Dans une lettre ouverte envoyée aux éléments de la brigade anti-sardinards ce vendredi, le chef traditionnel de l’Ouest rappelle l’importance du respect des Institutions d’un pays mais surtout de celui qui les incarne. Toutefois, sera-t-l écouté comme cela fut le cas lorsqu’il invita les mêmes et leur soutien présent sur le triangle national à consommer le jujube ?
Sa communication
« Que vous enlevez les habits sur le chef au marché comme ça que nous allons nous tenir où un jour pour parler l'autre la???
L'autre travail que j'entends que vous allez au marché travailler sur le chef la de ma qualité de voir c'est une mauvaise chose, quelque chose qu'on ne dit même pas. C’est ouvrir les fesses du village pour laisser ouvert.
Le chef c'est le chef et dans nos traditions on enlève la parole dans la bouche du chef que dans l’ombre. Portez comme vous portez là je ne pense pas que c'est la route. Ne déposons pas quelque chose qui va nous dépasser demain. On n'attache jamais sans faire le nœud et les cacas de la maison sentent que dans la maison.
N'importe quoi que vous portez là c'est la vérité. Si tu n'es pas que quelqu'un que tu peux tuer et aller au deuil, tu ne peux pas couper la tortue que le village n'est pas couché par terre. Est-ce que nous portons alors comme ça sur son côté? Vous pleurez comme ça votre village et ce sont mes pleurs tous les jours. Dormir sans dormir en me demandant que le village sera quoi demain?
Avoir les diplômes et chercher le travail sans trouver parce qu’on avait déjà gardé le travail de ceux qui étaient loin derrière en classe?
Voir comment on porte l'argent du village pour aller brûler chaque jour alors qu'on est ici on sotte même une semaine sans mettre la marmite au feu.? Il n'y a pas un noyau de remède dans les hôpitaux ?
Voir comment les gens meurent dans le village chaque jour et personne ne se gratte le corps alors qu'on pouvait éteindre le feu la depuis parce que d'autres vendent la guerre jusqu'à manger le profit?
Voir comment on ramasse les enfants du village pour jeter en prison seulement parce qu'ils ont demandé que le village part ou comme ça?
Voir comment on donne l'argent pour sauver la tête du peuple d'une maladie qui écrase le village et ceux qui étaient montés en haut et porter l'échelle découpent pour aller garder dans les greniers et on ne demande rien à personne???
Non... Même si tu es n'importe qui et ton cou est bon n'importe comment ça va finir par faire mal. Nous sommes ensemble dehors comme ça pour pleurer le village mais je refuse qu'on retire l’habit sur le chef au marché.
Le chef reste le chef. Portons notre part de chose pour rentrer à la maison avant de chercher le côté sur ça. On ne pleure pas sa mère pour passer au marché
Oui, Que ça sort aussi comme ça pour que le chef voit lui-même avec ses yeux comment le cou de ses enfants fait mal. Ils pleurent comme ça la famine, ils pleurent comme ça qu'ils ne savent pas où ils vont, ils pleurent comme ça que leur part de demain est tout noir.
Ils vont laisser de pleurer devant le chef comme ça pour aller pleurer a qui? On part jusqu'à arriver a ce niveau comme ça c'est Le fait de parler et personne n'écoute. Fermer la porte du chef a ses enfants a fait que les enfants sont devenu des chiens fous. C'est leur village qui leur creuse même s'ils ont mal portés
Je lance les mains au chef qu’il écoute les pleurs de ses enfants même comme il ya les mauvais parmi et ouvre ses ailes pour les couvrir sans distinguer les mains. C'est lui qui a encore la manche de la manchette, Qu’il donne la parole a ses enfants, demandent a ses enfants de déposer les gourdins et qu'ils s'asseyent par terre pour parler avec ses enfants. C'est notre village a nous tous ici et personne ne dormira dehors. Rien ne s'est jamais gâter jusqu'à dépasser qu'on arrange.
