La nouvelle a été communiquée à travers le compte Facebook de celle qui a longtemps présidé à la destinée de l’Alliance des Forces Progressistes ce 28 Janvier.
« J’ai décidé, en âme et conscience, de démissionner de mes fonctions de présidente nationale de l’Afp, de Secrétaire générale de la plateforme pour la nouvelle république et de ma qualité de militante ».
Elle a « notifié le bureau politique du parti et informe l’opinion publique nationale et internationale que conformément aux dispositions statutaires art. 54 al. 1 et 2 de l’Afp, le 1er vice-président ou tout autre membre coopté par le bureau politique rassurera l’intérim jusqu’à à la convocation du prochain congrès électif différé du fait de la convocation du corps électoral et de la décision d’y part ».
Alice Sadjo a pris ses fonctions comme présidente nationale de l’Afp en 2015 malheureusement, son mandat a pris fin il y’a un peu plus de trois mois et, sa décision intervient quelques mois après la disparition de Bernard Achuo Muna, le principal soutien financier du parti.
Alice Sadjo, femme de poigne
Depuis qu’elle a pris les rênes de cette formation politique, cette dame a su s’imposer comme leader aussi bien auprès de ses militants que dans le microcosme camerounais. Invitée dans des débats télévisés, elle a toujours su donner son point de vue, démontrant à chaque sortie qu’elle est dotée d’une forte capacité d’analyse qui lui a permis, au cours des dernières années, de tenir tête à tous ceux qui ont pensé qu’une femme n’est pas dotée d’un potentiel de leader.
Le gouvernement et, le parti proche au pouvoir n’ont pas échappé à ses pics surtout lorsque le sujet touchait le bien être des populations, les questions des droits de l’Homme.
La désormais ex présidente de l’Alliance des Forces Progressistes a par exemple jugé, lors de l’incarcération de Maurice Kamto et ses alliés, que le pouvoir de Yaoundé est allé très loin. Elle avait alors condamné ce qu’elle a qualifié « d’atteinte à la liberté d’expression », jugeant que nul ne peut faire l’objet de poursuite, parce qu’il a exprimé une expression et que la marche était une autre forme d’expression, pour marquer son « désaccord ».
Sa dernière « passe d’armes » a eu lieu il y a à peine quelques jours, lorsqu'elle a commis un communiqué dans lequel elle rappelait qu’ « il n’existe aucune alliance entre le Parti Camerounais pour la Réconciliation Nationale du Président Cabral Libii et l’Alliance des Forces Progressistes ».
Une sortie qui est venue mettre fin aux rumeurs, largement commentée dans les réseaux sociaux qui laissaient entendre qu’un un accord de partenariat aurait été signé entre les deux formations politiques. Elle était également partisane du boycott initié par le leader du Mrc. Certains affirment que son retrait est une « liberté accordée à ses ex-camarades, qui désirent prendre part au double scrutin du 09 Février prochain.
Nicole Ricci Minyem
Le "monsieur Afrique" du département d'Etat américain, a accordé ce vendredi une interview à Radio France internationale ( Rfi). Passant en revue l'actualité au Cameroun, en RCA et en Guinée, Tibor Nagy a de nouveau utilisé un ton dur sur le pays de Paul Biya à propos de la crise anglophone.
Répondant à la question du journaliste Christophe Boisbouvier sur sa perception du statut spécial accordé aux régions anglophones dans le sillage de la résolution de la crise sécuritaire qui sévit dans cette partie du pays, Tibor Nagy a été clair: "ce que je peux vous dire, c'est que le Cameroun, c'est un pays qui m'empêche de dormir, pour lequel mon cœur saigne. Oui, le dialogue national a été un pas positif, oui la libération des prisonniers politiques par le président Paul Biya a été un pas positif. La semaine dernière, j'ai rencontré l'un de ses opposants monsieur Maurice Kamto. Mais ce qui compte vraiment, c'est la mise en œuvre des décisions. Ce qui compte pour les populations du Nord-Ouest et du Sud-Ouest, c'est la décentralisation authentique (...), les beaux discours", a répondu le secrétaire d'Etat adjoint aux affaires africaines.
Il souligne en outre, "pour les États-Unis, c'est une mauvaise solution car le Cameroun est le seul pays avec deux systèmes. Mais il faut une réelle décentralisation, et c'est la mise en œuvre, c'est ce qui se passe sur le terrain".
A titre de précision, ce n'est pas pour la première fois que le "monsieur Afrique" du département d'Etat américain s'intéresse à la situation sécuritaire au Cameroun. Le 11 avril 2019, Tibor Nagy relevait devant les journalistes à Houston, "après le Soudan, ma préoccupation est le Cameroun. Vous êtes sans doute au courant des violences en cours dans ce pays".
