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L’Organisation des Nations Unies va mobiliser les ressources supplémentaires auprès des donateurs et des partenaires, ainsi que sur des approches innovantes tel que le nexus entre l’humanitaire, le développement et la paix.

 

Le Cameroun engagé depuis des années dans l’assistance des réfugiés centrafricains depuis des années déjà, va recevoir un appui financier supplémentaire de l’Organisation des Nations unies (ONU). L’annonce de cette aide a été faite par Matthias Z. Naab le coordonnateur résident du système des Nations Unies au Cameroun. Celui-ci s’est rendu au camp des réfugiés de Gado-Badzere à Garoua-Boulaï, ville frontalière de la République centrafricaine (RCA) dans la région de l’Est.

Sa visite lui a permis de se rendre compte des besoins immenses des communautés d’accueil et des réfugiés. On a observé que depuis le retour et la recrudescence des violences en République centrafricaine, de nombreux centrafricains débarquent au Cameroun pour se mettre à l’abri. Ils affluent dans le camp de Gado-Badzere. Par exemple on apprend du Haut-Commissariat pour les Réfugiés, qu’il y a eu juste pour le mois de janvier 2021, plus de 5000 nouveaux réfugiés. Et l’organisme onusien reconnaît qu’il faut impérativement des ressources supplémentaires pour venir en aide aux nouveaux arrivants. Et cette situation se présente au moment où tout comme le HCR, d’autres organismes de l’ONU, font face à un manque de financements et à un épuisement des ressources liées à la pandémie de Covid-19. 

La baisse des financements a entraîné par exemple, une réduction de la ration alimentaire. Le Programme alimentaire mondial (PAM) dit avoir besoin de 1,6 million de dollars pour nourrir les plus de 30 000 réfugiés du camp de Gado-Badzere. Le PAM a été contraint de réduire de 50 % les transferts de nourriture aux réfugiés dudit camp.

 

Liliane N.

 

 

Published in Société

L’information est rendue publique par la Représentation du Haut-commissariat des Nations unies pour les réfugiés au Cameroun (HCR). Pour cause, la fermeture des frontières à cause de la lutte contre le Covid-19. 

 

Dans une note d’information publiée le 04 mai dernier, la Représentation du Haut-commissariat des Nations unies pour les réfugiés indique que les opérations de rapatriement des volontaires des réfugiés centrafricains ont été « suspendues du fait de la fermeture des frontières et de l’ordre de confinement afin de limiter les risques de contagion du Covid-19 ». 

D’après Wahid Ben Amor, chef de la sous-délégation HCR à Bertoua dans la région de l’Est du Cameroun, à travers des données mises à la disposition de la presse le 05 mai 2020, en 2019 « plus de 1700 réfugiés » ont pu rentrer chez eux. 

Dans un contexte de lutte contre la pandémie de Covid-19, la plupart des pays ont dû fermer leurs frontières parmi lesquels le Cameroun qui a institué cette mesure dès le 17 mars dernier sur hautes instructions du Président de la République. 

Selon la Représentation du HCR, des opérations de sensibilisation auprès des réfugiés à l’Est et à l’Extrême-Nord, ainsi qu’auprès des déplacés internes dans les régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest. 

« Le Cameroun a enregistré plus de 1 800 cas positifs, dont un réfugié à Yaoundé, mais aucun en zone rurale », souligne l’Agence des Nations unies pour les réfugiés. 

 

Innocent D H

 

Published in Corona Virus

Les Etats-Unis saluent aussi l’action du gouvernement centrafricain.

 

Dans le communiqué de presse parvenu à notre rédaction, il est dit que les américains adressent leurs félicitations aux parties engagées, dans la gestion du retour de la première vague des réfugiés centrafricains dans leur pays. Parmi donc les parties félicitées par les américains, se trouve le Cameroun qui a accueilli ces réfugiés qui ont décidé de repartir dans leur pays. Le pays de Paul Biya, le gouvernement centrafricain et le Haut-commissariat pour les réfugiés (Hcr) sont salués par l’Ambassade des Etats-Unis au Cameroun pour leur coopération et bonne volonté. Et parlant spécifiquement de notre pays, les américains reconnaissent l’hospitalité non seulement du gouvernement mais aussi du peuple.

