le Collectif d’avocats Sylvain Souop a rendu public, il est dit que la demande de procès de Maurice Kamto est fondée sur le grief de «voies de fait administratives», qu’il subit depuis le 21 septembre 2020.

Le procès de ce jour s’ouvre dans un contexte où l’assignation à résidence de Maurice Kamto fait débat. A titre de rappel le 13 octobre 2020, les experts des Droits de l’homme de l’Organisation des Nations unies (Onu) ont demandé aux autorités de libérer Maurice Kamto et tous ceux qui ont été arrêtés dans le cadre des manifestations du 22 septembre 2020. Ils ont par ailleurs demandé une «enquête impartiale» sur les témoignages de disparitions forcées, détention arbitraire et mauvais traitements infligés aux manifestants.

En réponse à cela, le 14 octobre 2020 hier, René Emmanuel Sadi parlant au nom du gouvernement a rappelé que les manifestations publiques au Cameroun sont régies par la loi. Il a indiqué entre autres, que personne n’est au-dessus de la loi. Et il a trouvé que le rapport des experts des Droits de l’homme de l’Onu n’est pas impartial.

Liliane N.

 

 

Le message porté sur les murs de la représentation diplomatique du Cameroun à Berlin démontre que ces auteurs en veulent au régime du Chef de l’Etat Paul Biya.

Le mardi 13 octobre 2020, les façades de l’Ambassade du Cameroun à Berlin (Allemagne) ont été recouvertes de graffitis. L’information a été relayée par Mittelafrika.com, un portail digital sur l’information entre l’Allemagne et l’Afrique. Les murs photographiés de la représentation diplomatique camerounaise, circulent actuellement sur la toile. On y voit des graffitis en rouge. On peut aussi apercevoir un message hostile à Paul Biya le Président de la République. Selon Mittelafrika.com, il s’agirait d’acte de vandalisme faisant suite à des revendications contre le régime de Yaoundé.    

Si le site internet de l’Ambassade du Cameroun en Allemagne ne parle pas de cela, l’analyste politique par ailleurs Wilfried Ekanga se réjouit plutôt de ce qui a été fait sur les façades de la représentation camerounaise.

« L’Ambassade du Cameroun à Berlin s’est refait une petite beauté ce matin. J’aime énormément le résultat !  Que les Camerounais du Cameroun prennent leur courage et fassent des initiatives de ce type dès cet instant. C’est cela qui fait mal aux dictatures et rien que ! Si vous voulez qu’on sache que vous êtes en colère, bousculez-les aussi ! Ôtez-leur le sommeil à votre tour ! Déposez la cravate et salissez-vous pour une fois dans votre vie ! C’est le prix à payer pour être libre. Que l’esclave assume enfin sa révolte», a commenté Wilfried Ekanga, qu’on sait basé en Allemagne.

Liliane N.

 

 

 

Le Ministre Joseph Le précise que l’admission à l’Ecole nationale d’administration et de magistrature, est conditionnée par l’obtention de la moyenne requise et ce, applicable à tout candidat.

Suite à la plainte de Gubaï Gatama le Coordonnateur du «Mouvement 10 millions de Nordistes», Joseph Le le Ministre de la Fonction publique et de la Réforme administrative (Minfopra) a sorti une note d’information. Pour mieux comprendre le but de ladite note d’information, il convient de rappeler que par le biais du Directeur de publication de l’œil du sahel, le «Mouvement 10 millions de Nordistes» a dénoncé cette fois encore, le non-respect des quotas des régions septentrionales au concours de l’Ecole nationale d’administration et de magistrature (Enam) session 2020.

Dans une publication parue dans le journal L’œil du Sahel, Gubaï Gatama observait que «seulement 75 candidats originaires des trois régions septentrionales ont été admis à ces concours sur les 417 nouvelles recrues ; soit un taux de 17,9%, très loin des 30% de places affectées à cette partie du pays par les textes en vigueur organisant les concours d’entrée à la fonction publique au Cameroun ».

Dans sa note d’information, le Ministre Joseph Le précise à son tour que la moyenne requise compte pour l’admission à l’Enam. Même s’il reconnait que «les trois régions concernées ont effectivement droit à un quota de 30% des places aux concours administratifs». Toutefois il souligne que « le quota des 28% des places attribué à ces (03) régions découle de la prise en compte des notes obtenues par les candidats qui en sont originaires et la répartition des quotas par région ».

Et pour que les choses soient connues de tous, le Ministre de la Fonction publique a rappelé les quotas arrêtés par région.

«Les quotas par région applicables dans les concours administratifs sont fixés par divers textes, ainsi qu’il suit : Adamaoua  5%, Centre 15%, Est 4%, Extrême-nord 18%, Littoral 12%, Nord 7%, Ouest 13%, Nord-ouest 12%, Sud, 5% et Sud-ouest 8% ». Il en ressort donc que les trois régions septentrionales s’en sortent avec un nombre de places cumulées de 30%.

Liliane N.

Grégoire Owona le Secrétaire général adjoint au Comité central du Rassemblement démocratique du peuple camerounais, questionne le bilan de Joseph Alphonse Bibehe en colère après le rejet de sa candidature pour les élections régionales du 6 décembre 2020.

Grégoire Owona a décidé de répondre à Joseph Alphonse Bibehe le frère aîné du Ministre des Transports, qui se plaint de Jean Nkuete le Secrétaire général du Comité central du Rassemblement démocratique du peuple Camerounais (Rdpc). Il convient de noter que le frère du Ministre Ernest Ngalle Massena Bibehe militant du Rdpc a vu sa candidature déposée dans la région du Littoral pour les élections du 6 décembre 2020 être rejetée. Il a ouvertement accusé Jean Nkuete, en indiquant que celui-ci commettait une faute politique et qu’il le sacrifiait avec Perrial Nyodog dont la candidature a été aussi rejetée.