On n'arrange pas un village au marché. Mettons que vous avez pleurés jusqu'à le chef a compris que le cou de ses enfants fait mal. Je lance les mains a vous que chacun parte chez lui rester et nous tendons l'oreille pour attendre, la nouvelle est en route pour venir.
L'animal part juste pour augmenter la viande, quand le temps va suffire on ne va pas seulement dire a quelqu'un. Dans nos traditions, quand on veut pousser le chef a partir sans que le jour suffit, on cherche plutôt le côté pour avoir son totem, on n'entre pas sur lui de manière physique de peur qu'en partant il éteint une partie du village.
Je suis seulement dans la maison des crânes comme ça pour demander aux dieux de nos ancêtres qu'ils couvrent le Cameroun, l'Afrique et le monde entier. Les dieux de nos ancêtres ne dorment pas.
Je refuse que si un vent inhabituel doit souffler qu'en passant 'il porte un seul sur les enfants des poules que nos ancêtres avaient laisses et n'oubliez pas qu'on peut taper la main
sur un tamtam ça part raisonner là où on ne s'attendait pas et d'autres personnes lèchent le mortier.
Si n'importe qui était encore dedans pour arranger n'importe quoi, qu'il laisse la quantité la. On ne passe pas la journée à bavarder pour qu'on écoute. Si c'est n'importe quoi, je demande qu'on cherche le côté pour s'asseoir et bavarder ».
N.R.M
Portant la voie du Peuple Camerounais, Cavaye Yéguié Djibril a dit son courroux de voir l’Institution du pays traîné dans la boue, par une minorité d’individus aux desseins inavoués
C’est dans la même logique que s’est inscrit plus tard, au cours d’une conférence de presse, les membres du Réseau des parlementaires, Diaspora – Coopération Décentralisée et Transfrontalière.
Une similitude dans les mots pour décrier un comportement qui vise à ternir l’image d’une Nation et mettre à mal, la cohésion sociale qui, malgré les soubresauts ; se construit au quotidien :
Honorable Louis Henri Ngantcha – président du RepCod : « Nous suivons avec consternation, les appels à manifestation de certains compatriotes de la diaspora qui menace de s’attaquer à la personne du Chef de l’Etat et de perturber son séjour à Genève en Suisse ;
Aucun responsable, digne de ce nom, ne peut cautionner de tels agissements qui naturellement ternissent l’image de notre pays et ne servent pas les intérêts de notre diaspora elle – même ;
Il est tout de même important de signaler qu’il s’agit d’une très infirme minorité de notre diaspora ; il ne faudrait donc pas assimiler toute la diaspora Camerounaise, à ces actes répréhensibles, qui sont au demeurant, à mettre pour l’essentiel sur le compte de l’agitation et de la surenchère… ».
L’agressivité de ces individus depuis bientôt trois ans, est d’autant plus incompréhensible que les doléances de la diaspora responsable, celle qui veut bâtir le Cameroun, a été prise en compte, à travers la création réseau des parlementaires de la diaspora.
Sa mission principale, selon l’honorable Louis Henri Ngantcha – président du RepCod est d’ : « Accompagner le Gouvernement dans l’identification et la résolution des problèmes cruciaux de nos compatriotes de la diaspora… ».
« Les problèmes du Cameroun se résolvent au Cameroun et par les Camerounais »
Une réalité que peinent à intégrer tous ceux qui se sont donnés rendez – vous ce Samedi à Genève. Les mêmes qui vont de pays en pays, cassant les ambassades ; interdisant l’accès des représentations diplomatiques aux Camerounais qui y vont pour quérir tel ou tel autre service ; violentant toux ceux qui ne partagent pas leur volonté de mettre le Cameroun à feu et à sang dans l’optique d’installer au pouvoir, l’individu qui, de leur point de vue est digne d’accéder à la magistrature suprême.
