25/10
Christian Wangue, l’éphémère empire d’un journaliste africain « en congé »
14/10
Pratiques mafieuses au Cameroun : Mediapart remporte le procès contre Bolloré
23/09
Préparatifs Mondial 2022 : Toko Ekambi forfait pour le match Cameroun-Ouzbékistan.
21/09
La bataille d’équipementier conduit à un bashing entre Samuel Eto’o et Yannick Noah
25/07
L’Union Africaine se félicite de la reprise des exportations de céréales d’Ukraine et de Russie
21/07
Football: la FIFA condamne le Cameroun à payer plus d’un milliard de FCFA au portugais…
20/07
Affaire de mœurs: la sex tapeuse Cynthia Fiangan a passé sa première nuit en prison
19/07
Le Cameroun veut importer 400 000 tonnes de riz en 2022
19/07
Droits de l’homme: Le REDHAC vole au secours du Directeur de publication du journal Le…
19/07
L’ancien Lion indomptable Stéphane Mbia risque la prison en Espagne
19/07
Découvrez le programme du séjour du président français Emmanuel Macron au Cameroun
18/07
Les Lionnes indomptables qualifiées pour les barrages de la Coupe du monde 2023
18/07
Mea Culpa: les camerounais accepteront-ils les excuses de Gaëlle Enganamouit
18/07
Lettre ouverte/Calixthe Beyala au président Macron: «venez-vous pour adouber un homme pour la transition au…
18/07
Emmanuel Macron au Cameroun, c’est confirmé
15/07
Le président de la République nomme de nouveaux responsables au sein de l'armée
15/07
Administration territoriale: le président de la République nomme 14 nouveaux préfets et 57 sous-préfets
15/07
CAN féminine 2022: les Lionnes indomptables éliminées en quart de finale
14/07
Diplomatie: le président Emmanuel Macron annoncé au Cameroun
14/07
Match Cameroun-Nigéria: 5 raisons pour croire à la qualification des Lionnes indomptables
Nicole Ricci Minyem

Nicole Ricci Minyem

Un titre qui lui a été décerné par les membres du Conseil National de la Jeunesse du Cameroun qui se sont appuyés sur le volet « Social » de cette organisation qui vise l’auto-emploi, l’insertion et la réinsertion professionnelle des jeunes.

 

L’honorable Gaston Komba s'est distingué dans le soutien en faveur de cette catégorie de Camerounais, avec notamment le Réseau parlementaire Espérance Jeunesse dont il est le fondateur du temps où il officiait comme Député de la Nation.

La cérémonie sobre et conviviale s'est déroulée il y a quelques jours dans la salle de réunion du Secrétariat Général de l’Assemblée nationale sis au quartier du lac, en présence  de Jean Marc Afesi Mbafor, membre de la Commission nationale pour la promotion du bilinguisme et du multiculturalisme et ancien président du Conseil National de la Jeunesse du Cameroun, de même que des membres dudit Conseil sous la conduite du Vice-président Kindong Princely.

L'ancien député du Rassemblement Démocratique du Peuple Cameroun (RDPC) pour le Nkam - Région du littorale, a occupé deux mandats et occupe aujourd’hui, le poste de Secrétaire Général de l’Assemblée Nationale.

De l’avis de ceux qui lui ont décerné cette distinction, l'honorable Gaston Komba a prouvé au-delà de tout doute raisonnable que le Bureau de l'Assemblée nationale a pris la bonne décision, en lui confiant le poste.

Il convient de rappeler que l’homme politique a en outre occupé plusieurs postes de premier plan au Cameroun ; notamment celui d’inspecteur général au Crédit Foncier, responsable de la recherche à la Présidence de la République du Cameroun… Au niveau académique, Gaston Kumba est titulaire d'une Maîtrise en Sciences Politiques et en Droit.

Admiratif, Ndage Etienne, un jeune, affirme qu’il « est sans aucun doute un exemple typique d'un homme qui sait fusionner à la fois théorie et politique pratique ;

Tenez par exemple, Gaston Komba a été l’un des architectes de la prise en compte de la problématique portant sur le Code de la Décentralisation, avec la prise en compte des autorités locales, au cours d’une session extraordinaire en décembre 2019 ; La suite est connue de tout le monde ;

Comment taire le fait qu’avec son arrivée en tant que secrétaire général de l'Assemblée nationale, plusieurs travaux ont été réalisés et des projets plus positifs se font déjà sentir dans les couloirs de la Glass House ».

L'honorable Gaston Komba est également président d'une association non gouvernemental connu sous le nom de Camnafaw depuis le 26 septembre 2020.

 

Nicole Ricci Minyem

 

L’annonce a été faite, selon nos confrères de « Eco Matin » et « Investir au Cameroun » par Jean Claude Eko’o Akouafane, directeur général de la Société de Développement du Cacao, alors en campagne de lancement de la saison cacaoyère dans la Région du Sud Cameroun.

