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Selon notre confrère Cameroon tribune, une entreprise canadienne est pressentie pour reprendre le contrat. Celle-ci a même des états de service au Cameroun.

 

Dans son édition parue en kiosque le 28 août 2019, le quotidien gouvernemental rapporte que le Ministère des Travaux publics souhaite changer d’entreprise adjudicataire du marché de construction de la Pénétrante Est de Douala. Ce marché jusqu’ici avait été confié à au groupement d'entreprises chinoises Wietc/Crccl4. Seulement le tronçon routier a beaucoup fait parler de lui ces derniers temps, du fait d’interminables bouchons. Et ces bouchons ont mis en mal le quotidien des populations et des usagers de cette route.

Les travaux de construction de la Pénétrante Est de Douala ont été lancés en octobre 2018. Et rendu à ce jour, le taux d’avancement desdits travaux n’affiche que 7%. De quoi déplaire au gouvernement. Et c’est à cause de ce retard, qu’on en est arrivé à la situation d’interminables embouteillages qui ont fâché plus d’un camerounais obligé d’emprunter la Pénétrante. Dans le but de fluidifier l'entrée Est de la ville de Douala, le gouvernement à travers le Ministère des Travaux publics a pris un certain nombre de mesures.    

Depuis le 13 août 2019, on note que l'une des trois voies alternatives de passage des véhicules en attendant la fin des travaux de la phase 2 de ce tronçon est fonctionnelle. «L'objectif intermédiaire qui est le nôtre aujourd'hui, c'est d'avoir quatre voies circulâmes en bon état d'ici le 15 décembre 2019 dans la perspective du CHAN qui se déroule en janvier », a indiqué Virginie Lekeufack Metangmo, Directeur général des travaux d'infrastructures (Dgti) au Ministère des Travaux publics.

Le souhait du gouvernement de faire appel à une autre entreprise pour poursuivre avec les travaux de la Pénétrante Est de Douala ne surprend pas d’aucun. Car on se rappelle qu’Emmanuel Nganou Djoumessi le chef du département ministériel suscité, après une descente sur les lieux avait exprimé son mécontentement.

«Conformément aux très hautes directives du chef de l’Etat, nous sommes en train de construire un boulevard urbain à Douala. Il s’agit en réalité de trois voies en deux, donc de réaliser 27 km de chaussée, deux ouvrages inférieurs et supérieurs, cinq giratoires. C’est le continuum de la phase I aujourd’hui achevée. Une entreprise et une mission de contrôle ont été sélectionnées pour respectivement réaliser ces travaux et assurer la maîtrise d’œuvre, mais nous notons avec beaucoup de peine un bon nombre d’insuffisances. Nous avons donc décidé de suspendre les travaux», avait alors déclaré le Ministre Nganou Djoumessi.

D’après des indiscrétions, on en saura un peu plus sur les mesures prises par le gouvernement et relatives au changement d’entreprise, d’ici la fin du mois de septembre 2019.

 

Liliane N.

 

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Le dernier arrêté préfectoral en date du 16 août organise le trafic pour le mieux avec la mise à contribution des voies de contournement.

 

Sur le terrain, rapportent nos confrères de Cameroon Tribune, tout au long du weekend dernier, la circulation était véritablement fluide, malgré les nombreux mouvements de véhicules aussi bien en partance qu’à destination de Douala. Et hier encore en début de semaine, la tendance s’est confirmée, malgré quelques goulots d’étranglement ici et là. 

Seules inquiétudes, apprend-on, les pluies qui s’abattent en ce moment sur la ville et qui pourraient entraîner rapidement la dégradation des voies de contournement, l’incivisme des usagers et bien sûr, le rythme d’avancée même des travaux de la pénétrante Est.