L'on se souvient également qu'avant sa visite au Cameroun en mars 2019, le diplomate était à l'origine d'un tollé. Il avait placé la crispation politique et la crise anglophone en première ligne de ses échanges avec les autorités camerounaises les invitant à plus de sérieux dans la résolution de la crise anglophone.
Cette autre sortie du secrétaire d'Etat américain aux affaires africaines sur les antennes de RFI intervient quelques jours après sa rencontre avec Maurice Kamto, le président du MRC, leader de l'opposition camerounaise, et quelques jours avant le début de la campagne électorale du double scrutin local à venir. Certains observateurs y voient déjà une sorte d'agenda caché.
Innocent D H
Le célèbre avocat du MRC vient de rendre l’âme à l’hôpital Central de Yaoundé : L’hôpital de référence du Cameroun. La cause de la mort de l’éminent juriste camerounais, une faute médicale de l’anesthésiste de cet hôpital.
C’est la consternation à l’annonce ce matin de la mort brusque de Me Sylvain SOUOP, le leader du pool des avocats du Mouvement pour la Renaissance du Cameroun. C’est l’étonnement général. Tous les camerounais sont surpris par ce départ qu’on ne s’explique pas encore. Victime d’un accident de la circulation sur l’axe Bafoussam – Yaoundé dans la nuit du 10 au 11 janvier dernier. L’homme de droit a été dans un premier temps accueilli dans un hôpital de Bafoussam. Il sera plus tard évacué dans le service des urgences de l’hôpital central de Yaoundé. Le premier bilan fait état juste d’un bras cassé. Il va se relever et passer des coups de fil régulièrement à ses proches. Une photo circule d’ailleurs sur les réseaux sociaux le montrant tout souriant et échangeant via le téléphone. Tout porte à croire que le pronostic vital n’était pas entamé. Il se portait plutôt bien.
Seulement, les médecins de l’hôpital central ont estimé qu’il était nécessaire de procéder à une opération de son bras pour le redresser. C’est alors qu’il est préparé pour l’opération. Il va entrer en salle d’opération hier soir. Mais malheureusement, il n’en ressortira jamais. On apprendra qu’il s’agit d’une question d’anesthésie qui n’aurait pas fonctionné correctement. En attendant que des enquêtes indépendantes puissent être menées, il est de notre devoir de nous interroger sur cet argument qui nous semble d’un premier abord superfétatoire. Comment comprendre que pour un bras à soigner, il soit besoin de procéder à une anesthésie générale du malade. Or une anesthésie partielle aurait suffi. De plus, en admettant l’hypothèse d’une anesthésie générale, comment comprendre que la batterie d’examens préalables n’ait pas montré la dose à introduire dans le corpus du malade. Ou alors, on veut nous faire croire que des études sérieuses n’ont pas été faites.
Une autre pièce, et non des moindres à, ajouter au dossier, la déclaration de Maurice Kamto faite le 25 novembre 2019 alors qu’il annonçait la non-participation de son parti aux échéances de février. Maurice Kamto parlait déjà de menaces d’assassinat sur sa personne et sur des membres de son équipe. Nous croisons les doigts et espérons que Me Sylvain Souop n’est pas la première victime d’une série qui visera à détruire le MRC. Prions que ce ne soit pas ça « le village de si je savais ».
Stéphane NZESSEU
Le coordonnateur du collectif des avocats de Maurice Kamto et Cie est décédé ce Jeudi, au Centre Hospitalier Universitaire selon le communiqué rendu public par Olivier Bibou Nissack, Porte Parole du Mrc, sur le mur de sa page Facebook.
« Nous confirmons avec la plus grande des consternations le décès de Me Sylvain Souop. Aux dernières nouvelles en provenance du personnel soignant, il était prévu une opération sur son bras droit fracturé. Il apparaît que l’opération aurait été compromise et annulée du fait d’une réaction ou alors un défaut de réaction en relation avec l’anesthésie ».
Une sortie qui suscite moult interrogations et les réactions laissent entrevoir une suspicion d’autant plus que certains ont tôt fait d’analyser les causes ainsi expliquées du décès de cet homme, découvert lors du contentieux post électoral en Octobre 2018. Il était alors chef du pool des avocats du Mouvement pour la renaissance du Cameroun.
Le porte parole du parti qui a à sa tête, le professeur Maurice Kamto va plus loin : « Comment peut –on survivre à un accident de la circulation en s’en sortant avec une fracture du bras, et mourir quelques jours plus tard alors qu’on est entre les mains du personnel soignant du Centre des Urgences de Yaoundé, pour une banale opération » ?
