Interpellé par le ministre de la Fonction Publique et de la Réforme Administrative qui a été nominé dans la catégorie « Meilleur membre du gouvernement de l’Année », une désignation que Joseph Le considère comme « démarche douteuse qui s’assimile à une levée de fonds déguisée », Aristide Bonna, président du Comité d’organisation s’explique
Une réponse contenue dans un communiqué publié ce Lundi soir et dans lequel il donne les raisons qui ont fondé les choix des membres du comité qu’il dirige et qui sont les mêmes que ceux qui ont prévalu pendant l’organisation de la première édition des Afrik-Inform Awards : « Célébrer les acteurs politiques et publiques qui se démarquent et participer à l’éveil citoyen… ».
Dans le document, il est écrit que :
« Le choix des nominés a suivi comme à l’accoutumée un processus transparent et indépendant avec la participation d’un collège de nominateurs constitué de Directeurs de publication, de membres du clergé, d’universitaires et d’acteurs de la société civile.
En outre, il y a lieu de souligner qu’entre avril et début mai 2021, tous les candidats ont été informés par voie de courrier physique avec accusé de réception de leur nomination dans le cadre de cette 2ème édition des Afrik Inform Awards.
Il est également à noter que le Comité d’organisation a dévoilé l’identité des différents nominés au cours d’une conférence de presse tenue le 27 Avril 2021 au Best Werstern Hôtel à Douala et largement relayée par les médias tant nationaux qu’étrangers… ».
Relativement à la monétisation des votes, Aristide Bonna explique qu’il était question d’ « éviter les votes fictifs et de s’assurer de l’intérêt certain des votants… ».
Poursuivant dans la même logique, il argue que : « la pratique de monétisation des votes dans le cadre d’évènements similaires n’est pas l’apanage des Afrik Infom Awards qui, du reste, ne sollicitent que le paiement de la modique somme de cent (100) francs Cfa pour les résidents Camerounais et d’un (01) euro à l’international…
Nous avons encore en mémoire le célèbre concours de beauté Miss Univers pour lequel plusieurs Camerounais ont été appelés à s’acquitter d’une somme plus importante pour pouvoir exercer leur droit de vote ».
Des justificatifs questionnables, car comment interpréter le fait que la sortie du ministre de la Fonction Publique et de la Réforme Administrative n’intervienne qu’au mois de Juin, s’il a été saisi par voie de courrier depuis Avril ?
Quelle est la réponse qui leur a été donnée ? Les membres du comité d’organisation qui auraient multiplié les campagnes de communication se sont – ils rassurés que les nominés ont donné leur accord de principe pour prendre part à cette activité… ?
Nicole Ricci Minyem
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Joseph Le le ministre de la Fonction publique et de la Réforme administrative a déjà licencié 493 fonctionnaires pour absentéisme chronique dans les services publics.
Après les 493 fonctionnaires licenciés la semaine passée, plus de 7500 autres le seront aussi dans les prochains jours. C’est une annonce de Joseph Le le ministre de la Fonction publique et de la Réforme administrative (Minfopra).
«Après plusieurs initiatives les invitant à venir clarifier leur situation administrative dans les services du MINFOPRA, 7622 agents publics sont demeurés en position d’abandon de poste et n’ont pas cru devoir répondre à nos multiples mises en demeure», a déploré hier 26 mai 2021 au cours d’un point de presse Joseph Le le Minfopra.
Le membre du gouvernement affirme qu’il n’est plus question de laisser des fonctionnaires fictifs émarger indûment dans les caisses de l’Etat. Il a rappelé qu’il s’agit d’une opération, voulue par le président de la République. Elle a été initiée après un constat alarmant. Et son but est d’amener les gens à se remettre au travail.
Il convient de noter que les licenciements en préparation surviennent après la phase contentieuse de l’opération de Comptage physique des personnels de l’État (Coppe), lancée par l’Etat en 2018. Une opération qui avait pour objectif d’assainir le fichier solde de l’État, en y enlevant les personnels qui émargent indûment le budget de l’Etat.
