Le Fonds spécial d’équipement et d’intervention intercommunal (Feicom) et l’Organisation des Nations-Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture (FAO) viennent de signer à Bertoua dans la région de l’Est Cameroun, un protocole d’accord pour accompagner les communes.
Le Document paraphé par Philippe Camille Akoa, Directeur général du Feicom et Mravili Athman, représentant résident de la FAO au Cameroun porte d’abord sur l’amélioration de la sécurité alimentaire. Un objectif qui passe à travers la mise en place des programmes communs de développement agricole en zone périurbaine, la promotion de l’alimentation en milieu scolaire, le soutien à la petite transformation des produits végétaux frais , l’amélioration de la qualité sanitaire des denrées animales à travers la mise en place des infrastructures d’abattage et des espaces de vente au sein des municipalités et, la mise en place et participation aux plateformes d’échanges sur les bonnes pratiques internationales en matière de lutte contre l’insécurité alimentaire au sein des collectivités territoriales décentralisées.
Le Feicom et la FAO se sont également engagés à promouvoir le développement local, la gestion durable des ressources naturelles, la protection de l’environnement, la lutte contre les changements climatiques et le renforcement des capacités des acteurs.
Précisons que selon des sources officielles, la situation de la malnutrition infantile dans la région de l’Est est alarmante. D’après les enquêtes menées par l’Unicef en 2018, il en ressort : « 35,5% d’enfants souffrent de la malnutrition chronique ayant pour principale conséquence, le niveau de croissance desdits enfants. Par ailleurs, il faut noter que la malnutrition aigüe globale est de 2,5%. Compte tenu de ces résultats, les défis d’accompagnement des communautés pour renverser cette tendance sont énormes et les pouvoirs publics ont besoin de l’adhésion de toutes les sectorielles afin que les pratiques nutritionnelles des enfants soient garanties au moins pendant les 100 premiers jours de vie », explique le point focal, nutrition à la délégation régionale de la Santé publique de l’Est.
Innocent D H
Les informations sont tirées de la publication, Feicom en chiffres produite par l'Observatoire du développement local (Odl). En effet, cette enveloppe correspond au financement de 64 concours financiers soumis par les Collectivités territoriales décentralisées à l’intention du Feicom. Soit 8,798 milliards pour le premier trimestre et 2,502 milliards pour le second, renseigne cette source.
Feicom considéré comme la banque des CTD au Cameroun poursuit avec sérénité et efficacité d'apporter son appui aux communes. L'on apprend que durant le premier semestre 2021, l'institution a répondu favorablement à la sollicitation financière de 54 communes, comme le veut l’une de ces missions. Au total, 64 concours financiers ont été accordés à ces impétrants à hauteur de 11,3 milliards de Fcfa, soit 8,798 milliards pour le premier trimestre et 2,502 milliards pour le second. Le Feicom que le financement a pour but, la réalisation des projets de développement aux rangs desquels, la construction de 7 hôtels de ville, 3 centres de santé, 74 latrines, 48 salles de classes, 126 boutiques, 15 forages, et l’acquisition de 15 pick-up.
La source sus-évoquée renseigne par secteur l’on a : l’éducation de base (1,036 milliard) ; appui fonctionnel (503,499 millions) ; fonds de contrepartie (8,388 millions) ; marchés (2,972 milliards) ; tourisme (134,139 millions) ; affaires foncières (299,016 millions) ; bâtiments abritant les services publics locaux (1,599 milliard) ; eau et assainissement (164,813 millions) ; électrification (659,226 millions) ; entretien routier et ouvrage d’art (197,428 millions) ; santé (234,950 millions) ; logements sociaux (1,490 milliard) et sports et loisirs (2 milliards).
S'agissant des financements pour le compte du second trimestre, le Feicom a octroyé 11 concours financiers en direction de 9 communes. Si l'on s'en tient à la répartition sectorielle pour cette période, il ressort entre autres que le secteur de l’éducation a bénéficié de 160,617 millions, la gouvernance 2 millions ; les bâtiments abritant les services publics locaux 354,385 millions ; l’électrification 494,226 millions.