Ils refusent dans leur prétention d’assimiler le fait qu’ils ne sont mandatés par aucun Camerounais et que ceux – ci sont prêts à défendre avec la dernière énergie, ce Vert – Rouge – Jaune qui leur est cher, de même que celui qui, pour l’heure, incarne cette Institution.
Nicole Ricci Minyem
Alors qu’ils espéraient récupérer les trois millions exigés à la famille après l’enlèvement d’Henriette Yannicke Elono Ate -23 ans, ces individus tristement célèbres méditent désormais sur leur sort dans les geôles de la Division de la Police Judiciaire du Centre
Ce Jeudi, ils ont été extraits de leur cellule afin d’être présenté à la presse ; Il s’agit de Narcisse Nanfo (28 ans), Elvis Chedou Ndogmo (21 ans) et Aimé Yvan Sandje (20 ans).
Ce sont eux qui, il y’a quelques semaines ont sournoisement invité leur victime à se rendre dans la capitale économique du Cameroun, en lui faisant miroiter un prêt d’argent, comme le relate le Commissaire Divisionnaire Emane Emane – Chef Division de la Police Judiciaire du Centre :
« Les suspects l’ont invité à Douala, à travers la plateforme facebook, en lui faisant miroiter un emprunt d’argent à rembourser quelques mois plus tars ; Naïvement aussi, elle s’est retrouvée dans la ville de Douala et elle a été kidnappée… ».
Fiers de leurs actes, ils n’ont pas hésité à publier leur barbarie sur les réseaux sociaux, menaçant d’ôter la vie à Henriette Yannicke Elono Ate si la famille ne s’exécute pas dans les plus brefs délais
Commissaire Divisionnaire Emane Emane – Chef Division de la Police Judiciaire du Centre : « Après leur forfait, ils ont publié des images et des vidéos, devenues virales sur les réseaux sociaux ; Elles ont fait le tour du monde et ont été envoyées à sa famille exigeaient alors le paiement d’une rançon de trois millions de Fcfa pour sa libération…Immédiatement, nous avons engagé des investigations » ; Une opération rendue possible grâce à la collaboration de l’Agence Nationale des Technologies de l’Information et de la Communication.
Le film de leur interpellation
Commissaire Divisionnaire Emane Emane – Chef Division de la Police Judiciaire du Centre : « Au petit matin du 29 Juin 2921, nous sommes descendus sur le terrain, avons cassé la porte dans laquelle se trouvaient les ravisseurs et leur victime…
Elle a été retrouvée dans une chambre de fortune, dans un état de fatigue extrême parce que les ravisseurs lui ont fait prendre des substances psychotropes et pharmaceutiques ; Elle a tout de suite été conduite dans un Centre hospitalier de la place, pour sa prise en charge; celle – ci a d’ailleurs continué lorsque nous sommes arrivés à Yaoundé pour un check - up complet ».
Nicole Ricci Minyem
Celle-ci intervient au moment où le Cameroun, du point de vue de Manaouda Malachie, ministre de la Santé Publique, se remet péniblement d’un épisode sanitaire d’une virulence particulière, comme le témoignent les statistiques sur le nombre de personnes infectées, les taux de sévérité, de létalité et le niveau de saturation des services de prise en charge dans les centres agréés à cet effet.
Toutefois, le pire a été évité
Grâce à deux principaux points, relevés par le ministre de la Santé Publique devant les Hommes des médias ce Jeudi : Le relèvement des plateaux techniques des différentes infrastructures sanitaires et le renforcement continu des capacités des personnels de santé.
Le relèvement des plateaux techniques
Dans ce registre, Manaouda Malachie a relevé que le Gouvernement Camerounais a pris la résolution « d’investir dans l’avenir, afin d’aller au-delà de la simple mobilisation des ressources pour les biens de consommation éphémère ou pour les services dont l’importance n’est plus à démontrer pour la riposte ;
Aussi, apparaissait-il de bon augure de consacrer des ressources dans des immobilisations corporelles de nature à structurer le système de santé même en dehors de la stricte riposte au Covid -19 ; toute chose qui permettra de renforcer de manière qualitative et quantitative l’offre de soins et services aux populations camerounaises… ».