Le 06 août dernier, le ministre des Travaux publics, Emmanuel Nganou Djoumessi, effectuait une descente sur le chantier de construction de la deuxième phase de la pénétrante Est de la ville de Douala. Du constat fait à cette occasion, il se dégageait que la circulation était devenue infernale sur cet axe, à cause des retards pris dans le déroulement des travaux. Décision était alors prise de mettre sur pied le plus tôt possible, des voies de contournement pour fluidifier au mieux la circulation. Le gouverneur de la région du Littoral, Samuel Dieudonné Ivaha Diboua, à la suite du ministre des Travaux publics, s’est chargé de s’assurer de leur mise en route le 14 août.

Suite à tout cela, le préfet du Wouri, Joseph Bertrand Mache Njouonwet, a pris le 16 août dernier, un nouvel arrêté complétant les dispositions de celui pris le 05 août, portant gestion du trafic routier sur la pénétrant Est de la ville de Douala.

Dans son arrêté, le préfet, tout en insistant sur les nécessités de préserver l’ordre public sur le chantier de construction de la deuxième phase de la pénétrante Est, met l’accent sur la circulation des poids lourds. C’est ainsi qu’à compter de la journée d’hier, 19 août, est interdite sur cet axe tous les jours de 5h à 20h, la circulation des camions bâchés, des camions fourgons, des camions bennes, des camions bétonniers, des camions porte-chars, des camions châssis nus, des camions plateaux, des camions citernes, des camions fourgons simples et frigorifiques, des camions plateaux ridelles, des camions porte-conteneurs, des camions porte-grues et grumes et des camions semi-remorques. Les camions transportant des produits agroalimentaires, pharmaceutiques, brassicoles, pétroliers et dérivés circulent normalement. 

Quant aux véhicules légers (3,5t maximum), les engins à deux et trois roues venant d’Edéa pour Douala, ils emprunteront la voie de contournement allant de Tradex Yassa-entrée logements sociaux Ngodi Bakokostation Neptune Ari en sens unique. 

Avec ces mesures, associées aux efforts des autorités administratives, et à ceux des forces de maintien de l’ordre déployées sur le terrain, et notamment de la police, force est de reconnaître aujourd’hui que ça roule. 

 

Otric N.
 
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Une décision  prise par le préfet du Wouri qui a pris effet ce 19 août va s'étendre au 31 août 2019.  Ces camions sont interdits de circulation entre 05h et 20h sur la pénétrante Est de Douala en chantier. 

 

La décision du préfet vise à faire face aux désagréments dans la circulation sur la pénétrante Est de Douala.  Sont exempts de ces nouvelles dispositions les camions transportant certains produits. Il s'agit notamment des produits l'agroalimentaire, pharmaceutique, pétrolier et ses dérivés, les produits brassicoles.

 

Les voies de contournement prévues

Les engins à deux ou trois roues quant à eux doivent  emprunter la voie de contournement. Cette voie alternative part de Tradex Yassa pour la station Neptune Ari en passant par les logements sociaux de Mbanga Bakoko.

Depuis quelque temps, circuler au niveau de  la pénétrante Est de Douala est devenu un épisode difficile à cause des embouteillages persistants. Selon les automobilistes et les voyageurs confrontés aux embouteillages sur cette voie, " les travaux complémentaires de réhabilitation du tronçon de la route : du PK10+400 AU pk19+300 (Pont sur la Dibamba) sont à l'origine des interminables bouchons ".

En chantier depuis 2015, les travaux sur la  pénétrante Est de Douala sont terminés il y a peu, même si l'on note encore quelques réajustements. Concrètement, le chantier consistait en la réhabilitation et en l’élargissement de l'accès sur 20 km. Ce projet majeur comportait le rechargement en enrobés de la chaussée existante. Étaient également prévus, le passage à 6 voies d’une partie du tracé, la réalisation de 7 ronds-points., sans oublier la construction de 3 ouvrages d’art dont un précontraint, le remplacement de 18 ouvrages hydrauliques. 

