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Liliane N.

Liliane N.

Emmanuel Maboang Kessack dénonce la faible représentation des footballeurs locaux à l’équipe nationale des Lions indomptables et la non-organisation du championnat local.

Pour Emmanuel Maboang Kessack ancien Lion indomptable, il y a des personnes qui ne nomment pas dans sa sortie, mais qui doivent s’éloigner de la gestion du football local. Il s’offusque de noter que les joueurs locaux ne sont pas nombreux dans la liste des Lions indomptables présélectionnés pour la double confrontation face au Mozambique les 12 et 16 novembre 2020. Cette liste a été récemment publiée par la Fédération camerounaise de football (FECAFOOT).

«Le bilan de la FECAFOOT est très négatif à partir du moment où si vous demandez à un joueur camerounais s’il a joué 100 matchs en deux ans, la réponse sera non. Je pense que le football c’est d’abord le nombre de match joué. C’est le nombre de match qui vous amène en sélection et qui rend notre équipe nationale forte. Quand vous regardez les dernières listes de Conceicao. On ne retrouve pas 3 ou 4 joueurs locaux parce qu’il n’y a pas de championnat », critique-t-il.

Emmanuel Maboang Kessack est aussi remonté à cause de la non-organisation du championnat local. « Au regard de l’environnement sportif, on aurait déjà eu de bonnes réserves. Même le championnat amateur ne se joue pas. Moi je suis Président de vipère de Njiki dans la ligue du Mbam. J’ai affilié mon équipe. Pour le moment, on nous dit que le système de licence est fermé. Nous sommes affiliés mais je ne sais même pas si on va jouer », fait-il savoir.

Pourtant il note que des championnats de vacance dont les organisateurs n’ont pas le même standing comme la FECAFOOT se déroulent de part et d’autres du Cameroun.

« Si je suis médiateur, je vais convoquer toutes les parties et je vais demander à certaines personnes bien connues du football de se retirer et de laisser les jeunes Présidents et les acteurs du football organiser. J’étais à Douala il y a une semaine, j’ai vu des championnats de vacances qui dépassent même notre championnat. Nous avons un championnat à Mimetala bien organisé. Alors, comment se fait-il que tout un pays n’arrive pas à organiser un championnat national ? Donc c’est pourquoi je dis qu’on s’est loupé quelque part et ceux qui ont été la cause depuis 20 ans doivent se retirer et laisser les acteurs du football travailler », ajoute l’ancien Lion indomptable.

Liliane N.

 

Selon nos sources, le Chairman Ni John Fru Ndi va organiser dans sa résidence à Yaoundé, une messe œcuménique, en mémoire des cadres décédés du Social democratic front.

C’est demain samedi 31 octobre 2020, que le Chairman Ni John Fru Ndi reviendra au Cameroun. Il vient de passer près d’une année aux Etats-Unis. Contrairement à ce que la fausse rumeur avait laissé entendre, le président du Social democratic front (SDF) est parti au pays de l’oncle Sam, pour avoir des soins médicaux. Cette rumeur avait répandu que le Chairman avait fait une demande d’asile. Le fake news avait conduit le SDF à faire un démenti officiel.

«Des usines à fake news essaient de transformer Ni John FRU NDI en demandeur d'asile. Le Chairman se porte très bien. Il n'a pas fait le Cameroun pendant 30 ans, pourquoi le ferait-il aujourd'hui ?», avait tweeté Joshua Osih candidat investi par le SDF à l’élection présidentielle de 2018.

Ni John Fru Ndi revient donc au Cameroun demain, et des sources internes au SDF, indiquent qu’il organisera à son domicile à Yaoundé, une messe œcuménique. Ceci en la mémoire de plusieurs cadres du parti décédés. On cite dans la foulée, l’Honorable Joseph Mban Ndam, l’ancien Bâtonnier Francis Sam, Me Manga Moussole, le Maire Balik Awah et bien d’autres personnalités. 

Liliane N.

 

 

Cette décision de justice a été rendue en appel, par le Tribunal de Première Instance d’Ekounou.

C’est hier jeudi 29 octobre 2020, que le Tribunal de Première Instance (TPI) d’Ekounou a décidé, de ramener la peine de prison de Mamadou Mota le 1er vice-président du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (MRC), à 18 mois au lieu de 24 tel que rendue en septembre2019. Ayant donc déjà passé 16 mois en prison, on peut s’imaginer qu’il ne reste plus qu’un mois de détention au cadre du MRC, et qu’il peut être ou devrait être libéré en décembre 2020.