Innocent D H
Le montant total du nouveau financement est de l'ordre de 12,9 milliards de FCFA. L'accord y relatif vient d'être marqué par le comité des concours financiers du Fonds spécial d’équipement et d’intervention intercommunal (Feicom), la banque des collectivités territoriales décentralisées (CTD). L'information a été révélée dans le communiqué ayant sanctionné les 39ème et 40ème sessions de cette instance, tenues le 27 juillet dernier.
Selon les explications du Directeur général (DG) du Feicom, Philippe Camille Akoa : « Les projets ayant bénéficié des financements couvrent huit secteurs. À savoir les infrastructures, la gouvernance, l’éducation, l’industrie et les services, la santé, l’eau et l’assainissement, le social, les sports et les loisirs. Ils répondent aux besoins exprimés par les populations, à travers les plans communaux de développement. Ils sont également alignés sur les priorités du gouvernement contenues dans la Stratégie nationale de développement (SND30) ».
Rappelons que, le Feicom avait déjà injecté au cours de l’exercice 2020, une enveloppe de 26,7 milliards de FCFA pour le financement de 136 projets communaux. A l'analyse, cette enveloppe triple pratiquement celle investie en 2019, au cours de laquelle seulement 10,5 milliards de FCFA avaient été débloqués par le Feicom pour le financement de 106 projets de développement dans 92 communes et communautés urbaines du Cameroun.
Élément clé du dispositif public de développement local, au moment où s’accélère le processus de décentralisation dans le pays, le Feicom reste engagé à accompagner les collectivités territoriales décentralisées camerounaises dans la réalisation de leurs projets au profit des populations pour un développement local assuré.
Innocent D H
Des séances de travail pour la présentation de cette offre de service aux tout premiers présidents conseils régionaux du Cameroun sont en cours depuis le 14 juin 2021. Les travaux se tiennent sous les auspices du directeur général du Fonds spécial d’équipement et d’intervention intercommunal (Feicom).
A la faveur du décret réorganisant cette structure publique rendu public en 2018, les compétences du Feicom en matière de financement des collectivités territoriales décentralisées ont été étendues aux 10 régions mises en place au Cameroun dans le cadre de l’accélération du processus de décentralisation.
De ce fait, cette institution considérée comme étant la banque des communes, apparaît également comme un organisme pouvant permettre d’assurer le décollage effectif des régions dont les conseils ont récemment adopté les premiers budgets et sont tous actuellement en quête d’éventuels financements.
De sources dignes de foi, le Feicom a injecté 26,7 milliards de FCFA dans 136 projets communaux au Cameroun, au cours de l’exercice 2020. A l’analyse comparative des chiffres, il ressort que cette enveloppe triple pratiquement celle injectée dans les investissements communaux de l’année 2019. En effet, seulement 10,5 milliards de nos francs avaient été débloqués par le Fonds spécial d’équipement et d’intervention intercommunal pour le financement de 106 projets de développement dans 92 communes et communautés urbaines du pays, apprend-on.
Innocent D H
Cette compétition vise à mettre en exergue les Meilleures Pratiques Communales du Développement Local et les participants vont compétir dans cinq domaines : la Mobilisation des Ressources - la Gestion des Equipements et Infrastructures - la Gouvernance Locale -le Développement Durable - le Développement Economique Local.
Devant le parterre de personnalités ayant pris part à la cérémonie, physiquement ou en vidéo conférence, Georges Elanga Obam, ministre de la Décentralisation a réitérée que le projet vise à identifier, évaluer, récompenser et promouvoir les initiatives du développement local des Communautés Urbaines, des Communes et leurs regroupements, qui auront contribué de manière significative à l'amélioration du cadre de vie de leurs populations serait
L’innovation majeure est le prix spécial du Jury International Alioune Badiane
Une information qui vaut son pesant d’or et que le Feicom a voulu faire connaître, au regard du rôle déterminant que joue cette personnalité africaine pour le Développement Urbain au Cameroun.