 

Selon les responsables de cet organisme, les plants qui seront distribués sont résistants aux attaques des insectes qui détruisent souvent la production, et vont entraîner la régénérescence des plantations vieillissantes, créant ainsi de nouvelles plantations dans les bassins de productions disséminées à travers le pays.

Au-delà de la production de 1000 voire 2000 kilogrammes à l’hectare, d’ici 24 mois, ces cinq (5) millions de plants vont entraîner l’augmentation de la production nationale, dans un contexte d’augmentation de la demande dans le secteur de la transformation. De bonnes nouvelles pour les producteurs qui pourraient atteindre leurs objectifs grâce à l’arrivée de deux nouveaux broyeurs au Cameroun : Atlantic Cocoa et Neo Industry.

Mutation vers la transformation de la fève de Cacao

Bien qu’artisanale, cette étape se fait de plus en plus ressentir et, il est loisible de le constater lors des foires, des foras et autres rencontres de grandes envergures. C’est ainsi que les Camerounais dans le cadre de la consommation, présentent des chocolats, du vin, du beurre, des whiskys, des caramels…Dans l’aspect santé, l’on a des ovules, des huiles…

Utiliser les cabosses de cacao pour produire de l’énergie

Peut être que la grande production de cacao annoncée pour la saison en cours va susciter chez certains, l’envie d’utiliser à d’autres fins, ces « déchets », notamment dans le secteur sus cité ; d’autant plus que le Cameroun fait face à un grave problème de délestage permanent. Valoriser ces déchets à travers une centrale électrique biomasse semble être une idée pertinente.

C’est ce qui se fait par exemple en Côte d’Ivoire aujourd’hui. Ce pays entend, d’ici 2023 installer un grand projet de centrale biomasse dans le sud du pays. Sa puissance sera de 60 à 70 mégawatts.

Le cacao reste une source de devises pour le pays et de revenus pour les producteurs ; il a été le 2e produit d’exportation, selon le rapport sur le Commerce Extérieur du Cameroun en 2019. Cette année-là, apprend-on, la fève rouge brique du Cameroun, très prisée par les chocolatiers, a rapporté au pays 12,1% de ses recettes d’exportation. Certains n’ont d’ailleurs pas hésité à effectuer le déplacement et l’on se souvient des multiples réunions avec le ministre du Commerce.  

 

Nicole Ricci Minyem

 

Dans une lettre ouverte adressée à celle qu’elle présente comme une « Activiste politique », la Députée Pcrn du Nyong et Kelle, tout en rappelant à l’avocate quelques préambules lorsqu’on se prévaut de la casquette «  d’analyste politique », lui fait comprendre entre autres que l’une des Dames que le Cameroun peut considérer comme un modèle est l’Honorable Françoise Foning, de regretté mémoire

 

« Ma très chère grand-mère j'ai suivi avec beaucoup de passion tes sorties au sujet de l'évolution politique de mon leader l'hon Cabral Libii. J'ai essayé dans mon esprit immature en politique de comprendre ce dérapage public et je me suis résolue de vous interpeller en insistant sur certains aspects:

Primo lorsqu'on donne objectivement des leçons d'expérience et de maturité politique on commence par présenter les forces et faiblesses du concerné. Ensuite, présenter son propre CV dans le domaine car en réalité, nous qui nous revendiquons d'une certaine génération nous inspirons du parcours élogieux de nos parents et grands parents.

C'est pour cette raison que ma modeste personne peut se retrouver sur les traces de feue hon. Foning qui malgré son départ brutal fait parler d'elle à travers ses empreintes en politique je devrais encore citer davantage mais je m'en tiens à cet unique exemple.

Secondo les prédictions en politique ma chère grand-mère n'ont jamais fonctionné. A titre de rappel, vous ne nous donniez même pas 1% à l'issue de la présidentielle de 2018 nous avons multiplié ce pourcentage.

Vous avez prédit un échec lamentable aux élections locales, nous avons eu une victoire que plusieurs partis politiques en si peu de temps n'ont pas réussi à avoir cette performance. Ceci devrait vous renseigner sur notre engagement en politique; nous y sommes pour diriger ce pays et tenez vous bien nous allons le faire.

Je lis de part et d'autre que les élus du PCRN ont échoué si ce n'est vraisemblablement pas la sénescence peut- on évaluer un mandat à peine débuté ? Heureusement que les populations sont les véritables témoins du changement.

Tertio la politique est un jeu d'idées ne vous offusquez pas du fait que lorsque vous avez sur la place publique émis une idée, que vous recevez la réponse qui convoque la limite de votre idée et en personne mature il serait préférable de vous réexaminer pour réajuster votre position.

C'est aussi ça avoir de la maturité, de la mesure et du respect. Un adage Bassa nous renseigne que le cours d'eau avait débordé car il n’y avait personne pour le canaliser.

