Initialement conçue pour être un KLE visant le chef de quartier et ses notables, cette action a vu la participation spontanée de plus de 100 hommes, femmes et jeunes gens de Mambanda.
La première partie de la rencontre a consisté en un échange prometteur sur l'engagement à ne plus respecter les mots d'ordre de Ghost-town et autres Lockdown.
La seconde partie a consisté en la remise des denrées et boissons, entourée de joie et de chants.
La cérémonie s'est déroulée en présence de Mme le Sous-Prefet de Kumba 3, du Chef de quartier de Mambanda et de ses Notables.
Plus tôt dans la matinée, une rencontre a eu lieu dans le bureau du Sous-prefet de Kumba 2 entre le responsable de l'opération Ops Chacal et la famille de M. Nguifor, employé de la mairie de Kumba 2 assassiné sauvagement par les terroristes il y a un mois à Kumba et dont le corps avait été exposé par les assaillants sur la place publique. Réconfort, soutien en denrées et enveloppe financière à pour marquer la sympathie ses déplacés internes. Les membres de la famille n'ont souhaité aucune prise de vue par peur de se voir exposés.
L'opération Chacal est l'une des opérations engagées dans la lutte contre le sécessionisme dans les régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest au Cameroun. Elle a été mise au point au même moment que les opérations : Emergence 5, Scorpion, Storm 1 et 2. C'était en novembre 2018 suite à une visite du ministre délégué à la présidence de la République chargé de la Défense, Joseph Beti Assomo, dans les camps des soldats.
Les dons de ces soldats viennent à nouveau conforter la confiance des populations en l'armée camerounaise ainsi que sur le gouvernement.
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La crise anglophone est une situation délicate pour le Cameroun et l'Etat s'active pour essayer de résoudre ce problème au mieux.
Lorsque les Etats Unis, les premiers chefs en comédie et larmes de crocodiles se lèvent pour critiquer l'Etat camerounais face à cette situation délicate, c'est tout simplement ignoble ! Pendant que les hôpitaux sont brûlés, les vies humaines dévastées, les écoles désertées, où sont les Etats-Unis dans tout ce cahot ? Traiter les mesures prises par l'Etat de "mesures symboliques" n'est autre qu'un manque de respect à la souveraineté de ce pays.
Dans leur politique il est connu qu'il n'existe aucune négociation avec les terroristes et par terroristes ici nous entendons bien ceux là qui bafouent l'Etat pour satisfaire les caprices mal intentionnées au prix et au sang des vies humaines. Aucun effort n'a été fait de leur côté quand il s'agissait d'interdire les levées de fond sur leur territoire pour financer le conflit dans les régions anglophones du Cameroun. Alors c'est le Cameroun qui devrait négocier avec des terroristes ?
Les Etats-Unis qui veulent se plaindre de tout et de la responsabilité comme par le passé, il serait mieux d'aider activement à stabiliser la région au lieu de la mettre à mal comme le fait l'ambassadeur actuel. Nul n'ignore que plus d'une fois, l'Etat camerounais a voulu dialoguer avec ceux là qui réclament une certaine indépendance, des multiples perches ont été tendues pour faire revenir la paix mais ces efforts ont été balayés du revers de la main et par conséquent voués à l'échec. Tibor Nagy ferait mieux de changer de discours avant de poser le sujet concernant la crise anglophone.
Tibor Peter Nagy, secrétaire d'État adjoint aux États-Unis pour les affaires africaines est attendu au Cameroun le 17 mars prochain. Cette visite entre dans le cadre d’une tournée en Afrique qu’il a entamée ce lundi 04 mars. Alors que le Cameroun se prépare à recevoir celui qui a été surnommé « Monsieur Afrique » de Donald Trump, les sujets qu’il abordera avec les autorités administratives ne désemplissent pas. De nombreux autres sujets devront être au menu des échanges.
L’émissaire du président américain devrait évoquer la gestion de la crise du Cameroun anglophone par le gouvernement camerounais, des mesures prises jusqu'à présent pour y remédier, la lutte contre Boko Haram dans les régions septentrionales, des opérations humanitaires menées en commun sur le territoire national et les défis économiques auxquels le Cameroun fait face. Comme depuis plusieurs années, les Etats-Unis pourront ainsi proposer au Cameroun des moyens d’atteindre l’objectif d’émergence.
