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Il s’agit du « Ngul Betara », une solution 100% camerounaise anti-covid 19. Le médicament vient d’être homologué et autorisé à être mis sur le marché pour une durée de 5 ans, font savoir plusieurs de sources officielles.

 

Dans une correspondance du 30 septembre dernier, le Ministre de la Santé publique (Minsanté), Manaouda Malachie a adressé à Marlyse Peyou Ndi Samba promotrice de cette solution locale de lutte contre la Covid-19 que le « Ngul Betara », solution 100% camerounaise anti-covid-19 a été homologué et autorisé à être mis sur le marché pour une durée de 5 ans.

En effet, le « Ngul Betara », médicament traditionnel amélioré de catégorie 2, sera utilisé en complément dans la prise en charge de la Covid-19 au Cameroun. C’est l’une des solutions locales efficaces mises sur pied pour lutter contre la pandémie du coronavirus dans le pays. Le produit est fabriqué à base des plantes comme Alstonia Boonei (Ekouk), Enanthia Chlorantha (Mfol), Guibourtia Tesmannii (Essingan), Euphorbia hirta et d’autres secrets qu’offre le patrimoine forestier camerounais.

Selon les explications du Dr. Marlyse Paule Mbezele Ndi Nsamba épouse Peyou, le médicament est proposé en poudre et solution buvable, contenus dans un bocal. Le « Ngul Betara » peut être pris de façon préventive et curative pendant sept jours, apprend-on. « Nous avons commencé par une expérience avec le matériel génétique du Covid-19 en la comparant avec le plasmodium qui cause le paludisme. La seconde phase a été la collaboration avec les tradi-praticiens. Nous avons pris les formules qu’ils utilisent pour traiter les infections virales, respiratoires et le paludisme. Nous les avons modernisées pour en faire des formules pour la prévention et le traitement du Covid-19. Ceci, pour les cas sévères », confie le docteur.

Innocent D H

 

 

 

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There have been 92,303 infections and 1,459 Coronavirus related deaths reported in Cameroon since the deadly pandemic hit the country in March 2020.

Cameroon is gradually moving to 100,000 Coronavirus cases reported in the country since the first case was discovered In March 2020.

As at September 22, the country counted 92,303 infected persons, among whom 1,459 died. The figures were revealed by the Minister of Public Health, Dr Malachie Manaouda Wednesday September 29 while chairing a meeting on the adoption of the 3rd edition of technical guidelines of the integrated disease surveillance and response plan to health emergencies in Yaounde.

The health boss equally revealed that at the continental level, 8,179, 366 infections have so far been recorded, including 207, 170 deaths meanwhile at the global level, 229, 876,241 persons have come in contact with the virus among whom 4,715, 485 died.

He reiterated Government’s stand on the most effective way out of the current health crisis- vaccination and urged those that are still dragging their feet behind to get the vaccine.

A vaccination campaign launched months ago to curb the rapid spread of the virus has encountered many difficulties due to apprehensions on the side effects of the vaccines held by the population.

The virus began spreading in Wuhan, China, in December 2019, before expanding slowly to every corner of the globe. Millions of people around the world have been sickened and millions of others have died as of the latest figures.

The World Health Organization declared the virus a global health emergency and rated COVID-19's global risk of spread and impact as "very high," the most serious designation the organization gives.

Despite information circulating on social media on the side effects of vaccines made available to counter the effects of the pandemic, vaccination according to health professionals remains the surest way out.

 

 

Published in Corona Virus

Du 10 au 25 août dernier, le Cameroun est passé de 82.605 à 83.855 cas de COVID-19 selon la situation épidémiologique officielle. Le pays a également enregistré 15 décès de plus liés à la maladie.

La troisième vague de la pandémie à coronavirus annoncée pour septembre semble déjà avoir déposée ses valises au Cameroun. En l’espace de 15 jours, le nombre de cas positif a augmenté de façon exponentielle. Selon les chiffres officiels, 1250 nouvelles infections ont été enregistrées entre le 10 au 25 août 2021.

Pour ce qui est des décès liés à la maladie, 15 personnes ont perdu la vie sur la même période. Avec ces chiffres actualisés, le Cameroun compte 83.855 cas positifs et 1.356 décès.