 

Innocent D H

 

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Samuel Dieudonné Ivaha Diboua précise que cette assurance lui vient des éclairages des professionnels sur le terrain.

 

Même si le problème de fourniture d’énergie électrique dans la ville de Yaoundé, bat actuellement son plein au Cameroun, les autorités restent tout de même préoccupées par celui de la circulation au niveau de la Pénétrante Est Douala. C’est ce qui justifie la descente de Samuel Dieudonné Ivaha Diboua le gouverneur de la région du Littoral sur le lieu des travaux. Il a été question pour le patron de la région du Littoral, de s’assurer du démarrage effectif desdits travaux. « Après les instructions du Ministre des Travaux publics lors de sa dernière descente ici sur le terrain, il était de bon ton de venir nous assurer que les travaux sur les voies de contournement ont effectivement démarré », a-t-il déclaré.

Le gouverneur Samuel Dieudonné Ivaha Diboua a fait le tour de l’itinéraire arrêté par le Ministre des Travaux publics. L’itinéraire concernant les voies de contournements à construire. Il s’agit de Chefferie Ndogpassi III – Carrefour Ari et Ngodi-Bakoko. C’est avec satisfaction que le patron du Littoral est parti, après s’être renseigné notamment sur les délais d’exécution des travaux, les problèmes rencontrés sur le terrain. Il a indiqué que la circulation sera rétablie et la praticabilité des axes suscités sera également bonne.

« Dans les jours à venir, un accent sera mis sur une meilleure organisation des travaux en vue de désengorger la circulation. Les travaux ont donc commencé. Nous allons nous organiser pour la praticabilité de ces voies de contournement, de manière à assurer la circulation des véhicules en alternance sur les voies pour que les usagers venant d’Edea pour Douala, ou ceux en partance de Douala pour Edea, n’aient pas de problèmes. Des solutions vont suivre pour y arriver. L’arrêté préfectoral est modulable et on va l’adapter de manière à assurer la fluidité des mouvements pendant les travaux », a-t-il ajouté.

Pour ce qui est des difficultés rencontrées sur le terrain, les techniciens ont parlé des pluies abondantes qui tombent en ce moment dans la ville de Douala. Toutefois, ils ont rassuré sur le fait qu'ils sauront adapter leur travail aux intempéries.

 

Liliane N.

 

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C'était lors d'une réunion avec MINMIDT à l'Office National de la Zone Franche Industrielle à Douala le 05 août 2019.

 

Les entreprises membres de la Zone Franche Industrielle Nationale ont demandé au gouvernement d'étendre le régime de la zone franche afin de leur permettre de bénéficier de ses avantages. Les entreprises ont également demandé le remboursement de la taxe sur la valeur ajoutée et que le gouvernement se penche sur la question de la pénurie de devises qui les rend incapables de s'approvisionner à l'étranger.

Les hommes d'affaires s'exprimaient lors d'une réunion avec le ministre des Mines, de l'Industrie et du Développement technologique qui s'est tenue dans les locaux de l'Office national de la zone franche industrielle, ONZFI, à Douala le lundi 05 août. Les hommes d'affaires se sont également plaints de goulets d'étranglement avec le service des douanes, notamment la taxe de 12 pour cent pour les entreprises de recyclage, tandis que ceux du secteur cacaoyer se sont plaints de la loi du 18 avril 2013 qui abroge certains des avantages qu'ils avaient comme membres de la zone franche industrielle.

D'autres avaient un problème de statut car leurs entreprises n'ont pas encore reçu l'autorisation d'opérer.

En réponse, le ministre des Mines, de l'Industrie et du Développement technologique, Gabriel Dodo Ndoke, a promis d'examiner les questions qui concernent son département ministériel et de transmettre les autres préoccupations aux administrations concernées pour trouver des solutions urgentes.