Le politique sera également au menu avec des sujets tels que l’affaire Maurice Kamto et compagnie, actuellement en détention. L’opinion camerounaise craint qu’il accorde son soutien à ces fauteurs de trouble qui seront fixés ce mercredi 06 mars sur leur demande de libération provisoire. Tous ces doutes partent du jeu trouble que joue l’ambassadeur des Etats-Unis au Cameroun, Peter Henry Barlein.
En effet, à travers une récente chronologie des faits, tout indique que l’ambassadeur américain Peter Henry Barlerin, en mission commandée au Cameroun au compte des groupes de pression divers et des lobbys d’affaires est devenu au fil des jours ce prophète qui, à force de se répandre, tient aujourd’hui mordicus à accomplir ses prévisions de chaos et de désordre social dans notre pays. Les nombreux évènements qui se sont produits ces derniers jours, tant dans les régions anglophones et dans certaines villes du Cameroun avec en pointe les diverses provocations de Maurice Kamto et de ses partisans après le scrutin du 7 octobre dernier, l’attestent à suffisance.
En 2018, l’ambassadeur américain au Cameroun, Peter Henry Barlerin, a accusé les forces gouvernementales d’assassinats ciblés, de détentions illégales, d’incendies et de pillages de villages, le tout, sans aucune preuve. C’est le même scénario qui s’est produit après l’assassinat du prêtre américain par les rebelles sécessionnistes dans la région du Sud-Ouest il y a quelques mois. Sans document valable, Peter Henry Barlerin a accusé les forces de l’ordre camerounaises d’être à l’origine des pillages dans ces deux régions : « Nous appelons instamment à l’arrêt immédiat des attaques visant sans distinction les civils et des incendies de maisons par les forces gouvernementales camerounaises, ainsi que des attaques perpétrées par les séparatistes anglophones contre les forces de sécurité et les civils. L’intimidation systématique fondée sur l’appartenance ethnique et religieuse, y compris à Yaoundé et à Douala, doit cesser. En mémoire du missionnaire américain Charles Wesco et de tous ceux qui ont perdu la vie dans la crise anglophone, nous exhortons toutes les parties à mettre fin aux violences et à entamer un large dialogue de réconciliation sans condition préalable ». Néanmoins, aucune excuse n’a été faite lorsque ces affirmations se sont avérées fausses.
Les relations entre le Cameroun et les Etats-Unis sont « excellentes », d’après le secrétaire d'État adjoint aux États-Unis pour les affaires africaines. Le seul domaine dans lequel elles piétinent est la politique, et ce parce que Peter Henry Barlerin, qui devrait servir de médiateur pour les deux Etats, se plaît à jouer le chef de l’opposition. Plusieurs membres du gouvernement camerounais s’interrogent sur la position de ce diplomate qui soutient l’opposition dans ce désordre. Les résultats de l’élection présidentielle sont pourtant clairs et ont été approuvés tant par le peuple que par la communauté internationale et donc les Etats-Unis également.
La réaction de Tibor Peter Nagy, sous secrétaire de l’Etat américain, donnant la position du gouvernement Trump sur le scrutin du 7 octobre dernier au Cameroun, ne souffre d’aucune ambiguïté sur la qualité des rapports entre le Cameroun et les Etats-Unis. « (…) En Afrique, les Etats-Unis ne soutiennent pas des candidats, mais les processus électoraux et transparents. Le scrutin au Cameroun a été une réussite et il n’y a aucune raison de penser qu’il ne reflète pas le choix de la population (…) », estime sans ambages le haut responsable américain. Voila qui est clair pour témoigner de cette qualité des rapports entre les 2 Etats souverains pour confirmer aux yeux de tous qu’il n’existe pas de zones d’ombre dans les relations entre Yaoundé et Washington.
Alors que le conflit dans les deux régions anglophones soit entré dans sa troisième année, la population en otage dans les deux régions traverse une période de douleur et d’intenses souffrances. Des sacs mortuaires, des corps mutilés, des parties de corps découpées, des incendies d'hôpitaux et d'écoles, la non scolarisation des enfants, les enlèvements et des décapitations sont les fruits de cette guerre.
