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Le Directeur de cette formation sanitaire est venu ce mardi 26 au ministère de la Santé Publique afin de présenter les réalisations effectuées au sein de la structure dont il a la charge.

 

52 550 336 FCFA, c'est l'appui fait à l'hôpital de District de Logbaba (HDL) par le groupe Gaz du Cameroun. Ce financement fait suite à une demande de subvention adressée à l'entreprise sus évoquée et servira à l'extension de ladite infrastructure sanitaire. 

 

Les travaux d'extension de cet hôpital consiste, pour l'essentiel, en la construction d'une salle de conférences modulable de 120 places (elle pourra servir de salle de tri en situation d'urgence et de catastrophes), d'un pool des urgences (chirurgicales et médicales), des services D'ORL et d'odontostomatologie, d'une lunetterie, de la pharmacie, d'une billetterie et d'une guérite. 

 

Cette infrastructure qui pourrait être achevée dans les 45 prochains jours, comme l'a indiqué le Dr Ngnegue Plong Gaël, va, à coup sûr, augmenter la capacité d'accueil de l'hôpital (12 lits supplémentaires) et étendre la palette de soins auxquels les populations auront accès à proximité. 

 

Dans la même mouvance, le Directeur de cette FOSA a fait savoir au Chef du département de la santé que l'HDL dispose déjà de deux blocs opératoires, d'une banque de sang et d'une centrale à oxygène entièrement offerte par l'entreprise Chococam. 

 

Il a également annoncé la mise en service imminente du scanner dont l'installation dépend de l'aboutissement des procédures administratives et de la signature d'un accord formel entre le partenaire et le Comité de gestion de l'hôpital.

 

Néanmoins, dans le cadre de la finalisation du projet d'extension, ce dernier a sollicité un appui de la part du Ministère de la Santé Publique pour lui permettre à lui et à son équipe de mener cette initiative à terme et dans les délais.

 

Prenant la parole, le ministre Manaouda Malachie a félicité son hôte, accompagné à l'occasion de Mani Pascal - contrôleur N°2 à la Délégation Régionale de la Santé Publique du Littoral, pour les initiatives entreprises afin d'offrir aux populations des soins de qualité et l'a invité à poursuivre dans cette lancée, d'autant que les actions menées et envisagées contribuent à la transformation du système de santé camerounais. 

 

Le patron de la Santé Publique a exhorté le directeur de l'hôpital de District de Logbaba à garder la même dynamique, pour susciter l'émulation dans le volet de la performance des hôpitaux à travers la démarche de l'autofinancement et de la recherche des financements extérieurs.

 

Avant de prendre congé de son visiteur, qui l'aura au passage remercié pour le souffle nouveau qu'il apporte au secteur de la santé et pour l'opportunité qu'il donne aux hôpitaux de s'exprimer, le Docteur Manaouda Malachie a rassuré ce dernier de l'accompagnement et de l'appui nécessaires que son département ministériel est disposé à apporter à sa structure à chaque fois que besoin se fera.

 

N.R.M

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The population of Makepe Missoke in Douala V, Littoral region of Cameroon has been assured of the construction of a temporal bridge leading to other neighbourhoods following a protest staged after one of theirs lost his life while trying to cross over the makeshift bridge in heavy floods that hit the economic capital Friday October 22.

Inhabitants of the Makepe Missoke neighbourhood in Douala V are yet to come to terms with the sudden death of one of theirs, following heavy rains that hit that part of the country last Friday.

The victim, an 18-year-old identified as Simplice Achou attempted to cross over a makeshift bridge linking the neighbourhood to other parts of the Municipality when it gave way to the pressure of floods caused by heavy rains.

He fell into the water and died. His lifeless body will be discovered after hours of search. Apart from this human loss, the population have decried enormous material damage after the passage of floods.

When the water level had gone down, they stormed the street and blocked the road leading to the neighbourhood, demanding the construction of a permanent bridge following the destruction of the previous one constructed with makeshift material.