Il a déclaré que la zone franche industrielle se poursuivra malgré les changements dans la nomenclature du ministère titulaire ou le changement d'administrateurs en disant qu'il cherchera à accompagner les entreprises pendant cette période transitoire en attendant l'extension du régime de la zone franche dont l'expiration a mis certaines entreprises en difficulté. Il a indiqué que des consultations étaient en cours en vue de l'extension du régime de la zone franche.

Le directeur général de l'ONZFI, Robert Tchounga, a déclaré que la structure créée depuis 1990 est confrontée à des difficultés dans le développement du régime, à l'instabilité du régime fiscal appliqué dans la zone franche industrielle, à la précarité de la situation sécuritaire des entreprises basées dans les régions du Grand Nord, du Nord-Ouest et du Sud-Ouest ainsi qu'à des tentatives de détourner les autorisations ou autorisations.

L'ONZFI, a-t-il dit, regroupe une quarantaine d'entreprises opérant dans les domaines de l'agro-industrie (cacao, café, thé, fruits et légumes, vins et spiritueux), du recyclage des métaux, de la production de matériaux de construction et du traitement du bois. Le défi à relever est de passer d'une zone franche industrielle à une zone économique, a-t-il dit.

 

Otric N.

 

Published in Entreprises

Atanga Nji Paul, Ministre de l'Administration Territoriale du Cameroun, a présidé, sur les hautes instructions du Chef de l'Etat, le Président Paul Biya, une réunion cruciale sur la sécurité dans la capitale économique du pays, Douala.

 

La réunion sur la sécurité qui a eu lieu le vendredi 09 août 2019 dans la salle de conférence du Bureau du gouverneur du Littoral a réuni les autorités de sécurité et administratives de la région. Bien que la situation sécuritaire du Littoral serait sous contrôle, le ministre Atanga Nji a déclaré que certaines activités doivent être contrôlées.

Le ministre a exhorté les représentants d'organisations non gouvernementales et les professionnels des médias à être responsables et à contribuer à leur propre quota d'édification de la nation. Il leur a également conseillé d'éviter les propos désobligeants qui discréditent l'action du gouvernement.

"Je suis ici pour tenir cette réunion de sécurité sur les hautes instructions du président Paul Biya. Les autorités administratives ont attiré mon attention sur certaines activités dangereuses dans la région. Nous avons des actes malicieux dans des taxis municipaux où des passagers sont attaqués et privés de leurs biens. Nous avons demandé aux forces de sécurité d'examiner la question afin que tous ceux qui perpétuent ces activités dangereuses soient mis sous contrôle. Ceux qui ne veulent pas respecter les lois seront considérés comme récalcitrants et seront traités comme tels. 

"Les autorités administratives ont attiré mon attention sur de nombreux organes de presse à Douala qui organisent des débats hebdomadaires. Ils ont un objectif principal qui est simplement de saboter l'action du gouvernement, de promouvoir les tendances sécessionnistes. Je les exhorte à être responsables."

Paul Atanga Nji a exhorté les organes de presse privés basés dans la région littorale à être plus responsables dans la manière dont ils mènent leurs activités - les avertir de construire et non de détruire la nation au cours de leurs émissions hebdomadaires de débats. 

Le ministre de l'Administration territoriale a appelé les partis politiques de l'opposition à respecter les lois de la république tout en s'abstenant de toute activité qui pourrait pousser son département ministériel à les suspendre. 

Atanga Nji a averti certaines organisations non gouvernementales qui se livrent à des activités sans scrupules de respecter le contrat qu'elles ont signé avec le ministère de l'Administration territoriale sous peine d’être suspendues.

 

Otric N. 

 

Published in Institutionnel

Ce concept selon les organisateurs, a été mis en place afin de susciter au sein de la jeunesse camerounaise et africaine, aujourd’hui influencée par des courants culturels étrangers, un intérêt certain vis-à-vis de leur histoire, leurs traditions, leurs us et coutumes.

 

Un héritage qui pour eux, est synonyme de repères sociaux solides, indispensables pour leur développement intégral.