Aussi bizarre que cela puisse paraître, les États-Unis, grands donneurs de leçons universels, ne condamnent pas avec fermeté les atrocités commises par ces rebelles. Au contraire, l’Ambassade des États-Unis au Cameroun les met en veilleuse et s’acharnent contre le Gouvernement camerounais. En 2018, l'ambassadeur américain au Cameroun, Peter Henry Barlerin, a accusé les forces gouvernementales d'assassinats ciblés, de détentions illégales, d'incendies et de pillages de villages. Le mois dernier, le gouvernement Trump a annoncé qu'il allait réduire l'aide militaire au Cameroun et demander une enquête sur les violations des droits de l'homme dans les deux régions touchées. Des hommes armés tuent, brûlent, mutilent, enlèvent même des écoliers, prennent des otages contre rançons, ciblent des minorités (Mbororos) et maraudent. Pourtant, les États-Unis condamnent les forces gouvernementales qui les combattent ! Ils s'empressent de se plaindre de la prétendue conduite répréhensible des troupes gouvernementales qui, en dépit de quelques malheureux incidents, ne font que s'acquitter de leur devoir «régalien» de protection des personnes et des biens, ainsi que l'intégrité territoriale du pays. Le mois dernier, des hommes armés ont incendié des quartiers de l'hôpital du district de Kumba, brûlant vifs quatre personnes. L'Ambassade américaine au Cameroun a publié une déclaration dans laquelle les autorités ont appelé le gouvernement camerounais à mener une enquête transparente pour retrouver et punir les incendiaires. Si les forces gouvernementales étaient coupables, les États-Unis auraient utilisé la massue de la diplomatie à Yaoundé, mais ils préfèrent se contenter de propos nuancés, exprimant une sorte de doute complice, lorsque les hors-la-loi attaquent. Quand bien même les sécessionnistes ont tué un missionnaire américain l'année dernière dans la région du Nord-Ouest, les États-Unis ont été réticents à publier une déclaration les condamnant.
Le gouvernement des États-Unis et ceux d’autres pays, de même que des organisations internationales intergouvernementales ou non, telles que les Nations Unies, International Crisis Group etc... ont appelé à un dialogue élargi comme solution au conflit dans les deux régions anglophones du Cameroun. À première vue, il semble que ce soient de vrais amis du Cameroun mais sous ce beau tableau, se cache un vil et scabreux plan de changement de régime au Cameroun. L’on se souviendra que les États-Unis ont orchestré de tels plans dans plusieurs pays africains (la Libye en 2011, le Soudan, l'Irak, etc.) et malgré des résultats catastrophiques dans ces précédents, ils n'hésiteront pas à en faire de même au Cameroun.
Fidèles à eux-mêmes, les États-Unis, la France, le Royaume-Uni et d’autres pays semblent vouloir apprendre au Gouvernement camerounais comment gérer « la crise ». Aucun geste de bonne volonté du Gouvernement camerounais, sur la pléthore des mesures prises, ne semble jusqu’ici les convaincre. Pourtant, il suffit à ces « partenaires » d’accompagner ces mesures et de les appuyer pour que la crise se meure naturellement. Comme d'autres, ils ont appelé à un dialogue inclusif. Néanmoins, les principaux instigateurs de cette crise (camerounais tapis sur leurs territoires) collectent des fonds là-bas et les renvoient chez eux au Cameroun pour financer la guerre (Achat d’armes, de drogues, salaire des combattants, etc.). Du sang est versé parce que ces Gouvernements permettent aux membres de la diaspora de collecter et d'envoyer de l'argent au Cameroun, mettant des armes à feu entre les mains de jeunes malléables et manipulables à souhait l'avenir du Cameroun. S'ils sont vraiment des « amis » du peuple camerounais comme ils le prétendent, ils devraient mettre un terme à ces collectes de fonds.
Les Camerounais se demandent comment un terroriste comme Eric Tataw peut, dans le confort et la sécurité des États-Unis, collecter des fonds pour financer l’achat d’AK47, les incendies criminels, les décapitations, les mutilations, les meurtres et que l’Ambassade / les autorités américaines restent silencieuses.
