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Samuel Dieudonné Ivaha Diboua le gouverneur de la région du Littoral affirme que la ville de Douala est désormais sous haute surveillance.

Après les incidents malheureux qui se sont produits le dimanche 11 octobre 2020 à Douala précisément au quartier Deido, Samuel Dieudonné Ivaha Diboua le gouverneur de la région du Littoral a donné ce lundi, une conférence de presse. Au cours de ladite conférence, le patron du Littoral a précisé que les autorités ne vont plus laisser passer des actes qui mettent en mal les populations comme ceux posés par les «microbes».

«Concernant ces bandits qui sèment la terreur dans la ville, leur récréation est terminée. Je tiens ici à en assurer les propositions. Celui qui se rendra complice ou auteur de ces agissements en payera le prix selon la loi», a déclaré Samuel Dieudonné Ivaha Diboua.

Le numéro 1 de la région du Littoral en saluant la mobilisation et la bravoure des jeunes du quartier Deido attaqué par les «microbes», a appelé toutes les populations à dénoncer ces «jeunes brigands» afin qu'ils soient remis à la disposition de la justice. «Douala est sous haute surveillance et ces jeunes délinquants seront traqués», a-t-il précisé.

Par ailleurs, Samuel Dieudonné Ivaha Diboua a dénoncé l’exagération des faits observée sur la toile. Il note que cette exagération des faits vise à donner l’impression que la situation n’est pas sous contrôle. Il en appelle à la responsabilité des uns et des autres.

A titre de rappel, le dimanche 11 octobre 2020, vers 20 heures, des « microbes » armés de machettes, couteaux et autres gourdins, ont fait irruption dans le quartier Deido. Ceux-ci à l’aide de leurs armes blanches, ont pillé des commerces, tout en arrachant, l’argent, les portables et des objets de valeurs aux habitants.

Liliane N.

Published in Société

Le Dr Danièle Christiane Kedy Mangamba, épouse Koum, est le nouveau directeur de l’hôpital de district de Deido. La nouvelle est tombée ce vendredi 05 avril 2019.

 

Un changement qui est intervenu à la suite de levée de boucliers provoquée dans l'opinion par l’attitude très peu professionnelle de certains personnels de cette structure sanitaire, des infirmières notamment, plus promptes à prendre en photo le jeune Blériot Tsanou, du lycée bilingue de Deido, poignardé mortellement par un ancien élève du même établissement le 29 mars dernier, que d'essayer de lui assurer les premiers soins.

Rencontrée par nos confrères de Cameroon Tribune, c'est avec beaucoup d'émotion et de reconnaissance que l'heureuse promue a accueilli la nouvelle de sa nomination, alors qu'elle se trouvait à l'hôpital gynéco-obstétrique de Douala. Sortie de l'école en 1998, elle commence sa carrière à l'hôpital de district de Nylon, avant de regagner le centre Mère et Enfant de la Fondation Chantal Biya à Yaoundé.

Elle se spécialise quelques années plus tard en pédiatrie et néonatologie. Le retour sur le terrain s'effectue à l'hôpital de Bonassama, ensuite à l'hôpital gynéco-obstétrique de Douala, où elle exerce comme chef de service de pédiatrie et directeur médical. Elle est enseignante de pédiatrie à la faculté de Médecine de l’université de Douala, et exerce aussi au département des sciences cliniques.

L’une de ses premières tâches sera, sans aucun doute, de redorer le blason de l’hôpital de district de Deido, terni par le malheureux épisode des infirmières photographes. Mais d'ores et déjà, elle s’engage à assurer la qualité des soins dans un environnement respectueux de l'éthique et de la déontologie, pour contribuer à l'amélioration de l'image de la profession médicale. Les patients peuvent également compter sur elle.

Le nouveau directeur se dit également prêt à se mettre à leur service jour et nuit, être à l’écoute de leurs besoins et y répondre dans la mesure des moyens disponibles. Elle remplace à la tête de cette formation sanitaire Dominique Noah dont la destitution fait suite à la « négligence » décriée par le ministre de la Santé publique, Dr Manaouda Malachie, lors de la prise en charge du jeune élève poignardée au sein du Lycée Bilingue de Deido, vendredi 29 mars dernier.

Toujours en lien avec ce drame, le ministre de la santé a suspendu pour 3 mois, le Dr Son Esther Emilienne Epouse Faiyengo ainsi que deux infirmières. Elles sont suspendues de toute activité au sein dudit hôpital sans préjudice de poursuite disciplinaire pour manquement grave à l’éthique et à la déontologie professionnelle. 

 

Otric N.

Published in Santé

Suite au drame survenu au lycée bilingue de Deïdo il y a quelques semaines, l’activiste camerounais fait des éloges au ministre nouvellement nommé, Manaouda Malachie.

 

« Le meilleur ministre de Paul Biya sur les 100 premiers jours du dernier gouvernement »

Il s’appelle Malachie Manaouda. Il est ministre de la santé. Je pense que rarement depuis 10 ans en 100 jours d’un gouvernement nous avons eu un ministre comme celui-ci.

Il ne se balade pas dans les hôpitaux de santé pour dire qu’il est là où travaille. Non, il prend des décisions qui impactent directement sur les populations et insufflent une nouveauté dans la Communication gouvernementale.

Récemment il a décidé de mettre fin à la séquestration des patients dans les hôpitaux. Un cancer qui porte atteinte à la dignité humaine et retiré aux hôpitaux leur valeur humaniste. Il a décidé de donner à l’hôpital sa valeur. Le lieu où les gens trouvent la libération plutôt que la séquestration.

