25/10
Christian Wangue, l’éphémère empire d’un journaliste africain « en congé »
14/10
Pratiques mafieuses au Cameroun : Mediapart remporte le procès contre Bolloré
23/09
Préparatifs Mondial 2022 : Toko Ekambi forfait pour le match Cameroun-Ouzbékistan.
21/09
La bataille d’équipementier conduit à un bashing entre Samuel Eto’o et Yannick Noah
25/07
L’Union Africaine se félicite de la reprise des exportations de céréales d’Ukraine et de Russie
21/07
Football: la FIFA condamne le Cameroun à payer plus d’un milliard de FCFA au portugais…
20/07
Affaire de mœurs: la sex tapeuse Cynthia Fiangan a passé sa première nuit en prison
19/07
Le Cameroun veut importer 400 000 tonnes de riz en 2022
19/07
Droits de l’homme: Le REDHAC vole au secours du Directeur de publication du journal Le…
19/07
L’ancien Lion indomptable Stéphane Mbia risque la prison en Espagne
19/07
Découvrez le programme du séjour du président français Emmanuel Macron au Cameroun
18/07
Les Lionnes indomptables qualifiées pour les barrages de la Coupe du monde 2023
18/07
Mea Culpa: les camerounais accepteront-ils les excuses de Gaëlle Enganamouit
18/07
Lettre ouverte/Calixthe Beyala au président Macron: «venez-vous pour adouber un homme pour la transition au…
18/07
Emmanuel Macron au Cameroun, c’est confirmé
15/07
Le président de la République nomme de nouveaux responsables au sein de l'armée
15/07
Administration territoriale: le président de la République nomme 14 nouveaux préfets et 57 sous-préfets
15/07
CAN féminine 2022: les Lionnes indomptables éliminées en quart de finale
14/07
Diplomatie: le président Emmanuel Macron annoncé au Cameroun
14/07
Match Cameroun-Nigéria: 5 raisons pour croire à la qualification des Lionnes indomptables

Displaying items by tag: Serge Espoir Matomba

Serge Espoir Matomba le premier Secrétaire du Peuple uni pour la rénovation sociale demande aux pays de l’Occident qui se mêle des affaires internes du Cameroun, d’avoir du respect pour notre pays et pour son peuple.

Dans sa nouvelle tribune, Serge Espoir Matomba le premier Secrétaire du Peuple uni pour la rénovation sociale dénonce l’indignation à géométrie variable qu’il observe de la part des pays de l’occident en ce qui concerne la crise qui secoue les régions anglophones : le Nord-Ouest et le Sud-Ouest. L’ancien candidat à l’élection présidentielle de 2018 dénonce par la même occasion le silence coupable lorsque ceux qui réclament la sécession du Cameroun, commettent des forfaits.

Retrouvez ci-dessous la tribune de Serge Espoir Matomba

Alors que l’Union Européenne et les occidentaux en règle générale sont très prompts à condamner toute velléité d’indépendance et de mouvements séparatistes, lorsque cela concerne leurs pays, leur attitude est beaucoup plus ambigüe lorsqu'il s'agit des pays africains.

Personne n’a oublié la fermeté de l’Union Européenne aux côtés du gouvernement espagnol, face à la tentative de sécession de la Catalogne. Alors comment comprendre que ces mêmes pays hébergent en leur sein des personnes qui tiennent à la vue et au su de tout le monde, des langages de haine portant atteinte à la souveraineté de nos nations, sans être inquiétées, sans risquer d’être extradées.

Des individus qui financent des mouvements séditieux dont le but est, y compris par les armes et la violence, de détruire des Etats de notre continent.

Comment s’expliquer et se satisfaire du silence, voire de la complaisance affichée par ces Etats occidentaux avec les assassins séparatistes du NOSO au Cameroun? Il ne doit pas avoir une diplomatie du riche, protectrice pour les intérêts des plus puissants et une diplomatie de la condescendance, méprisante pour les pays d’Afrique et leurs dirigeants.