La propagande qui alimente le conflit vient de ces pays. Les États-Unis et les autres pays devraient clouer le bec de ceux qui provoquent le chaos, sauvant ainsi des vies dans les Régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest. Mais comment peuvent-ils le faire, alors que leur intérêt est de renverser subrepticement le régime de Yaoundé ? Plus longtemps le chaos durera, plus leur projet de renverser le Président Paul Biya se précisera. L'accent est mis sur un homme à abattre même si des milliers doivent pour cela périr. Sinon comment expliquez-vous l'intérêt soudain de l'Amérique pour l'affaire Marafa Hamidou Yaya et de la France pour celle d'Amadou Vamoulke ? Il est temps de placer leur "choix" à Etoudi.
Dans un câble diplomatique rendu public grâce à WikiLeaks en 2009, il est révélé que le Ministre de la Justice et garde des sceaux du Cameroun d’alors, Amadou Ali, l'un des loyalistes du président Paul Biya, originaire de la Région de l'Extrême-Nord, a déclaré à l'Ambassadeur américain qu’après le régime actuel, le pouvoir devrait revenir au Grand Nord (Régions de l’Adamaoua, du Nord ou de l’Extrême-Nord), le premier Président du Cameroun ayant été originaire du Grand Nord, qui regroupait les trois Régions actuelles du Septentrion. Il a ajouté que les habitants du Nord soutiennent sans réserve Paul Biya, originaire du Sud du pays et du clan Béti, et ils le feront aussi longtemps qu'il souhaitera rester aux commandes du Pays. Mais après, ils revendiqueront le pouvoir qui leur revient selon eux, de droit. Avec Paul Biya à l'écart, un Marafa Hamidou Yaya du Grand Nord formé par les Américains, serait donc un choix idéal pour protéger les intérêts américains dans la sous-région. Il purge actuellement une peine de 25 ans de prison pour détournement de fonds.
Tout comme au Venezuela, où les États-Unis ont rapidement reconnu le président de l'Assemblée nationale du Venezuela, formé par les Américains, Juan Guaido, lorsqu'il s'est autoproclamé président par intérim de ce pays d'Amérique du Sud riche en pétrole, il est dans l'ADN des États-Unis de se mêler des affaires des autres pays, d’y faire et défaire des régimes au gré de leurs intérêts.
Le débarquement de S.E. Paul Biya est donc stratégique pour eux. L’une de leurs stratégies est de créer une impasse dans les deux régions anglophones, alors que le 1er grand foyer de crise, Boko Haram, est encore ardent dans le septentrion. Instrumentaliser la différence culturelle, notamment la langue (importée), l’accentuer afin de semer la haine dans les cœurs des populations de ces deux Régions vis-à-vis de Yaoundé sur un fond de révolte. La crise dite anglophone est la nouvelle piste, après les échecs itératifs de fabriquer un leader providentiel de l’opposition, à travers deux pantins : Maurice Kamto et Oshi Joshua. Ces deux chefs de l’opposition (amis de l’Occident) n’ont pas pu sortir Paul Biya des urnes. Aujourd’hui de nombreuses voix averties s’élèvent pour accuser les Etats-Unis de financer ces deux leaders de l'opposition bien que l'administration Trump ait nié.
L'Amérique, une démocratie défectueuse, où l’on peut arriver au pouvoir avec moins de voix à l’élection présidentielle que son adversaire !!! Bien inspiré par ce modèle inique, un éminent enseignant, juriste internationaliste et constitutionnaliste averti a, certainement dans une crise d’amnésie profonde l’ayant amené à oublier les fondamentaux du droit public, décidé de s’autoproclamer vainqueur de l'élection présidentielle du 7 octobre, une nuit seulement après le scrutin. Maurice Kamto, puisqu’il s’agit de lui, a juré de protéger sa "victoire" par tous les moyens, y compris la rue. Il a littéralement enfreint une loi de la démocratie ! Les Etats-Unis et d'autres pays occidentaux se sont sans surprise murés derrière un mutisme complice, espérant en secret un enchainement des manifestations de rue contre le président Biya, à l’image de celles du Venezuela contre le président Nicolas Maduro. En janvier dernier, le gouvernement a été contraint d'arrêter Maurice Kamto et ses partisans. A leur grand dam, les Camerounais apprécient diversement cette arrestation et canalisent plutôt leur énergie vers d'autres sujets de société.