Grâce au Coppe, indique le ministre Joseph Le, l’État a réalisé des économies de 40 milliards de FCFA sur la masse salariale des agents publics en 2020. Cette opération, apprend-on, a par ailleurs permis de recouvrer en 2020, 12 milliards de FCFA de salaires et pensions virés dans les comptes des agents publics morts.
Liliane N.
Au cours du périple du Ministre de la Fonction publique et de la Réforme administrative (Minfopra) s’assure de la fiabilité et de la fonctionnalité des salles multimédias en cours d’installation dans les chefs-lieux de régions.
Depuis quelques jours, le Minfopra, Joseph Le, a lancé une tournée dans les 10 régions du pays pour évaluer la dématérialisation et la simplification des procédures administratives. C’est dans la perspective de l’avènement du nouveau Système informatique de gestion intégrée des personnels de l’Etat et de la Solde (Sigipes). Cette initiative est la matérialisation d’une résolution du conseil de cabinet tenu le 28 mai 2020 visant à limiter l’accès des usagers dans les services publics en privilégiant le service à distance.
Le premier Ministre, Chef du Gouvernement Joseph Dion Ngute indiquait lors d’un conseil de cabinet en 2020, « Le temps est venu de rendre effective la dématérialisation des procédures en mettant en ligne sur les sites des ministères et autres plateformes, les documents que sollicitent les usagers ». Parmi, les administrations à l’avant-garde de cette nouvelle donne, le Minfopra qui, dans ses missions est chargé de l’organisation des concours administratifs et de gestion des carrières de tous les fonctionnaires.
La dématérialisation et la simplification des procédures administratives permettent de lever les lourdeurs et pesanteurs administratives pour fluidifier le service et améliorer la transparence. C’est d’ailleurs dans ce sillage que le Minfopra a pour la fois organisé les épreuves orales des concours administratifs par visioconférence en 2020. Ce qui a permis aux candidats de toutes les dix régions du Cameroun d’éviter de longs voyages pour Yaoundé, le siège des institutions surtout avec l’irruption de la pandémie de coronavirus.
Innocent D H
La rencontre entre Joseph Le le Ministre de la Fonction publique et la presse aurait dû se tenir dans la soirée du 15 octobre 2020.
Dans son édition parue en kiosque le 19 octobre 2020, le quotidien Messager parle d’une rencontre entre Joseph Le le Ministre de la Fonction publique et la presse qui a été annulée. Le journal du défunt Pius Njawe dit tenir d’une source bien introduite l’information selon laquelle, l’annulation de ladite rencontre faite à la dernière minute, était un ordre de la Présidence de la République. Pourtant le dîner de presse devait porter sur le processus général d’organisation des concours administratifs au Cameroun.
La dernière sortie du Ministre Joseph Le à propos des résultats du concours de l’Enam session 2020, aurait offusquée des dignitaires des trois régions septentrionales à savoir le Nord, l’Adamaoua et l’Extrême-Nord, rapporte Le Messager.
Quelle déclaration du Ministre de la Fonction publique et de la Réforme administrative a pu bien choquer les dignitaires dont parle le quotidien Le Messager. Serait-ce le fait d’avoir dit dans une note d’information en réponse aux dénonciations du Mouvement 10 Millions de Nordistes, que la moyenne requise compte aussi pour l’admission à l’Enam ? Germain Nnanga analyste politique intervenant dans les colonnes du journal l’atteste.
«Lorsque le MINFOPRA a expliqué que le pourcentage habituel n’a pas été respecté parce que les candidats de ces régions n’avaient pas bien travaillé, les élites du septentrion ont trouvé cela très condescendant, voire calomnieux», déclare-t-il.
A titre de rappel, le Mouvement 10 Millions de Nordistes a demandé l’annulation desrésultats des concours de l’Enam session 2020 au motif, de ce que le quota d’admission de 30% réservé aux régions septentrionales suscitées n’a pas été respecté. Et reconnaissant toutefois que c’est vrai, le Ministre Joseph Le a indiqué que le quota de 28% observé dans les résulats se justifie par la prise en compte des notes des candidats.
Liliane N.
