Il s’agit d’agents de santé communautaire recrutés pour le programme intitulé le suivi des contacts dans la lutte contre la Covid-19.
La représentation de l’Organisation mondiale de la santé (Oms) à Douala dans la région du Littoral a connu ce matin de 13 octobre 2020, un mouvement d’humeur. Les auteurs dudit mouvement d’humeur étaient des agents de santé communautaire recrutés dans le cadre du programme intitulé, «le suivi des contacts dans la lutte contre la Covid-19». Ils ont bloqué la représentation de l’Oms de Douala parce qu’ils dénoncent le non-respect des termes du contrat.
Les 180 agents de santé communautaire, dont 171 traceurs et 09 superviseurs ont été recrutés au début du mois d’avril. ABK radio qui les a suivis, rapporte qu’ils avaient des contrats signés s’étalant sur une période de trois mois renouvelables. Cependant il se trouve que, «l’employeur n’a pas respecté ses engagements et les employés qui disent avoir reçu moult promesses n’en peuvent plus ». D’où leur action de ce matin.
Ce qu’ils demandent, c’est le paiement de leur dû. Et ils ont pris le soin de bien le mentionner sur les pancartes qu’ils brandissaient devant la représentation du bureau de l’Oms de Douala. «L’OMS ne peut pas envisager le paiement de la 2e phase sans vouloir régler de manière totale et définitive la première ». Ou encore : «nous réclamons un règlement total et définitif», pouvait-on lire sur lesdites pancartes. Un manifestant assez révolté a même écrit le message suivant sur le portail la représentation : « arrêtez de nous prendre pour des connards ». « Remettez-nous notre argent ».
Liliane N.
La Ligue de football professionnel du Cameroun annonce par ailleurs, qu’elle va tenir son assemblée générale extraordinaire, le 19 décembre 2020.
En dépit des tensions qui persistent avec la Fédération camerounaise de football (Fecafoot), la Ligue de football professionnel du Cameroun (Lfpc) a décidé de lancer le championnat Elite 1 le 31 octobre prochain. Un communiqué a de ce fait été rendu public. Il est signé par le Général Pierre Semengue.
Le document annonce aussi la tenue de l’assemblée générale extraordinaire de la Ligue pour le 19 décembre 2020. Il sera question au cours de ladite assemblée générale de «repourvoir les postes vacants au sein du conseil d’administration de la LFPC». En fait, il faut préciser que la semaine dernière, les présidents du Dragon club de Yaoundé, de Feutcheu FC de Bandjoun et de Renaissance de Ngounou, ont annoncé leur démission du conseil d’administration de la LFPC. Ceux-ci reprochaient au Général Pierre Semengue de ne pas se conformer aux résolutions prises par l’Assemblée générale de la (Fecafoot), tenue le 24 septembre 2020.
L’une de ces résolutions était que la Fecafoot de Seidou Mbombo Njoya avait à nommer le Secrétaire général de Ligue. Ce qui a été fait et le choix a été porté sur Paul Mebizo’o, l’ancien chef du département des compétitions à la fédération. Le Général Pierre Semengue n’est pas d’accord avec cette nomination qu’il trouve anti-statutaire. Il précise que cela a été fait sans qu’il ne soit consulté. Pourtant c’est ce que les textes de la Fecafoot prévoient.
Certains responsables de clubs ne sont pas d’accord avec la position du président de la Lfpc. Ils ont même parlé de la possibilité de dissoudre la Lfpc si et seulement si elle ne respecte pas les résolutions sus mentionnées. Et c’est dans ce contexte, que la Ligue entreprend de reprendre avec ses activités.
Liliane N.
Ferdinand Ngoh Ngoh le Ministre d’Etat, Secrétaire général à la Présidence de la République a donné 24 heures au Dr Malachie Manaouda, pour libérer les stades de Ngoa-Ekelle, Mbappe Leppe et Middle Farm Stadium.
Trois stades infrastructures sportives retenues pour le Championnat d’Afrique des Nations (Chan) 2021 et sur lesquels, le dispositif du Coronavirus a été installé, doivent être libérés. Ces stades sont Ngoa-Ekelle pour Yaoundé, Mbappe Leppe pour Douala et Middle Farm Stadium pour Limbé. Dans une deuxième correspondance adressée au Dr Malachie Manaouda Ministre de la Santé (Minsante), Ferdinand Ngoh Ngoh le Ministre d’Etat, Secrétaire général à la Présidence de la République (Sg/Pr) rappelle l’urgence de cette demande.