Les récompenses
Il y en aura 14. Elles seront remises pour un montant global de 105 millions de FCFA et vont permettre d'accéder à une ligne de crédit de 700 millions FCFA, visant à améliorer les projets primés, ou d'en réaliser d'autres.
Entités éligibles
Le Prix est ouvert aux Communes, aux Communautés Urbaines et à leurs regroupements ayant une existence légale. Chaque soumissionnaire peut présenter au plus trois (03) initiatives. Toutefois, les initiatives soumises doivent avoir été réalisées par la Collectivité Territoriale candidate…
Les domaines de concours sont les suivants : - Gestion des ressources (Mobilisation des ressources financières - Gestion des ressources humaines - Gouvernance locale - Développement durable - Préservation de l’environnement - Énergies renouvelables - Gestion des déchets ménagers - Développement économique local - Promotion et création des emplois locaux - Promotion des produits locaux - Organisation des acteurs économiques locaux -Développement des filières de production et de transformation - Projets générateurs de richesse et d’emplois - Infrastructures et équipements marchands - Promotion de l’Artisanat – Tourisme.
Processus de sélection
La date limite de dépôt des soumissions est fixée au 30 juin 2021. Elles seront réceptionnées et transmises au Comité de Pilotage. Celles qui seront jugées conformes au format de soumission et répondront aux critères d’éligibilité feront l’objet d’une évaluation documentaire.
Les soumissions présélectionnées après l’évaluation documentaire feront l’objet d’une évaluation sur le terrain. C’est ensuite qu’un Jury International procèdera à l’évaluation finale des initiatives retenues et en sélectionnera les meilleures.
Nicole Ricci Minyem
La convention des maires pour l’Afrique subsaharienne (COM SSA) vient d’être signée par le directeur général (Dg) du Fonds spécial d’équipement d’intervention intercommunale (Feicom) et la Représentante de la coopération technique allemande GIZ.
Selon les explications de Philippe Camille Akoa, Dg du Feicom, grâce à cette convention, les maires seront formés « sur toutes les questions liées aux changements climatiques, parce que c’est une urgence aujourd’hui. Cela permettra d’avoir un développement durable ». De manière plus concrète, le Feicom, les maires ainsi que le personnel des collectivités territoriales décentralisées (CTD) seront outillés sur les mécanismes de réduction de l’impact des changements climatiques, la gestion des déchets, l’accès à l’eau potable ou à l’énergie électrique pour le bien-être des populations à la base.
Il s’agit d’un instrument qui a déjà fait ses preuves dans certains pays africains. Il facilitera la mobilisation des financements en faveur des projets des communes, tout comme les CTD et le Fonds spécial d’équipement et d’intervention intercommunale, qui pourront accéder à la finance climatique.
Précisons à titre utile que, la COM SSA est une initiative financée par l’Union européenne. Elle vise à soutenir les villes d’Afrique subsaharienne dans leur lutte contre le changement climatique et dans leurs efforts inlassables pour assurer l’accès à l’énergie propre de leurs populations. D’où toute l’importance à donner à cette convention signée le 09 décembre dernier entre le Dg Philippe Camille Akoa et la représentante de la coopération allemande GIZ, Christine Schuster.
Innocent D H
A en croire les informations relayées par Cameroon Tribune N° 12188/8387, l’importante infrastructure commerciale sera construite à Logbessou au lieu-dit PK 17 sur une superficie d’environ 60 hectares. Le projet a été récemment présenté au Ministre de la Décentralisation et du Développement local (Minddevel), Georges Elanga Obam.
Le marché moderne futuriste de la capitale économique du Cameroun sera réparti en plusieurs zones commerciales. La première sera consacrée au commerce de gros, va compter 400 entrepôts d’une superficie de 100 mètres carrés chacun. Sa contenance sera d’environ 600 mètres cubes. La seconde zone, sera quant à elle dédiée au commerce de détail avec 400 places, un centre d’affaires, ainsi qu’un bâtiment administratif. Figurent aussi dans le cahier de charges : une infirmerie, un service des douanes, un dispositif de sécurité-incendie qui accueille les sapeurs-pompiers.