Menace d’une plainte
Face à la menace d’une plainte contre les anesthésistes, certains trouvent qu’il s’agit d’un faux débat : « Parler de mauvaise anesthésie c’est ouvrir un faux débat. S’ils veulent vraiment attaquer les anesthésistes, qu’ils nous disent pourquoi. Déjà, il était malade de quoi ? S’agit –il d’une maladie qui requière une opération ? Et même s’il fallait l’opérer, on ne peut pas dire qu’il a bénéficié d’une mauvaise anesthésie, cela n’a aucun sens, parce que les anesthésistes utilisent toujours leurs produits. Même si le produit est en surdose, il va simplement prolonger le sommeil du malade et si tel n’est pas le cas, on surmonte simplement la dose. Lors des longues opérations par exemple, lorsque le malade se réveille pendant l’intervention, on le rendort en augmentant la dose…Je spécule simplement mais, il se pourrait qu’ils ont fini avec lui et maintenant, ils veulent trouver des coupables en accusant le corps médical. Cette histoire est floue… ».
Un banal accident de circulation ?
C’est ce que laissent entendre ceux qui l’ont vu à la veille de son décès, assis sur son lit d’hôpital bien portant. Joint au téléphone, il rassurait sur le caractère limité et non irréversible des dégâts sur sa personne.
Il y a été admis quelques heures après l’accident de circulation dont il a été victime, alors qu’il était en compagnie de Me Tene, lui aussi membre du collectif des avocats assurant la défense de Maurice Kamto et Cie, dans le cadre des affaires dont ils ont été amenés à répondre devant les autorités judiciaires du Cameroun.
Dans la nuit du vendredi 10 à samedi 11 janvier, ils ont fait un accident à l'entrée de la ville de Bafoussam, en provenance de Dschang. Reçus à l'Hôpital Régional de Bafoussam, ils avaient été d'évacués sur Yaoundé par ambulance.
Me Souop présentait une fracture du bras droit et Me Temate avait quant à lui passé un scanner de son crâne dont le résultat a permis de dresser un diagnostic prometteur.
Nicole Ricci Minyem
C’était l’une des attentes de ce discours présidentiel de ce 31 décembre 2019. Plusieurs acteurs politiques avaient misé sur l’annonce d’un report des élections municipales et législatives de février 2020. Mais Paul BIYA, égal à lui-même demande aux électeurs de se préparer pour l’échéance.
Les ravages de la crise anglophone dans les régions du Nord Ouest et du Sud Ouest a entraîné de nombreux déplacés internes et des réfugiés pour la plupart concentrés au Nigéria voisin. Les villes et villages des régions en crise sont quasi dépeuplés au stade actuel de la guerre. Pour ceux des populations qui pour une raison ou une autre n’ont pas pu quitter les territoires en guerre, ils sont dans la terreur. Terreur du fait des agressions des armées ambazoniennes, mais aussi terreurs du fait des exactions des hommes de l’armée régulière. Ce sont des villages fantômes qui attendent la tenue des élections municipales et législatives le 09 février prochain.
C’est fort de cet état de chose que plusieurs partis politiques dont le MRC que dirige le Président Maurice Kamto, ont décidé de ne pas prendre part à ces prochaines élections. Au sein du SDF, le son de cloche est discordant voir ambivalent. Pour Joshua Osih, il faut attendre la veille des élections pour savoir si oui ou non il faudra prendre à ces élections. En appréciant ce que deviendra la crise dans les régions anglophones. D’autres part, plusieurs élus de ce parti politique ont démissionné de leur candidature aux élections à venir. D’autres partis politiques comme le CPP d’Edith Kah Wala clame depuis bien longtemps, la résolution de cette crise bien avant toute annonce d’une quelconque élection.
D’un autre côté, les organisations internationales tels le Commonwealth, la Francophonie et l’Union Africaine ont émis des réserves quant à la tenue des élections municipales et législatives en l’état de la crise dans les régions du Nord Ouest et du Sud Ouest. A l’évidence, tout semblait conduire vers l’annonce d’un report effectif des élections. Mais Paul BIYA a choisi une partition de fait du territoire camerounais. Tout ce que le Chef de l’Etat a trouvé à dire dans son discours de fin d’année, c’est que les forces de l’ordre vont renforcer la sécurité e ceux qui vont aller voter. Soit d’une manière ou d’une autre le vote se fera. Un véritable passage en force. Pour quels intérêts ?
Stéphane NZESSEU
Entre arrestation de Maurice Kamto et des militants du Mouvement pour la renaissance du Cameroun, convocation du Grand dialogue national et arrêt des poursuites ordonné par Paul Biya, plusieurs événements historiques ont marqué l’année 2019.
C’est au tout début de l‘année 2019, que les événements dans le secteur de la politique ont eu lieu. Au mois de janvier, il y a eu les marches dites blanches organisées par le Mouvement pour la renaissance du Cameroun (Mrc), parti politique de Maurice Kamto. Ces marches, s’inscrivaient dans le cadre du Plan national de résistance de cette formation politique. Le Mrc continuait de contester les résultats de l’élection présidentielle de 2018. A cette revendication, il s’est ajouté les questions liées au retrait de l’organisation de la Coupe d’Afrique des Nations (Can) 2019 au Cameroun et la crise dans les régions anglophones : Nord-Ouest et Sud-Ouest.