C’est terminé le temps où le charcutage de nos frontières étaient entre des mains blanches, nous restons maintenant vigilants.

Nous ne sommes plus dupes, lorsque ces mains blanches essaient de revenir dissimulées dans les gants d’un dialogue que l’on voudrait nous imposer. Nous sommes des nations adultes et émancipées. Nous refusons toute ingérence étrangère, à fortiori lorsque qu’elle met en danger l’unité de notre Pays.

Notre souveraineté n’est pas négociable, pas discutable. Nous demandons simplement le respect qui est dû à notre nation et à son peuple. La morale proverbiale du « faites ce que je dis mais ne faites pas ce que je fais » n’a plus court sous nos latitudes.

A bon entendeur, salut.

 Vive le Cameroun uni !

Published in Tribune Libre

Serge Espoir Matomba le premier Secrétaire du Peuple uni pour la rénovation sociale apporte son soutien aux députés qui ont écrit au gouvernement américain pour s’opposer à une ingérence dans les affaires internes du Cameroun.

Serge Espoir Matomba a plutôt une position opposée à celle de Maurice Kamto le président du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (MRC), pour ce qui est de la correspondance adressée au gouvernement américain par certains députés à l’instar de l’honorable Joshua Osih. En gros, cette correspondance vise à montrer l’opposition des parlementaires à une intervention étrangère pour des affaires internes au Cameroun à l’instar de la crise qui sévit au Nord-Ouest et au Sud-Ouest. Si le leader du MRC a trouvé que cette correspondance sus mentionnée est une trahison des parlementaires envers le peuple, Serge Espoir Matomba pense tout le contraire. Apportant son soutien aux parlementaires signataires de cette lettre, le premier Secrétaire du peuple uni pour la rénovation sociale affirme qu’il n’accepte pas d’ingérence dans les affaires de son pays.

Retrouvez ci-dessous la tribune de Serge Espoir Matomba

NI INGERENCE, NI EXTRADITION !

J’apporte mon soutien à la démarche des élus de la nation qui ont écrit au Sénat des Etats-Unis d’Amérique afin de demander que cesse toute ingérence Américaine dans les affaires intérieures du Cameroun.

Le peuple Camerounais est majeur et responsable, apte à résoudre le douloureux conflit qui agite nos régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest, sans intervention extérieure surtout si elle consiste à jeter de l’huile sur le feu plutôt que d’apaiser la situation.

Rappelons que la conception musclée de la médiation « made in USA » passe souvent par une ingérence militaire. Les forces politiques camerounaises, au premier rang desquelles les PURS ont formulé des propositions concrètes qui peuvent enclencher une désescalade et conduire à un retour à une situation normale, dépassant la situation de crise actuelle qui freine la croissance économique et instaure un climat d’insécurité croissante.

Si tout le pays souffre de cette situation, c’est pour nos compatriotes des deux régions concernées que les conséquences sont les plus lourdes. Le PURS, par ma voix, a eu l’occasion de dénoncer les manipulations extérieures dans le conflit du NOSO du fait d’une petite minorité agissante de la diaspora depuis les USA.

Nous demandons donc formellement aux autorités américaines que non seulement elles n’interfèrent plus dans nos affaires intérieures,  mais,qu’elles prennent aussi toute mesure afin d’empêcher que les irresponsables qui encouragent la rébellion et les massacres qui en découlent, ne soufflent sur les braises en toute impunité.

Le PURS par contre, ne saurait joindre sa voix, à celle de ceux qui demandent que soient extradés nos compatriotes de la Diaspora, sauf naturellement s’il était avéré que tel ou tel individu a commis des crimes de sang sur notre sol, puis s’est enfui à l’étranger.  Ni ingérence, ni extradition mais une solution intérieure construite par le peuple d’un pays mature, le Cameroun.

 

Published in Tribune Libre

Dans une publication sur son compte Facebook ce lundi matin, l’ancienne Directrice de Campagne de Serge Espoir Matomba l’accuse de l’intimider pour qu’elle ne lui réclame plus une importante somme d’argent que l’homme politique lui doit.