« Nous encourageons l’adhérence continuelle aux normes humanitaires, en particulier le retour volontaire des réfugiés dans la sécurité et la dignité, et selon les principes de l'Accord Tripartite du 29 Juin 2019 », a écrit l’Ambassade américaine. Celle-ci dans son communiqué, précise la raison pour laquelle elle fait cette sortie, en rapport avec le retour volontaire de la première vague des réfugiés centrafricains.  

« Les États-Unis sont le principal contributeur d’aide humanitaire au Cameroun, ayant contribué depuis 2018 plus de 87 millions de dollars aux acteurs humanitaires pour leur fournir de la nourriture, de l’eau, des abris d’urgence et d’autres services en faveur des réfugiés et autres populations vulnérables. Nous encourageons les autres pays à contribuer davantage aux besoins urgents des réfugiés et populations vulnérables au Cameroun afin de soutenir les efforts en matière de stabilité, de bonne gouvernance et d’autosuffisance », a écrit l’Ambassade américaine.

Lire aussi : Une nouvelle vague des réfugiés centrafricains regagne la RCA

Le Cameroun continue d’accueillir plus de 400,000 réfugiés des pays voisins. Le mercredi 23 octobre 2019, 228 réfugiés centrafricains à bord de trois bus ont regagné leur pays d’origine. Le retour chez eux, s’est fait sous les yeux de Paul Atanga Nji le Ministre de l’Administration territoriale, Augustin Yangana Yahoté Ministre centrafricain de l'Administration du territoire et de la Décentralisation et d’autres autorités.

 

Liliane N.

Published in Diplomatie

Une cérémonie a eu lieu hier mercredi 23 octobre 2019 à Garoua boulaï à l'occasion du départ des réfugiés qui vivaient dans la zone.

 

La cérémonie, était coprésidée par le ministre de l'administration territorial Paul Atanga Nji et le ministre centrafricain de l'administration territoriale et de la décentralisation Augustin yangana-Yahote.

En effet, quelque 4.000 réfugiés de la République Centrafricaine (RCA) vivant au Cameroun ont commencé à regagner leur pays hier mercredi dans le cadre d'un rapatriement volontaire organisé par le Cameroun, la RCA et l'agence onusienne pour les réfugiés HCR.

La première vague concerne 500 réfugiés centrafricains, les autres rentreront d'ici la fin de l'année, a indiqué le ministre camerounais de l'Administration territoriale, Paul Atanga Nji.

Les réfugiés quant à eux ont exprimé l'espoir de retrouver la paix dans leur pays après plusieurs années d'atrocités qui les avaient poussés à s'échapper.

Rappelons que le rapatriement faisait suite à un accord tripartite signé en juin dernier entre le Cameroun, la RCA et le HCR pour un rapatriement volontaire de 285.000 réfugiés centrafricains dans la sécurité et la dignité.

Selon le HCR, jusqu'au 30 septembre, environ 290.000 réfugiés centrafricains vivent au Cameroun, soit près de la moitié du nombre total de réfugiés centrafricains dans les pays voisins.

 

Marcel Ndi

 

 
Published in Diplomatie

Paraphé par les gouvernements du Cameroun, de la RCA et les Nations unies, il va permettre le retour dans leur pays de ceux qui le désirent.

 

Trois signatures au bas du document paraphé samedi dernier en mi-journée dans la salle des conférences du ministère de l’Administration territoriale à Yaoundé. Celle de Paul Atanga Nji, le ministre de l’Administration territoriale (Minat), au nom du gouvernement camerounais, de Mme Virginie Baikoua, ministre de l’Action humanitaire et de la Réconciliation nationale, pour le gouvernement centrafricain et un représentant du bureau du Haut-commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR) au Cameroun. Le document, quant à lui porte sur l’accord de rapatriement librement consenti des réfugiés centrafricains vivant au Cameroun, précise Cameroon Tribune.

 

Témoins de la cérémonie, le ministre délégué auprès du ministre des Relations extérieures chargé de la Coopération avec le Monde islamique, Adoum Gargoum, une quinzaine de chefs de missions diplomatiques et des représentants du Système des Nations unies au Cameroun sous la conduite de Allegria Baiocchi, coordonnatrice résidente.

 

S’exprimant avant l’apposition des signatures au bas du document, Paul Atanga Nji a souligné que ce sont environ 400 000 réfugiés centrafricains et nigérians que le Cameroun accueille du fait de l’insécurité dans leurs pays respectifs. Le ministre de l’Administration territoriale a, au nom du président de la République, exprimé la gratitude du Cameroun aux organisations internationales qui ont appuyé le pays pour l’encadrement de ces personnes, non sans souligner que « le statut du réfugié n’a jamais été gratifiant pour celui qui le porte », chacun aspirant à vivre chez soi.

