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Ce dimanche 05 septembre 2021, les médias nationaux et internationaux ont relayé en boucle le coup de force du colonel Mamady Doumbouya et ses hommes, qui a délogé du Palais présidentiel, le président Guinéen Alpha Condé. A la suite de cette tentative de prise de pouvoir par la force, la France et les États-Unis montent au créneau pour condamner la démarche des putschistes.

 

Après le coup d'état en Guinée, la réaction de la communauté internationale en guise de condamnation ne s'est pas faite attendre. Et en droite ligne de cette désapprobation, le ministère des Affaires étrangères française s'est prononcé par le biais d'un communiqué. En effet, le Quai d’Orsay appelle à la libération du président Alpha Condé. Quelques heures plus tard, le département d’État américain a fait de même. Selon ce communiqué, la France « condamne la tentative de prise de pouvoir par la force » en Guinée et appelle à « la libération immédiate et sans condition du président (Alpha) Condé ».

Les États-Unis

C'est ainsi que les États-Unis ont tenu le même discours et ont condamné, dimanche, la tentative de coup d’État menée en Guinée, où un groupe de soldats mutins a dit avoir évincé du pouvoir le président Alpha Condé, proclamé la dissolution de la Constitution et du gouvernement et instauré la fermeture des frontières. Le département d’État américain a déclaré dans un communiqué que la violence et les mesures extra-constitutionnelles ne feraient qu’éroder les perspectives de paix, de stabilité et de prospérité de la Guinée.

« Les États-Unis condamnent les événements qui se sont déroulés à Conakry », était-il indiqué dans le communiqué. « Ces actes pourraient limiter la capacité des États-Unis et des autres partenaires internationaux de la Guinée à soutenir le pays alors qu’il se trouve sur la voie de l’unité nationale et cherche à offrir un avenir meilleur au peuple guinéen », précise le pays de Joe Biden.

Innocent D H

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Les dénommés Édith Ngang, Alambi Walters MUMA et Nchumuluh Tamufoh St Michael ont aussi été inculpés pour armement du terrorisme.

 

Les camerounais d’origine appelés Édith Ngang, Alambi Walters MUMA et Nchumuluh Tamufoh St Michael sont actuellement poursuivis par la justice américaine. D’après celle-ci, ils ont violé de nombreuses lois sur l’acquisition, la possession et le transport d’armes. Le 1er juin 2021, ils ont été inculpés.

Selon nos sources, ils ont été inculpés pour financement et armement du terrorisme dans les deux régions anglophones du Cameroun : le Nord-Ouest et le Sud-Ouest.

Ils sont accusés d'avoir "combiné ", "sciemment" et "délibérément" "exporté", " fait exporter" et "tenté d'exporter" des États-Unis vers le Cameroun via le Nigéria, des armes et munitions sans obtention préalable d'une licence ou autorisation écrite du département d'État.

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Pour entrer dans les détails, Edith Ngang est accusée d’avoir convoyé « 39 armes à feu de différents marques, modèles et calibres ; 45 chargeurs de différents marques, modèles et calibres ; et au moins 39 000 munitions de différents marques, modèles et calibres, qui étaient tous des articles de défense figurant sur la liste des munitions des États-Unis, sans avoir obtenu au préalable du département d’État une licence ou une autorisation écrite pour cette exportation ».

Et il se trouve que l’exploitation des échanges électroniques des coaccusés révèle que Edith Ngang a envoyé un message Whatsapp à l’un de ses complices le 8 janvier 2019, et qui disait : « notre nouvel approvisionnement est arrivé avec succès destination en toute sécurité... nous sommes prêts à approvisionner [sic] chaque comté avec des 30 AR calibres 15 ».

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Pour ce qui est d’Alambi Walters Muma, il lui est reproché, entre autres, avec ses complices de s’être procuré « des articles de défense, tels que des armes à feu et des munitions, ainsi que d’autres articles à usage militaire, tels que des bottes pour le désert et des sacs à eau (…), les conteneurs d’expédition à l’étranger afin d’exporter secrètement les articles au Nigeria sans obtenir de licence ni divulguer le véritable contenu des conteneurs, sans obtenir de licence ni révéler le véritable contenu des envois au transporteur étranger ou aux autorités gouvernementales ».