 

Clarence Yongo, en plus d’être journaliste et promotrice de la web Tv Griote TV, est également experte en communication politique. C’est à ce titre qu’elle fût recrutée en 2018 par le PURS pour diriger la campagne présidentielle du candidat malheureux, Serge Espoir Matomba. Visiblement, au cours de cette période, elle a concédé un prêt à son candidat. Et depuis le 07 juillet 2018, elle continue d’attendre d’être remboursée. Malgré les échéances plusieurs fois dépassées.

Au cours de l’une de ses sorties, Clarence Yongo fait savoir que « le 14 février 2020, cette femme qui attend patiemment son argent depuis le 07 juillet 2018 décide après plusieurs relances et promesses d’aller à la rencontre de son débiteur à Bonaberi. Elle avait été informée d’une réunion du parti. Elle devait en profiter puisque le débiteur en question ne prenait plus ses coups de fil. Lorsqu’elle y arrive, l’homme simule tout d’abord ne pas reconnaître la dette avant de prendre engagement devant témoins de rembourser au bout de 15 jours… Vous est-il déjà arrivé que votre débiteur vous fasse passer pour une escroc ? Cela m’est arrivé. Faites attention aux gens à qui vous prêtez de l’argent. »

L’affaire prend maintenant toute une autre tournure. D’après Clarence YONGO, Serge Espoir MATOMBA aurait envoyé dans ses bureaux des agents de la police en civil pour l’intimider. « Le 21 février 2020, sont arrivés à mon bureau trois individus (2 hommes et 1 femme). Pendant que l'un des hommes se dirige vers la porte centrale, entre sans frapper et demande à me rencontrer, les autres sont à l'extérieur et font le guet. Étant en clientèle, l'homme aux lunettes noires veut absolument savoir où me trouver. Il pose des questions de façon menaçante.

L'un de mes collaborateurs m'appelle et lui passe le téléphone. L'homme dit être à mes trousses pour affaire urgente me concernant. Je lui réponds que je suis en clientèle et qu'on peut prendre un rendez-vous. Mais évidemment mon interlocuteur décline cette proposition. Trois jours plus tard, mon collaborateur arrive à la PJ pour un reportage et rencontre sur son passage le même monsieur aux lunettes noires qui feint ne pas le reconnaître. En réalité, le pseudo leader de Bonaberi envoyait des éléments pour exercer un trafic d'influence afin que je ne revendique plus mon argent. Il fallait alimenter la frayeur pour que je me taise. Je devais garder le mutisme sur sa filouterie.

Pourtant quelques jours plus tôt, le politiRien prenait engagement devant témoin de rembourser ce qu'il me doit. Mais que vaut la parole d'un débiteur indélicat et multirécidiviste? L'engagement pris par un "milliardaire" impécunieux n'a de valeur que le fond de sa poche trouée. »

Affaire à suivre !

 

Stéphane NZESSEU

Published in Société
Tagged under

L’adjoint au maire, sous les couleurs du Parti Camerounais pour la Réconciliation Nationale multiplie les bourdes depuis les élections régionales du 06 Décembre dernier et, cette fois encore, alors qu’il était invité sur un plateau, il a décidé de s’en prendre aussi bien à l’honorable Cabral Libii, qu’au premier Secrétaire du Purs, d’où la sortie de la porte parole de Serge Espoir Matomba.

 

« Si Jeunesse savait...

L’adjoint au Maire, Joseph Espoir Biyong, Malheureux PCRNiste en quête d'identité politique doit formuler des excuses appuyées au Premier Secrétaire du PURS, Serge Espoir Matomba, pour avoir menti à son sujet.

L'incongru mauvais perdant aux dernières régionales, tout nouveau " leader associatif " de son état et sujet devenu accro à la transhumance politique, porte des accusations non fondées sur l'Honorable leader politique qu'est le " patron" du Purs.