Cette édition, tout comme les précédentes, entend contribuer, de manière significative, à la consolidation du tissu de l’industrie culturelle locale et, c’est la raison pour laquelle les articulations proposées vont au-delà des jeunes de ce département, d’où le thème : « Rencontre et Intégration des Peuples ».

Dans cet entretien, Jean Pierre BADANG, Président du Comité d’Organisation nous en dit plus.

 

-         Quels sont les objectifs et les avantages que se fixent les organisateurs du festival EBASSA ?

Le FESTI EBASSA permet au peuple Camerounais et Mbamois en particulier de se ressourcer sur les fondements des musiques et danses traditionnelles, c’est en même temps une occasion de retrouvailles pour réfléchir sur les moyens de la préservation et la valorisation de notre patrimoine culturel, c’est aussi une occasion idoine d’amener la jeunesse et même le reste de la population de notre pays à marquer leur attachement aux valeurs culturelles. Enfin, last but us least, il permet d’identifier et promouvoir les jeunes entrepreneurs, artisans et talents artistiques à travers des concours, ateliers de formation dans plusieurs établissements scolaires, des visites dans différentes associations Mbamoises présentes dans la ville de Douala et surtout partager une calebasse de vin de palme (Nnumpé).

 

Les intérêts sociaux sont entre autres : - L’épanouissement social du public - La connaissance des produits culturels du Mbam et surtout l’ouverture d’une fenêtre à un évent unique.

L’intérêt marketing consistant en: L’accès à un nouvel auditoire dans le Littoral -  L’offre un spectacle de rêve au public, développement le savoir gagner.

 

-         Quel est la spécificité du festival EBASSA ?

Le  FESTI EBASSA est un évent conçu en relation avec le rêve du peuple mbamois. La forme d’animation unique en son genre suscite un intérêt sans cesse renouvelé. Se démarque par la manière subtile et efficace d’offrir une visibilité aux différents annonceurs et partenaires.

 

-         Pourquoi avoir choisi le site du parcours Vita à Douala ?

Le site du Parcours Vita a été choisi pour permettre à la cible de n’être préoccupée que par son divertissement. Outre les agents de sécurité qui seront mobilisés, les conditions d’encadrement dudit site permettent de se divertir en toute quiétude.

 

-         Où en êtes-vous avec les préparatifs de cette édition ?

Les préparatifs vont bon train et je suis fier que nous soyons en train de travailler en bonne intelligence avec nos élites de Douala et d’ailleurs. Je profite de votre tribune pour dire merci de tout cœur à notre parrain en raison de l’accompagnement qu’il nous apporte et pour toute sa disponibilité.

Lors des éditions précédentes, plusieurs partenaires et sponsors nous ont accompagnés. Douala étant le poumon économique du Cameroun, nous voulons ici rassurer les entreprises de la place qu’elles peuvent faire confiance en notre évent pour améliorer leur image de marque et leur visibilité, ainsi que pour la promotion de leurs produits et innovations.

Je tiens à rappeler que « Gunu » est le nom d’un groupement Yambassa dans les arrondissements de Bokito et Ombessa dans le département du Mbam et Inoubou, région du Centre du Cameroun. Je vous remercie.

 

Nicole Ricci Minyem 

 

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Les produits exposés dans cette boutique, appartiennent à une trentaine d’entreprises privées.

 

C’est la toute première boutique de la ville de Douala, où ne sont qu’exposés des produits ayant le label Made in Cameroon. Située à quelques dizaines de mètres carrés du Commissariat de police de Deido de la capitale économique, cette boutique est prise d’assaut depuis son ouverture, par une clientèle en quête des spécialités locales.