Il convient de souligner que l’inculpation de ces camerounais, démontre la volonté des Etats-Unis de lutter contre le financement du terrorisme qui nuit aux régions anglophones et au retour de la paix. D’ailleurs tout récemment, le gouvernement américain a choisi de mettre des restrictions de visa aux personnes soupçonnées d'être responsables ou complices, de l'entrave à la résolution pacifique de la crise dans les régions anglophones du Cameroun.

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Liliane N.

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La convention relative à ce don américain a été signée le 1er juin 2021 par Louis Paul Motaze le ministre des Finances et Vernelle Trim Fitzpatrick, chargée des Affaires à l’Ambassade des Etats-Unis au Cameroun.

Selon les chiffres officiels en 2020, 4121 personnes sont décédées de paludisme au Cameroun. Et pour ce qui est du Vih/Sida, les dernières données révèlent que 540 000 personnes vivaient avec cette pandémie dans notre pays en 2019, soit un pourcentage de 3,6% chez les adultes (entre 15 et 49 ans). Les Etats-Unis veulent accompagner le Cameroun dans la lutte contre ces deux maladies. C’est la raison pour laquelle, ils ont décidé de lui accorder un appui financier de près de 54 milliards de FCFA. Pour matérialiser cette décision, une convention a été signée hier à cet effet.

Côté Cameroun, c’est Louis Paul Motaze le ministre des Finances qui a signé la convention. Et du côté des américains, c’est Vernelle Trim Fitzpatrick, la chargée des Affaires à l’Ambassade des Etats-Unis au Cameroun, qui s’est chargée de cela.

«Nous avons le plan d’investir plus de 100 millions de dollars dans deux projets importants. Un projet de lutte contre le SIDA et un autre projet de lutte contre le paludisme. Ce sont deux programmes qui représentent une grande partie de l’investissement américain dans le secteur sanitaire pour aider le peuple camerounais», a déclaré la diplomate américaine au terme de la signature du contrat.

Il convient de rappeler que dans une de ses plateformes, l’Ambassade des Etats-Unis au Cameroun indiquait que le Programme National de Lutte contre le VIH du Cameroun est le plus grand investissement américain dans notre pays, avec près de 54 milliards de dollars en 2020.

Liliane N.

 

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L’annonce est contenue dans une note publiée par le bureau du porte-parole du département d’Etat américain, le secrétaire d’Etat, Antony Blinken et le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian. 

 

Dans cette note, l’on apprend que « les deux dirigeants se sont engagés à soutenir une résolution pacifique du conflit au Cameroun ». En ce qui concerne la France, il faut noter que jusqu’ici, le pays a soutenu l’idée selon laquelle un dialogue inclusif et sincère entre les fils et filles du Cameroun, permettra un retour définitif de la paix dans les régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest.

Quant aux Etats-Unis, il faut observer que refusant de s’ingérer dans les affaires politiques du Cameroun, le Congrès américain a donné quitus au gouvernement américain pour intervenir en faveur de la résolution du conflit, en prônant un dialogue inclusif véritable.

Soulignons que c’est avant la réunion des Affaires étrangères des pays du G7 (Royaume-Uni, Allemagne, Etats-Unis, France, Italie, Japon Canada) que le Secrétaire d’Etat américain, Antony Blinken et le Ministre français, Jean-Yves Le Drian se retrouvés en privé. C’est donc au cours de leurs échanges que les deux personnalités ont passé en revue la situation dans la partie anglophone du Cameroun.

Etait à l’ordre du jour de la réunion du G7 les sujets suivants : le changement climatique, les discussions nucléaires avec l’Iran, le conflit en Syrie, le coup d’Etat au Myanmar, la pandémie de Covid-19 ainsi que des relations avec la Russie et la Chine. Etaient également invités à cette rencontre, les ministres de la Corée du Sud, de l’Inde, de l’Australie, de l’Afrique du Sud, et du Brunei.

Innocent D H  

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La raison de ce changement de décision est, d’après ce que l’on peut lire sur les réseaux sociaux, le « conflit armé et la crise humanitaire en cours dans les Régions du Nord et du Sud Ouest mais également dans la zone Septentrionale du Cameroun ; par conséquent,  un retour en toute sécurité au Cameroun est impossible pour les Camerounais aux États-Unis en ce moment…».

 

Le vol sensé quitter Alexandrie, en Louisiane mercredi à 15 heures et arriver au Cameroun jeudi devait ramener 60 demandeurs d'asile, au rang desquels 5 des grévistes de la faim qui a eu cours au Pine Prairie.