Le marché moderne de Douala comptera dans son enceinte toutes facilités en termes d’eau, d’électricité, d’administration. A ne pas oublier, y seront prévues des zones d’affaires bancaires, des zones d’exposition, des aires de jeu pour enfants etc. Des parkings, un poste de pesage et un garage y seront aussi construits. Sont également annoncés, la construction et le bitumage de la principale voie d’accès à cet espace marchand, longue de trois kilomètres.
Le Minddevel a toutefois fortement recommandé, la prise en compte des autres projets infrastructurels devant transiter, impacter ou passer à proximité du site. Il s’agit notamment de l’autoroute Douala-Yaoundé, du port fluvial sur la Dibamba. Le coût des travaux de ce marché fururiste n’est pas encore déterminé, néanmoins, il sera financé par le Gouvernement camerounais et le Fonds spécial d’Equipement et d’Intervention intercommunale (Feicom). Il est calqué sur les modèles de marchés modernes de Bouaké en Côte d’Ivoire et le marché d’Intérêt national de Diamniadio au Sénégal.
Innocent D H
La commune d’Ebolowa II sera bientôt doter de deux bâtiments flambant neufs pour les services de l’hôtel de ville. La convention de financement des travaux a été signée ce mercredi, 29 juillet 2020 entre le Fonds spécial d’Equipement et d’Intervention intercommunale (FEICOM) et la mairie.
La commune d’Ebolowa II veut inscrire son nom en lettres d’or dans le registre de la modernité. Une modernité infrastructurelle marquée par la construction imminente d’un nouvel hôtel de ville. L’un des bâtiments qui sera R+4 va comporter des bureaux et une salle de conférence de 400 places. En ce qui concerne le second, qui sera R+1, il va abriter une salle de fêtes et un restaurant.
Un projet qui traduit la volonté de réaliser une promesse politique, à en croire le maire de la commune d’Ebolowa II. C’est dans cette démarche que le premier magistrat municipal de cette ville, André Thomas confie : « Nous avons pris des engagements auprès des populations. Le premier étant cet hôtel de ville. Et beaucoup d’autres choses que vous avez pu voir. C’est ce qui nous anime, le bien des populations ».
Le coût global des travaux de construction de ce nouvel hôtel de ville, est estimé à plus de 700 millions de nos francs. C’est du moins l’information qui a pu filtré à l’issue de la signature de la convention de financement y afférente entre le FEICOM et la mairie.
De son côté, le Directeur général du FEICOM, Camille Akoa, le maire de la commune d’Ebolowa II doit être rigoureux dans le suivi dans le processus de réalisation du projet. « En votre qualité de maitre d’ouvrage soyez rigoureux. Donnez des consignes claires et concises à votre commission interne de passation des marchés pour qu’elle ne vous propose que des entreprises compétentes dotées d’un savoir-faire », souligne le DG.
Innocent D H
Les chefs de ces deux départements ministériels étaient en concertation ce Lundi au Centre des Opérations des Urgences de Santé Publique de Yaoundé.
Le principal sujet à l’ordre du jour a porté sur une plus grande implication des Communes et des Communautés Urbaines, à travers des actions visant à barrer la route à la propagation de ce virus, dans le cadre de la Décentralisation, de la Prévention et de la Riposte.
Autour du Dr Manaouda Malachie et de Georges Elanga Obam, l’on a noté la présence du Directeur Général du Fonds Spécial d’Equipement et d’Intervention Intercommunale (Feicom) ainsi que celle du Maire de la Ville de Yaoundé.
Au terme des assises, il a été édicté selon le communiqué ayant sanctionné les travaux qu’un certain nombre de mesures que les Communes et les Communautés Urbaines doivent mettre en œuvre, au regard des compétences que l’Etat leur a transférées en matière de santé publique et en matière sociale, en vue d’une prévention et d’une riposte efficace contre la pandémie au nouveau corona virus.