Peinte aux couleurs nationales : vert-rouge-jaune, on y retrouve des dizaines de marques et marchandises de l'artisanat de transformation et de création des Petites et Moyennes Entreprises (Pme) camerounaises. Il y a également du jouet à la confiture, du parfum à la farine de plantain. « Les premiers jours, on a reçu plus de cinq cents visiteurs », fait savoir Edwige Azanfack. Elle est membre de l’Association nationale des producteurs, inventeurs, artisans et transformateurs des produits locaux.

La boutique qui est une initiative portée par des entrepreneurs privés locaux, présente des rayons de cosmétique et d’aliments qui sont prêts à la consommation. On note toutefois que l’agro-alimentaire domine et prend les trois-quarts des espaces étagés. Pour ce qui est des prix, ils sont fixés selon les différentes bourses. La bouteille de jus de corossol par exemple est vendue au prix de 1000 F, le sac de riz aux parfums du sahel est commercialisé à 5000 Fcfa.

« J’ai trouvé cela créatif et authentique. Les gens aiment consommer ce qui vient d’ailleurs, faute d’avoir compris que ce que nous avons est meilleur que les produits industriels importés », explique Mylène Moundo une cliente. Certains clients ravis d’avoir une boutique de vente de produits locaux dans leur ville, demandent d’être informés sur l’arrivée de certaines marchandises.

Il convient de souligner que la promotion du label Made in Cameroon est une préoccupation constante des autorités camerounaises. A l’heure actuelle, le Cameroun a déjà 600 produits disponibles. Lesdits produits sont issus des secteurs comme l'agro-alimentaire, l'industrie chimique et cosmétique, la transformation métallurgique et le bois.

 

Liliane N.

 

Published in Agro-Industrie
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L’international basketteur et champion de la Nba 2018/2019 était à SOS Villages d'enfants Cameroun.

 

Le 06 août 2019, les enfants démunis de SOS villages d'enfants Cameroun ont passé d’agréable moment, en compagnie du champion de la Nba 2018/2019, Pascal Siakam. Ravis de voir le champion, ils ont réservé à celui-ci, un accueil des plus chaleureux. « C'est un jour spécial pour nous que de vous recevoir. C'est un honneur pour les enfants, vous qui êtes pour eux un exemple de réussite par le travail et l'abnégation. Que cette visite soit pour les enfants, une source d'inspiration et de motivation », a déclaré toute ravie Claude Alvine Mbappé Koum la Directrice nationale de SOS villages d'enfants Cameroun.

Pour Pascal Siakam, il était question de voir de plus près les conditions de vie des enfants pensionnaires de SOS villages. Il a de ce fait inspecté les salles de classe, le réfectoire, les logements, le poulailler et les aires de jeu. Il a eu droit à des explications données par les responsables du village. Siakam a aussi profité de ce moment de visite pour partager son expérience avec les enfants. Il leur a parlé entre autres de sa motivation à devenir basketteur, de ses idoles, de son parcours, de sa vision de la prochaine saison NBA, et même de sa taille.

Le champion de la NBA leur a aussi prodigué quelques conseils et avis. « La vie ne vous fera pas de cadeaux, il vous faudra travailler dur pour vivre vos rêves. Respectez vos parents et faites leur honneur si vous voulez aller loin et réussir. Tout est peut-être dans le rêve, mais il faut avoir une vision et vouloir vraiment faire ce que l'on veut, croire en soi pour atteindre ses objectifs. Travailler encore et toujours et savoir saisir les opportunités quand elles se présentent », a-t-il déclaré.

A titre de rappel, le joueur de Toronto Raptors est arrivé au pays le 03 août 2019. Il faut noter qu’il est désormais titulaire d’une bague de champion. Un Graal après lequel de grands basketteurs ont couru en vain. Des basketteurs comme Karl Malone, Pat Ewing, Charles Barkley, Shawn Kemp.

 

Liliane N.  