Il convient de préciser que Mamadou Mota a été déclaré non coupable de destruction de bien public, mais coupable de rébellion en groupe par la Cour d’appel du centre dans le cadre du procès lié à la mutinerie survenue à la prison centrale de Kondengui, en juillet 2019. Il y a aussi les militants du MRC appelés Serge Blanco Nana et Wilfried Siewe qui ont été reconnus non coupables de destruction de bien public comme Mota.

C’est en fait depuis le mois de juin 2019, que le 1er vice-président du MRC a été interpellé, dans le cadre des marches de son parti déclarées illégales par les autorités. Ces marches avaient été organisées par son parti politique pour réclamer une victoire à l’élection présidentielle de 2018, que Maurice Kamto affirmait que Paul Biya et le Rassemblement démocratique du Cameroun (RDPC) lui ont volé.  

Cependant dans l’intervalle, en juillet 2019, Mota est accusé d’avoir conduit une mutinerie, à la prison centrale de Kondengui, à Yaoundé, dans laquelle il est incarcéré. Il sera reconnu coupable et de « rébellion en groupe »  et condamné à 24 mois ans de prison en septembre 2019.

Liliane N.

Le gouvernement indique que les auteurs de l’assassinat de M. Keafon Luciano Sunjo sont activement recherchés.

Hier mercredi 28 octobre 2020, c’était encore qu’une rumeur qui circulait sur la toile. Par le biais de son porte-parole René Emmanuel Sadi le Ministre de la Communication (Mincom), le gouvernement annonce à l’opinion qu’effectivement M. Keafon Luciano Sunjo Inspecteur pédagogique d’économie pour la Région du Nord-Ouest, a été assassiné. Son meurtre a eu lieu dans la nuit du mardi 27 octobre 2020 à Bamenda dans des circonstances encore non élucidées. Sa dépouille a été découverte à la levée du jour du mercredi 28 octobre 2020.

René Emmanuel Sadi indique que les auteurs de ce crime n’ont pas encore été identifiés. «Des recherches actives se poursuivent en vue de la mise aux arrêts des auteurs de cet assassinat d’un autre membre de la communauté éducative. Le Ministre de la Communication transmet à la famille si durement éprouvée, les sincères condoléances du Chef de l’Etat, Son Excellence Paul Biya et le Gouvernement de la République, ainsi que la compassion de toute la nation émue», peut-on lire dans le communiqué du Ministre Sadi.

Liliane N.

Kylian Mbappe a partagé sur son compte Twitter le hastag #EndAnglophoneCrisis.

 

L’assassinat des 7 élèves de Kumba samedi dernier, a touché la sensibilité des gens de par le monde. Qu’ils soient artistes, religieux ou même sportif, à l’unisson, ils appellent à la fin de la crise dans les deux régions anglophones à savoir le Nord-Ouest et le Sud-Ouest.

Kylian Mbappe l’a aussi fait. Il a partagé sur son compte Twitter le hastag #EndAnglophoneCrisis. Parmi les footballeurs de renom qui ont joint leur voix à cette cause, on retrouve également Edison Cavani, l’attaquant de Manchester United. Pour ce qui est de nos joueurs de la sélection des Lions indomptables, on a Alexandre SongRigobert SongStéphane Mbia, Aboudi Onguene, Estelle Johnson, Francis Ngannou.

Il convient de noter que l’assassinat des 7 élèves inscrits à l’école privée Mother Francisca International Bilingual Academic a remis sur le feu des projecteurs, la crise anglophone qui sévit en régions anglophones depuis 4 années déjà. Le fait d’avoir eu le courage d’aller assassiner des enfants dans une école, a démontré que les groupes armés qui affrontent l’armée au Noso, n’ont plus des limites. Il est donc impératif que la crise prenne fin pour que les populations vivant de ce côté n’aient plus à vivre des tragédies comme celle qui vient de couper le souffle aux camerounais.

Des stars internationales comme le rappeur américain Nas, sa compatriote, l’actrice Taraji P Henson, des stars de la chanson nigériane, telles que Yemi Alade, J-Martins, ivoirienne, (Debordo Leekunfa, Ariel Sheney, Bebi Philip), gabonaise (Shan’l), pour ne citer qu’eux, qui ont appris ce qui s’est passé à Kumba samedi dernier, ont tour à tour pris d’assaut internet pour appeler à l’arrêt de cette crise.

 

Liliane N.

 

Le Lion indomptable Stéphane Bahoken sera fixé sur son sort le 30 octobre 2020.