La politique n'est pas un dépotoir; on ne s'engage pas par aventure; on s'y engage pour valoriser son idéologie en restant focus pour accéder au pouvoir à la magistrature suprême afin de transformer son idéologie en développement pour l'épanouissement des populations. En tout cas, c'est la vision des Cabralistes Pcrnistes que nous sommes.

Mon conseil si je pourrais me permettre c'est de songer à une retraite bien méritée après les multiples combats menés. Il serait judicieux de prendre du recul pour vous consacrer à des choses moins exigeantes et plus lucratives.

Que l'on ne vous trompe pas votre temps est derrière vous et ce qui était vrai à cette époque ne l'est pas forcément aujourd'hui. C'est d'ailleurs l'une des limites principales de l'approche historique qui manifestement, est l'unique grille de lecture sur laquelle vous vous appuyez.

La politique est historique, situationniste, prospective, proactive, évolutive, inventive, constructive, interactionniste, bref c'est un cocktail.

Nous sommes dans un mandat de transition.

Ce que pouvait ce régime il y a 10, 20, 30ans, n'est plus le cas aujourd'hui et c'est normal dans un cycle de vie. Avant de prendre une décision politique, il faut évaluer absolument tous ces paramètres.

C'est cette non prise en compte de cette exigence qui vous a fait nourrir espoir à un parti politique aujourd'hui qui se demande comment fera t il pour investir à la prochaine présidentielle son candidat.

Merci pour tout et bonne retraite bien méritée ».

 

N.R.M

 

Alors que la toile vibre depuis que le Député de la Nation a asséné une réplique cinglante à la défenderesse des causes inopportunes, celle-ci ayant ouvert les hostilités en utilisant des propos condescendants et quelque peu insultants envers l’élu du Peuple et ces Conseillers qui ont pour certains le même âge qu’elle, l’universitaire n’a pas voulu être du reste

 

Échos de vocabulaire : être sénescent ou avoir grillé ?

« Savoir parler et savoir ce que parler veut dire : la météore de la vie politique et Ma Dalton, la mère des mauvais garçons, nous ont renvoyés à nos dictionnaires dans un de ces échanges sulfureux que les politiques ont parfois entre eux. Personne ne voulait blesser l'autre. Tous deux se sont sentis blessés.

Ma Dalton a ouvert la première salve. L'éclair de la politique s'est vu gratifier d'un charmant qualificatif : naïf. Dites ça d'un politicien. Vous vous entendrez dire les douceurs que me sort la talibanie féroce et enragée à chaque billet. Naïf, un politicien n'est juste bon à rien. Dame ! Dans un boulot où il faut ouvrir l'œil - et le bon - vous coltiner de la qualité de naïveté...

Et la mémé a enfoncé le clou : il a grillé son temps. Ce sont des choses qui sonnent tout à fait charmant quand on le dit à d'autres et un peu moins quand on les entend de soi. Griller son temps, c'est n'en rien faire - puisqu'on est naïf - et, justement, ne servir à rien. N'allez pas croire qu'il y ait là quelque méchanceté. Celle qui hérite le sobriquet Ma Dalton est forcément une femme adorable.

Griller... Chez les militaires, le grillé est celui qui ne progresse plus. L'ampoule grillée n'est pas si lumineuse que ça. Du temps grillé, Ma Dalton qui s'y connaît en sémantique nous dira ce que ça n'a pas de blessant pour qui aspire à changer les temps et moments de concitoyens et de créer, dans un futur - hélas grillé- ce qui serait un imaginaire de rêve.

Et la réponse n'a pas tardé. Elle a porté sur les effets du temps. Ma Dalton qui fréquente depuis tantôt des gens particulièrement horribles, a dû apprendre d'eux, les effets du temps sur les organismes. Leurs souffre-douleurs appartiennent à une gériatrie cacochyme qui y perd, oreilles, dents, lucidité, bienveillance, clairvoyance, intégrité, santé, mobilité, pour ne parler que de ça.

 Cameroun : Cabral Libii prend les gants contre Me Alice NKOM

Elle en a certainement appris comment risibles sont-ils d'être si vieux et si déglingués. Avec sa daltonesque progéniture, ça sonne bien de dire ces graciosités de vieillards. Et surtout, ça n'a rien d'offensant. Et Thunderbolt lui a assez prosaïquement donné la signification de cela : sénescence. Je n'ai pas le sentiment que c’ait plu à la mémé. Précisément parce que ça lui a rappelé ce que ses sacripants disent d'autres.

Se voir reléguer dans la catégorie à laquelle on appartient. Ah, le joli coup ! Juste au plexus. Et Ma de se replonger dans les souvenirs qui attestent de l'utilité des vieillards. Ainsi, ils sont bons à quelque chose ? Utile de le savoir. On en doute parfois, à les entendre dire. Les femmes - les mémés surtout - sont souvent comme ça : de vieilles sorcières acariâtres qui radotent et qui disent des insanités...