«En vous rappelant les termes de ma correspondance du 28 septembre 2020, dans laquelle j’attirais votre attention sur l’urgence du démantèlement du dispositif installé dans certaines infrastructures sportives ayant déjà été retenues pour le Chan de janvier 2021 par la Caf, dont une mission d’évaluation est prévue dans notre pays à partir du 15 octobre 2020. J’ai l’honneur de vous demander de faire démanteler immédiatement, dans les 24 heures, les stades de Ngoa-Ekelle à Yaoundé, Mbappe leppe à Douala et Middle farm stadium à Limbe, afin que les entreprises en charge des travaux de réhabilitation des aires de jeu puissent engager les travaux, de manière à pouvoir les livrer au plus tard au mois de décembre 2020, date de la prise en main des infrastructures par la CAF» peut-on lire dans le communiqué de Ferdinand Ngoh Ngoh.
Il convient de rappeler qu’après le premier communiqué du Sg/pr, le Ministre de la Santé au cours de l’émission dominicale «Dimanche Midi» du 30 août 2020 du Poste national a indiqué que le Chef d’Etat, qui avait instruit la mise en place de ces Centres anti Covid-19, est le seul à lui donner des instructions sur le sujet en question.
Liliane N.
Samuel Dieudonné Ivaha Diboua le gouverneur de la région du Littoral affirme que la ville de Douala est désormais sous haute surveillance.
Après les incidents malheureux qui se sont produits le dimanche 11 octobre 2020 à Douala précisément au quartier Deido, Samuel Dieudonné Ivaha Diboua le gouverneur de la région du Littoral a donné ce lundi, une conférence de presse. Au cours de ladite conférence, le patron du Littoral a précisé que les autorités ne vont plus laisser passer des actes qui mettent en mal les populations comme ceux posés par les «microbes».
«Concernant ces bandits qui sèment la terreur dans la ville, leur récréation est terminée. Je tiens ici à en assurer les propositions. Celui qui se rendra complice ou auteur de ces agissements en payera le prix selon la loi», a déclaré Samuel Dieudonné Ivaha Diboua.
Le numéro 1 de la région du Littoral en saluant la mobilisation et la bravoure des jeunes du quartier Deido attaqué par les «microbes», a appelé toutes les populations à dénoncer ces «jeunes brigands» afin qu'ils soient remis à la disposition de la justice. «Douala est sous haute surveillance et ces jeunes délinquants seront traqués», a-t-il précisé.
Par ailleurs, Samuel Dieudonné Ivaha Diboua a dénoncé l’exagération des faits observée sur la toile. Il note que cette exagération des faits vise à donner l’impression que la situation n’est pas sous contrôle. Il en appelle à la responsabilité des uns et des autres.
A titre de rappel, le dimanche 11 octobre 2020, vers 20 heures, des « microbes » armés de machettes, couteaux et autres gourdins, ont fait irruption dans le quartier Deido. Ceux-ci à l’aide de leurs armes blanches, ont pillé des commerces, tout en arrachant, l’argent, les portables et des objets de valeurs aux habitants.
Liliane N.
L’artiste K-Tino demande à ses filles Lady Ponce et Coco Argentée de se pardonner.
De passage sur le plateau du programme Entrevue Mag, diffusé sur la CRTV la chaîne à capitaux publics, l’artiste K-Tino s’est exprimée sur l’affaire Lady Ponce et Coco Argentée. Se présentant comme la mère des deux chanteuses autrefois très amies, la reine du Bikutsi a demandé à ses enfants de se pardonner.
«Moi je leur demanderais de regarder à l’époque. Mballa Roger et Salla Bekono n’ont pas eu de problèmes. Moi j’ai parlé avec Lady, elle m’a écoutée. J’exhorte ceux qui sont dans l’entourage de Mani Bella, de Coco, de Majoie Ayi, de Lady Ponce, de tout faire pour que la paix règne», a déclaré K-Tino qui a précisé quelques secondes plus tard, la larme presqu’à l’œil, que Lady Ponce lui a avoué «qu’elle n’a pas de problème avec sa sœur (Coco Argentée, Ndlr). Mais elle a dit qu’elle a des preuves et qu’elle voudrait que lesdites preuves sortent. Mais je vais demander à Lady ce soir, s’il te plait ma fille, Coco s’il te plait ma fille aussi, s’il vous plait il faut faire un effort de baisser la colère, de pardonner. Le même public qui vous écoute, à qui vous donnez beaucoup d’amour et d’efforts, c’est ce public qui va vous détruire. Je demande au nom de Jésus, Lady baisse le cœur et enlève cette plainte… et je sais que ça va aller».