Cette augmentation considérable intervient dans un contexte marqué par la circulation de plusieurs mutations de la COVID-19, parmi lesquelles le variant Delta, réputé plus contagieux et dangereux et a quelques jours de la rentrée scolaire, laissant planer les risques d’une contamination accrue si l’on s’en tient à l’affluence certaine dans les établissements scolaires.

Au chapitre de la vaccination qui est selon le gouvernement le moyen le plus sûr pour mieux gérer cette troisième vague de la pandémie, plus de 93.000 doses ont été administrées jusqu’à présent selon les données du ministère de la Santé Publique. La campagne se poursuit à un taux de vaccination qui demeure encore faible. Il est très difficile pour les autorités de faire progresser la vaccination contre le virus au Cameroun, la faute, notamment, au climat de défiance et à la désinformation.

 

Ariane Foguem

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Selon des sources crédibles, plusieurs variants du virus de la Covid-19 seraient en circulation actuellement au Cameroun. Une situation qui inquiète le Gouvernement surtout avec la présence, du variant Alpha, initialement identifié au Royaume-Uni.

 

Interrogé par nos confrères de SBBC, le Pr. Yap Boum II, épidémiologiste et représentant régional d’Epicentre, la branche de Médecins sans frontières (MSF) dédiée à l’épidémiologie et la recherche, explique : « Le premier variant préoccupant avait été détecté par le Cremer (Centre de recherche sur les maladies émergentes basé à Yaoundé, Ndlr) en janvier 2021. Il s’agissait du variant Alpha, initialement identifié au Royaume-Uni ».

Deux autres « variants préoccupants » (VOC) ont été signalés dans le pays : le variant Bêta, initialement identifié en Afrique du Sud et le variant Delta, détecté pour la première en Inde. Rappelons que l’Organisation mondiale de la Santé (Oms) déclarait en juillet dernier, que le variant Alpha a été principalement détecté dans les pays d’Afrique du Nord, en Afrique de l’Ouest et centrale. L’agence onusienne soulignait déjà que le variant Bêta est plus répandu en Afrique australe. « Le niveau de transmissibilité de ces deux variants est supérieur à celui présenté par le virus originel », indique l’Oms.

Il ne faut surtout pas oublier la présence au Cameroun, du variant Delta « très répandu » en Afrique du Sud qui comptait la moitié des cas détectés sur le continent au cours de la semaine se terminant au 27 juin, à en croire l’Organisation mondiale de la Santé.

Le variant indien a la caractéristique qu’il est plus transmissible que les autres (60%) et qu’il mène « de plus en plus de jeunes » à faire des formes sévères de la maladie, relève le Pr. Yap Boum II. L’épidémiologiste précise de même que, « l’efficacité des vaccins est moins importante » sur ce variant.

Innocent D H

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Une interdiction qui fait suite à une note de service du directeur général de cette formation sanitaire, Pr Vincent de Paul Djientcheu, signée le 12 août dernier. Selon le document, cette décision s'inscrit dans le cadre d'un redéploiement interne en prélude à la riposte de la troisième vague de la Covid-19.

 

Dans la note de service, le Directeur général annonce que le personnel non vacciné contre la Covid-19 et sans poste de travail « ne sera plus admis à l’Hôpital général de Yaoundé (HGY) mais continuera à percevoir son salaire sans les compléments liés au travail (primes de rendement, transport, garde, astreinte et technicité) jusqu’à nouvel avis ».

En outre, le personnel soignant et non soignant non immunisé « ne pourra plus servir dans les endroits où les patients sont précaires (réanimation, hémodialyse, oncologie, urgences…) », peut-on lire dans le document. Cette décision, selon le DG de l’HGY, s’inscrit dans le cadre d’un « redéploiement interne en prélude à la riposte de la troisième vague de la Covid-19 où le variant Delta circule déjà à Douala et Yaoundé ».

Indiquons que Centre Pasteur du Cameroun (CPC) a  récemment informé le ministre de la Santé publique (Minsanté) de l’identification de 14 cas positifs au variant Delta (encore appelé variant indien) dans les deux grandes métropoles du pays entre mai et juillet 2021. Et selon des observateurs avertis, cette mesure devrait cependant faire grincer des dents du côté du personnel, alors que le gouvernement a toujours insisté sur le caractère non obligatoire de la vaccination.