Et Ma Dalton de se récrier : non moi-ôôô ! Je ne suis pas moi comme ça ! Je ne voulais pas blesser. Juste donner un cours d'algèbre politique : apprendre (au naïf) à tracer des courbes de progression dans la durée, des algorithmes de réussite électorale, des diagrammes d'évolution temporelle. Hé hé ! La Talibanie médisante qu'elle fréquente m'en semble l'équation la plus achevée !

 Me Alice Nkom parlant de Cabral Libii : « c’est quelqu’un qui est capable de ne pas jouer franc-jeu »

Et le vieillard qu'avec ses chenapans de rejetons elle vilipende, doit être une absurdité mathématique en termes de savoir-faire politique. Il n'est nulle sagesse à apprendre de lui en matière de résultats électoraux, de durée politique, de gestion du pouvoir et d'autres choses semblables. Personne ne voulait blesser l'autre. Mais ils se sont bien compris. Moi aussi, j'ai appris de ce conflit de générations.

C'est fou ce qu'on apprend en côtoyant les vieux...

Ils ne vous blessent pas en vous disant grillé et naïf. Ils disent juste que vous ne servez à rien...

Et la sénescence, chez-eux, n'affecte que les vieux avec qui ils (ou elles) ne sont pas d'accord ».

 « Cabral Libii n’a pas à s’attaquer à l’âge de Me Alice NKOM », Siméon Roland EKODO Meng

 

N.R.M

 

Ancien Consul général de son pays à Douala, cité économique du Cameroun, le diplomate qui a sollicité ce poste à Joe Baden souhaite remplacer Peter Henry Barlerin dont le séjour au Cameroun est arrivé à son terme en Juillet 2020. Une candidature qui sera soumise à l’amendement du Congrès américain, avant que l’affectation ne soit effective.

 

Une information publiée par le site internet de la maison Blanche ce 15 avril. C’est dans ce document que figurent également, les noms des personnalités américaines qui souhaitent occuper la fonction d’Ambassadeur  dans quelques les pays Africains.

Bien qu’ayant passé l’essentiel de sa carrière au département des Affaires étrangères en Amérique, Christopher John Lamora est un membre de carrière du Senior Foreign Service.

Sous-secrétaire adjoint par intérim pour l'Afrique Centrale et les affaires de sécurité africaines au Bureau des Affaires Africaines du Département d'État, il a été jusqu’à sa nomination, Chef de mission adjoint à l'ambassade des États-Unis à Accra, au Ghana.

On l’a aussi connu comme Directeur du Bureau des affaires Centrafricaines - Directeur adjoint du Bureau des affaires économiques et régionales du Bureau - Agent de bureau pour la République Démocratique du Congo.

Le diplomate a en outre servi à l'étranger dans les ambassades des États-Unis au Guatemala, en République Dominicaine, en Grèce…

Christopher John Lamora est un diplômé de l’Université de Georgetown, une institution catholique d'enseignement supérieur dirigée par les jésuites en 1789. Il parle le français, l’espagnol et le grec.

Joe Biden, Président des Etats-Unis envisage aussi de nommer la diplomate Mary Catherine Phee au poste de Sous-secrétaire d’Etat adjoint aux Affaires africaines ; en plus de sept autres membres de carrière du Senior Foreign Service en tant qu'ambassadeurs pour représenter les États-Unis sur la scène mondiale.

A l’instar de Larry Edward André, Jr : Ambassadeur auprès de la République fédérale de Somalie - Elizabeth Moore Aubin : Ambassadeur auprès de la République Algérienne Démocratique et Populaire - Steven C. Bondy : Ambassadeur auprès du Royaume de Bahreïn - Maria E. Brewer : Ambassadeur auprès du Royaume du Lesotho - Marc Evans Knapper : Ambassadeur auprès de la République socialiste du Vietnam  - Michael Raynor : Ambassadeur auprès de la République du Sénégal - Tulinabo S. Mushingi :  Ambassadeur auprès de la République d’Angola et de la République Démocratique de Sao Tomé-et-Principe.

Pour servir concurremment et sans compensation additionnelle comme Ambassadeur auprès de la République de Guinée-Bissau et enfin Eugene S. Young – Ambassadeur auprès de la République du Congo.

 

Nicole Ricci Minyem

 

Sur sa page Facebook, Dieudonné Essomba, économiste, à travers une analyse, a ressorti les trois mécanismes qui depuis des lustres ont été mis en place afin de soutenir tous les hommes et femmes d’affaire qui se lancent dans l’entrepreneuriat : la Diplomatie – la Corruption -  la Violence Armée.  

 

« Il faut toujours expliquer aux Camerounais comment le monde marche. Quand on parle de secteur privé, c’est d’abord et avant tout l’Etat.

Tout d’abord, il y a les autorisations et les licences que l’Etat fournit à tel opérateur économique, plutôt qu’à tel autre. L’Etat peut fabriquer qui il veut comme un grand entrepreneur, instantanément, en lui octroyant une licence et en lui assurant une garantie souveraine dans une institution de finance.