A titre de rappel, Lady Ponce a traîné devant les tribunaux Coco Argentée. Leur affaire est en examen au Tribunal de Yaoundé Centre administratif. La première audience a eu lieu le 27 août 2020. Et l’affaire a été renvoyée au 8 novembre prochain pour consignation. A l’origine du conflit entre les deux artistes, un texte de Coco Argentée publié sur la toile.
«Il est temps que vous arrêtez vos conneries, bande de sorciers star, star dans zéro…Poncefack (appellation née de l’association du nom de Lady Ponce et de son mari, Ndlr), prononce mon nom je vais te traiter et te prouver que tu étais entourée d’asticots tout ce temps. Quand c’est trop c’est laid. Lionne indomptable t’es un exemple ? Votre birth (anniversaire de mariage, Ndlr) c’est le pardon que tu dois demander à dieu pour le mal que tu nous as fait ...tu as utilisé ton ex et là-bas contre moi, toujours pour ta gloire. Essaie de me répondre…Mon respect envers toi c’était avant. Avec mes fausses chansons, j’ai 2 immeubles, 1 duplexe, 1 villa 10 étangs et plantations, des terrains…toi tu as quoi en tant qu’exemple ? », avait écrit la go galaxie.
Liliane N.
Le Dr Malachie Manaouda le Ministre de la Santé encourage la population à profiter de la campagne en cours pour faire vacciner les enfants.
C’est depuis la survenue de la pandémie du Coronavirus dans notre pays, que les réticences des parents au sujet de la vaccination se sont accrues. Les parents hésitent à faire vacciner les enfants, à cause d’une rumeur circulant sur la toile et de bouche à oreille, qui fait état des vaccins tests du Coronavirus qui auraient été envoyés en Afrique. Sur son compte Twitter, le Dr Malachie Manaouda qui affirme avoir permis à sa fille d’avoir une autre vaccination contre la Poliomyélite, encourage les autres parents à faire pareils.
«Comme au 1er tour, je viens de faire vacciner ma fille contre la Poliomyélite. J’invite toute la population à profiter de la campagne en cours pour faire vacciner les enfants âgés de 0 à 5 ans», a écrit le Ministre de la Santé.
Pour le patron de la Santé, il est important que les populations profitent de la campagne en cours, parce que, précise-t-il, même si le pays a vaincu le polio virus sauvage, il reste que d’autres formes de la maladie demeurent présentes. « Le polio virus sauvage est certes vaincu mais d’autres formes continuent de circuler», a écrit le Dr Malachie Manaouda.
Pays polio-free
Il faut rappeler qu’effectivement le Cameroun a été certifié pays Polio-free. C’est-à-dire qu’il a été reconnu que le Poliovirus Sauvage (virus qui cause les cas graves de polio) ne circule plus dans notre pays. Toutefois, le Pr Pr Tetanye Ekoe président de la Commission nationale de certification apporte des précisions sur ce statut du Cameroun.
«Le fait d’être un pas certifié libre du virus polio-sauvage, ne veut pas dire que nous avons atteint absolument dans tous les secteurs de notre pays, tous les critères qu’il fallait », souligne le Pr Tetanye Ekoe. Et de renchérir: «même si un enfant a été vacciné six fois, il faut encore le vacciner. Il faut que les parents comprennent que c’est une chance supplémentaire que de revacciner un enfant qui a déjà été vacciné contre la polio».
Démenti
Et sujet de la rumeur sus rapportée, le Pr Tetanye Ekoe affirme : les rumeurs tendent à faire croire que nous sommes en train de faire des vaccinations anti-covid ou que nous sommes en train de faire de l’expérimentation. Ce qui est absolument faux !», a-t-il démenti, tout en assurant qu’il s’agit de l’ultime campagne de vaccination contre la poliomyélite, visant à éradiquer complètement la maladie. L’un des objectifs étant d’augmenter le taux de couverture vaccinale des enfants et faire en sorte que les virus dérivés du vaccin soient absolument détruits dans l’environnement.