Kamto et ses militants arrêtés
A la suite des premières marches du Mrc, Maurice Kamto, ses plus proches collaborateurs, des militants et sympathisants de la formation politique ont été interpellés à Douala, Yaoundé, Bafoussam. Le 27 janvier 2019, le président national du Mrc est entré à la prison de Kondengui. Il y était avec les grandes figures de son parti à savoir Alain Fogue Tedom, Me Michelle Ndoki et pour ce qui concerne les alliés, Christian Penda Ekoka, Albert Dzongang, l’artiste Valsero et Paul Eric Kingue. C’est au tout début du mois d’octobre 2019, qu’ils ont bénéficié d’un arrêt de poursuites ordonné par Paul Biya le Président de la République. Cependant tous les militants du Mrc n’ont pas été remis en liberté. Une poignée reste incarcérée. Parmi ladite poignée, il y a Mamadou Mota le 2e vice-président du parti. Avec des camardes du parti, il demeure en prison pour des faits en rapport avec la mutinerie survenue à Kondengui le 22 juillet dernier.
Le Grand dialogue national
On ne saurait parler des temps forts de l’année 2019, sans toutefois faire mention du Grand dialogue national. L'événement tant demandé pour la résolution de la crise anglophone. Convoqué par le Chef de l’Etat, il s’est tenu du 30 septembre au 4 octobre 2019. Il a été initié pour répondre aux critiques faite de la gestion de la crise anglophone. Les participants de ces assises ont été appelés à réfléchir sur les mesures à prendre pour résoudre principalement la crise susmentionnée et qui se déroule dans les régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest. On retient parmi les recommandations qui y sont sorties : la demande d’un statut spécial à accorder aux régions suscitées. Ladite recommandation a été légiférée à la session extraordinaire du Parlement. Elle est contenue dans la loi portant Code général des collectivités.
Les élections législatives et municipales
On retient par ailleurs que c’est en 2019, que le Président de la République a convoqué le corps électoral pour le 9 février 2020. A cette date, les camerounais iront dans les urnes pour élire leurs députés et leurs conseillers municipaux. Cependant certaines formations politiques ont décidé d’opter pour un boycott. Parmi lesdites formations, il y a le Mrc, le Cameroon people’s party d’Edith kah Walla. La crise anglophone est le motif partagé par ces partis pour ne pas aller aux élections locales. Parlant justement de la crise anglophone, il convient de noter que 333 personnes détenues dans le cadre de cette même crise ont bénéficié d’un arrêt de poursuites.
Réaménagement ministériel
C’est aussi en 2019 et précisément le 4 janvier 2019, que le Chef de l’Etat a réaménagé son gouvernement. Pour les sorties les plus marquantes, il y a eu Philemon Yang qui a laissé son siège à Joseph Dion Ngute le Premier ministre. Pour ce qui est des entrées, on a noté celle de Jean De Dieu Momo, l’actuel Ministre délégué auprès du Ministre de la Justice, garde des sceaux.
Liliane N.
Le leader du Mouvement pour la Renaissance du Cameroun, actuellement en France a opposé une fin de non recevoir, à tous ces individus qui, en détruisant l’image du Cameroun ainsi que celle du Président de la République, garant des Institutions.
Une décision qui a suscité la colère de « ses complices », telle que le démontre la sortie d’Amer Kmer
« Il est temps que les femmes de la diaspora commence à conjuguer en même temps que nous. Kamto refuse catégoriquement de recevoir la Bas mais, c’est la vie, le voyoutisme ne paye pas. On ne peut pas faire confiance aux hommes politiques. Je ne vais pas parler de Kamto par rapport aux élections, je vais parler de monsieur Kamto par rapport au désastre qu’il a causé au sein de la diaspora. Et, je vais vous révéler l’hypocrisie des Hommes politiques.
Aujourd’hui, la Bas ne lui sert plus à rien, c’est tout à fait normal, il n’en n’a rien foutre. Ce qui m’amène à inviter les membres de la Bas à comprendre un tout petit peu que la politique que nous avons au Cameroun est une politique d’escroquerie, d’entourloupe.
La preuve est là aujourd’hui. Nous avons monsieur Kamto qui débarque en France et refuse de voir les membres de la Bas. Il les renie. A force de courir derrière Paul Biya, le chassement (Genève, Lyon, Paris, Allemagne), le monsieur débarque en France, il vous ignore complètement. Le déshonneur, le désastre. Vous courez derrière quelqu’un qui vous dit qu’il est président élu alors que nous avons me Ndocki qui, en mondo vision, reconnait le Président Paul Biya comme Président élu et que fait–elle en plus, elle veut entrer dans ce gouvernement. Elle a reconnu devant vous qu’ils savaient déjà qu’ils ont perdu les élections, mais, il fallait aller à la Cour Constitutionnelle. La manipulation.