Nous comprenons que pour se faire désormais, les jeunes ou moins jeunes d'ailleurs, politicards, doivent user à épuisement de la visibilité et du nom de Serge Espoir Matomba.

Mais la politique ne s'encombre plus des bébés sachant. Elle a certes besoin de sang neuf. Elle a sans aucun doute besoin de se nourrir de jeunes générations et le leader du Purs en fervent chantre, promeut cet embrasement jeune.

Toutefois, nous parlons d'une jeunesse aux convictions fortes et certaines. Nous parlons d'une jeunesse dotée de raison. Nous parlons des vrais constructeurs de demain. Nous ne pensons aucunement aux bébés capricieux et poètes larmoyants.

Parallèlement, nous en appelons à la responsabilité de nos compatriotes. Que leurs choix électoraux soient toujours guidés par le bon sens. Car, nous ne voulons plus de canailles politiques en quête d'identité idéologique comme représentants de cette nation.

Notre Premier Secrétaire est un homme responsable, un élu local accompli, une figure économique prospère. Il est surtout et avant tout un citoyen à part entière qui répand les valeurs républicaines à chaque étape de sa vie.

Même si M. Matomba de son tempérament naturel est un homme réservé qui piétine les ragots et qui a rapidement compris que la conscience fait le génome humain. L'environnement politique en général et celui du Cameroun en particulier regorgent de créateurs de récits et des histoires de trahison et de perfidie abracadabrantes et inutiles.

Alors, cher Joseph Espoir Biyong, mieux que vos sincères excuses, profitez de votre jeunesse, cultivez Votre esprit enfantin, afin de bâtir un Cameroun meilleur. Sinon, vous risquez de n'être qu'un étrange chewing-gum à mâcher truffé de moisissures.

Çà et là... ».

 

N.R.M

 

Published in Parti politiques
Tagged under

Serge Espoir Matomba le premier Secrétaire du Peuple uni pour la rénovation sociale pense que son parti politique a gagné en maturité en participant aux élections régionales du 6 décembre 2020.

Le Peuple uni pour la rénovation sociale (Purs) a bel et bien compéti hier dimanche 6 décembre 2020. Seulement le parti politique de Serge Espoir Matomba ne sort pas vainqueur de ces toutes premières élections régionales. Loin de se morfondre, l’ancien candidat à l’élection présidentielle de 2018 pense qu’il a été bien pour sa formation politique de participer.    

«Le PURS a été très heureux de participer à ces premières élections régionales. A la base, nous n'avions pas de conseillers dans les localités où nous présentions des listes. Nous n'avons donc rien perdu. Ce n'est que partie remise; des promesses pour l'avenir. Nous continuons à gagner en maturité», a écrit Serge Espoir Matomba.

Le premier Secrétaire du PURS précise que son parti politique c’est présenter à ces élections régionales pour marquer leur apport dans la résolution de la crise qui sévit dans les régions anglophones du Nord-Ouest et du Sud-Ouest (NOSO).  

«Notre participation était avant tout l'occasion de contribuer à l'accélération de la résolution de la crise anglophone. Maintenant que les jalons sont posés, nous attendons vivement l'implémentation du statut spécial accordé aux 2 régions du NOSO lors du Grand Dialogue National», a écrit Serge Espoir Matomba.

En fixant le cap sur le prochain scrutin, Serge Espoir Matomba affirme que son parti politique a réussi à se faire de nouveaux contacts, qui lui seront utiles dans l’avenir.

«Tous les nouveaux contacts noués lors des divers déplacements dans les régions sont comme des graines semées porteuses de récoltes futures pour un meilleur avenir du Cameroun.Nous gardons notre ligne: nous ne sommes pas dans la caricature. Nous avons bien saisi cet autre moment pour présenter notre programme et bien repréciser nos objectifs. Nous n'oublions pas de féliciter tous les camarades qui ont eu le mérite de porter haut les couleurs du Purs dans leurs circonscriptions électorales», a écrit Serge Espoir Matomba.