Ces derniers ont d’ailleurs dénoncé, à travers des rapports, les graves violations des droits humains subies alors qu’ils étaient en détention au DHS.  

Sauvés in extremis par le gong

Etant donné que la semaine dernière, l'administration Biden a expulsé des centaines de personnes venant de Haïti, de la Jamaïque, du Guatemala, du Mexique…

Après avoir eu la certitude qu’ils ne rentreront pas de force au Cameroun, nombreux sont ceux qui ont entamé des démarches afin d’être permanemment protégés et que dans l’avenir, ils ne soient plus concernés par une quelconque mesure d’expulsion. Ils exigent d’ailleurs que toutes celles qui sont restantes soient annulées.

Tous les Camerounais n’ont pas eu la même chance

Certains étaient revenus au bercail en Octobre 2020, après avoir signé des documents dans lesquels ils prenaient la résolution de ne plus jamais remettre les pieds aux Etats – Unis.  

A cette époque, quatre vingt et une (81) personnes, se présentant comme des demandeurs d’asile, sous de fallacieux prétextes, avaient été accueillis à l’aéroport international de Douala, par les responsables de certains départements ministériels parmi lesquels celui de la Santé Publique, des Relations Extérieures.

Un retour qui, bien qu’il se soit déroulé dans la douleur pour certains, leur a permis d’échapper aux conditions d’incarcération au niveau du Centre  détention dans l’Etat du Texas - sud-est des Etats-Unis.  

Aimer et défendre son pays

Bien qu’ayant réussi à convaincre les américains de les garder dans le vieux continent, il n’en demeure pas moins que les Camerounais, installés de ce côté pour une raison ou une autre, doivent arrêter de parler négativement de leur pays.

C’est depuis la fin de l’élection présidentielle d’Octobre 2018 que  certains ont commencé à laisser paraître des attitudes d’anti patriotes, abreuvant ceux qui ne pensent pas comme eux d’insultes, n’hésitant même pas à s’en prendre physiquement à ces compatriotes qui tentent de les ramener à plus de retenue.

Ni le Président de la République, ni les membres de sa famille n’ont été épargnés par ces « individus ». Si quelques uns se retrouvent dans les rangs de ceux qui rentrent, ils devraient peut être inquiets à cause de leurs mots. L’effet de masse peut payer pendant un moment, mais à coup sûr, il arrive un moment où il faut avoir assez de courage pour assumer.

 

Nicole Ricci Minyem

 

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Les parlementaires américains ont saisi par voie de correspondance Tibor Nagy le Sous-secrétaire d’Etat américain aux affaires africaines.

 Joaquin Castro, Karen Bass, Ilhan Omar et Cedric Richmond sont les Députés américains qui s’opposent au rapatriement des ressortissants camerounais en situation irrégulière aux Etats-Unis. Pour officiellement exprimer leur opposition, ils ont décidé d’écrire à Tibor Nagy, le Sous-secrétaire d’Etat américain aux affaires africaines.

 «Nous vous demandons donc d’utiliser tous les outils à votre disposition en tant que Sous-secrétaire d’Etat aux affaires africaines, pour arrêter le vol d’expulsion du 10 novembre et toutes les futures expulsions vers le Cameroun», ont écrit les Députés signataires de la lettre. Ils sont convaincus du fait que Tibor Nagy peut peser de son poids pour infléchir la position du département de la sécurité intérieure.

 Il faut rappeler qu’effectivement depuis le 13 octobre 2020, des camerounais en situation irrégulière sont expulses des Etats-Unis.  A cette date-la, 60 de nos compatriotes ont été contraints de revenir au pays. Les Députés Joaquin Castro, Karen Bass, Ilhan Omar et Cedric Rich s’opposent à ces expulsions parce que considérant le Cameroun comme un pays sous l’emprise des violences et de l’instabilité politique, notamment dans ses régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest. Ils citent l’Ambassade des Etats-Unis Cameroun et meme Tibor Nagy qui ont souvent condamné les cas de violations des droits de l’homme dans la crise anglophone.

 Liliane N.

 

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Ce samedi, Joe Biden a été élu Président des Etats-Unis d’Amérique à l’âge de 77 ans. Le désormais 46ème chef d’Etat américain a remporté la présidentielle du 03 novembre dernier face à Donald Trump et mettant fin à une séquence politique inédite qui a secoué l’Amérique et le monde. Dans son premier discours prononcé tard dans la soirée, Joe Biden promet d’être le président qui unifiera l’Amérique.

