Cette édition se célèbre sous le thème : "Faisons briller notre Lumière à travers le Monde". Pour les organisateurs, cet évènement a pour principal mérite, de contribuer de manière significative, à l’implication de la personne albinos dans tout processus de développement au Cameroun.
Une raison qui trouve tout son sens, suite à la décision prise au cours de l’assemblée générale de l’Organisation des Nations Unies, le 18 Décembre 2014. A l’issue des assises, la date du 13 Juin avait été arrêtée comme journée commémorative de la sensibilisation sur l’albinisme. Le but poursuivi était de stopper la stigmatisation et, de revaloriser la dignité de la personne albinos.
Du haut de cette tribune, Ban Ki-Moon, alors secrétaire générale de l’ONU, avait appelé à la sensibilisation des sociétés sur la notion d’albinisme, afin de dissiper les mythes, promouvoir la justice et mobiliser l’action internationale contre la discrimination : « Nous devons mettre à profit la Journée internationale de sensibilisation à l’albinisme pour défendre la dignité intrinsèque des personnes albinos »
Une politique coptée sur le plan national, grâce à l’Association des Femmes Albinos du Cameroun, dirigée par Madame Wafo Marie Madeleine. Résolues de prendre leur destin en main et de faire changer leur situation eu égard aux maltraitances et autres sévices subit dans leur dignité et leur valeur intrinsèque, les membres de cette association ont saisi le prétexte de cette célébration, afin de promouvoir le talent, la beauté et l’intelligence des personnes atteintes d’albinisme, ainsi que leur autonomisation dans la lutte contre la pauvreté, le plein emploi et le travail décent.
Autres objectifs visés : Favoriser la réinsertion de la personne albinos dans la société - Lutter contre toutes formes de discrimination (sociales, familiales ; culturelles, économiques, professionnelles…) dont sont victimes les albinos - Eveiller les consciences sur l’impact négatif de la stigmatisation sur la personnalité et la dignité des albinos - Promouvoir les talents artistiques et culturels - Valoriser l’esprit de leadership et d’entreprise - Eduquer les populations afin de changer les mentalités. Encourager le dynamisme et l’esprit d’initiative de la personne albinos…
Cette année, dans le souci de redynamiser et d’innover ses activités, l’Association des Femmes Albinos du Cameroun (AFAC) a décidé, peut être mieux que lors des précédentes éditions, d’organiser un événement à grande valeur sociale, culturelle, économique et professionnelle. C’est ainsi qu’en plus des réflexions menées autour du thème central, ceux qui vont faire le déplacement de l’hôtel Pullman à Douala, auront l’embarras du choix, au regard de la pléthore d’activités organisée pour cette 5ème année : Foire exposition – Une élection Miss et Master Albinos du Cameroun 2019 - Des Conférences débat – Une consultation en dermatologie – Une soirée de clôtures d’activités – La Remise des Dons.
L’AFAC, créée il y a six ans, est une association à but non lucratif dont le principal objectif est de contribuer à l’amélioration des conditions de vie des personnes atteintes d’albinisme.
Nicole Ricci Minyem
Suite à la diffusion, le 25 avril dernier, d’images d’hommes en tenue décapités dans les zones anglophones du Cameroun, L’ambassade des États-Unis a déploré ces actes de torture, le démembrement et de décapitation. Elle appelle ainsi, toute personne disposant d’informations susceptibles de contribuer à l’identification des auteurs de ces actes à assister les autorités légales et à soutenir une enquête et un procès justes et transparents.
« L’ambassade des États-Unis déplore les actes de torture, le démembrement et la décapitation d’un gendarme dans la région du Sud-Ouest du Cameroun. Nous condamnons également la décapitation d’un soldat camerounais à Bamenda, dans la région du Nord-Ouest. Nous adressons nos condoléances à leurs familles ». Voilà un extrait du message publié par la représentation diplomatique américaine au Cameroun à la suite de la diffusion, le 25 avril dernier, d’images d’hommes en tenue décapités dans les zones anglophones du Cameroun.