Liliane N.

Published in Tribune Libre

Comme pour apporter un élément de réponse, Serge Espoir Matomba dans une sortie récente estime qu’ « il n’est pas question de faire de cette femme « un punching-ball avec lequel la République prend ses libertés… ».

 

« Je suis saisi ces derniers jours par l'actualité autour de cette compatriote, dame Stéphanie Djomo.

À ce jour, l'évolution de sa situation trahit son fort besoin de réconfort. N'en faisons pas un punching-ball avec lequel la République prend ses libertés. Chacun de nous doit se sentir en sécurité au sein de notre communauté nationale.

Le milieu carcéral en règle générale est un milieu très dur qui laisse des séquelles indélébiles. Les conditions de vie dans les prisons de notre pays sont encore monstrueuses.

Les frères d'armes d'hier de notre compatriote, devenus ses ennemis éternels aujourd'hui, n'en mesurent pas l'impact et en rajoutent au lourd tribut qu'elle porte en croix.

Il n’est point facile de survivre aux réalités d'une prison. Je ne suis pas juge mais je peux comprendre le vent de liberté qui pousse Madame Djomo à une sincérité de mots qui dérange de part et d'autre.

Alors, j'appelle tous les camps rivaux érigés autour de sa personne, à plus de retenue. Sans oublier d'invoquer la responsabilité d'une certaine presse camerounaise.

Nous avons besoin d'être solidaires les uns avec les autres sinon nous porterons tous le visage des ennemis de la démocratie.

Quel est le dessein de nos luttes politiques, de nos oppositions mêmes singulières ? Un Cameroun de haine et de stigmatisation ou un Cameroun de paix, de fraternité et d'abondance?

J'appelle vivement la Justice et l'État à protéger non pas seulement dame Djomo Stéphanie mais tous ceux qui seraient tentés de se servir des crises qui frappent notre pays pour instaurer un chaos.

Les passions se déchaînent et nous avançons en eaux troubles.

Que la paix soit avec nous ! »

 

Une insistance qui ne trompe pas

On pourrait se montrer quelque peu sceptique, à cause des points d’ombre, que l’on note dans les récits de Victoire Stéphanie Djomo depuis sa première sortie sur une chaîne de télévision de la place, notamment sur les personnes ou l’Ong qui l’auraient conviée à prendre part à cette émission et à raconter cette rocambolesque histoire.

Néanmoins, de nombreuses questions ont trouvé des éléments de réponse, après la sortie faite sur la chaîne nationale ; Par exemple le  groupe auquel elle appartient, l’absence des noms des enfants qui seraient morts en 2016 et, son insistance à relever qu’elle regrette ses propos dont elle n’a jamais mesuré la portée.

Maintenant, si certains refusent de se rendre à l’évidence et estiment que « Victoire Stéphanie Djomo est utilisée par le Gouvernement à des fins inavoués », qu’ils apportent les preuves du contraire, en mentionnant entre autres, le nom du responsable ayant signé le document qui, depuis quelques heures, circulent sur les réseaux sociaux ; et, en apposant le cachet de l’entreprise.

Cela donne plus de crédibilité, au lieu de l’annonce d’un nouveau scandale.

 

Nicole Ricci Minyem

 

Published in Tribune Libre

Toutefois, Serge Espoir Matomba réclame l’ouverture d’un grand débat public sur l’administration des vaccins aux Camerounais.

Serge Espoir Matomba le président du Peuple uni pour la rénovation sociale (Purs) fait partie des hommes politiques qui se sont ouvertement opposés à l’administration aux jeunes filles âgées entre 9 et 13 ans du vaccin contre le cancer du col de l’uterus. Apres le communiqué du gouvernement adressé aux chefs des établissements scolaires, qui indique que ce vaccin ne revêt pas un caractère obligatoire, le président du Purs a salué la décision du Chef de l’Etat qui pour lui démontre que les observations de son parti politique ont été prises en compte.