Il suffit que l’Etat me donne le monopole de l’importation des motos chinoises, avec une garantie à la Banque qui me prête 100 Milliards de FCFA pour que je devienne instantanément l’un des hommes les plus riches du Cameroun.

L’Etat du Cameroun appuie son secteur privé par un grand nombre de privilèges. Outre les licences et autres autorisations, on peut citer les exonérations, l’appui au crédit, les appuis directs, les marchés publics, etc.

Tenez ! Qui sait au Cameroun que l’Etat distribue chaque année 160 Milliards d’argent frais et sans la moindre contrepartie aux entreprises camerounaises ? Toutes ces entreprises que vous voyez-là, portant le nom d’un Camerounais, allez dans les Ministères et vous allez voir comment leurs patrons larmoyants gémissent auprès de l’administration pour des avantages divers.

Il n’existe aucun Camerounais propriétaire d’une entreprise qui peut broncher quand l’Etat parle, car, toutes sont accrochées à la mamelle de la puissance publique. D’ailleurs, tous ces hommes d’affaires font des mains et des pieds pour être proches des centres de décision pour mieux acquérir ces avantages.

Il y a une dizaine d’années, quand le Nigérian Dangote arrive au Cameroun et est reçu par le Président Biya, les entrepreneurs Camerounais se plaignent qu’il ne les a jamais reçus. Le Président Biya leur demande ce qu’il peut bien faire avec des mendiants et ce qu’ils peuvent bien lui apporter ! Il sait très bien qu’ils viendront lui apporter une interminable liste de doléances dont la satisfaction exige que l’Etat prenne des ressources sur les impôts payés par les capitaux étrangers.

Certes, notre privé n’a pas le monopole du soutien de l’Etat. Dans tous les pays du monde, l’Etat vient toujours au secours du secteur privé par diverses méthodes.

Sur le plan intérieur, l’Etat casse certaines contraintes, afin que le secteur privé puisse de développer. Par exemple, pour faire de grandes exploitations agricoles, l’Etat doit d’abord exproprier de force les populations et mettre la terre expropriée au service du privé.

Aux USA par exemple, ce sont les privés qui construisaient les chemins de fer. Mais c’est l’armée qui chassait et massacrait les Indiens, tout en imposant le travail d’esclave aux Noirs, le tout sous le contrôle du Gouvernement.

Même aujourd’hui où on n’utilise pas la force brute, l’Etat est toujours derrière le privé.

Ainsi, lorsque la crise des supprimés éclate dans les années 2000 aux USA, le Président Obama recourt à la planche à billets pour sauver IBM, Général Motors et les Banques sinistrées. L’Union Européenne fera également la même chose.

De même sur, le plan international, le secteur privé ne prospère que pour autant qu’il y a l’Etat derrière lui. Et c’est normal, car une entreprise nationale qui agit à l’étranger joue un rôle fondamental pour l’équilibre de l’Economie nationale. Ce sont ces entreprises qui approvisionnent la nation en matières premières et assurent les débouchés extérieurs de la production nationale. Elles ont aussi pour mission stratégique de véhiculer la technologie et la culture de leur pays.

L’Etat va alors agir de trois manières en leur faveur :

  1. La Diplomatie : Dans ce cas, l’Etat intervient par des voies diplomatiques pour assurer des contrats à son entreprise, lui aménager des conditions d’exercice et la protéger contre l’insécurité politique ou juridique. On a ainsi vu un entrepreneur français pousser son Président à intervenir pour garder la gestion du port.
  2. La Corruption : Dans ce cas, l’Etat et l’entreprise tentent de contrôler les centres de décision, avec des contreparties secrètes : pots-de-vin, rétro commissions, financement des élections, lobbyings auprès de la Communauté Internationale, etc.
  3. La Violence Armée : Dans le cas où une entreprise nationale installée à l’étranger est menacée par le Gouvernement local, l’Etat peut recourir à un coup d’Etat, ou financer une rébellion ou une insurrection. Ainsi, pour maintenir le contrôle des approvisionnements en pétrole face à des nationalismes arabes, les Américains et les Européens n’ont trouvé de mieux que de pendre Sadam Hussein et loger une balle dans la tête de Kadhafi.

En définitive, il n’existe pas un secteur privé sans l’Etat. Et c’est l’Etat qui définit qui doit prospérer ou non dans le secteur privé. Cela n’exclut pas les aptitudes et les qualités des hommes d’affaires, car il faut bien que les bénéficiaires de ces avantages puissent effectivement les valoriser. Mais en définitive, c’est l’Etat qui décide qui doit être ceci ou cela.

Au Cameroun, le soutien au secteur privé a obéi à 2 orientations politiques.