Par ailleurs, la représentation diplomatique exhorte la police et les forces de sécurité camerounaises à faire preuve de retenue. « Les représailles contre ces provocations mettraient en danger la population civile et ne feraient que nourrir un cycle de violences. La violence doit cesser. Maintenant plus que jamais, nous appelons les deux parties à engager un dialogue élargi sans condition préalable », conseille l’ambassade.
Pour rappel, c’est depuis octobre 2016 que, le Sud-Ouest et le Nord-Ouest du Cameroun connaissent des tensions sociopolitiques. Des revendications corporatistes (enseignants et avocats) ont mué au fil du temps en revendications sécessionnistes. Désormais, les forces de défense font face à des groupes armés séparatistes. Ceux-ci n’hésitent pas à attaquer militaires, policiers, gendarmes et civils. Les photos des personnes kidnappées, tuées, décapitées sont régulièrement diffusées sur les réseaux sociaux. Il s’est ainsi installé une économie de guerre. En effet, les séparatistes kidnappent des personnes et exigent des rançons.
Des ONG comme Amnesty International ou Human Rights Watch accusent l’armée camerounaise de commettre des exactions. Ce que réfute le gouvernement camerounais. Selon le Haut-Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés, 21 291 Camerounais ayant fui les violences dans le Nord-Ouest et le Sud-Ouest se sont réfugiés au Nigeria.
Danielle Ngono Efondo
Les judokas Camerounais ont achevé la 40e édition des Championnats d’Afrique qui se sont déroulés du 25 au 28 avril 2019 à Cape Town en Afrique du Sud sans aucune médaille d’or. Les Lions du Judo occupent la 8e place au classement général avec cinq médailles, dont deux médailles d’argent et trois de bronze.
Les deux médailles d'argent sont les réalisations de Bernardin Tsala Tsala, dans la catégorie 60kg messieurs et l’étoile camerounaise de cette discipline sportive, Hortense Vanessa Mballa Atangana dans la catégorie des 78 Kg Dames. Ils ont été vaincus en finale par des tunisiens, respectivement Nigel Cheick Rouhou et Fraj Dhouibi. Audry Jepang dans la Catégorie des moins 78Kg, Seydou Nji Moluh chez les moins 100Kg et François Tientcheu chez les plus de 100Kg, sont les athlètes qui ont offert au Cameroun les trois médailles de bronze. Même sans médaille d’or, le Cameroun représenté par 14 athlètes, notamment huit messieurs et six dames, a réalisé une meilleure performance par rapport à l’édition 2018 en Tunisie, où il avait décroché trois médailles.
D’une manière générale, la sélection algérienne, messieurs et dames, de judo a décroché la première place aux épreuves individuelles. Les judokas algériens ont récolté treize médailles dont 4 or, 4 argent, 5 bronze. Elle est suivie de la Tunisie qui totalise quatre médailles d’or, une médaille d’argent et trois de bronze. L’Egypte boucle ce trio de tête avec ses trois médailles en or, autant en argent et quatre médailles de bronze.
Marie MGUE
Un projet d’accord tripartite entre les gouvernements du Cameroun, la République centrafricaine et le HCR est actuellement en préparation. Le sujet était d’ailleurs au menu de l’audience accordée vendredi dernier par le ministre des Relations extérieures à l’ambassadeur de RCA au Cameroun, accompagné du représentant résident du HCR au Cameroun.
Le Cameroun abrite plus de 275 000 réfugiés centrafricains. Ces chiffres cités par Cameroon Tribune proviennent du Haut-commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR) au Cameroun. Les mouvements de retour volontaire de ces réfugiés devraient très bientôt être encadrés entre les deux pays. C’est le sens du projet d’accord tripartite entre les gouvernements du Cameroun, la République centrafricaine et le HCR en préparation.
Le sujet était au menu des échanges au cours d’une audience accordée vendredi dernier par le ministre des Relations extérieures, Lejeune Mbella Mbella, à Martial Beti-Marace, ambassadeur de RCA au Cameroun, accompagné de Lazare Etien Kouassi, représentant résidant de HCR au Cameroun. L’ambassadeur Martial Beti-Marace, a indiqué dans les colonnes de Cameroon Tribune que « le projet est en bonne voie ».