The protest took the Mayor of Douala V to the scene. To calm down tension, the administrator promised a permanent bridge would be constructed as from February 2022. Before then, he reassured the people a temporal bridge would be built to ease movement.

In the meantime, the weather service in Cameroon has predicted more heavy downpours in the Littoral region until Sunday October 31. The population in risky zones has thus been called upon to leave the said areas for safety.

The Littoral region has for a long time now been a victim of floods caused by heavy rains. Construction on lands unsuitable for habitation is one of the reasons advanced by authorities in the region.

As years go by by, many have learnt to live with the risk of flooding while waiting for better financial situations.

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Le proche de Kamto Maurice a saisi par courrier le Sous - préfet de Douala 5 pour “ dénoncer le calvaire subi tous les jours, tant à l’aller qu’au retour du travail du fait, du fait de l’occupation de la voie publique à Bassa-Guinness…

Une information rapportée par nos confrères du quotidien “La Nouvelle Expression” qui révèle entre autres que: “ L’assaut que les populations de la ville de Douala portent sur les espaces publics pour mener leurs activités commerciales est plus qu’une évidence. 

Ce phénomène, bien qu’à l’origine d’un ensemble de problèmes tels l’insalubrité, l’encombrement des voiries urbaines et même l’insécurité, semble proliférer de plus en plus malgré la lutte acharnée des autorités municipales.

Cette occupation illégale et illicite de l’espace public par des entrepreneurs de l’informel et des sociétés brassicoles est de fait temporaire, quasi-permanente et permanente. 

L’espace public comme lieu public n’est donc pas respecté. La privatisation de l’espace public devient de ce fait un allant de soi, quelque chose de normal”

Une situation qui a amené Albert Dzongang à réagir

Des dizaines de longs camions chargés des casiers de Guinness occupent les voies devant cette société, et celle allant du collège Agape à l’ancien Safil. Nous passons parfois trois heures sur place du fait de cette occupation anarchique...

Nous avons par courrier, saisi le maire de la commune de Douala 5e le 19 janvier 2021 et le maire de la ville de Douala le 2 février 2021, sans aucune réaction. Bien au contraire, nous avons donné matière à corruption aux agents de des 2 organismes qui de temps en temps viennent racketter les chauffeurs abusivement garés et s’en vont».

Attirer l’attention de l’autorité publique 

“Nous voulons attirer l’attention du représentant de l’État que vous êtes, sur le fait que si notre liberté de circulation n’est pas garantie par l’administration, nous allons, comme on le voit ces derniers temps à plusieurs endroits du pays, nous rendre justice par tous les moyens à notre disposition.

Nous ne pouvons continuer à vivre ce calvaire causé par des intérêts privés. Nous espérons que les actions que nous serons amenés à poser, ne seront pas attribuées à un parti politique quelconque…”.

Une réglementation et des sanctions ont pourtant été rendues publique pour la gouverne de tous 

Pour le stationnement d’une motocyclette sur le trottoir, la loi prévoit qu’une amende de 10000 FCFA sera versée;  Pour le stationnement d’un véhicule ordinaire sur le trottoir un montant de 25 000. Pour l’établissement d’un commerce, l’amende est de 25 000 francs.

Concernant le stationnement d’un véhicule pick-up sur le trottoir, l’amende est de 50 000 Fcfa. Le paiement de 200 000 Fcfa concerne la sanction du stationnement d’un véhicule gros porteur. 

250 000 FCfa pour le dépôt de matériel de chantier. 10 000 francs pour le dépôt de tout autre objet. Enfin 25 000 pour l’établissement d’une laverie, d’un garage, d’un salon de coiffure, d’un bar ou d’une limonadière, d’une menuiserie et toutes autres activités analogues.

N.R.M

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La chaîne leader mondial de l'hôtellerie informe qu’elle a procédé à la signature d'un accord avec la Société locale Nouvelle des Cocotiers (SNC) pour lancer sa marque de luxe DoubleTree by Hilton à Douala. Selon le chronogramme, l'hôtel devrait ouvrir en 2023, après une rénovation de plusieurs millions de dollars de l'hôtel Douala Rabingha détenu préalablement par la SNC.