«Monsieur le Secrétaire général. Lorsque vous sacrifiez des cadres du parti démocratiquement choisis par la base en toute connaissance et lucidité, au moment où nous vivons de véritables mutations, vous empêchez aux jeunes de rêver en s’identifiant à ces cadres et vous affaiblissez de ce fait le parti», a déclaré Alphonse Joseph Bibehe, au cours de la conférence de presse, qu’il a donné la semaine dernière.

Grégoire Owona trouve à l’attitude de Joseph Alphonse Bibehe une sorte de chantage. Dans une publication faite le 13 octobre 2020, sur sa page Facebook, il questionne le bilan de celui-ci.

«Le Chantage ne passera pas au Rdpc. Quel est le bilan du militant qui parle ainsi après que le Rdpc ne lui ait pas accordé l’investiture aux régionales ? Où sont les propositions qu’il a faites un jour pour « transformations structurelles et profondes » ? Qui est-il pour faire du chantage à un grand parti politique ? », a écrit le Sga du Comité central du Rdpc.

Poursuivant dans sa réplique aux différentes sorties d’Alphonse Bibehe qui a affirmé hier soir sur Vision 4, que le rejet de sa candidature par Nkuete brisait sa légitimité même au niveau de la base du parti, Grégoire Owona lui demande ce qu’il a fait pour le Rdpc.

«Demandons-nous ce qu’on a fait pour notre Rdpc et non ce qu’il fait pour nous s’il vous plaît ! Militantisme de chantage, quand tu nous tiens ! Le chantage ne passera pas au Rdpc et je vous invite à lire et à relire les circulaires du Président national et les instructions du Secrétaire général du Rdpc : ça pourrait aider à ne pas tomber dans le chantage et la colère ! Rappelez-vous qu’on entre au Rdpc sans condition par un contrat d’adhésion », a conclu le Sga du Comité central.

Liliane N.

 

Le raid qui a permis de neutraliser le chef du groupe armé « Gorilla Fighters », a été mené le mardi 13 octobre 2020, dans leur camp retranché dans les forêts du Lebialem, dans la région du Sud-Ouest.

L’armée annonce qu’elle a définitivement mis hors d’état de nuire le Pseudo Général «AYEKEH » alias « Man pass GUN». Ce dernier, était le chef du groupe armé «Gorilla Fighters», qui sème la terreur dans la région du Sud-Ouest, qui reste en proie à la crise anglophone comme celle du Nord-Ouest. Dans la publication annonçant la neutralisation du Pseudo Général «AYEKEH», l’armée précise que le raid a été minutieusement conduit par le Centre Anti-Terroriste des BIRs, composante des Forces de Défense et de sécurité.

Le raid qui a été fait sur le camp du groupe armé «Gorilla Fighters» ne s’est pas soldé pas le seul décès du chef de guerre sécessionniste AYEKEH. L’armée affirme avoir aussi libéré des filles utilisées comme des objets sexuels par les séparatistes de «Gorilla Fighters».

L’armée dresse le bilan officiel de ce raid qui s’est produit le 13 octobre 2020.

«Le Pseudo Général « AYEKEH » alias « Man pass GUN, Chief of Forest » définitivement neutralisé. Son arme de type Kalachnikov avec plusieurs boîtes chargeurs récupérés, ainsi que son fusil à pompe qu’il affectionnait tant. Plusieurs terroristes neutralisés et emportés par un cours d’eau proche du campement. Plusieurs blessés en fuite. 10 otages libérés dont de jeunes filles utilisées comme des outils sexuels. Plusieurs effets militaires tels que des rangers, des gilets pare-balles saisis», peut-on lire dans la publication de l’armée.

Du côté des Bataillon d’intervention rapide, un soldat a été blessé à la suite de l’explosion d’une grenade. Cette grenade affirme l’armée, a été lancée par des terroristes en fuite.

«Ces malfrats seront poursuivis jusqu’à leurs derniers retranchements. C’est le lieu d’exalter la collaboration de populations qui ont soufferts des affres de ces hors-la-loi déshumanisés», ajoute l’armée.

Liliane N.

Il s’agit d’une mesure prise dans le cadre de la lutte contre le Coronavirus.

Jusqu’à nouvel ordre, le Ministère de l’Enseignement supérieur proscrit toute tenue de cérémonie de remise de diplômes. Le Pr Jacques Fame Ndongo Ministre de l’Enseignement supérieur a fait parvenir ce mardi 13 octobre 2020, une correspondance aux Recteurs d’Université, aux responsables des établissements supérieur à statut particulier, aux promoteurs des institutions privées de l’enseignement supérieur entre autres. Il est clairement précisé dans cette correspondance que l’interdiction des cérémonies de remises de diplômes relève des mesures gouvernementales adoptées dans le cadre de la lutte contre la pandémie du Coronavirus.

Aussi, le Ministre de l’Enseignement supérieur fait une autre recommandation toujours en rapport avec la lutte contre le Coronavirus aux responsables suscités.

«Je vous saurais gré des dispositions qu’il vous plairait de prendre, à l’effet de procéder à la remise des diplômes aux lauréats, dans le strict respect de la distanciation sociale, conformément aux prescriptions du Chef de l’Etat», a écrit le Ministre de l’Enseignement supérieur.

Liliane N.







Sunday, 05 June 2022 11:01