« C’est une audience commune et concertée que nous avons voulue avoir avec le ministre afin de nous enquérir davantage du processus d’Accord tripartite entre le Cameroun, la RCA et le HCR, pour le retour volontaire des réfugiés centrafricains. Nous avons été rassurés par la réponse du ministre et nous sommes très instruits par rapport à ses propos », a-t-il confié.
Un projet pour lequel le HCR ne ménage aucun effort en vue de la protection des réfugiés vivant en terre camerounaise. « Les chiffres évoluent. Les dernières statistiques que nous avions des réfugiés centrafricains fixent à un peu plus de 260 000 la grande majorité se retrouvant dans la région de l’Est, une partie dans l’Adamaoua et l’autre dans la région du Nord. On a aussi un petit groupe de réfugiés urbains à Yaoundé et Douala. Ce qui nous fait entre 260 et 270 000 réfugiés centrafricains », a-t-il ajouté.
En ce qui concerne le rapatriement des réfugiés, les hôtes de Lejeune Mbella Mbella ont dit ne pas avoir de date « pour le moment ». Un groupe de travail se penche justement sur les termes de cet accord afin de veiller à ce que ce retour se fasse dans la sécurité et la dignité. Comme l’a précisé l’ambassadeur centrafricain, « la signature ne vaut pas forcément le retour immédiat ».
Otric N.
Le ministre du Travail et de la Sécurité sociale indique que les autorités ont conçu et signé des textes qui visent à protéger le travailleur dans son milieu professionnel.
Demain c’est le 1er mai. Et le Cameroun va célébrer la 133ème édition de la fête du Travail. Alors que certains syndicats à l’instar de ceux des transporteurs routiers prévoient de ne pas prendre part à cette célébration, pour dénoncer le phénomène du transport routier clandestin, d’autres questions comme celle de la protection du travailleur sont aussi évoquées. Approché par le quotidien gouvernemental Cameroon tribune, Grégoire Owona le Ministre du Travail et de la Sécurité sociale (Mintss) fait savoir qu’en dépit du fait que la tâche ne soit pas encore achevée, en ce qui concerne la protection du travailleur, il y a lieu de noter que des textes ont été mis en place pour répondre aux préoccupations exprimées par les syndicats et délégués du personnel, et répondre aussi aux problèmes constatés par l’inspection du travail.
« Plusieurs textes majeurs ont été signés ces dernières années portant sur l’assurance volontaire, le relèvement des taux et plafond des cotisations, l’augmentation des allocations familiales des travailleurs du public et du privé ainsi que le relèvement du Smig. Nos actions se poursuivent actuellement sur la prévention des risques professionnels et le contrôle des conditions de travail à travers la réalisation des visites d’inspection en entreprises par les inspecteurs du travail qui ont donné lieu à l’établissement des lettres d’observations, des mises en demeure et des procès-verbaux d’infraction. Nous avons également œuvré au renforcement des mesures générales d’hygiène et de sécurité au travail à travers la création, le renouvellement et l’installation des Comités d’hygiène et de sécurité au travail, à la poursuite de la prévention du Vih et du Sida à travers le dépistage des travailleurs et membres de leurs familles, dans le cadre de l’initiative VCT @WORK », explique le Ministre.
Parlant toujours de ce qui est fait pour protéger les travailleurs au Cameroun, le ministre précise que sous l’arbitrage de son département ministériel, il y a des conventions collectives qui sont négociées ou révisées. Il y a des augmentations de salaires de l’ordre de 20% qui ont été faites dans certains secteurs ou certaines entreprises. « On enregistre un relèvement du salaire de certains travailleurs et par conséquent l’amélioration du pouvoir d’achat de leurs familles », ajoute-t-il.
Liliane N.