Se voulant plus précis, le ministre en charge des questions de Santé Publique a ajouté :
« L’amélioration de la prise en charge des détresses respiratoires à travers le renforcement du plateau technique inhérent à la réanimation ;
A ce jour, toutes les formations sanitaires de 1 ère, 2 ème et 3 ème catégories disposent d’équipements pour une prise en charge optimale de ces patients, tandis que les Hôpitaux de Districts et les Centres Médicaux d’Arrondissement ont été dotés, à minima, de concentrateurs d’oxygène et d’aspirateurs de mucosités, qui permettent notamment de prendre en charge, même les interventions chirurgicales dans ces formations sanitaires ;
Il en est de même pour les équipements d’exploration fonctionnelle, à l’instar des scanners et des appareils de radiographie mobile ou encore des équipements de monitoring des paramètres fonctionnels et de gestion des urgences à l’instar des appareils ECG, des défibrillateurs, des moniteurs de surveillance multiparamétrique, qui permettent aujourd’hui d’envisager, une prise en charge qualitative des patients… ».
Le mauvais rôle donné aux réseaux sociaux
Pour le ministre de la Santé Publique, ces derniers ont même réussi à pervertir « ceux-là même qui sont supposés détenir les savoirs sur les procédés de fabrication des vaccins, qui sont supposés détenir des connaissances suffisantes sur les retombées de la vaccination dans le monde et particulièrement dans notre pays, concernant au moins les maladies telles que la rougeole, la poliomyélite, car ils s’abreuvent aux évidences scientifiques des réseaux sociaux…
Alors que la population confuse par le flot de nouvelles fausses, tronquées et manipulées sur ces plateformes virtuelles, attend d’eux les explications les plus claires pour être rassurer, ces derniers prolongent les méfaits des réseaux de la désinformation et pire encore, prêchent par le mauvais exemple, grossissant ainsi les rangs des vaccino-hésitants et des vaccino-septiques…
Or, les vagues de l’épidémie de Coronavirus se succèdent certes, mais elles pourraient ne pas se ressembler. Heureusement, depuis quelques jours, les lignes bougent considérablement ».
L’Urgence de se faire vacciner
Car du point de vue du membre du Gouvernement, «C’est une vaccination qui bénéficie, de prime à bord, à l’individu qui le reçoit. Elle est qualifiée d’immunité grégaire. Lorsque dans une communauté ou à l’échelle du pays, 80% de personnes sont vaccinés (selon l’OMS), le pays acquiert l’immunité collective.
A ce moment, la capacité de transmission du virus est limitée. C’est à cette forme de protection que nous aspirons, parce qu’elle donne la possibilité de vivre ensemble sans redouter une éventuelle contamination.
Par ailleurs, il est loisible de constater que les effets indésirables répertoriés depuis le début de la vaccination le 12 avril 2021 sont ceux habituellement recensés : fatigue, nausées, fièvre. Des maux qui s’estompent rapidement dans un délai de 72 heures.
De plus, la surveillance des Manifestations post-vaccinales Indésirables permet de prendre entièrement en charge les allergies et autres réactions développées par l’organisme… ».
Autres informations
les données épidémiologiques au 14 juillet 2021 et qui présentent un cumul de 81 871 cas positifs pour 1 852 425 tests réalisés, soit un taux de positivité globale de 4,4%. 80 303 personnes sont guéries alors que 1 332 sont décès, soit uniquement 2 décès au cours des sept derniers jours, toute chose qui témoigne de la maîtrise de la pandémie.
A ce jour, le Cameroun compte 235 cas actifs dont 17 dans les formations sanitaires, et 218 suivis en ambulatoire et 4 patients sous oxygène.
Le taux de guérison est de 98%, celui de létalité à 1,6% soit moins élevé que les moyennes mondiale et africaine, tandis que le taux de sévérité est évalué à 0,2% et celui d’occupation des lits à 0,5%.