« Je salue la décision du Chef de l’Etat qui a écouté la voix du Purs pour ne pas rendre le  vaccin contre le cancer du  col de l’utérus obligatoire, comme atteste le document Officiel en image », a écrit Serge Espoir Matomba.

Cependant, le président du Purs demande une transparence dans l’administration des vaccins aux camerounais.

«Toutefois, le Purs par ma voix, réclame  l’ouverture d’un grand débat public sur l’administration des vaccins aux Camerounais afin d’éviter tout fantasme sur l’efficacité de la vaccination. La transparence est une nécessité. Il faut que le Ministre de la santé renforce la communication, accepte des échanges contradictoires et apporte les éclairages scientifiques requis dans ce sens. En matière de santé publique, la force de conviction est supérieure à la contrainte pour emporter l’adhésion du peuple », a écrit Serge Espoir Matomba.

Liliane N.

 

 

 

 

Published in Santé

Ce dimanche 1er novembre 2020, le premier secrétaire du Peuple uni pour la Rénovation sociale (Purs) était l’un des panélistes de l’émission Club d’Elites, l’émission de débat diffusé sur les antennes de Vision 4. Profitant de cette tribune, Serge Espoir Matomba n’a pas manqué d’annoncer d’ores déjà son désir d’être candidat à la présidentielle de 2025.  

 

Serge Espoir Matomba rêve grand pour sa carrière politique au Cameroun. Cette fin de semaine, l’homme politique a annoncé lors de l’émission Club d’élites présenté par Jean jacques Ze sur Vision 4, une chaîne de télévision privée émettant depuis Yaoundé dans la capitale, « Dans les prochaines années, je serai président de la République du Cameroun »

Aussitôt sur la toile, la déclaration du premier secrétaire du Purs suscite moult réaction chez les internautes. L’un d’entre eux n’a pas par exemple manqué d’écrire : « Il n’a pas pu être député mais veut être président.  Vraiment voilà des personnes qui découragent les jeunes. Vraiment, il y a beaucoup de blagueurs dans le pays ci hein. Et le « boom » est même sérieux hein…Vraiment… !», s’exclame-t-il. Une affirmation que semble corroborer un autre internaute. Pour ce dernier, pas de surprise Matomba est un habitué de ce genre de déclaration. Il se demande : « Après 300 maires et 100 députés c’est maintenant président ».

En rappel, Serge Espoir Matomba était candidat à la présidentielle d’octobre 2020. Sur les 09 candidats en lice, Matomba était arrivé en dernière position. Indiquons également que lors des municipales et législatives du 09 février 2020 au Cameroun, le Peuple Uni pour la Rénovation sociale le parti de Matomba a présenté des candidats dans plusieurs villes. A l’arrivée, il n’a enregistré qu’un seul conseiller municipal à la mairie d’arrondissement de Douala IV.

Innocent D H

 

 

Published in Tribune Libre

Message posté par le premier secrétaire du Peuple uni pour la Rénovation sociale (Purs) sur son compte Facebook ce jeudi, 29 octobre 2020. L’homme politique marque ainsi son indignation face aux appels lancés par les leaders politiques pour les journées de deuils national en faveur du massacre des enfants à Kumba, dans le Sud-Ouest Cameroun.

 

Dans son post, Serge Espoir Matomba estime que la journée de deuil national prévue pour ce samedi, permettra d’honorer la mémoire des enfants tués. « L’unité doit rester la règle. Le temps n’est pas aux polémiques. Une journée unanime de deuil national convient pour honorer la mémoire des enfants tués à Kumba. Nous souhaitons vivement que nos compatriotes marquent vivement un temps d’arrêt ce samedi, 31 octobre 2020. Paix aux âmes des défunts. Pour qui nous demandons des obsèques dignes », a écrit le premier secrétaire du Purs.