Rappelons que le ministre de la Santé publique déclarait déjà lors d'une rencontre avec les responsables des hôpitaux le 14 juillet dernier, « Sous d’autres cieux, vous avez compris qu’il y a une obligation déjà de vaccination du personnel de santé et que celui qui n’est pas vacciné n’aura pas de salaire ». C’est notamment le cas de la France, où la vaccination sera obligatoire pour tout le personnel des établissements de santé à compter du 15 septembre prochain, précisait le Dr. Manaouda Malachie.

« C’est important que nous n’arrivions pas là, mais que, spontanément, nous puissions nous faire vacciner dans notre intérêt personnel et puis dans l’intérêt de ceux que nous recevons à l’hôpital ou dans nos bureaux, parce qu’ils peuvent nous dire que nous avons mis leur vie en danger », avait ajouté le ministre.

Innocent D H

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Les deux principaux vaccins chinois contre le virus Covid-19 font l'objet d'une actualité négative ces derniers temps : une augmentation des infections et même des décès parmi les populations vaccinées avec Sinovac et Sinopharm.

 

Cela suscite des interrogations sur l'efficacité de ces vaccins, même si les experts soulignent qu'ils ont également sauvé de nombreuses vies.

Les deux vaccins sont largement utilisés dans les pays à revenu faible ou intermédiaire, et les conséquences pourraient donc être énormes.

Mais les craintes sont-elles justifiées ? Et que peuvent faire les gouvernements qui utilisent ces vaccins pour protéger leurs populations ?

Comment fonctionnent les vaccins ?

Les vaccins fabriqués par Sinovac Biotech, société basée à Pékin, et Sinopharm, société d'État, utilisent tous deux des virus inactivés pour déclencher la production d'anticorps qui combattent le coronavirus.

Le virus est tué avant d'être injecté dans le corps des personnes, de sorte qu'il ne peut pas transmettre le Covid-19.

 

Lors d'un vaste essai au Brésil, deux doses du vaccin Sinovac, prises à 14 jours d'intervalle, ont eu une efficacité de 51% contre le Covid-19 symptomatique. Dans les essais menés dans plusieurs pays, les résultats de Sinopharm étaient plus élevés, soit 79 %.

Ces résultats reflètent des conditions d'essai spécifiques, mais même le résultat le plus faible pour Sinovac était suffisamment bon pour recevoir une approbation d'urgence de l'Organisation mondiale de la santé (OMS).

Les vaccins présentent une caractéristique essentielle : ils peuvent être conservés à la température normale d'un réfrigérateur, ce qui facilite leur utilisation dans les pays pauvres qui n'ont pas accès à des installations de stockage spécialisées.

Ensemble, ils sont utilisés dans près de 100 pays d'Asie, d'Amérique du Sud et de certaines régions d'Afrique. L'Égypte et le Maroc ont récemment annoncé qu'ils seraient les premiers pays d'Afrique à commencer à fabriquer ces vaccins.

Airfinity, une société d'analyse de données scientifiques, affirme que 2,9 milliards de doses de Sinovac pourraient être produites cette année - plus de 943 millions ont déjà été livrées.

 

Où les gens tombent-ils malades ?

Le Chili, la Mongolie et les Seychelles figurent parmi les pays où les infections sont en hausse malgré la vaccination de masse au moyen des vaccins chinois.

Le Chili a rétabli un couvre-feu et réimposé des restrictions aux voyages en réponse à la variante Delta, qui est plus transmissible que les variantes précédentes.

Plus de 70 % des Chiliens sont entièrement vaccinés, la plupart avec le vaccin Sinovac.

 Les Seychelles et la Mongolie, quant à elles, ont récemment enregistré l'une des plus fortes augmentations du nombre de cas par habitant, malgré leur faible population.

Ces deux pays comptent beaucoup sur Sinopharm et leurs programmes de vaccination sont avancés : 68 % des adultes sont entièrement vaccinés aux Seychelles et 55 % en Mongolie.

En Indonésie, la principale association de médecins et d'infirmières a déclaré qu'au moins 30 travailleurs de la santé étaient morts alors qu'ils avaient reçu deux doses du vaccin Sinovac.

 

Les vaccins sont-ils donc défaillants ?