En bref
Il faut savoir que la poliomyélite est une maladie virale. Elle touche plus particulièrement les enfants de moins de 5 ans. Elle attaque le système nerveux central. Elle peut provoquer une paralysie définitive. Il faut préciser que la certification de pays polio-free est faite par l'Organisation mondiale de la Santé, à travers la Commission régionale de certification de l’éradication de la polio en Afrique.
Liliane N.
Il s’agit des Lions indomptables André Onana et Pierre Kundé, qui ne disputeront pas le match amical contre le Japon.
Des tests de Coronavirus qui ont été effectués à l’ensemble de l’équipe des Lions indomptables ont permis de découvrir, que certains parmi eux sont porteurs du virus de la Covid-19. C’est le cas d’André Onana et Pierre Kundé. Ils ne prendront donc pas part au match amical, que l’équipe va livrer ce vendredi 9 octobre 2020 contre celle du Japon.
«Nous avons fait un premier entrainement le lundi après-midi, qui s’est passé sans problème. Le mardi, tout le monde, joueurs, comme staff, devaient passer un test Covid. Tout s’est bien passé. Les joueurs étaient en bonne santé. Il n’y avait aucune blessure, aucun symptôme particulier. Nous avons reçu les résultats des tests ce matin (jeudi), et ces résultats montrent que nous avons deux joueurs qui présentent des tests positifs. Il s’agit de André Onana et de Kundé Malong», a déclaré William Ngatchou, le médecin chef de l’équipe. Il a rassuré toutefois, que les deux joueurs ne font pas la maladie.
Du fait de leur état, toutes les personnes qui ont été en contact avec André Onana et Pierre Kundé par mesure de précaution, ont été mis en quarantaine. Ces joueurs mis en quarantaine sont Joyskim Dawa Tchakounte, voisin de chambre de Kunde; et de Nicolas Moumi Ngamaleu.
Il convient de noter que Nicolas Moumi a été en contact avec un coéquipier testé positif en club avant d’arriver en sélection. Il était prévu qu’il passe un nouveau test ce matin. Et s’il s’avère positif, il va devoir déclarer forfait pour cette rencontre.
Liliane N.
Serge Espoir Matomba le premier Secrétaire du Peuple Uni pour la Rénovation Sociale demande entre autres le renforcement du dispositif de sécurisation des biens communs.
Ces derniers jours, Serge Espoir Matomba le premier Secrétaire du Peuple Uni pour la Rénovation Sociale (Purs), a abondé la place publique avec de multiples réflexions faites sur des sujets divers. Parmi ses toutes récentes sorties épistolaires, l’ancien candidat à l’élection présidentielle de 2018 s’attarde sur l’éclairage public. Il condamne la destruction de ces biens classifiés dans toute nation comme biens communs. Il appelle à un renforcement de sécurité autour desdits biens. Il interroge ceux qui se livrent à la destruction de ces biens, leur demandant s’ils savent que les conséquences sont partagées par tous.
Retrouvez ci-dessous la tribune de Serge Espoir Matomba
STOP A LA DESTRUCTION DE L'ÉCLAIRAGE PUBLIC.
Je condamne de la manière la plus ferme les actes de vandalisme qui privent les artères de nos villes de l'éclairage public.
Les hommes ou femmes d'ailleurs, qui se livrent à cette délinquance, savent-ils que plus de 50 % de notre sécurité nocturne dépend de l'éclairage public? Ces actes crapuleux peuvent avoir des conséquences criminelles: favoriser des attaques par des brigands ou mettre en péril la vie de piétons ou d'automobilistes privés de lumière et de visibilité sur les axes routiers.
Que certains s'approprient ainsi le bien commun est juste scandaleux. Ces délinquants devraient être traduits devant un tribunal pour répondre de leurs actes.
Ces comportements traduisent également un manque de civisme ainsi qu'un égoïsme exacerbé et un individualisme insupportable au détriment de toute la nation. C'est là aussi une question d'éducation qui renvoie au débat que nous portons sur la refondation du système éducatif et la perte de repères et des valeurs de nos familles. Car, quoi qu'on dise la justice ne pourra jamais se substituer à l'éducation pour remédier à l'incivisme.
Des mesures de protection doivent être renforcées pour garantir la sécurité des biens communs au travers par exemple de rondes policières et d'un déploiement supplémentaire de caméras de surveillance.