 

 Quelques heures après l’annonce des résultats de l’élection, devant une foule en liesse rassemblée en « drive-in », le démocrate a appelé les Américains à ne plus traiter leurs « opposants comme des ennemis ». « Je m’engage à être un président qui rassemble et non qui divise », a lancé le nouveau Président des Etats-Unis lors d’un discours enflammé dans son fief du Delaware.

Le constat qui se dégage de ce moment solennel pour Biden, c’est que le 46ème Chef d’Etat américain a célébré sa « victoire convaincante » sans adresser un mot à son adversaire.  Il a néanmoins tendu la main aux électeurs du président républicain dont il a dit comprendre la « déception ». « Voyons-nous, parlons-nous », « donnons-nous une chance », a ajouté Joe Biden. « Il est temps de panser les plaies du pays et d’en finir avec les diabolisations », l’a-t-il insisté.

Notons que le résultat de la présidentielle américaine a été dévoilé en fin de matinée aux Etats-Unis ce samedi par de nombreux médias américains. C'est la victoire dans l'Etat de Pennsylvanie puis dans celui du Nevada qui permet au candidat démocrate de s'imposer finalement dans ce scrutin avec 290 grands électeurs (270 pour gagner) contre 214 pour son adversaire, soit 50,6% pour le candidat démocrate et 47,7% pour Donald Trump. Il pourrait encore rafler deux Etats dans les prochaines heures : l'Arizona et la Géorgie, soit 27 grands électeurs de plus, apprend-on.

Kamala Harris a aussi pris la parole, juste avant le président élu. La future vice-présidente, première femme à accéder à ce poste, a affirmé, toute vêtue de blanc, qu'elle ne serait « pas la dernière ». Elle a saisi l’opportunité pour rendre un hommage aux « générations de femmes » de toutes origines, qui lui ont « ouvert la voie ». 

 

Le plus vieux Président américain

Les Républicains ont souvent critiqué le candidat démocrate en raison de son âge. Donald Trump l’a affublé du surnom de « Joe l’endormi ». Joe Biden va battre un record : celui du chef d’État américain le plus âgé. Il fêtera ses 78 ans le 20 novembre prochain. En moyenne, les présidents américains avaient environ 55 ans lors de leur arrivée au pouvoir, a calculé France culture. Donald Trump avait quant à lui 70 ans lors de son élection. 

Innocent D H

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Tout en condamnant l’assassinat des élèves survenu samedi dernier à Kumba, l’Union européenne et les Etats-Unis réclament des sanctions pour les auteurs.

 

Tout comme les hommes politiques, les hommes des médias, la société civile, les partenaires du Cameroun à savoir l’Union européenne et les Etats-Unis condamnent, ce qui s’est passé à l’école privée Mother Francisca International Bilingual Academy de Kumba, dans la région du Sud-Ouest le samedi 24 octobre 2020.

Pour l’Union européenne, l’acte barbare constitue une violation du Droit international sur les populations civiles. « La Délégation de l'Union Européenne au Cameroun condamne l'attaque contre des élèves au sein du Mother Francisco Memorial College à Kumba (région du Sud-Ouest) et adresse ses condoléances aux proches des victimes. Cette attaque constitue une violation du droit international sur les populations civiles. Les responsables devront répondre de leurs actes », peut-on lire dans sa déclaration.

Les Etats-Unis, le meurtre des élèves de l’école suscitée est un acte odieux et méprisable. Il « montre un dédain envers les vies innocentes qui représentent l’espoir d’un avenir positif. La violence doit cesser dorénavant et les enfants devraient pouvoir exercer leur droit d’aller à l’école sans craindre pour leur sécurité. Les auteurs de cette attaque doivent être tenus pour responsables et traduits en justice », affirment les américains.

Dans leur communiqué parvenu à notre rédaction, les américains ont présenté leur condoléance aux familles des enfants décédés et exprimé leur soutien à celles dont les enfants ont été blessés. Ils ont témoigné leur gratitude à tous ceux qui fournissent des soins médicaux aux blessés.

A titre de rappel, selon le bilan officiel, six élèves ont été tués par des hommes armés. Ils étaient âgés entre 9 et 12 ans. 13 enfants sont blessés et 7 le sont grièvement.

 

Liliane N.

  

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De nouvelles dispositions prises à moins de trois (3) semaines du scrutin prévu le 02 Novembre prochain parce que le président sortant « a refusé de perdre son temps avec un débat virtuel  imposé par la commission à cause de son infection au Covid ».