Le Ministre Joseph Le précise que l’admission à l’Ecole nationale d’administration et de magistrature, est conditionnée par l’obtention de la moyenne requise et ce, applicable à tout candidat.
Suite à la plainte de Gubaï Gatama le Coordonnateur du «Mouvement 10 millions de Nordistes», Joseph Le le Ministre de la Fonction publique et de la Réforme administrative (Minfopra) a sorti une note d’information. Pour mieux comprendre le but de ladite note d’information, il convient de rappeler que par le biais du Directeur de publication de l’œil du sahel, le «Mouvement 10 millions de Nordistes» a dénoncé cette fois encore, le non-respect des quotas des régions septentrionales au concours de l’Ecole nationale d’administration et de magistrature (Enam) session 2020.
Dans une publication parue dans le journal L’œil du Sahel, Gubaï Gatama observait que «seulement 75 candidats originaires des trois régions septentrionales ont été admis à ces concours sur les 417 nouvelles recrues ; soit un taux de 17,9%, très loin des 30% de places affectées à cette partie du pays par les textes en vigueur organisant les concours d’entrée à la fonction publique au Cameroun ».
Dans sa note d’information, le Ministre Joseph Le précise à son tour que la moyenne requise compte pour l’admission à l’Enam. Même s’il reconnait que «les trois régions concernées ont effectivement droit à un quota de 30% des places aux concours administratifs». Toutefois il souligne que « le quota des 28% des places attribué à ces (03) régions découle de la prise en compte des notes obtenues par les candidats qui en sont originaires et la répartition des quotas par région ».
Et pour que les choses soient connues de tous, le Ministre de la Fonction publique a rappelé les quotas arrêtés par région.
«Les quotas par région applicables dans les concours administratifs sont fixés par divers textes, ainsi qu’il suit : Adamaoua 5%, Centre 15%, Est 4%, Extrême-nord 18%, Littoral 12%, Nord 7%, Ouest 13%, Nord-ouest 12%, Sud, 5% et Sud-ouest 8% ». Il en ressort donc que les trois régions septentrionales s’en sortent avec un nombre de places cumulées de 30%.
Liliane N.
Rolande Ngo Issi le Député du Parti Camerounais pour la réconciliation nationale souhaite que le quota d’au moins 2%, soit respecté pour le recrutement dans la Fonction publique, des personnes vivant avec un handicap.
L’Honorable Rolande Ngo Issi du Parti Camerounais pour la réconciliation nationale (Pcrn) se montre préoccupée par la situation des personnes souffrant d’un handicap, pour ce qui est de leur recrutement dans la Fonction publique. Aussi, la camarade de parti de Cabral Libii a décidé d’interpeller par voie de correspondance, Joseph Le le Ministre de la Fonction publique et de la Réforme administrative (Minfopra).
«Monsieur le Ministre, les personnes vivant avec un handicap sont des personnes à part entière et font l’objet d’une attention minutieuse à travers des lois peu implémentées mais qui encadrent et orientent leur insertion professionnelle notamment la loi N°2010/002 du 13 Avril 2010, portant protection et promotion des personnes handicapées en son article 27 alinéa 3 stipule l’accès à l’emploi à cette catégorie de concitoyens , sans omettre de rajouter l’article 28 qui demande à l’Etat de prendre des mesures particulières pour garantir l’accès à l’éducation et à la formation professionnelle. Ce qui leur permettra d’obtenir un emploi décent», écrit le Député Rolande Ngo Issi.
Rolande Ngo Issi qui par décret présidentiel siège au Conseil supérieur de la magistrature, fait remarquer au Ministre Joseph Le, que l’accès à la Fonction publique est parsemé d’obstacles et surtout il y a le fait de la non prise en compte des sensibilités se ramenant aux personnes vivant avec un handicap. «Ma démarche auprès de vous est de bien vouloir accorder une place de choix pour nos jeunes frères et sœurs qui toquent à la porte de la fonction publique, afin de caresser le rêve de servir leur pays en toute quiétude et patriotisme», écrit le Député du Prcn.
Liliane N.