Le chaos est la nouvelle option pour empêcher le président Paul Biya, élu démocratiquement, de mener à bien son mandat. Si les Camerounais sont décidés de s’aligner derrière un seul homme (Paul Biya), ils doivent savoir qu’au change, ils devront faire avec un pays brisé, accablé de toutes part et affaibli, au profit de l'Amérique et d'autres sangsues.
Peu après son interpellation, la petite comédienne du barreau du Cameroun, Ndocki Michelle a confié aux forces de l´ordre que c´est les metteurs en scène Kamto Maurice, Ndzongang Albert, Penda Ekoka qui leur avait demandé à elle et Djamen Célestin de se livrer à la grotesque comédie du 26 janvier à Douala.
Ceci étant dans le but de créer une étincelle qui aurait été le point de départ d´une insurrection téléguidée et planifiée et qui aurait embrassé le Cameroun tout entier. Peine perdue, le peuple Camerounais n´est pas dupe.
En cavale depuis le 28 janvier, l'actrice des réseaux sociaux et avocate Ndocki a été appréhendée hier à Idenau près de Limbé (département du Fako) non loin de la frontière nigériane, grâce aux fins limiers de la police camerounaise. Elle était en possession d´un visa clandestin canadien dans son passeport.
Il faut relever qu´aucune trace de blessure, aucune cicatrice n´a été constatée sur elle, alors qu´elle avait fait croire au monde entier avoir reçu deux balles dans sa jambe droite lors de la manifestation interdite du 26 janvier à Douala et qu'elle était à la quête d'un soulagement chez les guérisseurs dans la zone Idenau. Ndocki était l'actrice bancale d'un vaste complot insurrectionnel avorté.
Michelle a été transférée sous bonne escorte à Yaoundé où elle rejoindra à Nkondengui ses mécènes et manipulateurs Kamto, Ekoka, Ndzongang. La récréation est donc terminée et force reviendra à la LOI.
A l’occasion du Mobile World Congress, Orange s’associe à KaiOS Technologies et UNISOC pour commercialiser un mobile à reconnaissance vocale à 20 dollars, dans 16 pays d’Afrique et du Moyen-Orient : Botswana, Burkina Faso, Cameroun, République Centrafricaine, République Démocratique du Congo, Côte d’Ivoire, Egypte, Guinée Bissau, Guinée Conakry, Jordanie, Libéria, Madagascar, Mali, Maroc, Sierra Leone et Tunisie.
Un smart feature phone 3G à un prix attractif
Dès Avril 2019, les clients d’Orange au Mali, au Burkina Faso et en Côte d’Ivoire auront accès à une nouvelle catégorie de téléphones intelligents fonctionnant sous KaiOS, le système d’exploitation de KaiOS Technologies. Les autres pays suivront dans le courant de l’année 2019.
Sanza sera commercialisé avec une offre (voix/SMS/data) à environ 20$ (tarif différent selon les pays), ce qui permettra à de nombreux clients d’optimiser leur budget.
Sanza c’est la simplicité d’un feature phone équipé de la plate-forme UNISOC SC7731EF avec une durée de batterie supérieure à 5 jours, la 3G+, une torche, le wifi et le bluetooth, combinée à des fonctionnalités avancées proches d’un smartphone.
Des fonctionnalités avancées sur mesure pour les Africains
Grâce à Google Assistant, Sanza surmonte les freins à l’accès à l’internet mobile, liés aux langues et à l’alphabétisation. Les clients peuvent accéder aux applications et à de multiples informations simplement par la voix : en français et en anglais, peu importe l’accent. D’autres langues sont à venir courant 2019. Le menu du téléphone est déjà disponible en arabe, swahili, portugais, anglais et français.
Ce nouveau mobile permettra également d’accéder aux applications telles que Twitter, Facebook, YouTube, Google Search et Google Maps ; sans oublier Orange Money, l’offre de transfert d’argent et de services financiers et Orange & Moi, l’application qui permet notamment de suivre sa consommation mobile.
Pour Alioune Ndiaye, Directeur Général d’Orange Middle East and Africa : « Sanza est une preuve concrète de la capacité d’Orange à être un acteur majeur de l’inclusion digitale en Afrique et au Moyen-Orient. Avec son accès à internet en mode vocal et son prix attractif autour de 20$, j’ai la conviction que ce mobile 3G et bientôt 4G, est un levier puissant pour développer l’accès à internet pour tous en Afrique.»