Les vaccins ne sont pas le seul facteur à expliquer ce qui se passe dans ces pays.

La principale association de médecins d'Indonésie a déclaré que les comorbidités pouvaient avoir joué un rôle dans le décès des travailleurs de la santé.

Avec seulement 5 % de sa population entièrement vaccinée, le pays est "au bord de la catastrophe", selon la Croix-Rouge, les travailleurs médicaux étant confrontés à de longues journées de travail et à une plus grande exposition au virus.

 Au Chili, certains experts attribuent la recrudescence des cas en avril au fait que les personnes se sont mélangées trop tôt après avoir reçu le vaccin, en particulier après la première dose, qui n'offre qu'une protection partielle.

Les responsables de la Mongolie et des Seychelles soulignent que la plupart des personnes décédées du Covid étaient en soins intensifs ou n'avaient pas été vaccinées.

Les experts soulignent également qu'aucun vaccin n'offre une protection à 100 % : il n'empêchera pas nécessairement chaque individu d'attraper le virus ou de tomber malade s'il le fait.

Le professeur Fiona Russell, du Murdoch's Children Research Institute en Australie, explique à la BBC que la caractéristique la plus importante des vaccins est de prévenir les maladies graves et les décès. À cette fin, tous les vaccins disponibles sont performants, ajoute-t-elle.

 Dans les essais menés au Brésil, Sinovac s'est avéré efficace à 100% contre la maladie grave et les hospitalisations. L'efficacité de Sinopharm était de 79 % contre les hospitalisations.

Le professeur Ben Cowling, responsable de l'épidémiologie et de la biostatique à l'université de Hong Kong, affirme qu'en dépit d'une "efficacité modeste" contre le Covid symptomatique, Sinovac et Sinopharm offrent tous deux "un niveau de protection très élevé" contre la maladie grave.

"Cela signifie que ces vaccins inactivés auraient déjà sauvé beaucoup de vies", dit-il à la BBC.

 

Comment les variants affectent-ils les vaccins ?

Ces études ont toutefois testé les vaccins contre le virus original découvert dans la ville chinoise de Wuhan. Aucune nouvelle donnée n'a été publiée sur leur efficacité contre les variants.

Sur la base d'études tentant de modéliser la protection immunitaire contre le virus, le professeur Cowling estime que la protection offerte par les vaccins à virus inactivé contre le variant Delta pourrait être inférieure de 20 % par rapport à la souche originale.

Ses calculs suggèrent une réduction encore plus importante contre le variant Beta, découvert pour la première fois en Afrique du Sud.

Le professeur Jin Dong-yan, virologue également de l'université de Hong Kong, a déclaré à la BBC qu'il était "attendu" que l'efficacité des vaccins chinois diminue contre les variantes, y compris la variante Delta.

Mais il a déclaré que "Sinovac et Sinopharm sont de bons vaccins" et que les personnes qui n'ont pas accès à des vaccins présentant des résultats d'efficacité plus élevés devraient quand même recevoir leurs injections.

Toutefois, a-t-il ajouté, elles doivent continuer à respecter les règles de distanciation sociale et les autres mesures visant à limiter les infections.

 

Faut-il proposer des injections de rappel ?

De plus en plus, les experts et les gouvernements sont également favorables aux rappels d'un même vaccin ou à la combinaison de deux vaccins différents, même si peu d'études prouvent que cela fonctionne.

Le professeur Jin indique qu'un rappel des vaccins Pfizer ou Moderna pourrait renforcer la protection initiale conférée par une injection de Sinovac et Sinopharm.

En Indonésie, les travailleurs de première ligne recevront un rappel de Moderna après deux vaccins Sinovac, tandis que Bahreïn invite les personnes de plus de 50 ans à recevoir un rappel de Pfizer après deux vaccins Sinopharm.

Les Émirats arabes unis et la Turquie proposent à leurs citoyens une troisième injection de Sinopharm et de Sinovac, respectivement, et la Thaïlande envisage également cette mesure.

Mais le professeur Cowling s'est interrogé sur les avantages d'une troisième injection en Indonésie, où la vaccination en est encore à ses débuts.

"Il faut vraiment bien réfléchir à l'avantage supplémentaire d'une troisième dose par rapport à l'aide que deux doses pourraient apporter à une personne âgée de la communauté qui n'a pas encore eu l'occasion d'être vaccinée", dit-il.