Nicole Ricci Minyem
Pour les membres de la Jeunesse présidentielle, citoyenne et républicaine, le laxisme des responsables étatiques Helvétique est une violation de certaines Conventions et Traités signé et devant réguler les liens entre les pays signataires
Dans un communiqué rendu public ce jour et dont nous avons reçu copie, ils s’indignent de cette perméabilité et promettent que désormais, « Rien ne sera plus comme avant »
« C’est avec une grande consternation, doublée d’une indignation absolue que nous constatons que les opposants politiques contre notre Président de la République et contre les Institutions Républicaine établies, ont résolu de travestir l’image de notre souveraineté en territoire étranger ;
Bravant les accords et traités internationaux, notamment la Convention de Viennes, sur les rapports diplomatiques entre les Etats adoptés le 18 Avril 1961, complétés par la convention, sur les Relations Consulaires de 1963 ;
Ces Conventions ratifiées par l’Etat du Cameroun traitent notamment de la question des voyages officiels à l’étranger des souverains, des chefs d’Etat et des chefs de gouvernement ainsi que les modalités protocolaires et leur protection en matière de sécurité… ».
La république Suisse Helvétique, pourtant signataire desdites Conventions a-t-elle failli ?
Pour les Camerounais Patriotes, il ne subsiste aucun doute la dessus :
« Nous prenons acte que malgré les relations de réciprocité et de bonne coopération qui existe entre nos deux Etats, que la Suisse a donné l’autorisation de manifestation publique aux activistes qui menacent nos Institutions, notamment la première personnalité du Cameroun qui incarne notre souveraineté, notre indépendance ;
Les mêmes activistes qui pillent nos symboles nationaux, les ambassades, le drapeau de la République du Cameroun et autres emblèmes représentatifs… ».
La riposte sera à la mesure des actes posés
Vis-à-vis de tous ceux qui envisagent de s’en prendre au Président de la République, mais aussi des représentants de la Suisse présents au Cameroun
Résolutions prises par « la jeunesse présidentielle, la jeunesse républicaine et citoyennes, au-delà des chapelles politiques… » ; Qui a pris la résolution « de porter une riposte aux apatrides et autres asociaux accueillis par ce pays « ami », aux représentants de cet état sur notre territoire ainsi qu’au corps diplomatique des pays amis ;
Des manifestations populaires seront organisées à Yaoundé et à Douala à l’effet de réaffirmer notre attachement au Président de la République, ainsi qu’aux Institutions républicaines qu’il incarne… ».
Le message est clair
« Rien ne sera plus comme avant si les autorités helvétiques ne redressent pas la trajectoire de ces violences, qu’elles autorisent à répétition lors des trois dernières visites du Président Paul Biya dans leur pays ;
Afin que nul n’en n’ignore, nous prenons l’engagement de boycotter tous les symboles de leur état, qu’ils soient commerciaux, économiques ou diplomatiques ;
Cette mesure prendra effet à partir de Samedi 17 Juillet 2021 si ces manifestations viennent à se réaliser ».
N.R.M
Contrairement à l’indifférence que l’on a pu voir il y’a deux ans, lorsque les éléments de la brigade anti sardinad ont pris la résolution de rendre invivable le séjour du Chef de l’Etat dans ce pays de l’Europe Centrale, les choses semblent différentes cette fois
Quelques uns de ces individus ont été interpellés il y’a quelques heures alors qu’ils gesticulaient devant l’hôtel dans lequel loge le couple présidentiel, scandant des propos mélodramatiques sortis de leur imagination, proférant des menaces contre l’Institution du Cameroun et lui promettant mille morts.
Las de voir cet incessant remue – ménage et après de nombreuses mises en garde, la police suisse a arrêté quelques individus, les conduisant vers un lieu où ils pourront se mouvoir sans plus gêner ceux qui, à ces heures s’attèlent à gagner honorablement leur vie.