A propos de ce nouvel hôtel, le Directeur général du développement en Afrique sub-saharienne, de Hilton a déclaré : « Hilton a une forte tradition d'hospitalité au Cameroun, accueillant des clients depuis plus de 30 ans. Je suis ravi que nous élargissions notre portefeuille et que nous lancions une deuxième marque sur le marché. DoubleTree by Hilton Douala nous permet d'être présents dans la capitale économique du pays, dans un emplacement bien établi et bien connu des visiteurs internationaux de la ville ».

« Hilton est un nom bien établi dans le secteur hôtelier au Cameroun. Nous sommes donc fiers de nous associer à eux pour redévelopper cet hôtel et amener DoubleTree by Hilton au Cameroun pour la première fois. Après l'achèvement de notre passionnant plan de rénovation, nous sommes convaincus que la propriété établira un nouveau standard d'hébergement moderne et luxueux dans la ville de Douala », renchérit Mamoudou Fadil, Vice-président de SNC.

Situé au quartier Bonanjo, le nouvel hôtel Hilton comprendra 141 chambres, à proximité d'une multitude d'entreprises et de bâtiments administratifs. Il est à environ 6 km de l'aéroport international de Douala. L'hôtel va également disposer de cinq restaurants parmi lesquels un restaurant de spécialités, un restaurant ouvert toute la journée, un bar panoramique ainsi qu'un bar et un café dans le hall. Il y aura aussi quatre salles de réunion individuelles et une salle de bal. Un spa et des installations de remise en forme, ainsi que d'une aire de jeux pour enfants sont aussi prévus.

Innocent D H

 

Published in Entreprises
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vendredi, 17 septembre 2021 12:44

Douala: Residents fed up with repeated flooding

Inhabitants in parts of Cameroon’s economic capital, Douala have vented their frustration on the ceaseless flooding they have been victims of for many years now and on authorities 'failure' to resolve the problem.

The population in Douala Thursday September 16 woke up to a very unpleasant situation, as has been the case since the rainy season started.

A heavy downpour that hit the economic capital as early as 1am prompted floodwaters that kept rising long after the rain had stopped.

Houses, streets and schools flooded, circulation perturbed as vehicles that tried to move through the knee-deep floodwaters got stucked, a situation that pushed affected inhabitants in some neighbourhoods to vent their frustration.

“The rain started at 1:30 am. I was sleeping but my neighbours woke me up at 4am. I got up and everywhere was water. Hey my God! I fled from the crisis in the South West region to come and rest here in Douala. However, I realized where I came to stay is something else.” An IDP living in Makepe Missoke, Douala V speaking to Douala-based Equinox TV said.

“My children left the house this morning without brushing their teeth nor bathing because we did not carry anything along. We just ran out of the house because water was everywhere. We were afraid that water could carry us. I had to remove my children from there before thinking of something else.” Another resident of Makepe Missoke said.

Reports have it that in the curse of the torrential rains, the bridge linking the neighbourhood to other areas in Douala gave way, making it super difficult for inhabitants to go about their daily activities.

Many parents were afraid to send their kids to school for fear that water could carry them away by the waters.

The people have blamed this situation on “incompetence on the part of administrative and municipal authorities in Douala V who according to them do not feel concerned because they are not affected.

“Those governing the country, do they still have a conscience, I personally do not think so. Look at what we are experiencing in 2021, what are they doing with all the money paid as taxes, it is a shame.” An angry citizen told reporters.

Floods are very common in Cameroon’s economic capital especially during the rainy season. The population has once again begged on Government officials to see into the situation and safe them from further damage caused by flooding.

 

Ariane Foguem

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La scène ubuesque dans laquelle on voit des hommes et des femmes prendre en chasse un véhicule, se déroule ce Jeudi au niveau du “Bois des singes”, l’un des quartiers situés dans le deuxième Arrondissement de Douala.