Sinovac Biotech précise qu'elle mène des essais cliniques sur l'efficacité d'une troisième dose et que les résultats sont encourageants, mais insiste sur le fait que deux doses sont suffisantes pour offrir une protection contre le Covid-19.

Le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Wang Wenbi, affirme que les vaccins du pays "ont acquis une bonne réputation dans la communauté internationale, leur sécurité et leur efficacité étant largement reconnues".

 

 

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Le ministère de la Santé vient d’autoriser la mise sur le marché des produits «Adsak Covid flacon de 15 ml et Elixir Covid, flacon de 125 ml» conçus par Mgr Samuel Kleda, pour la prise en charge des patients atteints du Coronavirus.

Par voie de correspondance, le Dr Malachie Manaouda ministre de la Santé a tenu informé Mgr Samuel Kleda, de l’autorisation de la mise en vente des produits qu’il a conçus pour la prise en charge des patients souffrant du Coronavirus. Le ministre Manaouda apporte la précision selon laquelle, l’indication retenue pour ces produits de l’Archevêque métropolitain de Douala est «adjuvant au traitement du Covid-19».

Selon Ken Clavers le chef de la cellule de communication (Cellcom) du ministère de la Santé, un produit adjuvant est un «médicament ou traitement qui renforce ou complète les effets de la médication principale». Donc, il n’est pas requis de dire que les produits «Adsak Covid flacon de 15 ml et Elixir Covid, flacon de 125 ml» de Mgr Samuel Kleda sont pour le traitement du Coronavirus. Le Cellcom ajoute que le code de la Santé publique (article L.5111-1) définit ainsi le médicament : «toute substance ou composition présentée comme possédant des propriétés curatives ou préventives à l’égard des maladies humaines ou animales, ainsi que toute substance ou composition pouvant être utilisée chez l’homme ou chez l’animal ou pouvant leur être administrée, en vue d’établir un diagnostic médical ou de restaurer, corriger ou modifier leurs fonctions physiologiques en exerçant une action pharmacologique, immunologique ou métabolique».

Aussi, dans sa correspondance, le ministre de la Santé indique l’autorisation de mise sur le marché camerounais accordée aux produits suscités, a une durée de validité de 3 ans, à compter de la date de signature de l’acte y afférent.

La même autorisation a été aussi a accordée au Dr Yagnigni Mfopou Euloge et les promoteurs de la bonne santé, pour le produit «Corocur, poudre sèche de Thymus vulgaris de 50g, flacon de 60 ml».

Liliane N.

 

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L’ouverture officielle de la frontière qui lie le Cameroun au Tchad a eu lieu le 17 juin 2021.

C’est depuis le mois de mars 2020, que la frontière Cameroun-Tchad est officiellement fermée. La décision a été prise par les autorités tchadiennes, à cause de la pandémie du Coronavirus. Elles voulaient limiter la propagation de la pandémie. Même s’il faut reconnaître qu’officieusement, la frontière est restée accessible aux usagers.

Le jeudi 17 juin 2021, les autorités tchadiennes ont officiellement annulé la décision de fermer la frontière. Il y a eu à cet effet, une cérémonie organisée et qui a été présidée par le ministre tchadien de la Sécurité publique et de l'immigration, le Général Souleyman Abakar Adam ainsi que le directeur général de la police nationale, Ousman Bassy Lougma.

A titre de rappel, c’est le 16 mars 2020 que le gouvernement tchadien a adopté un certain nombre de mesures parmi lesquelles, le renforcement de la lutte contre la propagation du coronavirus, et principalement la fermeture des frontières aériennes et terrestres, l’interdiction des regroupements de plus de cinquante personnes et l'instauration d'un couvre-feu, entres autres.

Avant de mourir, le président Idriss Deby Itno s’était réjoui de la gestion faite de la pandémie du Coronavirus au Tchad. Aussi, il était partiellement revenu sur sa décision en actant la réouverture des frontières aériennes. Cependant, apprend-on, il n'a pas oublié de préciser que cette réouverture des frontières aériennes n’était pas synonyme de la réouverture des frontières terrestres.

Liliane N.

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Sunday, 05 June 2022 11:01