L’inspection du colis suspect par les éléments du Groupement Polyvalent d’Intervention de la Gendarmerie Nationale a permis de découvrir qu’il s’agit plutôt d’un bipeur à l’insuline.
Il y a de nouveaux éléments dans l’alerte bombe signalée hier lundi 17 août 2020, dans les bâtiments qui abritent les services du Ministère de la Fonction publique et de la Réforme administrative (Minfopra). Si justement hier on a parlé de la présence d’un engin explosif déposé dans un colis administratif, la Cameroon radio television (Crtv) la chaîne à capitaux publics fait savoir qu’il n’en est rien de tel.
Le travail des éléments du Groupement Polyvalent d’Intervention de la Gendarmerie Nationale arrivés sur les lieux révèle qu’il s’agit plutôt d’un bipeur à l’insuline. Le travail de ces éléments du Gpi de la Gendarmerie nationale a révélé que ledit bipeur à l’insuline émettait des bruits comme un minuteur. Ce qui a conduit au soupçon d’une bombe.
Fort de cela, Joseph Le le Ministre de la Fonction publique et de la Réforme administrative (Minfopra) a demandé aux personnels et aux usagers de son département ministériel de regagner leur lieu de service. «Aucune perte en vie humaine ou même incident physique n’est à déplorer par rapport à notre personnel. Je voudrais à cet effet demander à nos collaborateurs de reprendre le service dès demain, étant donné qu’il n’y a rien d’autre qui puisse les inquiéter. Nous avons d’ores et déjà pris toutes les mesures visant à filtrer toutes les entrées du bâtiment, aussi bien les personnes que les objets. Je voudrais également rassurer nos usagers pour lesquels nous sommes là en leur disant que le service se poursuit normalement dès cette fin de journée», a-t-il déclaré après la survenue de l’incident.
Liliane N.
Cette décision vise à faciliter le service pour les personnes qui vont se présenter aux différents concours et examens, qui seront organisés pour le compte de la session 2020.
C’est une mesure qui devrait réjouir les potentiels candidats aux examens et concours officiels de la session de 2020. Ils peuvent désormais se rendre dans les Sous-préfectures pour la signature des autorisations de présentation des originaux de leurs diplômes. Joseph Le le Ministre de la Fonction publique et de la Réforme administrative (Minfopra) a signé ce mercredi 10 juin 2020, un communiqué dans lequel, il permet aux Sous-préfets de signer lesdites autorisations.
Dans ledit communiqué, le Ministre Joseph Le précise la raison qui a motivé sa décision. Il indique qu’il s’agit de rendre aux candidats des examens et concours officiels, un service plus diligent dans la constitution de leurs dossiers de candidature. “Cette autre mesure comme celle relative à l’inscription aux concours en ligne, vise la simplification des procédures administratives et le rapprochement de l’Administration de ses usagers”, peut-on lire dans le communiqué du Minfopra.
La décision du Ministre tient aussi du contexte actuel marqué par la pandémie du Coronavirus, qui proscrit à l’heure actuelle des foules. Il est donc de ce fait question d’éviter des attroupements récurrents dans les services des gouverneurs des régions et des préfectures.
“Le Ministre de la Fonction publique et de la Réforme administrative invite par ailleurs les intéressés à se référer, pour toute autre difficulté et/ou information complémentaire, au Call center du Minfopra aux numéros 8566 et 1522 ou au site internet à l’adresse www.minfopra.gov.cm”, a écrit Joseph Le.
Liliane N.
Malgré la crise sanitaire en cours et ses multiples aléas sur les agendas académiques, le Ministre de la Fonction Publique ne s’est pas laissé intimidé et a su rendre les résultats de la session de concours 2020 à temps.
On peut percevoir une once de fierté entre les liges du tweet de Joseph LE. Le tweet fait savoir : « J’ai signé ce 16 avril 2020 dix-sept (17) communiqués portant admissibilité à certains concours professionnels 2019 et deux concours spéciaux 2020, ainsi que trois arrêtés portant résultats définitifs ». Les concours dont les résultats définitifs ont été rendus publics sont :
- Le concours professionnel de recrutement de 30 Adjoints d’Administration
Ici, au lieu de trente (30) noms, la liste définitive affiche seulement 17 noms. Comme quoi le gouvernement n’a pas atteint le quota demandé pour les différentes fonctions qui devaient être pourvues par ces agents.