Stéphane Bahoken a été présenté au juge dans la journée d’hier, 28 octobre 2020. Il a été conduit devant le juge pour des accusations de violences conjugales et de conduite dangereuse avec mise en danger de la vie d'autrui. Sa compagne a également fait état de bousculades et d’insultes. Pour ces deux affaires, le journal Cameroon Info Net affirme avoir appris que, l’international camerounais a accepté les peines proposées par le parquet. Ces peines sont : quatre mois de prison avec sursis et des amendes respectives de 2000 euros (plus de 1,3 million de FCFA) et 6875 euros (près de 4,5 millions de FCFA).

A titre de rappel, c’est mardi dernier, que Stéphane Bahoken a été interpellé puis, placé en garde à vue à la gendarmerie nationale. «La garde à vue est en cours pour menaces et violences conjugales dans un contexte de séparation », a précisé par ailleurs à l’AFP Eric Bouillard, le Procureur de la République. Les violences conjugales se seraient déroulées pendant le confinement et durant le mois d’octobre. La victime, qui a eu un enfant avec le joueur, s’est vue prescrire une ITT d’un jour.

Avec cette affaire, l’attaquant de 28 ans du club angevin compromet sa convocation à l’équipe nationale pour les prochains rendez-vous. Il faut dire qu’il n’est pas à sa première affaire. En août, il avait franchi une ligne blanche en conduisant. Ensuite, il est dit qu’il s’en était pris à un conducteur, un policier. Bahoken a reconnu les faits et refusé l’assistance d’un avocat, rapporte Le Courrier de l’Ouest. Il sera convoqué, le 3 décembre prochain pour cette affaire.

Liliane N.

 

Le malgache Ahmad Ahmad affirme avoir écouté ses électeurs de 2017, qui ont indiqué que son bilan à la tête de la Confédération africaine de football est positif.

 

Ahmad Ahmad vient de mettre fin au suspense. Le malgache veut briguer un second mandat à la tête de la Confédération africaine de football (CAF). Il dit avoir été encouragé par le bilan à lui présenté, par ceux qui l’ont élu en 2017. Ledit bilan selon ceux-ci est positif. Toutefois, dans un entretien accordé à Cameroon info net, le président de la CAF précise qu’il est candidat, sous réserve d’avoir les parrainages nécessaires.

Avec quatre années passées à la tête de la CAF, on note que le malgache Ahmad Ahmad a procédé à quelques changements. Parmi lesquels, on peut parler du format de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) qui se joue maintenant avec 24 équipes.

« Nous nous sommes employés à réformer la CAF pour qu’elle réponde aux standards internationaux. C’était important de le faire, notamment pour nos partenaires présents et futurs. Nous avons amélioré les choses au niveau administratif et de la gestion financière.

Concrètement, les zones régionales sont désormais des structures de la CAF. Le secrétaire général de la CAF travaille avec ces zones afin de faire appliquer le programme de développement. Nous avons aussi mis en place un certain nombre de commissions, ainsi qu’une procédure d’audit interne, avec des gens reconnus pour leurs compétences. Nous avons procédé à des réorganisations des compétitions.

Il y a eu la réforme de la CAN, mais nous avons aussi beaucoup fait pour les compétitions de jeunes : nous avons réorganisé le système des qualifications et réformé le format des phases finales. Nous continuerons aussi de lutter contre la fraude liée à l’âge, qui est un frein au développement du football africain », déclare le malgache Ahmad Ahmad.

Pour ce qui est des actions qu’il l’aura à mener s’il brigue un nouveau mandat à la tête de la CAF, Ahmad Ahmad parle des discussions à mener avec les Fédérations pour une réorganisation de leurs championnats. Aussi, il y a la mise en place d’une ligue professionnelle.

« L’accent doit aussi être mis sur la formation : le nombre de joueurs correctement formés doit augmenter en Afrique », ajoute-t-il.

 

Liliane N.

 

 

 

La sœur Mary n’a pas été d’accord avec le fait que Paul Atanga Nji le Ministre de l’Administration territoriale, cite des versets de la bible pour justifier la longévité au pouvoir du Président de la République.

Etant en visite de travail à Kumba suite à l’assassinat des 7 élèves de l’école privée Mother Francisca International Bilingual Academy, Paul Atanga Nji le Ministre de l’Administration territoriale (Minat) s’est adressé à l’assistance présente composée des membres du gouvernement, des personnalités comme Fon Mukete mais aussi de religieux comme la sœur Mary. Alors que le Minat indiquait que si Paul Biya est à la tête de l’Etat, c'est par la volonté de Dieu, et que Fon Mukete a été aussi aux affaires par le vouloir divin, la sœur Mary s’est levée brusquement pour lui couper la parole.