Ceux qui ne traînent pas dans les rues afin de rejeter sur les autres, l’inconséquence de leurs choix de vie, les problèmes et autres déboires qu’ils ont pu rencontrer, les décisions qu’ils n’ont pas su ou pu prendre quand il le fallait.
Ceux qui savent que les combats quels qu’ils soient, se mènent dans leur pays et que les élections sont le seul moyen par lequel l’on accède au pouvoir…
Paul Biya : Président de la République du Cameroun
Bien ou mal élu, il s’agit d’un fait que certains ne parviennent pas à accepter, à intégrer dans leur esprit. Ils refusent en outre d’aller de l’avant et de se préparer pour les futures échéances électorales, résolus à installer celui qui est leur choix par les moyens les plus vils.
Les nombreux déboires auxquels ils font face au quotidien n’annihilent pas leur funeste désir de s’en prendre au Président de la République, dont ils ont d’ailleurs annoncé le décès à plusieurs reprises.
Ces arrestations constituent –elles une entrave à la volonté de nuisance des éléments de la bas ?
L’on en saura un peu plus Samedi prochain, jour choisi par les membres de la brigade anti sardinard pour mener un énième «assaut » ;
Ils annoncent sur tous les réseaux sociaux que celui – ci sera le dernier car c’est maintenant qu’ils vont mettre la main sur le Président de la République, sans que personne ne soit en mesure de faire quoi que ce soit.
Les autorités de la Suisse ont l’obligation de se rassurer que toutes les dispositions sont prises afin qu’aucun tort ne soit fait contre le Président de la République, ni contre son épouse.
Nicole Ricci Minyem
Les deux pays, qui subissent âprement les affres des terroristes ont une fois de plus pris la résolution de joindre leurs efforts afin que cessent les meurtres et autres crimes dans les Régions du Nord et du Sud Ouest Cameroun
La promesse a été faite au Chef de l’Etat Camerounais par son homologue du Nigéria ce Mardi, alors qu’il recevait en audience Félix Mbayu - ministre délégué en Charge de la Coopération avec le Commonwealth.
Les confrères de la presse nigériane en ont d’ailleurs fait large échos, en rendant public le communiqué final à l’issue du tête à tête entre les deux personnalités.
Dans celui – ci, on peut entre autres lire que « Muhammadu Buhari reste très attentif à la situation politique et sécuritaire qui prévaut dans le Nord et le Sud Ouest Cameroun ; il a une parfaite conscience des conséquences que cela engendrent au Nigéria…
Il est donc tout à fait logique et dans l’intérêt du Nigéria de veiller à ce que le Cameroun reste stable, et nous vous soutiendrons sans relâche… ».
Une coopération sans failles
Notamment dans le domaine militaire et les résultats obtenus dans la Région de l’Extrême Nord du Cameroun sont plus que concluants. Depuis 2015, les soldats qui servent sous les drapeaux de ces deux pays, en partenariat avec ceux venus du Tchad, ont réussi à affliger de cuisantes défaites aux terroristes de boko haram ; mettant à mal, leur funeste volonté d’assujettir les peuples installés au niveau des 1500 kilomètres de frontière qui séparent le Cameroun et le Nigéria.
Même si quelques individus sans foi ni loi s’aventurent à mener des raids sporadiques, l’on remarque que nombreuses sont les Populations qui regagnent leurs terres, leurs domiciles, leurs plantations abandonnés au plus fort des attaques terroristes.
L’espoir des mêmes résultats au Nord et Sud Ouest Cameroun
D’autant plus qu’on a vu sur les réseaux sociaux que des bandes armées entendent elles aussi faire front commun afin de semer la terreur partout où ils auront l’opportunité de le faire.
Le travail abattu au quotidien par les Forces de Défense et de Sécurité, accompagnées par les Populations qui refusent que leurs localités deviennent des no man lands est très apprécié ; toutefois, il est important de tout mettre en œuvre afin de barrer la voie aux terroristes qui font du Nigéria, une base arrière dans laquelle ils peuvent aisément se retirer après avoir commis leurs crimes.