Ca me fait mal au cœur, de voir comment ces hommes politiques se jouent de notre diaspora. Comment ces hommes politiques continuent de décrédibiliser la diaspora au plus profond. Le soi disant bus du Mrc dont l’achat a été lancé par mon frère Max, le Mrc ne reconnait pas ça.
Vous êtes nombreux, qui n’aurez plus la possibilité de repartir au Cameroun et, je vous pose cette question, pourquoi vous ne bloquez pas le professeur Maurice Kamto en France. Au nom de Kamto, vous avez dévalisé les ambassades, au nom de Kamto, vous êtes nombreux qui ne verrez plus vos parents, la souillure.
J’ai mal à votre place. Vous avez cherché à en faire un fond de commerce et pourtant, il vient vous renier en France. Aujourd'hui, vous vivez dans quel monde ?
Je pense que le moment est venu de faire le chassement de Kamto. Cabral ne va pas venir en France, Joshua ne va pas venir en France, mais la personne qui vous a mis dans la merde, c’est le professeur Kamto. Ce n’est pas Cabral qui vous a envoyé cassé les ambassades, ce n’est pas lui qui vous a demandé d’engager ces actions de chassement contre le Chef de l‘Etat. Ce n’est non plus Joshua. Ils ne vous ont rien fait. Ils sont restés logique dans leurs idées.
Celui qui vous a demandé de faire tout cela, c’est le Professeur Kamto. Bertille Okami, tu n’as pas pu enterrer ta mère. Mes frères de la Bas, on vous purge avec quoi ? Je vous pose la question.
C’est lui et ceux qui veulent entrer au gouvernement prendre feu qui ont mis le feu au sein de la diaspora et aujourd’hui, ils sont incapables de demander l’amnistie pour vous. Messieurs de la Bas, vous êtes des lâches. Vous ne voulez pas regarder ceux qui vous ont mis droit au mûr parce qu’aujourd’hui, les vérités sont dites, vous avez peur et vous êtes incapables de vous réveiller.
On vous a dit que cette histoire de hold up c’est de la manipulation, une perversion de la part de monsieur Kamto. Vous avez refusé d’écouter. Kamto demande de rencontrer le Président Paul Biya mais, réveillez vous bon sang…Vous comprenez maintenant que le professeur Kamto n’a jamais été un opposant, il a été envoyé pour semer le trouble au sein de l’opposition camerounaise…
Je vous invite à demander pardon au peuple Camerounais, en écrivant au bas de votre courrier : Nous avons été manipulés. Je vous tends encore la main. Tous les pays africains veulent vivre une alternance, pas celle fabriquée par le gouvernement en place comme c’est le cas avec Kamto et Ni John Fru Ndi. Cette alternance, ce sont les Jeunes. Démontrons au gouvernement Camerounais que la Jeunesse est prête, à laisser la corruption, à se mettre au travail… ».
N.R.M
La décision du boycott des élections municipales et législatives du 09 février 2020 a laissé dans le désarroi ses valets. Mais le professeur n’avait pas une autre issue de secours que la …fuite, la fuite en avant.
« La fuite est une défense. Lorsque l’on est acculé, quand on a perdu toutes ses ressources y compris sa science, son honneur et sa dignité, quand on a perdu le sens des valeurs, la peur du gendarme, quand on a plus de place chez les Hommes normaux, on fuit pour ne pas affronter le pire. On fuit pour que plus rien de grave n’arrive encore. Il reste que c’est une attitude propre aux lâches, aux inconséquents et à ceux qui ont des choses à se reprocher.
Maurice Kamto a des comptes à rendre à ceux qu’il a bluffés. Ceux à qui il a donné des assurances quant à sa victoire contre Paul Biya lors de la dernière élection présidentielle lui demandent des comptes, quand on lui demande des comptes, il crie au règlement de comptes. Et pourtant il doit rendre de grands comptes. Toutes ses sommes secrètement rassemblées dans les milieux aussi obscures que leurs objectifs devaient être remboursées par l’octroi de marchés publics à la pelle (fictifs et affectifs), des largesses fiscales et des tolérances douanières. Il leur en avait fait la promesse. Comment peut-il tenir ses engagements face aux pressions que vous exercez sur le président de facebook sur les pages des réseaux sociaux. D’où la fuite. La fuite en avant. Mais il n’ira pas loin, car les compromissions ont été tellement énormes dans ce mensonge qu’il n’est pas exclu que Maurice Kamto fasse l’objet d’un grand procès pour « escroquerie, abus de confiance aggravée, faux et usage du faux ».
