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C’est le leader de la BAS (Brigade Anti Sardinards) par qui le mensonge sur l’état de santé du Chef de l’Etat avait gagné la toile. Dans l’un de ses directs incendiaires, il s’est cru dans le devoir de diffuser une nouvelle sortie tout droit de ses fantasmes. Mais comme on le dit au Cameroun, « le mensonge n’a pas de longues jambes ».

 

Le 25 Mars 2020, un activiste, membre influent de la BAS fait une sortie sur Facebook. Le titre est inflammatoire : Paul BIYA est mort. MAX SENIOR puisqu’il s’agit de lui, ne fait que reprendre des assertions faites quelques heures plus tôt par un certain Kamoua La Panthère, lui aussi virevoltant acteur de la rébellion de certains camerounais de la diaspora.

Dans son direct, Kamoua La Panthère était péremptoire. Pour mieux habiller son mensonge, il va donner des éléments de vraisemblance selon quoi, cette information lui viendrait du ministre Robert Nkili. Il a plusieurs fois citer le beau-père du Chef de l’Etat comme pour légitimer ses déclarations. Malheureusement pour lui, il n’en est rien. Paul BIYA est bel et bien vivant.

Il faut dire que ni lui, ni MAX SENIOR en son temps n’avaient donné des preuves irréfutables de son décès. Souvenons-nous que selon MAX SENIOR, Paul BIYA était mort parce qu’il n’avait pas pris la parole publiquement depuis le début de la crise sanitaire au Cameroun comme c’est le cas dans tous les autres pays du monde.

Depuis que Paul BIYA a fait cette apparition en compagnie de Christophe Guilhou, toute honte bue, Kamoua La Panthère a pratiquement disparu des réseaux sociaux. Il se cache peut-être. Juste un message laconique du genre « les camerounais demandent à être mieux gouvernés et non assister à une pièce de théâtre nous méritons mieux ».

Un message vide de sens qui équivaut à ne rien dire. Kamoua La Panthère a menti a tout un peuple pour des raisons inavouées. Kamoua La Panthère a voulu manipuler le peuple camerounais pour qui il dit se battre. Au point où à ce jour on peut se demander pour qui se bat-il vraiment ? Quand on sait les mouvements d’humeurs voire la guerre civile qu’aurait pu engendrer une telle nouvelle au cas où les camerounais y avaient fait foi. Heureusement pour nous, les citoyens sont matures et ne cèdent plus à toute sorte de manipulation.

Quant à Kamoua La Panthère et les siens, ils sont des menteurs et ceux qui continuent à les écouter devraient avoir à l’esprit cette fable de La Fontaine, "Le Corbeau et le Renard".

 

Stéphane NZESSEU

 

Published in Société

Le leader du Mouvement pour la  Renaissance du Cameroun, actuellement en France a opposé une fin de non recevoir, à tous ces individus qui, en détruisant l’image du Cameroun ainsi que celle du Président de la République, garant des Institutions.

 

Une décision qui a suscité la colère de « ses complices », telle que le démontre la sortie d’Amer Kmer

« Il est temps que les femmes de la diaspora commence à conjuguer en même temps que nous. Kamto refuse catégoriquement de recevoir la Bas mais, c’est la vie, le voyoutisme ne paye pas. On ne peut pas faire confiance aux hommes politiques. Je ne vais pas parler de Kamto par rapport aux élections, je vais parler de monsieur Kamto par rapport au désastre qu’il a causé au sein de la diaspora. Et, je vais vous révéler l’hypocrisie des Hommes politiques.

Aujourd’hui, la Bas ne lui sert plus à rien, c’est tout à fait normal, il n’en n’a rien foutre. Ce qui m’amène à inviter les membres de la Bas à comprendre un tout petit peu que la politique que nous avons au Cameroun est une politique d’escroquerie, d’entourloupe.