Sous Ahmadou Ahidjo, la préoccupation était davantage économique, à savoir la création d’un secteur privé qui devait se substituer aux Blancs. Fidèle à sa politique des équilibres sociologiques, il appuyait les gens les plus compétents, mais avec le souci de l’équilibre régional. Sur le plan politique, le secteur privé était un appendice du parti unique dont il devait respecter les prescriptions.

Avec Biya, les choses changent radicalement, puisque les appuis de l’Etat ont une finalité purement politique, celle de la préservation du pouvoir. Dans ces conditions, les bénéficiaires des appuis publics sont des obligés du régime qu’ils doivent soutenir. Ils n’ont pas des missions économiques de création des richesses ou des emplois, mais des missions politiques de financement des opérations politiques.

Evidemment que face à cette évolution, toutes les Communautés ne présentent pas la même capacité de réponses. Certaines savent recycler cet argent dans des investissements rentables et remboursent au régime quand le régime en a besoin. Ils savent respecter leurs engagements et sont très utiles au régime qui les chouchoute.

D’autres, par contre, dilapide cet argent dans des opérations somptuaires et improductives pour des besoins d’affichage et de vanité. Incapables d’aider financièrement l’Etat, ils disparaissent et cessent d’être intéressants.

La configuration actuelle du système productif du Cameroun n’est donc pas un hasard.

On comprend donc les résistances qui s’opposent au départ de Biya, malgré son grand âge avance et surtout, le projet de reconduire son fils.

Le départ de Biya entrainerait un bouleversement général et des effondrements d’empires commerciaux dont personne ne veut ! A la vérité, les Camerounais seraient tétanisés s’ils pouvaient imaginer les soutiens du petit Frank » !

 

N.R.M

 

Cette compétition vise à mettre en exergue les Meilleures Pratiques Communales du Développement Local et les participants vont compétir dans cinq domaines : la Mobilisation des Ressources - la Gestion des Equipements et Infrastructures - la Gouvernance Locale -le Développement Durable - le Développement Economique Local. 

 

Devant le parterre de personnalités ayant pris part à la cérémonie, physiquement ou en vidéo conférence, Georges Elanga Obam, ministre de la Décentralisation a réitérée que le projet vise à identifier, évaluer, récompenser et promouvoir les initiatives du développement local des Communautés Urbaines, des Communes et leurs regroupements, qui auront contribué de manière significative à l'amélioration du cadre de vie de leurs populations serait

L’innovation majeure est le prix spécial du Jury International Alioune Badiane

Une information qui vaut son pesant d’or et que le Feicom a voulu faire connaître, au regard du rôle déterminant que joue cette personnalité africaine pour le Développement Urbain au Cameroun.

Les récompenses

Il y en aura 14. Elles seront remises pour un montant global de 105 millions de FCFA et vont permettre d'accéder à une ligne de crédit de 700 millions FCFA, visant à améliorer les projets primés, ou d'en réaliser d'autres.

Entités éligibles

Le Prix est ouvert aux Communes, aux Communautés Urbaines et à leurs regroupements ayant une existence légale. Chaque soumissionnaire peut présenter au plus trois (03) initiatives. Toutefois, les initiatives soumises doivent avoir été réalisées par la Collectivité Territoriale candidate…

Les domaines de concours sont les suivants : - Gestion des ressources (Mobilisation   des ressources financières - Gestion des ressources humaines - Gouvernance locale - Développement durable - Préservation de l’environnement - Énergies renouvelables - Gestion des déchets ménagers - Développement économique local - Promotion et création des emplois locaux - Promotion des produits locaux - Organisation des acteurs économiques locaux -Développement des filières de production et de transformation - Projets générateurs de richesse et d’emplois - Infrastructures et équipements marchands - Promotion de l’Artisanat – Tourisme.

Processus de sélection

La date limite de dépôt des soumissions est fixée au 30 juin 2021. Elles seront réceptionnées et transmises au Comité de Pilotage. Celles qui seront jugées conformes au format de soumission et répondront aux critères d’éligibilité feront l’objet d’une évaluation documentaire.

Les soumissions présélectionnées après l’évaluation documentaire feront l’objet d’une évaluation sur le terrain. C’est ensuite qu’un Jury International procèdera à l’évaluation finale des initiatives retenues et en sélectionnera les meilleures.

 

Nicole Ricci Minyem

 

 

Le Professeur agrégé international titulaire qui ne cache pas son aversion à l’égard du président du Mouvement pour la Renaissance du Cameroun a écrit ces mots sur sa page Facebook il y a quelques jours.

 

Il ne s’est cependant pas limité à ce niveau. Il a également paru contesté, entre autres les qualités intellectuelles du leader du Mrc :    

« Voilà tout un Maître de conférences de Droit qui s'est résolument inscrit dans la violation flagrante des Lois de la République. Peut-on lui rappeler cette citation de Jean Jacques Rousseau ? : « Le respect des Lois qu'on s'est prescrite est liberté ». Maurice Kamto et son parti sont aux abois et sont en quête d'existence ».

Maurice Kamto serait-il un mythomane ?