D’après Gérard Lokossou, Directeur Général d’Orange République Démocratique du Congo : « Le taux de pénétration du smartphone en RDC est encore assez faible, soit 30% contre une moyenne de 50% sur le Continent. Le développement du paiement mobile via Orange Money, le lancement de la 4G+ en 2018 et notre politique de généralisation de la 3G sur l’ensemble du territoire sont autant de facteurs pour booster la pénétration des smartphones en RDC. La commercialisation prochaine du Sanza à un prix abordable illustre bien cette stratégie de démocratisation de l'accès à Internet dans le pays ».
Pour Sebastien Codeville, CEO de KaiOS Technologies :"Notre mission est d'aider à combler le fossé digital en amenant la connectivité mobile aux milliards de personnes n'ayant pas encore accès à Internet dans les pays émergents mais également à ceux dans les pays développés qui sont à la recherche d'une alternative aux smartphones.
Sanza par Orange marque une étape importante dans l'accomplissement de cette mission, nous aspirons à un beau succès en Afrique grâce à son prix attractif, ses caractéristiques et fonctionnalités uniques mais également grâce à la forte présence d'Orange dans la région."
Orange est présent dans 20 pays en Afrique et au Moyen-Orient et compte 120 millions de clients. Avec 5 milliards d’euros de chiffre d’affaires en 2017, cette zone est une priorité stratégique pour le Groupe. Orange Money, son offre de transfert d’argent et de service financiers sur mobile disponible dans 17 pays compte 40 millions de clients. Orange, opérateur multi services, partenaire de référence de la transformation numérique apporte son savoir-faire pour accompagner le développement de nouveaux services digitaux en Afrique et au Moyen-Orient.
Yuichi Ishizuka, président-directeur général de Canon EMEA (Europe Moyen-Orient et Afrique), fournisseur mondial de technologies et de services d’imagerie, s’est rendu en Égypte dans le cadre de sa tournée régionale en Afrique.
Cette visite renforce l’engagement de Canon EMEA de stimuler l’innovation dans l’industrie de l’imagerie dans la région, en générant de la valeur pour le marché égyptien et l’économie du pays.
L’Égypte fait partie de la CCNA (Canon Central and North Africa), une organisation de vente régionale créée en 2016 dans le cadre d’une démarche stratégique pour optimiser les activités de Canon en Afrique et renforcer la présence de la Société dans chaque pays du continent. L’Égypte, un marché clef pour la CCNA, est l’une des plus importantes économies de la région. Selon la Banque mondiale, le taux de croissance du pays atteindra 5 à 6% en 2019 et son PIB devrait avoisiner 315 milliards de dollars en en 2020.
« Il existe de nombreuses opportunités de croissance pour Canon en Afrique et en Égypte en particulier, un pays que nous considérons comme la porte d’entrée du continent africain. L’Égypte suit une trajectoire ascendante et connaît des transformations positives qui en feront un important carrefour commercial régional. Je suis ravi de venir constater ces progrès par moi-même, d’évaluer les dynamiques du marché et de mieux comprendre les besoins de nos clients. Je souhaite également souligner l’extraordinaire travail fourni par les employés de Canon au niveau local et qui a permis de renforcer notre présence en Égypte aussi bien au niveau du segment grand public que de celui des entreprises », a déclaré M. Ishizuka.
Grâce à la CCNA, Canon opère de manière plus ciblée en Égypte afin d’aider le gouvernement et les entreprises à adopter les dernières technologies d’imagerie, à atteindre leurs objectifs de croissance et de développement dans un monde en pleine évolution et de plus en plus numérisé.
Au début de l’année, Canon a lancé en Égypte sa gamme d’appareils photo plein format et sans miroir destinés aux photographes et cinéastes professionnels. Dans le cadre de son investissement continu dans la région, Canon a lancé dans le pays l’EOS R, qui permet aux utilisateurs de prendre des photos et des vidéos dans des conditions de luminosité extrêmement faible, avec une mise au point précise.