La preuve est là aujourd’hui. Nous avons monsieur Kamto qui débarque en France et refuse de voir les membres de la Bas. Il les renie. A force de courir derrière Paul Biya, le chassement (Genève, Lyon, Paris, Allemagne), le monsieur débarque en France, il vous ignore complètement. Le déshonneur,  le désastre. Vous courez derrière quelqu’un qui vous dit qu’il est président élu alors que nous avons me Ndocki qui, en mondo vision, reconnait le Président Paul Biya comme Président élu et que fait–elle en plus, elle veut entrer dans ce gouvernement. Elle a reconnu devant vous qu’ils savaient déjà qu’ils ont perdu les élections, mais, il fallait aller à la Cour Constitutionnelle. La manipulation.   

Ca me fait mal au cœur, de voir comment ces hommes politiques se jouent de notre diaspora. Comment ces hommes politiques continuent de décrédibiliser la diaspora au plus profond. Le soi disant bus du Mrc  dont l’achat a été lancé par mon frère Max, le Mrc ne reconnait pas ça.

Vous êtes nombreux, qui n’aurez plus la possibilité de repartir au Cameroun et, je vous pose cette question, pourquoi vous ne bloquez pas le professeur Maurice Kamto en France. Au nom de Kamto, vous avez dévalisé les ambassades, au nom de Kamto, vous êtes nombreux qui ne verrez plus vos parents, la souillure.

J’ai mal à votre place. Vous avez cherché à en faire un fond de commerce et pourtant, il vient vous renier en France. Aujourd'hui, vous vivez dans quel monde ?

Je pense que le moment est venu de faire le chassement de Kamto. Cabral ne va pas venir en France, Joshua ne va pas venir en France, mais la personne qui vous a mis dans la merde, c’est le professeur Kamto. Ce n’est pas Cabral qui vous a envoyé cassé les ambassades, ce n’est pas lui qui vous a demandé d’engager ces actions de chassement contre le Chef de l‘Etat. Ce n’est non plus Joshua. Ils ne vous ont rien fait. Ils sont restés logique dans leurs idées.

Celui qui vous a demandé de faire tout cela, c’est le Professeur Kamto. Bertille Okami, tu n’as pas pu enterrer ta mère.   Mes frères de la Bas, on vous purge avec quoi ? Je vous pose la question.

C’est lui et ceux qui veulent entrer au gouvernement prendre feu qui ont mis le feu au sein de la diaspora et aujourd’hui, ils sont incapables de demander l’amnistie pour vous. Messieurs de la Bas, vous êtes des lâches. Vous ne voulez pas regarder ceux qui vous ont mis droit au mûr parce qu’aujourd’hui, les vérités sont dites, vous avez peur et vous êtes incapables de vous réveiller.  

On vous a dit que cette histoire de hold up c’est de la manipulation, une perversion de la part de monsieur Kamto. Vous avez refusé d’écouter. Kamto demande de rencontrer le Président Paul Biya mais, réveillez vous bon sang…Vous comprenez maintenant que le professeur Kamto n’a jamais été un opposant, il a été envoyé pour semer le trouble au sein de l’opposition camerounaise…

Je vous invite à demander pardon au peuple Camerounais, en écrivant au bas de votre courrier : Nous avons été manipulés. Je vous tends encore la main. Tous les pays africains veulent vivre une alternance, pas celle fabriquée par le gouvernement en place comme c’est le cas avec Kamto et Ni John Fru Ndi. Cette alternance, ce sont les Jeunes. Démontrons au gouvernement Camerounais que la Jeunesse est prête, à laisser la corruption, à se mettre au travail… ».

 

N.R.M 

 

Published in Tribune Libre

Le mouvement de revendication et de protestation des camerounais vivant à l’étranger est décidément sur les traces du MRC. On dirait même qu’il s’agit d’un seul et même projet politique. Sinon comment comprendre leur appel au boycott ?

 

L’essentiel de ces camerounais ne sont pas inscrits dans le fichier électoral d’Elecam. Conséquence, ils ne pouvaient ni être électeur et encore moins éligibles pour les élections législatives et municipales au Cameroun. Plus encore, le Cameroun n’a pas de siège au parlement pour les camerounais vivant à l’étranger encore moins de mécanismes permettant la présence des acteurs de la diaspora dans les conseils municipaux au bled. Par conséquent, les élections municipales et législatives n’ont aucun intérêt pour les populations qui sont hors du territoire de la République.