 

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Depuis plusieurs semaines, les images des longues files d’embouteillages sur la pénétrante Est de Douala alimentent tous les débats dans les médias ou alors les réseaux sociaux. Les témoignages d’automobilistes et les voyageurs piégés quotidiennement dans d’interminables embouteillages sont dignes des films de science-fiction. Circuler actuellement à Douala est devenu un véritable défi car les embouteillages persistent de plus belle.

 

Le lundi 05 août dernier, le préfet du Wouri a signé un arrêté portant interdiction de la circulation des camions tous les jours entre 05h et 21h jusqu’au 31 août 2019. Cette décision avait pour objectif de décanter le trafic sur la pénétrante Est de la capitale économique du Cameroun. Cependant, deux jours plus tard, aucun changement ne semble être perceptible sur le terrain. Le problème des embouteillages au niveau de la pénétrante Est de Douala persiste. Sur les antennes de la Crtv ce mercredi, le gouverneur du Littoral, Samuel Ivaha Diboua, affirmait pourtant avec assurance que la situation s'était nettement améliorée.

Il est toujours impossible de circuler librement dans cette partie de la deuxième ville du pays. La cause : en plus des pluies, les travaux complémentaires de réhabilitation du tronçon de la route entrée Est de la ville de Douala, du PK10+400 AU pk19+300 (Pont sur la Dibamba). 

La situation est alarmante voire désespérante. Tous les usagers sont débordés et les plaintes fusent de partout. Du désespoir à l'ironie, tous les moyens sont bons pour dénoncer cet état de choses. « Je suis dans le bus depuis 4 heures du matin mais il est presque 08 heures nous n’arrivons pas encore à sortir de la ville. Trois heures pour parcourir une dizaine de kilomètres, c’est inacceptable », déplore un usager.

« Hier encore entre 08 et 09 h c’était l’enfer ; aujourd’hui pareil. Comprenez que je donne cet intervalle parce que c’est celui pendant lequel je suis sur la route. Bref, je suis arrivé au bureau à 9h30 avec 30 bonnes minutes de retard et ceci hier comme aujourd’hui et ça ne doit pas devenir une habitude sinon… Tout ce que je veux dire c’est que j’en ai ras le bol de tout çà ! C’est vrai quoi ! Quand on voit les blancs par exemple, chez eux ils essaient toujours de trouver des solutions à leurs problèmes histoire d’améliorer leurs conditions de vie. Chez nous ici chacun s’occupe d’abord de ses fesses, le reste il s’en fout. », en rajoute un autre.

Sur les réseaux sociaux, la furie des mots et des images est grande et l'argot camerounais qui ne manque aucune occasion pour s'enrichir est assure la garde. Désormais, les embouteillages de Douala peuvent servir de comparant devant les obstacles auxquels certains font face. C'est ainsi que l'on peut entendre des gens lancer : "Même les embouteillages de Douala ne pourront pas m'en empêcher". Sur Twitter, l'ironie est plus présente qu'autre : "Vous pensiez vraiment que la signature d'un arrêté préfectoral pouvait arrêter les embouteillages à Yassa ? Rires", peut on lire et c'est dans le même sens que vont plusieurs commentaires. 

A en croire ce qui se dit dans les médias, il faut maintenant sept heures d’horloge ou plus et non quatre, comme auparavant, pour parcourir les 244 km qui séparent Douala de Yaoundé. Le plus désespérant, réside dans le fait qu’il n'y ait quasiment pas d'officiers de police pour réglementer la circulation et mettre un peu d’ordre dans les embouteillages. Devant pareille situation les chauffeurs indisciplinés s’en donnent à cœur joie et contribuent, de par leur comportement à ralentir considérablement la circulation.

Cette insistance des bouchons dans la ville surgit à un moment où les entrées et sorties dans les métropoles connaissent une hausse notoire due aux vacances scolaires. Il faut dire que tous les secteurs d'activités sont touchés par ce fléau qui tarde à se résoudre. 

 

Danielle Ngono Efondo

 

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Sunday, 05 June 2022 11:01