Les affirmations du Professeur Jean Gatsi le laissent supposer, notamment par rapport aux promesses faites par l’homme politique à ses jeunes compatriotes : 

« Maurice Kamto a roulé la Jeunesse Camerounaise dans la farine. Lui qui a pourtant pris le soin d’aller cacher ses propres enfants à l'étranger. Il s'est trouvé le loisir de tromper les enfants des autres, et leurs parents, de le suivre dans un projet insurrectionnel… . Il faut être méchant pour se comporter de la sorte envers une jeunesse en quête d'éducation permanente ».

Boycott ? Pour quel résultat ?

« En s'écartant volontairement du jeu politique et en appelant de façon constante, et ceci impunément, à la rébellion et à l'insurrection, le Mouvement pour la Renaissance du Cameroun se présente comme un parti anti républicain, qui a du mal à exister dans un ordre établi…

Quel bilan peut-il faire du boycott ? Voilà de jeunes compatriotes qui, en s'alliant à lui, ont cru pouvoir accéder à quelques postes électifs et développer leurs savoir-faire au profit du pays. Kamto a transformé ces rêves en fantasme et en désillusion…

Certains d'entre eux méditent leur sort aujourd'hui dans des geôles. Tant de sacrifices pour un homme qui continue de foncer tout droit vers le mur. Plus-value grave, il préfère recourir à des avocats étrangers pour défendre ses intérêts alors qu'il a un collectif d'avocats sur place. Kamto Maurice est en définitive un grand danger pour le Cameroun et les Camerounais ». 

Une sortie qui ne surprend pratiquement personne, surtout lorsqu’on lit les publications du Professeur Agrégé International Titulaire, le ton qu’il adopte, notamment pour défendre les Forces de Défense et de Sécurité, parfois pris à parti par les camarades politiques de Maurice Kamto.

 

Nicole Ricci Minyem

 

Le Programme des nations unies pour le développement (Pnud) a mis sur pied le projet «Facilité régionale de stabilisation» afin de raffermir les relations entre les victimes des attaques terroristes et les Soldats, qui au quotidien sont prêts à tous les sacrifices afin de préserver la vie de leurs concitoyens, dans le strict respect des Droits de l’Homme.

 

Au cours de la rencontre qui a réuni il y a quelques jours, tout le gratin administratif, les responsables des Forces de Défense et de Sécurité de même que les membres des Organisations de la Société Civile, les participants ont identifié et outillé les membres des organisations nationales des Droits de l’Homme qui vont mener des enquêtes dans les localités de Mayo-Moskota, Amchidé, Limani, Waza, Blangoua, qui constituent les zones cibles de ce programme.

Dr Ntongon Akiki Bénédicte - Consultante Nationale en Droit de l’Homme au PNUD : « Après que nous ayons fait une analyse globale de la situation des Droits de l'Homme dans les zones que nous avons déterminé, il est important aujourd’hui d’aller plus en profondeur en faisant cette fois, une analyse de la situation en termes des lacunes qui pourraient encore exister. D’où l’importance  de cette formation…

Un renforcement de capacité sur les Droits de l'Homme, qui ne peut que se faire en collaboration avec l'administration Camerounaise qui est véritablement au-devant de la situation des Droits de l'Homme…

Nous pourrons ainsi énumérer les différents questionnaires qui vont nous aider dans ce sens, afin d’atteindre les objectifs souhaités ».

La Consultante Nationale en Droit de l’Homme en service  au Système des Nations Unies pour le Développement soutient que c’est un processus qui va rétablir la confiance entre les Forces de Défense et de Sécurité et leurs concitoyens vivant dans la Région de l’Extrême Nord :

« Les études menées sur le terrain nous ont permis de nous rendre compte que quelques exactions, attribuées aux Soldats ont refroidi le climat de confiance entre ces derniers et la Populations. A travers le programme « Facilité Régionale de Stabilisation », nous allons nous atteler à accompagner l’Etat du Cameroun afin que le climat de confiance qui avait jadis régné revienne, renaisse afin qu’il y ait harmonie… ».

Un vœu partagé par tous ceux qui assistaient à cette réunion, car conscients que ce n’est que par ce canal que la lutte contre le terrorisme  pourra donner les résultats escomptés.

 

Nicole Ricci Minyem  

 

 

Dans la lettre ouverte envoyée à Laurent Esso, ministre d’Etat chargé de la Justice, Mebenga Athanase dit sans ambages qu’ « aucune mesure barrière ne peut prospérer dans la prison centrale de Yaoundé à cause de la surpopulation et que tous les rapports envoyés au Chef de l’Etat Camerounais ne reflètent pas la réalité des faits »

 

L’intégralité de cette missive

« Monsieur le ministre d’Etat,

En date du 26 Mars 2021, à travers le journal télévisé de 20h 30 à la CRTV, présenté par Adèle Atangana Mballa, vous avez déclaré que la prison centrale de Yaoundé avait été construite pour une capacité de 1500 détenus et que par ailleurs, vous avez pris des premières mesures pour les prisons du Cameroun relatives à la deuxième phase de Covid – 19 dont 30 cas ont été signalés.