Comment comprendre l’appel au boycott de la diaspora ?

Le fait pour ces camerounais qui sont pour la plupart des camerounais dit d’origine, de ne pas pouvoir participer directement à ces élections ne leur enlève aucunement le droit de s’intéresser à l’évolution de la vie politique au Cameroun. Ce d’autant plus que ces camerounais ont des intérêts divers sur le triangle national. Des familles sur le territoire, des investissements importants et d’autres intérêts. Il va donc de soi que ces autres camerounais se préoccupent de ce qui se passe d’un point de vue politique au Cameroun. Par ailleurs, ces autres acteurs attendent depuis bien longtemps de pouvoir obtenir la possibilité d’utiliser la double nationalité.

A côté de toutes ces préoccupations il faut reconnaître que la logique aurait voulu que ces populations de l’étranger encouragent plutôt la poursuite du processus électoral. Ainsi, de donner matière aux acteurs politiques qui sollicitent le suffrage des citoyens sur les sujets qui les intéressent au premier plan, question de voir leurs problèmes être pris en compte dans les orientations qui seront mis en œuvres par les nouveaux représentants du peuple. Appeler au boycott des élections municipales et législatives en s’alignant sur les slogans du MRC donnent à tous ceux qui en doutaient encore de croire que finalement la Brigade Anti Sardinard est une anti chambre qui porte et défend l’idéologie du Mouvement pour la Renaissance du Cameroun, et de son président Maurice Kamto. De plus à lire le contenu des appels au boycott fait par cette diaspora, il est évident que c’est du copié collé de ce que le MRC demande ou prône. Seulement, il est difficile pour eux de mener des actions de blocages pour ces élections puisque ces élections ne se déroulent pas hors du territoire camerounais.

 

Stéphane NZESSEU

 

Published in Parti politiques

Ils ont baptisés cette nouvelle action, Opération asphyxie de l’appareil de l’Etat. Une action qui vise à paralyser le fonctionnement des institutions de la république en commençant par les ambassades en occident. C’est la raison de leur présence ce mardi matin au 75 Rue d’Auteuil à Paris.

 

Ils se sont retrouvés très nombreux devant les portes de l’ambassade du Cameroun en France ce matin. Criant et scandant des slogans contre le pouvoir de Yaoundé qu’ils accusent d’organiser et d’entretenir un génocide dans les régions anglophones. Au même moment, certains militants présents clamaient « Kamto Président ». Entre leurs mains une banderole sur laquelle on peut lire « STOP AU GÉNOCIDE DANS LES RÉGIONS ANGLOPHONES ». Les militants de la Brigade Anti Sardinards, déchaînés s’en sont pris aux murs de l’ambassade. Une partie d’entre eux ont réussi à franchir le portail de l’ambassade et vont être interpellés par les forces de l’ordre. Près de 50 militants vont être retenus au sein de l’ambassade.  

Toute chose qui va envenimer un peu plus les manifestations. C’est alors que vont intervenir les forces de la police française. La police va progressivement et poliment repousser la foule jusqu’à désengorger les entrées de l’ambassade. Puis va s’en suivre un face à face entre les militants de la Brigade Anti Sardinards et la police. Pendant plusieurs heures, des « combattants » de cette organisation vont s’adonner à des cours d’histoire et de civisme sur le Cameroun à l’endroit des policiers français qui visiblement n’en avaient cure. Des leçons d’histoire qui revenaient sur les parcours des nationalistes camerounais, Ernest Ouandié, Ruben Um Nyobé et autres.

Lire aussi : Insolite : Le chef supérieur Bangoulap humilié par la BAS en France 

Il y aura quelques échauffourées entre militants de la Brigade Anti Sardinards et forces de police. Des éclats de voix et des frottements qui rentreront très vie dans le calme grâce à la grande maîtrise dont a su faire preuve les hommes de la police française.

 

 

Ils auront été environ 15O militants venus manifester ce matin devant l’ambassade (selon des chiffres avancés par les membres de la BAS). Et ils annoncent d’autres actions plus significatives jusqu’à ce que le régie de Yaoundé jette l’éponge et quitte le pouvoir.