L’Afrique est un marché en développement rapide pour Canon, d’autant plus qu’au cours de la prochaine décennie les gouvernements de toute la région et d’Égypte en particulier s’efforceront d’adopter la numérisation en tant que politique visant à garantir des opérations parfaitement fluides et efficaces Les technologies d’imagerie font partie intégrante de cette transformation. Canon a récemment participé au forum Africa 2018 à Sharm El-Sheikh pour débattre des opportunités d’affaires et d’investissement avec des parties prenantes égyptiennes des secteurs privé et public, afin de favoriser les ambitions économiques et de développement social.
En outre, avec l’émergence de sociétés technologiques et de start-ups locales, alimentée par les initiatives entrepreneuriales d’une jeunesse qui constitue la majeure partie de la population, les innovations et technologies d’imagerie sont cruciales pour la croissance de ces « startup » et petites et moyennes entreprises (PME) qui favorisent la diversification économique et soutiennent le développement des marchés émergents.
Au cours de sa tournée, M. Ishizuka s’est rendu sur le campus de l’Université allemande du Caire (GUC) pour y visiter le nouveau Canon Printing Park, récemment créé en collaboration avec Integrated Office Systems (IOS), partenaire local et distributeur agréé de Canon.
Équipé d’une grande variété d’imprimantes polyvalentes Canon, le Printing Park permet aux étudiants de la GUC de se familiariser avec les innovations d’imagerie numérique qu’ils utiliseront dans le cadre de leurs futures activités professionnelles. Le Printing Park sera également au service de sociétés externes, comme des agences marketing, des architectes d’intérieur et d’autres entreprises qui s’appuient sur l’imagerie et l’impression pour exercer leurs activités.
Canon projette d’étendre le rayonnement de toutes ses gammes de produits sur le marché, d’aider ses partenaires locaux à gagner des parts de marché aussi bien dans le segment des entreprises que dans celui du grand public, et de devenir le leader du secteur de l’imagerie en Égypte.
Human rights watch a fait une publication dans laquelle elle présente les derniers événements survenus dans les régions anglophones du Cameroun. Seulement, dans ledit article, elle évoque entre autres, l’enlèvement de 170 élèves d’un pensionnat le 16 février dernier et la “destruction” de l’hôpital de Kumba le 11 février par les séparatistes.
“La crise dans les régions anglophones du Cameroun a eu de lourdes conséquences sur l’éducation. Les séparatistes et des assaillants inconnus ont endommagé, détruit ou incendié de nombreuses écoles et enlevé des centaines d’élèves à travers ces régions”, peut-on lire dans l’article.
Mais quelle est donc cette idée saugrenue qui fait que Human rights watch ose comparer les exactions commises par les séparatistes avec de supposées actions commises par les Forces de Sécurité ? Comment comparer des terroristes et une armée ? A-t-on déjà fait la comparaison entre Al Qaïda et l’armée américaine ? Une guerre est certes sale et jamais souhaitée, mais une force Républicaine ne mène pas des actions terrifiantes: elle défend la population et l’Etat.
L’armée camerounaise est déployée dans les régions en crise du Cameroun pour assurer la protection des civils et non pour la mettre en mal. Les affirmations de HRW restent donc infondées dans la mesure où elles sont faites au conditionnel et sans documentation concrète. HRW semble vouloir assimiler toutes les conséquences des actes posés par les combattants rebelles aux mesures de sécurité prises par les forces de défense camerounaises, assimilant des tirs de sommation des soldats à des coups de feu visant à menacer des patients à l’hôpital. Des actes commis par les séparatistes sont plus ou moins attribués à l’armée, ce qui représente certainement un début d’accusation de violation des droits de l’Homme par l’Etat camerounais.
Depuis quelques semaines, la recrudescence des violences dans les régions du Nord-Ouest et Sud-Ouest a été largement diffusée par les médias nationaux et internationaux, suscitant désolation et surtout colère chez tout le monde. Il devient donc difficile de concevoir qu’au lendemain de toutes ces attaques, l’on en vienne à prendre l’armée pour responsable.
Pour satisfaire les populations de la région du Nord-Cameroun, afin de lutter contre la vie chère, les missions de contrôles de prix sont à pied d’œuvre dans tous les marchés de la région depuis quelques jours. Les ventes promotionnelles sont organisées avec des partenaires et autres opérateurs économiques.