Dans cette correspondance, relayée par Cameroon Tribune, l’ambassadeur Michel Tommo Monthé procède à un récapitulatif des engagements et des mesures concrètes prises par le gouvernement en vue de parvenir à l’apaisement et au dialogue s’agissant de la situation socio-politique au Cameroun et particulièrement de celle qui prévaut dans les régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest. Le diplomate rappelle ainsi les engagements réitérés par le président de la République, Paul Biya au cours de la campagne électorale pour l’élection présidentielle du 7 octobre 2018, et même dans son discours d’investiture le 6 novembre 2018.
Le chef de l’Etat, au faîte des préoccupations de ses compatriotes, avait alors pris l’engagement d’actionner deux principaux leviers : œuvrer au retour de la paix et faire procéder à l’accélération du processus de décentralisation. C’est dans ce cadre que l’on peut également situer la création d’un ministère de la Décentralisation et du Développement local.
Dans la suite de sa correspondance, le représentant du Cameroun auprès des Nations unies a procédé, à l’intention du secrétaire général des Nations unies, à l’ensemble des mesures prises par le gouvernement, à l’initiative du président de la République : recrutement spécial de 1 000 enseignants bilingues, mise en place d’un fonds spécial de deux milliards de F pour servir de subvention en faveur des établissements d’enseignement privés laïcs et confessionnels, création d’une division spéciale du Common law au sein de la Cour suprême, réorganisation de l’Ecole nationale d’administration et de magistrature (Enam) pour y introduire la pratique obligatoire du bilinguisme, pour ne citer que celles-là.
D'autres mesures plus globales ont été prises. Cameroon Tribune cite, la création de la Commission nationale pour la promotion du bilinguisme et du multiculturalisme désormais opérationnelle ; le lancement du plan d’assistance humanitaire d’urgence d’un montant de 12,7 milliards de F afin de rétablir un cadre de vie propice à l’épanouissement et au développement des communautés affectées par les violences terroristes ; arrêt des poursuites alors pendantes devant les tribunaux militaires contre quelques 335 personnes dont les nommés Ayah Paul Abine, Nkongho Félix Agbor, Fontem Aforteka’a Neba ; création du Comité national de désarmement, de démobilisation et réinsertion (Cnddr)…
L’ambassadeur Tommo Monthé relève que « de manière générale, le climat socio-politique évolue sereinement, malgré les soubresauts occasionnés par certains acteurs qui continuent à vouloir contester dans la rue, les résultats de la dernière élection présidentielle ». Il rappelle du reste que dans un souci de transparence, les autorités camerounaises ont invité le haut-commissaire aux Droits de l’homme et le Parlement européen « à venir voir eux-mêmes la situation qui prévaut au Cameroun. Le représentant du Cameroun à l’Onu invite enfin les partenaires bilatéraux et multilatéraux de son pays à accompagner le gouvernement dans sa volonté de travailler pour un retour définitif à la normale.
Otric N.
C’est pour s’enquérir au mieux du travail qu’abat la Commission nationale pour la promotion du bilinguisme et du multiculturalisme (Cnpbm), que S.E Ran Gidor est allé à la rencontre de Peter Mafany Musonge, qui lui a accordé une audience. Au terme de ladite audience, le Diplomate israélien a tenu à indiquer l’importance du travail assigné à la Cnpbm pour la promotion du vivre ensemble au Cameroun et au-delà de ses frontières.
« Nous l’Ambassade d’Israël au Cameroun ainsi que la communauté internationale, pensons que le travail effectué par la Cnpbm est d’une importance critique non seulement pour le Cameroun, mais pour l’ensemble de la sous-région. C’est pourquoi nous souhaitons à la Commission, de même qu’à son président, beaucoup de succès », a-t-il déclaré. En rapportant face à la presse ce qui a meublé son échange avec Peter Mafany Musonge, le Diplomate israélien a indiqué qu’Israël est prêt à apporter sa contribution « dans des programmes qui participent au dialogue au niveau scolaire et universitaire ».
A titre de rappel, il convient de préciser que de nombreux pays amis et partenaires du Cameroun se sont déjà montrés résolus à apporter leur aide pour la promotion du vivre ensemble et le maintien de la paix dans notre pays. C’est le cas du Canada qui s’est proposé de partager son expérience du bilinguisme avec le Cameroun. Lors de la rencontre du 10 décembre 2018, S.E Nathalie O’NEIL le Haut-Commissaire du Canada au Cameroun a indiqué qu’il a été question de rencontrer plusieurs autorités locales, pour prendre connaissance d’importants dossiers sur le Cameroun et de chercher à mieux cerner les contours de la crise anglophone pour accompagner le pays dans la recherche des solutions adéquates.