- Le concours professionnel de recrutement de 50 Brigadiers de Douanes
- Le concours de recrutement de 10 Contrôleurs Adjoints des Régies Financières (Douanes)
Dans ce concours encore, on n’a pas atteint 10 admis. Mais seulement deux candidats ont été retenus. Comment comprendre que sur autant de candidats qui postulent seuls deux noms sont retenus en définitive ? Notamment les nommés FADIMATOU HAMASSIOUTO et DJENABOU ABDOURAMAN.
Les autres résultats sont des admissibilités à certains concours de recrutement au sein de la fonction publique camerounaise.
- 40 Personnels d’Actives des Douanes
- 125 Personnels des Eaux et Forêts
- 140 Personnels de l’Education Physique et Sportive
- 105 Personnels de l’Elevage et des Pêches Maritimes
- 100 Personnels de l’Enseignement Maternel, Primaire et Normal
- 400 Personnels de l’Enseignement Technique et Professionnel
- 75 Personnels du Génie Rural
- 155 Personnels de la Santé Publique (Infirmiers)
- 60 Personnels de l’Informatique et de la Téléinformatique
- 140 Personnels de la Jeunesse et de l’Animation
- 60 Personnels des Régies Financières (Douanes)
- 60 Personnels des Régies Financières (Impôts)
- 90 Personnels de la Santé Publique (Technique Médico-Sanitaires)
- 80 Personnels de l’Administration Générale
- 60 Personnels du Travail et de la Prévoyance Sociale
- 140 Personnels de l’Agriculture
Les épreuves orales auraient dû se tenir dans les jours qui suivent l’annonce des admissibilités. Or « compte tenu des mesures de restriction en vigueur dans le cadre de la lutte contre la propagation du Covid 19, le calendrier annexé au présent communiqué inique la date, l’heure et le lieu de passage des candidats devant les différents jurys ». Comme quoi, malgré cette crise, les concours en question iront bel et bien jusqu’à leurs fins. Le ministre Joseph LE y tient.
Stéphane NZESSEU
Le ministre de la Fonction publique et de la réforme administrative a réuni hier mercredi 30 octobre 2019 au Djeuga palace de Yaoundé, tout son personnel et collaborateurs a l'effet d'examiner et adopter des stratégies efficaces pour mieux organiser les concours administratifs sans casse et loin de toutes critiques négatives.
Pour Joseph Lé, il n’y a pas de tabous ici. L’organisation des concours administratifs au Cameroun mérite qu’on s’y attarde. Il faut toiletter l’appareil et offrir au public des concours à l’organisation réussie. Dans son discours qui a ouvert cet atelier, le ministre de la Fonction
publique et de la réforme administrative a marqué tous les esprits. Avec des mots justes et édifiants, Joseph Lé a schématisé la couleur qu’il veut donner à la machine chargée désormais d’organiser les concours administratifs au Cameroun, à partir des années qui arrivent : "Dans un contexte marqué par le souci de modernisation de l’Administration Publique Camerounaise, à travers la digitalisation et la simplification des procédures administratives, plus que jamais la quête de la performance et de la transparence, la question des ressources humaines qualifiées et leur modalité de sélection, interpellent le MINFOPRA. Il apparait donc nécessaire, au regard de la multiplicité des étapes et des acteurs qui interviennent dans le processus du recrutement des agents publics, des contraintes qui s’y greffent, de la complexité des opérations, de sensibiliser les différents intervenants sur les contours et méandres du processus y afférent".
Les Directeurs de l’administration générale et les Directeurs des ressources humaines d’une dizaine de ministères ont ainsi contribué à l’élaboration de ce plan stratégique.Car pour le ministre Joseph lé, Il faut absolument sortir des goulots d’étranglement et arrimer la Fonction publique camerounaise sur les normes internationales.