Quelques jours après, un élève décède à Deïdo est transporté à l’hôpital. Non seulement il n’y a pas de défibrillateur mais en plus les infirmières prennent les photos.

Qu’est-ce qu’il fait : il annonce d’abord sur son compte Twitter, (c’est à dire il modernise sa communication) qu’il a demandé une enquête. On a les vidéos, on sait tous que des infirmières prenaient des photos. Non il demande l’enquête pourtant il a une idée.

Quand les premiers éléments de l’enquête tombent, il suspend les infirmières dans un premier temps. Puis certainement ayant eu connaissance que si l’hôpital était légèrement équipé on aurait pu sauver le garçon, il limoge le directeur en une semaine. Il n’attend pas des mois. Non.

Il sait que face à ce type de drame la famille, la population a besoin de justice. Et il rend à son niveau justice. Voilà un ministre dans une république normale.

C’est pourquoi je l’ai toujours dit. Nous allons pardonner car dans le régime Biya il y a des gens avec qui nous allons et nous devrons travailler car ils sont bons.

 

Retranscription par Félix Swaboka 

Published in Tribune Libre

Recherchée depuis trois mois par sa famille, la  dépouille de Bella Salla, toute nue et en état de décomposition très avancée a été retrouvée  dimanche dernier  dans sa chambre au lieu-dit Vallée Bonatéki dans l’arrondissement de Douala 1er.

 

C’est un autre drame, qui est en train d’ébranler la capitale économique depuis dimanche 31 mars 2019. Alors qu’elle était recherchée depuis trois mois déjà par sa famille, les restes  de la jeune femme, Bella Salla ont été retrouvés dans sa chambre dimanche 31 mars  dernier, au quartier Vallée Bonatéki à Deïdo, dans l’arrondissement de Douala 1er. La défunte de 32 ans et mère d’un enfant, était recherchée par sa famille depuis le 06 janvier dernier.

Cette découverte macabre, plutôt surprenante, étant donné que la famille avait signalé sa disparition depuis plus de trois mois, a été faite par la génitrice de la défunte. Cette femme serait décédée depuis près de deux mois. Sa dépouille, était dans un état de décomposition avancée dans sa chambre. La porte de cette pièce  était refermée de l'intérieur et la fenêtre ouverte. Des indices d'une situation confuse qui laisse penser à une bagarre. Les premiers constats ont été réalisés par la  police et la gendarmerie qui ont ouvert une enquête. 

 

Cet autre drame survient trois jours seulement après l’assassinat d’un élève par son camarade au Lycée Bilingue de Deido dans le même arrondissement. Âgé de 17 ans, Tsanou Rosman, élève de la classe de 2nde allemand avait été mortellement poignardé par ses camarades, Simo Ivan 19 ans, Mukuelle Loïc 18 ans et Mohamed Bello 18 ans, vendredi 29 mars dernier, le jour de la remise des bulletins pour le compte du deuxième trimestre de l’année scolaire en cours.

Marie MGUE

Published in Société

Agé de 17 ans, Ousmane, inscrit en classe de second C, a rendu l'âme à l'hôpital de District de Deido à Douala où il avait été conduit en urgence ce vendredi.  

 

C’est une fin de deuxième trimestre plutôt tragique au Lycée bilingue de Deïdo, dans l’arrondissement de Douala 1er. Ce vendredi 29 mars 2019 aux environs de 11h, après la remise des bulletins, un différend entre élèves de la  classe de second, s’est terminé en homicide. Selon le surveillant général de cet établissement secondaire d’enseignement général bilingue, la victime, Ousmane, inscrit en  classe de Second C, a essayé  de s’interposer dans une bagarre dans sa salle de classe et a reçu un coup de poignard en plein cœur. Une version contestée par ses camarades de classe, qui révèlent qu’il existait depuis quelques jours, un différend entre la victime et son agresseur, pourtant déjà exclu dudit lycée.

Cependant, ce dernier a réussi à s’infiltrer au sein de cet établissement pourtant bien gardé en permanence,  pour commettre son forfait.  Après cet acte criminel, l’agresseur a été immobilisé par les élèves et Ousmane conduit aux urgences de l’hôpital de District de Deïdo. « Vue la lésion, on imagine que le poignard a atteint le cœur qui s’est arrêté brusquement à défaut de pouvoir pomper le sang à nouveau. Nous avons fait le nécessaire, mais malheureusement, on n’a pas pu le réanimer. Il est décédé », explique une source à l’Hôpital de district de Deïdo. Cet élève  est mort à l’âge de 17 ans. Son agresseur a été interpellé par les forces de maintien de l’ordre.  

Avant cet assassinat, cet établissement était déjà au centre d’un autre fait divers il y a quelques semaines. Un élève de 6e déclarait avoir été  sexuellement agressé  par deux de ses camarades de terminale au mois de février. Le Lycée bilingue de Deïdo serait réputé comme l’un des établissements scolaires de la capitale économique, où la délinquance juvénile, la drogue et bien d’autres pratiques interdites par la loi camerounaise en milieu scolaire vont grandissant.

Pour rappel, ce vendredi, 29 mars 2019 était la  date de remise des bulletins pour le compte du deuxième trimestre de l'année scolaire  en cours sur l'étendue du territoire national.

Marie NGUE

Published in Education






Sunday, 05 June 2022 11:01