Emmanuel Wakam le désormais ancien président de la Fédération Camerounaise de Karaté et Disciplines Affinitaires, affirme qu’il apportera son soutien à ceux qui seront aux affaires.
Durant huit années, Emmanuel Wakam ne sera pas impliqué dans aucune activité sportive. C’est la sanction qui lui a été affligée par le Comité National Olympique et Sportif du Cameroun (Cnosc), pour violation du code éthique. Le désormais ancien président de la Fédération Camerounaise Karaté et Discipline Affinitaires a été indexé avec d’autres responsables dans une affaire d’harcèlement sexuel, dévoilée par le rapport du Cercle des Ceintures noires du Centre. Approché par le journaliste Boney Philippe dans le cadre de son programme Olympia Sports diffusé sur la radio Amplitude FM, il a déclaré qu’il se soumet à la sanction sus rapportée.
« Je respecte tout simplement cette décision. Ce sont des personnes d’une certaine dimension qui ont siégé, nous ont écoutés. Elles ont décidé de m’infliger huit ans, je ne peux que respecter la décision », a déclaré Emmanuel Wakam ce vendredi 09 octobre 2020 sur les antennes d’Amplitude FM.
A la question de savoir s’il se reconnaît coupable des accusations portées contre lui, Emmanuel Wakam a laissé entendre qu’il a été sanctionné par des personnes qui ne sont pas juristes. Toutefois celui qui a passé onze années à la tête de la Fédération de Karaté déclare qu’il apportera son soutien à ceux qui seront aux affaires.
« Les gens qui ont pris cette décision ne sont pas des juristes. Ce n’est pas un problème de droit. C’est un problème de violation de l’éthique. On ne peut que se plier à cette sentence… Le karaté, c’est ma vie, c’est ma passion. Lorsque j’ai pris cette fédération en 2009, il fallait hisser le karaté à un certain niveau. Aujourd’hui, nous sommes dans le top 5 au niveau africain. Je vais donc essayer d’apporter mon coup de main pour soutenir ceux qui sont aux affaires », a déclaré Emmanuel Wakam.
Harcèlement sexuel à la Fédération de Karaté: Emmanuel Wakam écope d'une suspension de 8 ans
Liliane N.
Paul Biya le Président de la République affirme que le Cameroun perd un éminent juriste et un digne fils.
La correspondance des condoléances du Président de la République, est adressée à Me Claire Atangana Bâtonnier par intérim désigné il y a de cela deux jours. Dans ladite correspondance adressée à la Doyenne du Conseil de l’Ordre des Avocats du Cameroun, Paul Biya le Chef de l’Etat partage la douleur de la famille du défunt Me Charles Patie Tchakounte. Il garde du regretté mémoire le souvenir d’un éminent juriste, républicain convaincu et digne fils que le Cameroun dans son ensemble pleure certainement.
« J’ai appris avec tristesse, la nouvelle du décès de Me Charles Patie Tchakounte, Bâtonnier de l’Ordre des Avocats du Cameroun, survenu en France. Je prends la mesure de la douleur de sa famille, de ses proches, ainsi que celle des membres du Barreau du Cameroun. Avec la disparition de Me Charles Patie Tchakounte, la grande famille judiciaire, la Région de l’Ouest et le Cameroun viennent de perdre un éminent juriste, un républicain convaincu et digne fils », a écrit Paul Biya le Président de la République.
A titre de rappel, Me Charles Patie Tchakounte est décédé le dimanche 4 octobre 2020, des suites de maladie. Il était alors âgé de 57 ans et occupait le poste de président de l’Ordre des Avocats du Cameroun assumé avant lui par Me Jackson Ngnie Kamga 10e Bâtonnier de l’histoire du Barreau camerounais.
Le décès de Me Charles Patie Tchakounte a laissé sans voix de nombreuses personnes qui ne cessent de lui rendre hommage. Parmi ces personnes et en plus du Chef de l’Etat, on retrouve Grégoire Owona le Ministre du Travail et de la Sécurité sociale, qui écrit ce qui suit dans son compte Twitter : « Décès d'un Grand Bâtonnier : Inconsolables tu nous laisses ! Puisse ton ambition de moderniser le Barreau et ta vision de l'éthique te survivre ! Repose en paix ! ».
Liliane N.