«Personne ne peut combattre Dieu… Vous pouvez vous tenir au milieu de tout le monde, vous pouvez vous tenir au milieu de n'importe qui et dire n'importe quoi mais je veux vous faire savoir qu'il y a un Dieu au Ciel qui surveille tout le monde», a-t-elle déclaré.

Selon nos sources, la sœur Mary est la fidèle d’un pasteur qui a perdu son unique enfant lors de l’assassinat des élèves de Mother Francisca. Après la cérémonie, face à la presse, elle a déclaré ce qui suit : «alors aujourd'hui, je demande au Ministre, je demande au Président, je demande aux Délégués et à tous les Commissaires: où font-ils confiance? Font-ils confiance à Dieu ou à l'homme? Ils ont échoué le gouvernement, le gouvernement a échoué, tout le monde a échoué et laissez-les maintenant l'Église prendre le contrôle…Je veux dire honte au gouvernement, honte aux Ministres, honte au Président… Nous avons tous échoué et maintenant admirons Dieu: il est l'auteur, il est le finisseur de tout. Lorsque nous dépendons de lui, la victoire viendra ».

Liliane N.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Ces publications font croire qu’il s’agit des cérémonies funèbres des 7 enfants assassinés samedi dernier dans la ville de Kumba.

 

Depuis ce matin, sur la toile notamment sur le réseau social Twitter, les internautes sont attirés par l‘image des enfants qui portent le cercueil d’une personne, qui aurait le même âge qu’eux. Ladite image publiée avec le hastag EndAnglophoneCrisis, laisse croire aux internautes, qu’il s’agit de la cérémonie de levée de corps d’une victime de la tragédie qui s’est produite le samedi 24 octobre 2020 dans la ville de Kumba, précisément à l‘école privée Mother Francisca International Bilingual Academy.  

« C’est très choquant de voir des enfants porter le cercueil d’un des leurs! Trop c’est trop ! C’est pas possible ! @CRTV_web@PR_Paul_BIYA regardez-vous même ! Est ce normal ?!#EndAnglophonCrisis », a écrit un certain Mr Dipoko sur Twitter.

Seulement au constat des réactions laissées sur la publication sus rapportée, on peut affirmer que la plupart des internautes ont bel et bien compris, qu’il ne s’agit pas du Cameroun. L’un d’eux se présentant comme une écrivaine camerounaise a déclaré : « Image is from Togo. Please correct this. We don't want to spread fake news ». La traduction en français donne ce qui suit : « L'image vient du Togo. Veuillez corriger cela. Nous ne voulons pas diffuser de fausses nouvelles ».

Il convient de noter qu’aucune cérémonie funèbre des 7 enfants tués à Kumba précisément à Fiango ne s’est pas encore tenue. Les familles qui restent sous le choc, n’ont pas organisées de deuil pour l’instant. La rédaction d’Agence Cameroun Presse comme la plupart des camerounais exprime ses condoléances aux proches des victimes.

 

Liliane N.

 

 

L’interdiction de la tenue des classes les samedis n’est pas une nouvelle mesure. Cependant, le gouvernement a trouvé bon de faire ce rappel, après l’assassinat des 7 enfants de l’école privée Mother Francisca International Bilingual Academy.

Les cours sont interdits les samedis au Cameroun. C’est l’un des messages que les Ministres dépêchés à Kumba ont transmis aux populations de cette ville du Sud-Ouest endeuillées. Il faut dire qu’on est parfois arrivé à tolérer les cours qui se font à ce jour de la semaine au motif des programmes à couvrir. Cependant le drame de Kumba qui s’est produit un samedi dans un établissement scolaire, conduira peut-être le gouvernement à être plus rigoureux sur le respect de cette mesure.

La tragédie de Kumba devrait également amener le gouvernement à être plus regardant sur les écoles qui fonctionnent dans la clandestinité. Car, dans la déclaration qu’il a faite par le biais de son porte-parole René Emmanuel Sadi, il a été dit que l’école Mother Francisca menait ses activités à l’insu des autorités administratives et scolaires. Ce qui justifie le fait qu’elle n’ait pas bénéficié de certaines mesures sécuritaires.

Liliane N.







Sunday, 05 June 2022 11:01