Il s’agit notamment de :
La prise en charge socio sanitaire des personnes positives au Covid – 19 et hospitalisées (alimentation – buanderie…) ;
L’identification des potentiels sites de mise en quarantaine et leur évaluation. (Ces sites doivent disposer de toutes les commodités possibles) ;
L’identification des sites dans les cimetières pour l’inhumation des personnes décédées du Covid – 19 (Cas des décès massifs) ;
La désinfection des villes à grande échelle ;
La mobilisation des agents de santé communautaire pour la sensibilisation des populations…
En outre, une réflexion est actuellement en cours en vue de mettre à la disposition des communes les moins nanties, des moyens financiers pour la mise en œuvre efficace et efficiente de toutes ces mesures et celles à venir.
Il faut rappeler que ce sont ces mêmes communes qui ont bénéficié d’une attention particulière de la part du Chef de l’Etat, à travers un don personnel de 50.000 cartons de savon de lessive, soit 4.000.000 (quatre millions de Fcfa) - Des morceaux de savons - 1.500.000 (un million cinq cent mille) masques de protection pour les populations -50.000 (cinquante mille) masques chirurgicaux pour le personnel hospitalier - 75.000, (soixante quinze mille) bidons de lave main d'une capacité de 30 litres chacun - Des kits de tests de dépistage rapide - Des appareils d'assistance respiratoires pour les hôpitaux…
Nicole Ricci Minyem
Elle estime qu’il est désormais de mettre un terme à la gestion opaque de cette mairie et non plus être « Un retour sur investissement pour le militantisme de certains… ».
« Monsieur Simon Pierre Bimaî, je dis Non
Dès 2020, nous n’admettrons plus une gestion opaque de nos mairies rurales.
Tous les élus doivent dire ce qu’ils font et faire ce qu’ils disent. Le maire ne doit plus se limiter à construire un joli bâtiment, aménager confortablement son bureau et conduire une grosse voiture, non !
La mairie est une entreprise, elle doit produire de l argent. Même les malhonnêtes de la diaspora ne me diront pas le contraire, car c’est la mairie qui fournit les repas dans les cantines de leurs enfants et ils reçoivent une facture qu’ils paient.
Je ne demande pas à Mr Simon Pierre Bimaî (Maire de Ngambe et c’est ma part de combat là bas) de créer une restauration collective non ! La mairie de Ngambe dispose des terres, mais l’aliment le plus consommé dans cette zone c’est le riz. Quel contraste ! Une plantation, une carperie ... donneront du travail aux jeunes du village, lesquels occupés, ne penseront plus à faire des sales coups et se retrouver en prison.
Mr Bimaî, vous avez le devoir de mettre fin à l’exode rural et de faire de Ngambe, un lieu sûr pour les petits investisseurs aussi, afin que nos terres soient mises en valeur.
Mais auparavant, créez une page Facebook pour montrer ce que vous faites et faire ce que vous dites. Vous devez rester accessible pour tout le monde. Vous êtes un élu du peuple et non l’élu de vos proches.
Si vous disposez d'un clim plus frigo dans votre bureau, cela veut dire que vous pouvez aussi recharger un Smartphone. Si vous êtes capable de faire des appels vidéo, cela veut dire que vous pouvez aussi faire des directs !
Les enfants de Ngambe vous accompagneront dans votre mission, mais vous devez faire preuve d une grande implication.
En attendant, nous voulons connaître les états financiers de cette mairie (Feicom, état de caisse, bilan du maire sortant ...)
Il paraît que vous avez fourni votre groupe électrogène personnel pour alimenter la mairie. Merci ! Mais est- ce un don ? Ou cela fera t – il l’objet d une facturation opaque ? On doit savoir !!!! Anyway, quel contraste entre le bâtiment de la mairie et votre bureau ».
N.R.M