 

Mais de quoi est-il question ?

Les populations en furie donnent leur version de l’histoire

“Nous sommes fâchés. Lorsque nous arrivions ici dans ce secteur, nous nous sommes construits des cases en pleine brousse et il n'y avait personne. Personne ne nous a jamais fait part de l’existence d’un quelconque titre foncier. Pendant de longs mois, j’ai travaillé d’arrache pied afin d’arranger la route avec le peu de moyens dont je disposais et aujourd’hui que la brousse a disparu et que le terrain est devenu viable, cet individu se place pour affirmer que partout ici c’est son terrain…”.  

“La population du “Bois des singes” est très en colère, les personnes vers qui se tournaient notre espoir, que nous aurons pu considérer comme nos soutiens en cas de problèmes sont devenus des traîtres; Moukouri qui arrive au quartier aujourd’hui, parce qu’il a hérité des biens de son père veut s’accaparer de tout le “bois de Singe”, alors que c’est un terrain sur lequel nous tous ici présents, avons peiné, en déversant au quotidien des tonnes de terre sur laquelle il roule aujourd’hui pour nous informer que tout est à lui…”.

“Je suis arrivée dans ce quartier et je suis la toute première habitante de ce domicile et, pour y accéder, je traversais avec la pirogue et j’étais contrainte de me déplacer en fonction du niveau de l’eau. Lasse de vivre cette situation, des parents, amis et connaissances et moi avons construit un premier ponceau; Je ne peux vous dire combien de fois nous avons dû rambler cette route pour qu’on vienne nous dire aujourd’hui que nous n’avons aucun droit sur ce terrain”.

Les mêmes habitants soupçonnent le chef de quartier d’être de mèche avec leur bourreau; accusations dont se défend ce dernier, arguant au passage que les habitants n’ont pas la bonne information :

“Ces gens sont remontés parce qu’ils n’ont pas la véritable information, celle - ci leur échappe d’ailleurs tout simplement parce qu'il y a quelques acteurs sur le terrain, des agitateurs qui leur racontent n’importe quoi. En fait, ceux qui sont venus sont les autochtones qui ont titré leurs parcelles de terrain.

Maintenant, le problème se situe au sein de la communauté villageoise. Le détenteur du titre foncier, qui se nomme Moukoury Manga est venu leur demander de se calmer et de choisir un jour qui sera à leur convenance, pour un dialogue franc et sincère, malheureusement, ces derniers ne sont pas de cet avis…”.   

En fait, les habitants exigent qu’on les laisse tranquilles

“Nous voulons qu’on nous laisse en paix, nous sommes des Camerounais et pouvons vivre partout sur l’ensemble du territoire national. Nous ne voulons même pas qu’on nous dise qu’on va nous recaser quelque part, qu’on laisse chacun de nous là où il se trouve parce que ce que vous voyez autour de vous, c’est le fruit de nombreuses années de sacrifices et, les héritiers qui apparaissent aujourd’hui auraient pu se faire connaître, lorsque nous nous installions ici et non pas aujourd’hui…”. 

La parcelle de terrain querellée est de trente hectares et, il est quand même curieux que pendant des années, alors que les populations s'installaient et bâtissaient leur domicile, nul ne soit jamais venu pour leur dire de ne pas le faire; le chef de quartier qui dit disposer de la bonne information est lui aussi rester bouche cousue.

Quelles sont les raisons qui l’ont amené à ne pas donner aux uns et aux autres les informations qu’il considère comme les “vraies”, sachant qu’à plus ou moins long terme, les héritiers allaient apparaître pour réclamer leur dû ?

Nicole Ricci Minyem

 

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Thousands of homes in Cameroon’s economic capital, Douala flooded Wednesday September 1 after torrential rains that left several neighbourhoods in water hit the town the whole day.