 

Les candidats ont tous les deux répondu aux questions d’électeurs. Donald Trump sur NBC et Joe Biden sur ABC. Et s’il faudra attendre quelques heures pour savoir qui a gagné la bataille de l’audience, ils ont vécu des soirées contrastées.

Donald Trump en difficulté

Sur NBC, la soirée a tourné à un face-à-face entre Donald Trump et la journaliste Savannah Guthrie. Avant de laisser la parole aux électeurs, elle a, sans relâche, mis le président américain face à ses contractions.

A-t-il, oui ou non, été testé négatif avant son premier débat face à Joe Biden  – un point sur lequel la Maison Blanche entretient le plus grand flou. En 90 secondes, Donald Trump a d’abord dit « Je ne me souviens pas », puis « oui, probablement » et enfin « peut-être que oui, peut-être que non. » Ce n’est pas qu’un point de détail : il s’agit d’établir si Donald Trump savait qu’il avait été exposé au coronavirus avant le débat et l’a caché.

Le président américain a ensuite refusé de condamner les conspirationnistes de Qanon, expliquant qu’il ne les connaissait pas, avant d’assurer qu’il soutenait leurs positions « contre la pédophilie ».

Il a également défendu son retweet d’une théorie du complot farfelue selon laquelle c’est un sosie de Ben Laden qui aurait été tué lors du raid ordonné par Barack Obama : « C’était un retweet, c’était l’opinion de quelqu’un. Je pose ça là, les gens peuvent se faire leur propre opinion ». Réponse de la journaliste : « Mais vous n’êtes pas un crazy uncle (tonton cinglé) qui retweet n’importe quoi. »

Face aux électeurs, Donald Trump s’est ensuite ressaisi. Il a défendu sa gestion du coronavirus, ironisant sur la seconde vague européenne. Avant de rester évasif sur l’immunité collective.

Biden pas vraiment bousculé

Sur ABC, l’ambiance était beaucoup plus feutrée pour Joe Biden. Le journaliste George Stephanopoulos a laissé le micro aux électeurs, qui ont posé des questions polies au démocrate. Il a reconnu avoir fait une erreur en soutenant la réforme pénale de 1994, qui a été très critiquée depuis par la communauté afro-américaine sur ses peines plancher. Il est également resté vague sur la possibilité d’augmenter le nombre de juges à la Cour suprême et a assuré qu’il ne voulait pas « couper le budget de la police ».

Mais globalement, Joe Biden avait une seule mission : ne pas se tirer une balle dans le pied. Il n’a peut être pas convaincu de nouveaux électeurs. Mais avec 9 points d’avance sur Donald Trump, selon la moyenne des sondages, il voulait avant tout ne pas en perdre.

 

N.R.M

 
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Les Etats-Unis ont décidé de ne donner que des visas de deux années, aux étudiants de 59 pays. 

Parmi les 59 pays à être concernés par la mesure des Etats-Unis, 38 sont africains. Et parmi ces 38 pays africains, on retrouve le Cameroun. Le visa qui sera désormais octroyé aux étudiants des nations concernées par cette nouvelle mesure aura une durée de 2 ans. Le département de la Sécurité intérieure des Etats-Unis a sorti une note officielle.

En fait les pays frappés par cette mesure américaine sont catalogués comme faisant l’apologie du terrorisme d’une part, et d’une autre part, ceux dont le taux de séjour s’élève au-delà de 10%. Il convient de préciser toutefois, que pour les formations excédant deux ans, les étudiants pourront faire une demande de prolongement de leur séjour en territoire américain, laquelle ne sera autorisée qu’après enquête du département de la Sécurité intérieure.

Les pays africains concernés sont: le Kenya, le Rwanda, l'Ouganda, la Tanzanie, le Burundi, le Soudan du Sud, la Somalie, l'Ethiopie, le Bénin, le Burkina Faso, le Burundi, la République Centrafricaine, le Tchad, la RDC, le Congo, la Côte d'Ivoire, Djibouti, la Guinée équatoriale, l'Erythrée, le Gabon, la Gambie, Le Ghana, la Guinée, la Guinée-Bissau, le Liberia, la Libye, le Malawi, le Mali, la Mauritanie, le Niger, le Nigeria, Guinée, le Sénégal, la Sierra Leone, le Soudan, le Togo et la Zambie.

Liliane N.

 

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Sunday, 05 June 2022 11:01