La diplomate canadienne a déclaré face à la presse que le Canada veut apporter au Cameroun, sa riche expérience en s’appuyant sur l’exemple appliqué dans les Provinces canadiennes en matière de Bilinguisme.
Rappelons par ailleurs que la principale recommandation lors des assises de la 4ème session de la Cnpbm a été qu’il faut accélérer l’implémentation des activités de la Commission en 2019, dans l’optique de répondre aux attentes du Président de la République, qui tient au renforcement du vivre-ensemble et de l’unité nationale.
Cette session a été consacrée à l'examen du projet de rapport du comité, la crise dans les régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest, à la présentation et à l'adoption du projet de plan d'action pour l'exercice 2019 et à la récapitulation des obligations des membres, dans l'exercice de leurs fonctions.
Liliane N.
Ainsi, cette opération, qui vise à éviter d’effectuer des opérations coûteuses d’importation des animaux à haut potentiel génétique, devrait non seulement permettre d’augmenter rapidement le cheptel bovin du pays, mais aussi d’accroître la production laitière camerounaise.
En effet, selon les statistiques de la Banque mondiale, depuis l’année 2013, Boko Haram a volé aux éleveurs de la région de l’Extrême-Nord du Cameroun, un volume de bétail d’une valeur globale de 3 milliards de francs CFA. Les estimations du ministère de l’Elevage, elles, placent l’élevage en tête des secteurs d’activité ayant le plus subi les conséquences de la guerre contre Boko Haram au Cameroun, avec pas moins de 65% (54,8 milliards de francs CFA) des pertes globales. Le projet Prodel d’inséminer artificiellement plus de 270 000 vaches dans le pays, apparaît donc comme une bouffée d’oxygène, qui devrait permettre de booster la production laitière au Cameroun.
Selon les experts du Prodel, ce type d’opération a été conduit avec succès dans des pays tels que le Mali et la Côte d’Ivoire, où l’insémination artificielle des vaches locales a permis de booster la production dans le secteur de l’élevage.
Au Cameroun, les gouvernants espèrent pouvoir réduire un déficit de production laitière estimé à environ 170 000 tonnes, sur un besoin annuel de 297 000 tonnes. Notons que, parmi les principaux obstacles à l’évolution de la filière laitière au Cameroun, indique le ministère de l’élevage, figurent la faible performance génétique des vaches, la prévalence des maladies à fort impact sur la production laitière dans certaines zones et l’insuffisante appropriation des innovations technologiques par les producteurs.
Source : investiraucameroun.com
Le Conseil International du Sport Militaire (CISM) peut être satisfait par l’engouement autour des prochains Jeux militaires qui auront lieu cette année en Chine. Près de 8.000 athlètes se sont enregistrés pour cette nouvelle édition d’après le ministère de la défense chinoise.
Ceux-ci sont issus des 105 pays membres du CISM parmi lesquels le Cameroun. En effet, le pays des indomptables va compétir dans plusieurs disciplines notamment le football féminin.
Et c’est dans ce cadre que les lionnes militaires seront logées dans le groupe B du mini-tournoi aux côtés du Brésil, de la France et de la Corée du Nord. Le groupe A quant à lui sera composé de la Chine, pays hôte de l’événement, de la Corée du Sud, de l’Allemagne et des Etats-Unis.
Pour rappel, les jeux mondiaux militaires sont une compétition omnisports réservée aux forces armées du monde entier. Ils sont organisés par le Conseil international du sport militaire (CISM). Ils sont l’équivalent des Jeux olympiques dans le monde militaire. L'année 2010 a marqué le début des Jeux mondiaux militaires d'hiver, avec la première édition se déroulant du 20 au 25 mars en Vallée d'Aoste (Italie).
Source : Sport Au féminin