C’est la suite des actions initiées par ce mouvement qui se veut nationaliste, depuis le lendemain de l’élection présidentielle d’octobre 2018. Depuis la fin de cette élection, les actions de ce mouvement ont augmenté en intensité.

 

Stéphane NZESSEU

 

 

Published in Institutionnel

Oumarou Haman Wabi a demandé aux gardiens de la tradition à faire retirer leur bénédiction à « la diaspora des délinquants ». C'était lors d’une cérémonie de remise de dons initiée par des ressortissants de la communauté du Ndé vivant à l’étranger.

 

Le Préfet qui devait présider la triple cérémonie d’inauguration du centre multimédia communautaire, de l’implantation d’une unité de transformation du manioc et la remise d’un stock de médicaments aux populations de Bazou, le dimanche 28 juillet 2019, n’a pas loupé l’occasion de passer un message aux ressortissants de la communauté du Ndé vivant à l’étranger.

 

Le silence étonnant des chefs traditionnels

 

Oumarou Haman wabi s'est étonné du silence des chefs traditionnels devant le comportement membres de la diaspora . C'était après avoir pris connaissance des prouesses d’international Leadership Group, Bazou New England ln corporation et Nouvelles femmes dynamiques, toutes des associations de la diaspora du groupement Bazou aux Etats Unis et en Europe, qui ont réuni la rondelette de 30 millions pour financer ces réalisations communautaires.

 

S’adressant aux chefs traditionnels présents et en direction de leurs pairs, il a demandé de quel droit des fils de ceux-ci qui résident en Occident pouvaient interdire à leurs « pères » de séjourner également là-bas. Allusion non voilée aux joutes suscitées par le dernier voyage du chef supérieur Bangoulap, S.M. Jean Yonkeu, leur homologue dans le Ndé, auprès de sa communauté en Europe.

 

Le refus de céder au désordre

 

Le Préfet du Ndé a invité les chefs traditionnels à prendre des mesures contre les membres de la BAS. « Le désordre ne passera pas par ma communauté. Mon père (Daniel Kemajou, premier président de l’Assemblée législative du Cameroun ostracisé par le régime Ahidjo après son discours sur les pleins pouvoirs, ndlr) a souffert. Mon peuple a souffert. No.us ne pouvons pas les laisser continuer à salir notre image », reconnaît à juste titre S.M. Vincent Tchoua Kemajou, chef supérieur du groupement Bazou, lui-même dans le collimateur de la « Brigade anti sardinards » suite à la signature d’une motion de soutien à Paul Biya à la fin de la présidentielle d’octobre 2018, à la fin des cérémonies.

 

Favoriser le développement des endogènes

 

A l'international, 57 ordinateurs ont été remis aux populations locales dont 25 au télécentre communautaire de Bazou et le reste à certains établissements scolaires, des groupes organisés pour les aider « à se connecter au reste du monde.

 

 Un stock de médicaments ont été aussi octroyés à cinq structures sanitaires. Le clou de la cérémonie a été la coupure du ruban sur le site de l’usine en cours d’installation pour la transformation du manioc. Les machines sont déjà en place et selon Mabigoup Jeanne, porte-parole du groupe, 5 hectares de terrain sont disponibles pour la culture de ce « féculent dont toutes les parties sont utiles ».

 

Elle a précisé que leur projet de transformer le manioc en de nombreux produits dérivés a pour but de « donner de la fierté aux femmes et aux jeunes, pour qu’ils n’aillent plus mourir dans la mer, à la recherche d’un eldorado fictif. Il faut leur donner du travail au lieu de continuer à les assister avec des billets de banque ». 

 

Innocent D H

 

Published in Politique

Sa majesté Yonkeu Jean 24ème Roi des Bangoulap, a été confronté aux vives pressions des activistes de la Brigade anti sardinards (BAS) en France. C'était le 28 juillet 2019 alors que l'autorité traditionnelle s'y rendait pour une cérémonie communautaire organisée par ses Fils et Filles.

