Le leader du Mouvement pour la Renaissance du Cameroun, actuellement en France a opposé une fin de non recevoir, à tous ces individus qui, en détruisant l’image du Cameroun ainsi que celle du Président de la République, garant des Institutions.
Une décision qui a suscité la colère de « ses complices », telle que le démontre la sortie d’Amer Kmer
« Il est temps que les femmes de la diaspora commence à conjuguer en même temps que nous. Kamto refuse catégoriquement de recevoir la Bas mais, c’est la vie, le voyoutisme ne paye pas. On ne peut pas faire confiance aux hommes politiques. Je ne vais pas parler de Kamto par rapport aux élections, je vais parler de monsieur Kamto par rapport au désastre qu’il a causé au sein de la diaspora. Et, je vais vous révéler l’hypocrisie des Hommes politiques.
Aujourd’hui, la Bas ne lui sert plus à rien, c’est tout à fait normal, il n’en n’a rien foutre. Ce qui m’amène à inviter les membres de la Bas à comprendre un tout petit peu que la politique que nous avons au Cameroun est une politique d’escroquerie, d’entourloupe.
La preuve est là aujourd’hui. Nous avons monsieur Kamto qui débarque en France et refuse de voir les membres de la Bas. Il les renie. A force de courir derrière Paul Biya, le chassement (Genève, Lyon, Paris, Allemagne), le monsieur débarque en France, il vous ignore complètement. Le déshonneur, le désastre. Vous courez derrière quelqu’un qui vous dit qu’il est président élu alors que nous avons me Ndocki qui, en mondo vision, reconnait le Président Paul Biya comme Président élu et que fait–elle en plus, elle veut entrer dans ce gouvernement. Elle a reconnu devant vous qu’ils savaient déjà qu’ils ont perdu les élections, mais, il fallait aller à la Cour Constitutionnelle. La manipulation.
Ca me fait mal au cœur, de voir comment ces hommes politiques se jouent de notre diaspora. Comment ces hommes politiques continuent de décrédibiliser la diaspora au plus profond. Le soi disant bus du Mrc dont l’achat a été lancé par mon frère Max, le Mrc ne reconnait pas ça.
Vous êtes nombreux, qui n’aurez plus la possibilité de repartir au Cameroun et, je vous pose cette question, pourquoi vous ne bloquez pas le professeur Maurice Kamto en France. Au nom de Kamto, vous avez dévalisé les ambassades, au nom de Kamto, vous êtes nombreux qui ne verrez plus vos parents, la souillure.
J’ai mal à votre place. Vous avez cherché à en faire un fond de commerce et pourtant, il vient vous renier en France. Aujourd'hui, vous vivez dans quel monde ?
Je pense que le moment est venu de faire le chassement de Kamto. Cabral ne va pas venir en France, Joshua ne va pas venir en France, mais la personne qui vous a mis dans la merde, c’est le professeur Kamto. Ce n’est pas Cabral qui vous a envoyé cassé les ambassades, ce n’est pas lui qui vous a demandé d’engager ces actions de chassement contre le Chef de l‘Etat. Ce n’est non plus Joshua. Ils ne vous ont rien fait. Ils sont restés logique dans leurs idées.
Celui qui vous a demandé de faire tout cela, c’est le Professeur Kamto. Bertille Okami, tu n’as pas pu enterrer ta mère. Mes frères de la Bas, on vous purge avec quoi ? Je vous pose la question.
C’est lui et ceux qui veulent entrer au gouvernement prendre feu qui ont mis le feu au sein de la diaspora et aujourd’hui, ils sont incapables de demander l’amnistie pour vous. Messieurs de la Bas, vous êtes des lâches. Vous ne voulez pas regarder ceux qui vous ont mis droit au mûr parce qu’aujourd’hui, les vérités sont dites, vous avez peur et vous êtes incapables de vous réveiller.
On vous a dit que cette histoire de hold up c’est de la manipulation, une perversion de la part de monsieur Kamto. Vous avez refusé d’écouter. Kamto demande de rencontrer le Président Paul Biya mais, réveillez vous bon sang…Vous comprenez maintenant que le professeur Kamto n’a jamais été un opposant, il a été envoyé pour semer le trouble au sein de l’opposition camerounaise…
Je vous invite à demander pardon au peuple Camerounais, en écrivant au bas de votre courrier : Nous avons été manipulés. Je vous tends encore la main. Tous les pays africains veulent vivre une alternance, pas celle fabriquée par le gouvernement en place comme c’est le cas avec Kamto et Ni John Fru Ndi. Cette alternance, ce sont les Jeunes. Démontrons au gouvernement Camerounais que la Jeunesse est prête, à laisser la corruption, à se mettre au travail… ».
N.R.M