Every year in mid-August, inhabitants of Cameroon’s economic capital Douala wake up to disturbing floods following heavy rains. Household appliances out of order, furniture soaked into water, circulation perturbed to name but these are some of the realities those in the affected neighbourhoods live with.

A similar incident happened Wednesday September 1. A flood too many according to 30-year-old Daniella (not her real name), an inhabitant of the Grand Hangar neighbourhood in Bonaberi, located on the western side of the harbour across the Wouri River from the larger port of Douala.

“I am tired of this whole situation. I got to this neighbourhood two years ago and each year in August, we always suffer from flooding. Take for example it rained the whole day here and when I got home, water had engulfed all my belongings. It wasn’t a surprise to me but it hurts though to be in this situation…” Daniella told Agence Cameroun Presse.

The Grand Hangar neighbourhood in Bonaberi is one of the areas that remained knee-deep flooded yesterday, after several hours of downpour in Douala.

Another inhabitant in this neighbourhood who witnessed the flooding from home confided in Agence Cameroun Presse. "We were lucky enough to be home when it all started. As soon as the thunder rumbled, my children and I quickly raised the beds and other household furniture that could get bad. After that, we left the house with some items we could carry along before the water could rise. This is what we have been doing most of the time…Emelda Tabi, 35-year-old told Agence Cameroun Presse. “Though we have been into this, I must say the strength to do this all the time is gradually failing me.” She added.

When asked why the family persist in living in an area that is always flooded after heavy rains, the 35-year-old mentioned lack of space and insufficient means to pay and live in a decent neighbourhood.

Each year, over 100,000 new city dwellers move into the megalopolis and the gap between supply and demand for available land keeps growing.

In the meantime, Douala is prone to flooding with nearly 250 km of rivers and heavy rainfall averaging 4,000 mm per year. It is located at the mouth of the Wouri River, on a low coastal plateau, bordering the Atlantic Ocean and influenced by the tides.

Last year in August, inhabitants of the economic capital witnessed one of the most devastating floods the city has seen in recent years. It left the ground floors of hundreds of homes under water, and cut off main roads, causing massive traffic jams as the downpour overwhelmed the drainage system.

According to the Intergovernmental Panel on Climate Change, (IPCC), floods will displace an average of 2.7 million people in Africa and flood-related costs could increase tenfold by 2050, to $60 billion a year, in the 136 largest coastal cities.

 

 Ariane Foguem

 

 

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Dans une lettre circulaire signée le 19 août 2021, le Gouverneur du Littoral annonce « la découverte d’un vaste réseau de contrefaçon » des timbres fiscaux dans cette région. Aussitôt, Samuel Dieudonné Ivaha Diboua prescrit-il aux autorités et autres responsables administratifs de la circonscription administrative, « un contrôle strict de l’authenticité des timbres fiscaux », avant certification de tous les documents.

 

Selon le gouverneur Ivaha Diboua, la contrefaçon des timbres fiscaux qui est « fortement préjudiciable à la bonne santé des finances publiques », devient un véritable fléau au Cameroun. Afin de mettre un terme à la production frauduleuse de timbres fiscaux, le Cameroun a depuis plus d’une décennie, abandonné l’usage du timbre physique, au profit des machines à timbrer, faut-il le rappeler.

Cependant, à en croire certaines indiscrétions, les fraudeurs ont vite acquis de fausses machines à timbrer, qui sont généralement injectées dans les circuits d’authentification des documents administratifs. Parfois avec des complicités dans l’administration. Il y a d'ailleurs quelques années, la presse locale a révélé l’existence d’un réseau de fraude autour du timbre fiscal au sein même de la direction générale des impôts du ministère des Finances.

En effet, les fraudeurs déclaraient alors des machines à timbrer officiellement en panne, pour les utiliser subrepticement dans des services à fort besoin de timbres fiscaux et empocher cet argent.

Innocent D H

 

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Les deux unités de la Cotonnière industrielle du Cameroun (Cicam) de Douala respectivement spécialisées dans la production des tissus imprimés (pagnes) et des serviettes sont à l’arrêt en raison de la suspension de l’approvisionnement en énergie, apprend-on de sources internes à l’entreprise. En effet, les turbines des deux usines ne tournent plus depuis le 21 juillet 2021.