On demande tant de choses à Maurice Kamto. Dans l’espoir qu’il aura la bonne science de dire la vérité et toute la vérité au peuple camerounais. Quels sont ses liens avec la « Brigade anti sardinards » ? Les informations circulent faisant état d’une complicité intellectuelle avec ces loubards et ces sans-papiers, pour détruire l’image de Paul Biya à chaque sortie sur le sol européen ou en Amérique. La déliquescence de ce mouvement, qui se disloque de l’intérieur et de l’extérieur, laissant découvrir ses hideux secrets et ces monstrueux commanditaires peut donner l’envie de fuir à ceux qui rôdaient dans les environs de la Bas.
Quels sont ses rapports avec les mouvements sécessionnistes ? Quels pactes ont-ils signé en secret pour mener deux luttes parallèles ? Avant de se retrouver, plus tard, pour le partage du butin. Pendant leurs séjours concomitants à la prison centrale de Kondengui, Maurice Kamto et Sissiku Ayuk Tabe auraient souvent été vus en de longs apartés. Simple bon voisinage entre bagnards ? Je ne le crois pas. Dès son élargissement, Maurice Kamto a exigé la libération des leaders ambazoniens dont et surtout Sissiku Ayuk Tabe. Alors que son propre Vice-président au MRC, Mamadou Motta était en prison (et y est toujours) pour des motifs plus gentils que ceux pour lesquels les leaders sécessionnistes sont emprisonnés.
Quels sont ses liens (secrets et obscures) avec des lobbies ethno fascistes qui veulent fracasser la notion de vivre ensemble » si chère à tous les camerounais ? Le tribalisme ne s’était jamais aussi bien porté au Cameroun. Pourquoi refuser d’en parler et de fuir à toutes jambes quand une loi sur les propos tribaliste est en gestation au parlement ?
La peur d’avoir à dire combien d’argent il a reçu de la « Tontine » était devenu lancinante, intenable et le temps s’approchait déjà. N’est-ce pas en fin d’année que l’on « casse « les tontines ?
Il a menti. Et il en a honte. Il a dit avoir des PV. Il a dit qu’il a gagné. Il a dit qu’il était le président élu. Il a dit qu’il prêtera serment. Il a menti. Il a menti à ceux qui ont rejoint son camp et sa valetaille, et qui sont aujourd’hui malheureux et honteux. Il a menti en disant qu’il n’ira pas aux élections couplées du 09 octobre 2020 par ce que le code électoral était vicié. Pourtant, c’est avec ce même code électoral qu’il a « gagné » l’élection présidentielle d’octobre 2018. Et qui a fait de lui le « président élu » de la Rue publique du Cameroun. En prenant pour prétexte la crise anglophone, il a menti. En octobre 2018, la situation en zones anglophones était à son pire, ou tout au moins la même.
Pourtant, il est allé à l’élection et à été « élu ». Alors même que les têtes des civils et soldats roulaient dans la poussière dans le Ndian, la Mezam, le Ngonk-Etuna, le Lebialem et la Manyu.
Pour avoir menti qu’il n’a jamais négocié quoique ce soit, à titre personnel et intéressé avec le pouvoir de Paul Biya, Maurice Kamto sentait sa fin politique proche. Mais sauf une rupture abusive et malveillante du pacte, les spécialistes des manœuvres souterraines au Rdpc ne dévoileront aucun détail de ce qui se chuchote. D’ailleurs pourquoi en dire plus, puisque l’ennemi a déjà été mis à terre, vaincu et corrompu.
Les meetings et les marches blanches ne font plus recettes. Disons même que personne n’en veut plus. Autant les sous-préfets que les tontinards personne n’achète plus cette marchandise. Maurice Kamto a piteusement fait faillite dans la boutique des marches et des revendications populaires des victoires volées. Il fallait qu’il trouve un autre créneau pour rester sur le marché, même s’il fallait faire un sacrifice. Il a vendu le Mouvement pour la renaissance du Cameroun, pour se relancer dans une autre affaire : le boycott des élections couplées du 09 février 2020.
Et il paraît que cela paie en termes d’enrichissement personnel et d’appauvrissement du parti. Mais pour Maurice Kamto, ce qui compte c’est son gain personnel et non ceux de Penda Ekoka, Sam Severin Ango, Dzongang, Sihm, Ndoki, Lipot, Célestin Djamen, Fogué… On dirait qu’il y a longtemps qu’il admirait le président éternel du Sdf, qui s’est bâtit une fortune personnelle avec un ou deux boycotts d’élections a Cameroun.
Oui, qu’il fuit et s’en aille au loin. Là où il était placé avant de fuir, on verra les signes de quelqu'un qui tremblait. Quelqu'un qui tremblait parce que la constitution des listes et des dossiers allait être une épreuve douloureuse, les élections une tourmente et l’après élections un enfer. Non ! Il ne pouvait pas. Et maintenant, qu’il se taise ! D’ailleurs, point besoin de lui dire de se taire : sans députés, ni sénateurs ni conseillers municipaux, dans quel marché ira-t-il désormais vendre le Mrc.