Serge Espoir Matomba informe par ailleurs que son parti attend les conclusions de l’enquête décidée par le Président de la République. Ainsi, sur sa page Facebook, on peut clairement lire : « Que justice soit rendue. Nous faisons confiance aux enquêtes menées et aux dispositifs déployés dans ce sens pour que ce genre de folie ne survienne plus dans notre République ».

L’homme politique a profité de la tribune pour s’adresser directement au président du Mouvement pour la Renaissance du Cameroun (MRC), Maurice Kamto qui, dans une récente déclaration a exhorté les Camerounais à s’incliner devant la mémoire des élèves tués à Kumba à la faveur d’une journée de deuil national avant même le décret du Chef de l’Etat.

Dans la foulée, cette publication de Matomba crée de vives polémiques. En effet, plusieurs internautes pensent que le premier secrétaire du Purs perd progressivement sa casquette d’opposant. « Mon cher Matomba, déclarez une bonne fois pour toute que vous êtes de la majorité présidentielle comme Jean de Dieu Momo. Les opposants ont choisi le jeudi et le vendredi », a par exemple réagi Hubert Djientie dans un commentaire. 

Innocent D H

Published in Tribune Libre

Serge Espoir Matomba le premier Secrétaire du Peuple uni pour la rénovation sociale a collecté des témoignages, qui lui permettent d’affirmer que ce qui s’est passé à Kumba, relève du banditisme de grand chemin.

Après l’assassinat de 7 élèves à l’école Mother Francisca International Bilingual Academy, Serge Espoir Matomba le premier Secrétaire du Peuple uni pour la rénovation sociale (PURS) s’est rendu à Kumba dans la région du Sud-Ouest, pour comprendre ce qui s’est passé réellement. Des témoignages qu’il a eus des habitants de la localité de Fiango où se trouve l’école, il a compris qu’il s’agit du banditisme de grand chemin.

Il ne s’agit ni plus, ni moins d’un «problème de raquette, il faut le dire. C’est des bandits de grand chemin qui sont arrivés dans cette école, ont discuté avec le principal, sont sortis et ne se sont pas entendus. Ils n’ont probablement pas eu la pitance recherchée, ils ont ouvert le feu dans une salle de classe», déclare le premier Secrétaire du PURS dans une interview accordée à Ereuka.

Clandestinité

Sur la polémique ayant trait à la clandestinité ou pas de l’école privée Mother Francisca International Bilingual Academy, Serge Espoir Matomba confirme la déclaration du gouvernement qui indiquait que l’établissement a débuté ses activités, à l’insu des autorités administratives et scolaires.

«Ce qui est triste et ce que j’ai pu constater à Kumba, c’est que le mode de fonctionnement ne répondait pas au fonctionnement des autres écoles autorisées en ces périodes de guerre. Parce qu’il faut le dire, des écoles qui fonctionnent dans cette localité ont pour tous, et pratiquement tous, de la sécurité affectée à partir du moment où ils remplissent les conditions qui ont été prescrites par l’autorité administrative. Cette école entre dans le registre des écoles où le drapeau du Cameroun n’est pas hissé, où on ne chante pas l’hymne national. Et évidemment cette école fonctionne dans la clandestinité. Je ne dirais pas que cela justifie l’acte qui a été posé par ces brigands. Ces brigands sont supposés être ceux qui sécurisent ce type d’écoles. Lorsqu’ils n’entrent pas en possession comme ce qu’ils considèrent comme leur dû, ils réagissent comme ce qu’on a pu constater », déclare l’ancien candidat à l’élection présidentielle de 2018.

Condamner le meurtre

Serge Espoir Matomba affirme par ailleurs que ce qui s’est passé n’a rien à voir avec des revendications séparatistes ou corporatistes. Et il faut donc plus encore pour cela, condamner ce qui s’est passé.

« Il faut que nous puissions parler d’une seule voix aussi bien sur le plan national qu’international et que nous puissions donner la possibilité à nos forces de Défense de réagir», a-t-il ajouté.

Liliane N.

 

Published in Société
Page 1 sur 4






Sunday, 05 June 2022 11:01