 

Selon des sources bien introduites, l'entreprise Gaz du Cameroun (GDC), filiale locale du Britannique Victoria Oil & Gas (VOG) qui exploite le champ gazier de Logbaba a suspendu les livraisons de gaz à la Cicam du fait des impayés de 630 millions de FCFA. En outre, Eneo, le concessionnaire du service public de l’électricité accumule également auprès de la Cotonnière industrielle du Cameroun, des factures impayées de plus d’un milliard de FCFA. A en croire les observations d'un cadre de la Cicam, commentant les implications de cet arrêt des activités dans les usines de Douala : « Il sera difficile de payer les salaires dans le contexte actuel ».

Il faut remarquer qu'en dépit de la signature en 2015, d’un contrat-plan de 13,2 milliards de FCFA avec l’État, l'unique actionnaire de cette entreprise publique, celle-ci peine à sortir de la zone de turbulence dans laquelle elle se trouve depuis des années. Une situation consécutive notamment à l’invasion du marché local du textile par les importations et les produits de la contrebande. La Cicam qui était depuis quelque temps le fleuron du textile dans la sous-région Afrique centrale ne contrôle désormais plus qu’à peine 5% du marché local, apprend-on.

Innocent D H

 

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Pendant quelques heures, la personnalité publique a ôté sa casquette de ministre de l’Habitat et du Développement Urbain ce 28 Juillet pour arborer celle de Reine des Reines – mères du Département du Ndé pour porter une motion de soutien au Président de la République

 

Une forte mobilisation, organisée dans l’un des quartiers les plus populaires de la ville économique du Cameroun qui, outre la présence de  Menchiagrup Célestine Ketcha Courtès a connu la présence  des autorités administratives de la région du Littoral, des chefs traditionnels ainsi que des responsables des différentes communautés des huit (8) départements de la région de l'Ouest.

 

Prouver que les fils et filles de cette Région n’ont jamais cessé d’apporter un soutien sans failles à l’Institution du Cameroun

 

Et, c’est ce message que les différents intervenants se sont faits le devoir de relever. A travers ce meeting, « Nous voulons tenons à dire que le Président de la République peut compter sur nous, nous ses compatriotes de la Région de l’Ouest. Nous sommes engagés à le soutenir et à l’accompagner dans le cadre de la réalisation des projets qu’il a initié pour faire de notre pays, une nation où il fait bon vivre… ».

 

Désolidarisation et condamnation des actes posés par quelques individus

 

« Il l’a été dit avec insistance, le Président de la République est Président de la République de tous les Camerounais. La Région de l’Ouest condamne donc avec la dernière énergie, les promoteurs du discours tribal ; Celui qui promeut la division entre les fils et les filles d’un même pays, celui qui veut faire croire à certains qu’ils ne sont pas pris en considération dans la politique initiée par le Président de la république. Nous condamnons avec fermeté toutes les agressions dont notre père fait l’objet au niveau de la diaspora. Les fils et filles de la Région de l’Ouest ne sont pas comptables de ces actes, encore moins des propos de quelques personnes égarées… ».

 

Une occasion saisie par les autres communautés qui elles aussi, ont tenu à donner de la voix, afin de célébrer l'unité nationale et le vivre ensemble dans la diversité.

 

Et comme tout pouvoir vient de Dieu, les participants à ce grand meeting de soutien ont célébré une messe, pour remettre le Président de la République et sa famille entre ses mains, mais aussi pour que la paix, l’unité, la solidarité ne soient pas de vains mots ; qu’ils se manifestent dans les actes, les paroles « Car, au moment où le Cameroun fait face à de nombreuses attaques terroristes, nous avons besoin d’être unis ».    

 

Nicole Ricci Minyem

 

 

 

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Sunday, 05 June 2022 11:01