J’oubliai qu’il serait en train de négocier pour entrer dans le prochain gouvernement, après les élections de février 2020, comme Bouba Bello en 1997 après un boycott. Toujours l’urgence de la fuite. La politique a des exigences d’anticipation, cette anticipation passe par la fuite. « Errare humanum est, perseverare est diabolicum ». Que Paul Biya, le peuple, et Dieu vous le pardonnent. Et ça, ça va se savoir…
N.R.M
Après avoir rendu public il y a dix jours, sa décision de ne pas participer aux élections du 09 février 2020, le MRC vient de passer à une autre étape dans sa dynamique de boycott. Il s’agit de la démarche dite d’explication de la décision à ses bases dans les régions.
Maurice Kamto, le président du MRC vient d’envoyer dans les dix régions que compte le Cameroun, des missions d’explication de sa politique de boycott. Les différentes délégations chargées d’exécuter cette mission sont composées des membres du directoire du MRC.
Objectif principal recherché à travers ce déploiement, porter la bonne information aux militants de cette formation politique qui se trouvent à la base (dans les régions). Il faut préciser que la décision d’envoi des missions d’explication a été prise le 29 novembre dernier.
Dans la note interne du MRC, il est clairement indiqué que ces délégations ont pour devoir, « expliquer aux membres des bureaux des fédérations régionales, départementales, et communales la décision prise par le MRC de boycotter les prochaines législatives et municipales ». Le communiqué ajoute par ailleurs que chaque délégation du Directoire est appelée à l’élaboration de son agenda de travail, et le président du parti Maurice Kamto doit en être informé.
Un délai de 07 jours est accordé aux différentes délégations pour mener leurs missions. Toutefois, des exceptions concernent particulièrement les régions de l’Adamaoua, du Nord et l’Extrême-Nord. 14 jours sont impartis pour les missions à mener par ces délégations.
A la tête de ces missions, l’on retrouve des noms connus. Joseph Marie Biloa Effa, conseiller spécial de Maurice Kamto, conduit la délégation du Centre. Emmanuel Simh pilote la mission dans la région de l’Est. Dans les régions du Nord-Ouest et du Littoral, les délégations sont placées respectivement sous la responsabilité de Christopher Ndong et d’Albert Dzongang.
Parmi les arguments soutenus par Maurice Kamto pour légitimer le boycott des prochaines élections locales par son parti, il y a selon lui l’impossibilité de tenir des élections pendant que les deux régions anglophones du pays sont en proie à un conflit sécessionniste. Il ajoute également l’exigence de modification du code électoral, comme préalable de participation du MRC à toute élection.
Innocent D H
Paul Eric Kingué, ancien directeur de campagne de Maurice Kamto et ex co – détenu du leader du Mrc est sorti de ses gongs et au cours des dernières semaines, n’a pas manqué de dire devant les Hommes des médias, ce qu’il pense de son ancien allié.
Interrogé sur le plateau d’Equinoxe ce Dimanche, dans le cadre de l’émission La Vérité en Face, le président du Mouvement pour la Renaissance du Cameroun est resté discret, lorsqu’on lui a parlé de ses relations avec son ancien camarade dans la contestation ; Et pourtant, ce dernier ne semble pas avoir la même retenue.
Il laisse entre autres, entendre que tous les amis ou presque de Maurice Kamto lui ont tourné le dos…
« Et aujourd’hui, l’histoire donne raison à qui ? Où est Valsero ? Il est à côté de Kamto ? Où est Me Ndocki, est ce que vous suivez même ses déclarations mitigées ? Vous analysez même ses déclarations ? Elle est extrêmement amère contre Kamto. Je vous fais grâce des conflits intérieurs là bas. Où est Célestin Ndjamen ? Tout ce qu’il dit sur les plateaux de télévision aujourd’hui, c’est pour encenser Kamto ? Qu’est ce que j’ai encore à voir dans leur milieu ? Il n y’a qu’Albert (Ndzongang, ndlr), un singleton qui est resté parce qu’en réalité, il veut se donner une jeunesse. Une cure de jouvence politique… ».
Parlant de l’activateur Paul Tchouta
« Quand on m’annonce que Paul Tchouta doit arriver dans notre prison, je suis le premier à demander qu’on fasse tout pour qu’on lui trouve une place dans notre cellule, parce que c’est un jeune qui lutte pour nous ; Malheureusement, j’ai trouvé l’opposition de Ndzongang et celle de Fogue. Ils l’accusent d’avoir pris de l’argent chez Motaze et Ngo ‘o Ngo’o et qu’il ne peut pas vivre avec nous, parce qu’il va passer des informations dehors. Et, je n’ai jamais parlé de cela à Paul Tchouta…C’est un jeune pour qui j’ai beaucoup d’admiration mais, je n’en fais pas un ami pour autant. Parce que je ne suis sur qu’il a traversé les mêmes épreuves que moi. Cependant, je n’ai jamais dit que Paul Tchouta est un indic… ».