A cet effet, des équipes sont sur le terrain pour combattre les spéculations, contrôler les commerçants et s’assurer de la disponibilité des vivres sur le marché et la fixation des prix. S’agissant de la situation des prix un fait marquant est à signaler selon le délégué régional : « le prix des produits vivriers sont satisfaisants et sont pour l’essentiel en baisse depuis quelque mois. Nous ne déplorons pas de problème au niveau de l’ensemble des produits de grande consommation notamment le riz, les céréales qui sont sur le marché en grande quantité et les prix sont conformes aux attentes des populations », indique Monsieur Dairou délègue régionale du commerce pour le Nord .
Signalons tout de même que le prix du kilogramme de la viande bovine qui avait tendance à s’élever depuis 2018 a connu une baisse du fait d’un certain nombre de mesure qui sont favorable. Il y a quelques mois dans cette partie du Cameroun, des petites tensions se faisaient sentir par rapport au prix et à la disponibilité de l’huile de table Diamaor produite aussi dans la région. Parmi les raisons évoquées : un certain dysfonctionnement, l’absence des consommables notamment les bouteilles, les étiquetages, les bouchons contrastés au sein de l’entreprise. S’étant rapproché de l’usine, qui la fabrique ; le responsable de la société rassure que le problème sera désormais réglé afin que les populations puisse être ravitaillés et consommer cette huile très prisée.
Toutefois, il faut relever que la région du Nord a connue cette année trop de problème du fait de la fermeture des frontières avec le Nigeria et de l’insécurité transfrontalière due à la nébuleuse secte Boko Haram dans la région de l’Extrême-Nord.
Ce qui avait conduire à l’arrêt des échanges commerciaux avec ce pays qui est pourtant l’un des partenaires incontournable de la région depuis fort longtemps. Même si les populations se sont tournées vers d’autres sources d’approvisionnement, la délégation entend satisfaire encore plus les populations dans les jours avenir a travers ses actions sur les marchés et avec les opérateurs économiques afin que le quotidien des populations puissent être plus radieux.
Félix Swaboka
Les régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest au Cameroun sont en proie à des ravages sécessionnistes depuis 2016. Au début de ce conflit qui oppose les forces de sécurité à des rebelles, ceux ci s’approvisionnaient à travers des rançons, le vol et la revente des marchandises, entre autres. L’une des sources principales de financement de ces combattants, qui inclut la diaspora et qui prend de l’ampleur, est le “crowdfunding”.
Des levées de fond ont été engagées sur plusieurs plates formes digitales, de plus en plus nombreuses et spécialisées, pour sponsoriser les séparatistes au Cameroun. Plusieurs journaux américains dénoncent en bloc cette pratique engagée par ces camerounais de mauvaise foi qui sont plus ou moins encouragés par le pays de l’Oncle Sam. Ils présentent les “ambazoniens” comme des terroristes à part entière que les Etats-Unis laissent se développer, par l’absence d’une décision interdisant la collecte de fonds à des fins terroristes sur son territoire par la diaspora camerounaise.
Prenant l’exemple du Hezbollah, ces médias démontrent l’indifférence de la législation américaine devant cette situation. En effet, les Etats-Unis, le Canada, l’Union européennes et plusieurs pays dans le monde ont interdit au Hezbollah de se servir du crowdfunding comme moyen de financement alors qu’il voulait diversifier ses sources de revenus.
Pourtant, le crowdfunding est fortement promu sur les réseaux sociaux au Cameroun par la diaspora. Elle est pratiquée sur des plates formes interdites au Hezbollah ainsi qu’à d’autres groupes terroristes interdits d’utiliser les levées de fond comme source de financement par des grandes puissances dans un élan de défense des droits de l’Homme.
Cette indifférence des autorités américaines est interprétée par plusieurs internautes comme une sorte de classification du terrorisme par catégories. Les exactions sont pourtant les mêmes, les victimes endurent les mêmes souffrances et les gouvernements rencontrent les mêmes difficultés. La problématique qui est ainsi soulevée est celle de la durée de ce silence dont les conséquences ne cessent de se multiplier au Cameroun. Les terroristes continuent malheureusement à financer leurs actions en toute quiétude.
Leurs actions contre les populations et contre l’Etat se multiplient. La destruction des infrastructures scolaires, publiques et mêmes médicales, les enlèvements, les assassinats et bien d’autres attaques sont devenues le quotidien des populations de ces régions.