 

Il a souligné la disponibilité du Cameroun à demeurer un pays d’hospitalité et d’accueil. Pour sa part, le chef de la délégation centrafricaine a exprimé la gratitude des plus hautes autorités de son pays au chef de l’Etat camerounais « pour avoir permis la signature de ce document si déterminant pour l’avenir des réfugiés centrafricains », mais également pour avoir tout mis en œuvre durant de longues années pour l’encadrement de ces personnes sur le territoire camerounais.

 

Viviane Baikoua a indiqué que cet accord est rendu possible aujourd’hui parce que « la plupart des organes prévus par l’Accord de paix signé le 6 février dernier sont désormais en place ». De l’avis du représentant résident du HCR en République centrafricaine, Buti Kale, qui a fait le déplacement de Yaoundé, cet accord vient parachever un processus de négociation enclenché il y a deux ans à la demande des gouvernements des deux pays. Un peu plus de 5 540 réfugiés centrafricains, résidant dans les régions de l’Est, de l’Adamaoua, se sont déjà portés volontaires pour le retour dans leur pays. Il a dès lors salué les « sacrifices consentis par le gouvernement camerounais pour l’encadrement de ces personnes ».

 

Pour le représentant du HCR en RCA, cet accord est conforme aux dispositions du droit humanitaire international et du doit des réfugiés. L’accord de samedi dernier intervient après un précédent autre signé le 2 mars 2017 entre le Cameroun, le Nigeria et le HCR pour le rapatriement volontaire des réfugiés nigérians vivant au Cameroun.

 

Otric N.

 

Published in Politique

Un projet d’accord tripartite entre les gouvernements du Cameroun, la République centrafricaine et le HCR est actuellement en préparation. Le sujet était d’ailleurs au menu de l’audience accordée vendredi dernier par le ministre des Relations extérieures à l’ambassadeur de RCA au Cameroun, accompagné du représentant résident du HCR au Cameroun.

 

Le Cameroun abrite plus de 275 000 réfugiés centrafricains. Ces chiffres cités par Cameroon Tribune proviennent du Haut-commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR) au Cameroun. Les mouvements de retour volontaire de ces réfugiés devraient très bientôt être encadrés entre les deux pays. C’est le sens du projet d’accord tripartite entre les gouvernements du Cameroun, la République centrafricaine et le HCR en préparation.

Le sujet était au menu des échanges au cours d’une audience accordée vendredi dernier par le ministre des Relations extérieures, Lejeune Mbella Mbella, à Martial Beti-Marace, ambassadeur de RCA au Cameroun, accompagné de Lazare Etien Kouassi, représentant résidant de HCR au Cameroun. L’ambassadeur Martial Beti-Marace, a indiqué dans les colonnes de Cameroon Tribune que « le projet est en bonne voie ».

« C’est une audience commune et concertée que nous avons voulue avoir avec le ministre afin de nous enquérir davantage du processus d’Accord tripartite entre le Cameroun, la RCA et le HCR, pour le retour volontaire des réfugiés centrafricains. Nous avons été rassurés par la réponse du ministre et nous sommes très instruits par rapport à ses propos », a-t-il confié.

Un projet pour lequel le HCR ne ménage aucun effort en vue de la protection des réfugiés vivant en terre camerounaise. « Les chiffres évoluent. Les dernières statistiques que nous avions des réfugiés centrafricains fixent à un peu plus de 260 000 la grande majorité se retrouvant dans la région de l’Est, une partie dans l’Adamaoua et l’autre dans la région du Nord. On a aussi un petit groupe de réfugiés urbains à Yaoundé et Douala. Ce qui nous fait entre 260 et 270 000 réfugiés centrafricains », a-t-il ajouté.

En ce qui concerne le rapatriement des réfugiés, les hôtes de Lejeune Mbella Mbella ont dit ne pas avoir de date « pour le moment ». Un groupe de travail se penche justement sur les termes de cet accord afin de veiller à ce que ce retour se fasse dans la sécurité et la dignité. Comme l’a précisé l’ambassadeur centrafricain, « la signature ne vaut pas forcément le retour immédiat ».

 

Otric N.

Published in Politique






Sunday, 05 June 2022 11:01