 

Sa majesté Yonkeu Jean, roi des Bangoulap a été interdit de tout séjour en occident par la BAS, sous peine de subir les humiliations de toutes natures. Une lettre qui  date du 17 juillet 2019 avait été adressée à cet effet au Représentant du chef Bangoulap de France en la personne de M. Wandji Kleber, et au Chef de famille Bangoulap de France M. Tchatat Théophile, pour les mettre en garde par rapport à la lettre d’invitation adressé au Chef supérieur Bangoulap SM Yonkeu Jean, devant présider une cérémonie communautaire qui devrait se tenir dans la salle Espace Chevreuil, sis au 97ème  Avenue de la Liberté, 92000 Nanterre, le 28 juillet 2019.

 

La pression de la BAS

 

C’est probablement donc pour avoir minimisé cette menace de la BAS, que le roi des Bangoulap s’est rendu en tournée dans l’hexagone. Dans son programme, il devrait profiter y pour anoblir certains de ses Fils et Filles en assurant la consolidation des liens fraternels entre tous les Bangoulap de la Diaspora.

 

La cérémonie du 28 juillet dernier aura été un flop retentissant. Le roi a essuyé des raffuts de toutes sortes : " chef tortue, Ninja, SM Jackie Chan, traître, corrompu, chef sardinard entre autres ", le contraignant même à quitter la cérémonie qui, pour des raisons évidentes, le lieu avait été modifié pour se tenir dans une résidence privée au 57ème Avenue du Général Dubail 78100 Saint Germain en Laye.

 

Selon des sources bien introduites dans la communauté, SM Yonkeu Jean aurait quitté en catimini la cérémonie qui ne pouvait plus avoir lieu vu le désordre ambiant. Pour accéder à la salle de cérémonie, le monarque Bangoulap serait passé par une porte alternative donnant sur une forêt urbaine, où un dispositif de sécurité avait été mis en place par les organisateurs.

 

Les invités qui devaient recevoir leur titre de noblesse n’ont pas pu accéder à la salle. Pareil pour le service traiteur et le master de cérémonie du jour qui auront été bloqués à l’extérieur de la salle par les membres de la BAS. 

 

Innocent D H

 

Published in Société

Les leaders du Rdpc dans la région ont accordé leurs violons samedi 20 juillet 2019 à la permanence du parti à Ngaoundéré. Comme un seul homme ils se sont levés et ont dit non aux actions de la BAS commises lors du récent séjour du couple présidentiel à Genève en Suisse.

 

Les incidents de l’hôtel Intercontinental où le séjour du président de la république a connu des perturbations par quelques membres de la diaspora camerounaise, ont imposé au sein du parti dans la région une actualité d'un goût inhabituel. Ces évènements sont  qualifiés dans le parti, « d’attaques aux institutions républicaines ». Ce qui justifie l’organisation du meeting de soutien aux institutions républicaines d’une part et de mobilisation des militants autour du président national, le président Paul Biya d'autre part.

 

Les cadres du Rdpc et des partis alliés issus de toute la région se sont accordés et ont condamné les actes perpétrés par les Camerounais de la diaspora. « Nous voulons le réitérer pour ceux dont la mémoire s’est arrêtée avant le 07 octobre 2018. Monsieur Paul Biya a été élu confortablement président de la république à plus de 71% par le peuple camerounais. L’élection présidentielle est définitivement derrière nous et les vrais démocrates ne peuvent l’ignorer. Toute remise en question de ce fait inaltérable, n’est autre chose qu’un bluff dérisoire, une insulte à l’endroit de la majorité silencieuse des camerounais qui aspirent légitimement à vivre en paix. Nous devons savoir que, quand on porte atteinte à l’honorabilité d’un seul Camerounais, on porte atteinte à la dignité de tous les Camerounais. L’Adamaoua n’est pas peuplé de femmes et d’hommes capables de brûler aujourd’hui, ce qu’ils ont adoré hier », a fait comprendre, SM Mohaman Gabdo Yahya, lamido de Banyo, par ailleurs porte-parole des lamibé de l’Adamaoua. 

 

Innocent D H

 

Published in Politique






Sunday, 05 June 2022 11:01