Face à ces déclarations qui sont totalement  contraires de la réalité dans la prison Centrale de Yaoundé en particulier.

J’ai pour les détenus « Lamda » pris la ferme résolution et l’entière responsabilité de vous adresser le présent droit de réponse pour vous rafraîchir la mémoire via la toile afin que l’opinion publique nationale et internationale ait une idée bien fixée des réalités du Covid 19 dans la prison Centrale de Yaoundé.

Je m’appelle Mebenga Athanase alias king kong, âgé de 61 ans et jour pour jour, j’ai fait 27 nans derrière les barreaux d’indigence de Kondengui.

Monsieur le Ministre d’Etat, la prison Centrale d Kondengui (Yaoundé) a été inaugurée en 1972 et était construite pour une capacité de 800 et 1500.

Quant à l’effectif de ce jour qui effectivement était de 3390 détenus, vous avez par honte laissé de préciser que sur les 3390 détenus, 600 seulement sont condamnés, résultat d’une lenteur judiciaire criarde dont vous êtes l’auteur principal.

Depuis le 09 Décembre 2011, date de votre nomination à la tête du ministère de la Justice en charge de l’Administration Pénitentiaire, bientôt 10 ans, vous n’avez jamais visité une seule prison du Cameroun, moins encore celle de votre ville d’origine (New Bell) – Douala ; cependant vous donnez de faux rapports à S.E Paul Biya.

Les pintades suivant celle qui les guide, le secrétaire d’Etat de l’Administration pénitentiaire, monsieur Dooh Jérôme lui aussi n’a jamais visité une prison du Cameroun, mais pour des raisons mafieuses, passe son temps à vous faire nommer ses hommes à des postes sensibles de la prison Centrale de Yaoundé pour mieux soutenir son clan d’appartenance qui 03 fois leur évasion massive a té renvoyée pour des raisons logistiques.

Monsieur me ministre d’Etat, dites aux Camerounais et au monde entier que la première mesure que vous avez prise pour les détenus face au Covid 19 est celle qui a supprimé les communications avec leurs familles, alors que les gardiens des prisons vivent dehors, ils sont dans les bars, les taxis, etc…mais chaque jour, ils se mélangent aux détenus.

Dans la prison centrale de Yaoundé, il y a déjà plus de 200 cas de Covid 19 détectés positifs et 07 décès. Même le Régisseur a té détecté positif et confirmé jusqu’à ce jour.

Sans se voiler les yeux, je dis à tous les Camerounais et à qui veut l’entendre qu’aucune mesure barrière ne peut prospérer dans la prison centrale de Yaoundé à cause de la surpopulation. Attendant le pire seulement.   

Dans deux (2) quartiers surpeuplés qui sont le « Kosovo », le 08 et le 09, tous les espaces qui étaient réservés dans les deux grands hangars et devantures des cellules pour que les détenus qui n’ont pas de lits peuvent installer leurs nattes et bâches offertes par les sœurs religieuses ont été vendus aux trafiquants de drogues (cannabis, cocaïne appelé « taille », whisky en sachet, etc…).

Tous est devenu touffu et la saison pluvieuse n’est pas la bienvenue là bas dans ces deux quartiers (Kosovo) car les démunis dorment à la belle étoile.

N.B : Pour preuves je vais balancer toutes les photos et vidéos que j’ai prises la prochaine fois quand je vais vous décortiquer tous les préparatifs de l’évasion massive qui est en gestation.

Monsieur le Ministre d’Etat, faites un tour à Kondengui et quiconque en doute qu’il fasse une descente dans les deux Kosovo à Kondengui. Comment on peut trouver 05 détenus détectés positifs dans une cellule et 50 détenus, on envoie les 05 à Orca pour le traitement. Quant à  la cellule et au reste des détenus, rien n’est fait ? C’est ce qui se passe à Kondengui.

Monsieur le ministre d’Etat, vous avez bloqué toutes procédures des transfèrements des détenus où il n’y a que vous seul présentement pour l’ordonner. Que gagnez – vous lorsque vous voyez les Jeunes Camerounais souffrir, mourir dans la prison de Kondengui alors que certains veulent aller dans leurs villes d’origine purger leurs peines ?

Monsieur le ministre d’Etat, le jour s’est levé. Bientôt le vrai tribunal de la vie de tout homme sur terre, le temps va faire son travail et n’oubliez pas, les voitures incendiées dans votre ministère est une preuve du « macabo » que les jeunes Camerounais ont pour vous.

Vos nièces sont expulsées de chez l’homme blanc pour trop de dépenses alors que vous faites mourir les enfants des autres dans les prisons ».

 

N.R.M       

 

                   

 

 

Page 85 sur 91






Sunday, 05 June 2022 11:01