Coalition pendant la présidentielle d’Octobre 2018
« Je dis que votre Kamto, sur 378 partis, n’a pas pu réunir plus d’un parti. Je suis le seul à avoir accepté l’alliance avec lui. Ndzongang n’appartenant plus à aucun parti parce que même sa propre femme n’appartenait plus à son parti. Je suis le seul à avoir accepté de coaliser avec Kamto et c’est lui qui est venu me voir, il est encore vivant et, c’est Fogue qui est venu me voir, il est encore vivant…J’ai accepté alors que j’avais d’autres propositions de part et d’autre…
Penda Ekoka est le président de Agir qui n’est pas un parti politique. Et, si Kamto ne peut pas garder à ses côtés, son seul vrai allié politique, parce qu’il joue à l’élitiste, parce qu’il joue au sur aérien, je ne peux donc pas lui donner l’honneur d’aller vers lui sur le plan politique parce que je suis plus expérimenté que lui et, il l’aime bien le dire. Je peux aller vers lui, pour apprendre sur le plan académique. Il n’est pas venu vers moi parce que j’étais in dernier poussin, mais plutôt parce qu’il a appris mon histoire… ».
Réponse à Boris Bertolt
« Vous êtes en Allemagne et vous racontez n’importe quoi. Vous m’appelez malhonnête parce que j’ai demandé 13 conseillers sur 378 et 01 département sur 58. Vraiment, si c’est comme ça que vous entendez diriger le pays, on va vous le laisser. Tous les autres prendront marathon, chacun va fuit, le pied autour du coup, parce que vous faites peur…Au Mrc, 10% sont normaux et 90 % sont des talibans…Vous m’appelez indic, mais c’est malheureux pour vous. Quel est le secret de Kamto qui a été mis dehors » ?
Son point de vue par rapport à Maurice Kamto
« Est-ce que vous savez qui est Maurice Kamto ? Ce pire personnage là. Nous, nous savons qui il est mais, nous avons tous gardé son côté dangereux, parce que nous l’avions choisi comme notre champion. Malgré tout ce qu’on savait de lui, parce que vivant avec lui au quotidien…Battez vous pour prendre le Cameroun et, nous allons tous voir à quoi ça va ressembler. Si vous saviez qui est Kamto dans sa vie normale, vous n’en feriez pas un dieu. Nous avons vécu pendant neuf mois dans la même chambre que lui mais, nous avons su cacher cela, parce que ce n’est pas évident…Si vous dites que nous avons vendu Kamto, cela signifie qu’en 09 mois, il n’a pas su comprendre que nous l’avons vendu. Voilà un homme qui veut être président mais, si on le vend et, il n’est pas au courant, cela signifie tout simplement qu’il ne le mérite pas…Si vous ne vous rapprochez pas près du wc, vous ne saurez jamais à quel point il sent. Moi, je me suis rapproché du wc et je peux vous dire à quel degré de senteur il est… »
Par rapport à la cassure entre le Mrc et le Mpcn à l’aube du double scrutin de Février 2020
Mon électorat est constant. Je vais gagner les élections là où il faudrait que je les gagne, avec ou sans le Mrc…Je ne peux pas vous suivre dans ce chemin, je ne peux suivre une formation politique qui dit quelques secondes avant, nous irons aux élections, la politique de la chaise vide n’est pas bien et puis après, nous n’irons pas aux élections parce qu’il y’a le Noso. Est-ce que c’est aujourd’hui qu’il est né ? Vous prenez des gens comme des salopards au lieu de dire que vous n’avez pas réussi à constituer des listes…Je promets d’autres révélations lorsque je vais sortir de ce lit d’hôpital et, vous saurez alors que celui que vous prenez pour un dieu est très loin d’en être un. Vous le découvrirez le moment venu…Mais, sachez d’ores et déjà que je ne fais pas la politique du ventre. Je n’ai besoin du financement de personne, ni de vous, ni du Rdpc…
Ce qui me choque le plus, c’est qu’on doit suivre aveuglement Kamto. S’il dit que nous devons boycotter les élections, alors, on le fait. Il ne se concerte avec personne, il fait comme il veut, il décide comme il veut. De la vraie dictature telle qu’on veut la changer chez monsieur Paul Biya. Je lutte pour sortir d’une dictature et vous me demandez d’en subir une autre. Mais vraiment, quelque chose ne va pas dans vos têtes… » ?
En écoutant ces quelques extraits, certains ne manquent pas d’affirmer que la saga Cabral Libii – Prosper Nkou Mvondo était une « balade » de santé.
Nicole Ricci Minyem