Nicole Ricci Minyem
Le ton a d’ailleurs été donné ce Lundi soir, par Billy Akele qui a manifesté devant le domicile du président national du Mrc, lui faisant ainsi comprendre que s’il refuse d’arrêter les éléments de la brigade anti sardinade qui agressent l’institution Camerounaise représenté par le Président de la République, il n’aura plus droit à aucune quiétude
C’est dans la même logique que s’inscrit Sismondi Barlev Bidjocka, qui, sur sa page facebook, a promis aux « amis de Maurice Kamto » que leur leader va subir le même sort que celui qu’ils réservent au Chef de l’Etat :
« Il faut dire aux amis de Kamto que Paul Biya a aussi droit de temps en temps à deux semaines ou un mois de congés. S’ils s’amusent à déranger Paul Biya là-bas, nous allons faire la même chose à Kamto ».
Et, ils sont nombreux, les Camerounais qui sont dans la même dynamique, car, ils affirment en avoir « Assez de ces manifestations de violence gratuite parce que certains individus sont engagés à tout mettre en jeu afin d’imposer Maurice Kamto à la tête de ce pays… ».
Peut être convaincus qu’ils sont plus intelligents, plus éveillés que tous ceux qui trouvent qu’il existe une certaine relation incestueuse entre ces deux entités, les responsables du mouvement pour la renaissance du Cameroun ont rédigé un communiqué ce Lundi, afin de menacer de poursuites judiciaires, tous ceux qui menaceraient de mort, leur leader.
Avec des mots dont ils ont seuls le secret, ils n’ont pas, entre autres manqué de traiter tous ceux qui défendent âprement l’Institution Camerounaise de « misérables manipulateurs à mal de reconnaissance par le régime dictatorial de Yaoundé… ».
« Des misérables manipulateurs à mal de reconnaissance par le régime dictatorial de Yaoundé tentent d'établir un lien entre le Mrc, son leader et des groupes d'activistes camerounais en Europe.
Dans l'espoir d'attirer l'attention du régime et de se faire adouber par celui-ci afin d'obtenir de lui des subsides, ces derniers profèrent des menaces au Pr Maurice Kamto en représailles aux menaces des activistes qui ont annoncé leur intention de perturber le séjour de Paul BIYA en Europe.
Face à ces tentatives désespérées de ces délinquants dont le but est d'alimenter les clivages et la haine entre les camerounais après la condamnation ferme de ce cancer social par le Pr Maurice Kamto, nous demandons à tous les sympathisants et militants du Mrc de ne prêter aucune attention à de telles manœuvres et de ne pas céder à la provocation.
Le Mrc se réserve le droit de traduire devant les juridictions compétentes ceux qui profèrent des menaces de mort à son président… ».
Au moins maintenant, les choses sont claires pour tous. Il est temps que les uns et les autres comprennent que l’accession à la magistrature suprême du Cameroun ne se fait qu’à travers les urnes et qu’il n’existe aucune école dans laquelle on apprend la barbarie.
Le Vert – Rouge – Jaune représente un pays et l’homme qui est à la tête de ce dernier ne peut plus être impunément trainé dans la boue, sous de fallacieux prétextes par ceux qui croient que « c’est leur tour de diriger le Cameroun après l’obtention d’un quelconque diplôme ».
Nicole Ricci Minyem
Pour les députés de la Nation, les aspects comme la décentralisation et la prise en compte des Droits fonciers coutumiers des populations autochtones doivent entre autres être revus afin que prennent fin la corruption, les trafics d’influence, la décadence morale dont se rendent coupables ceux qui ont le pouvoir de signature.
Assurer la pleine participation des communautés à la gestion des terres relatives aux projets de cession de droits et les ressources les concernant ;
Procéder à la révision de l’Ordonnance du 06 juillet 1974 portant Régime Foncier et Domanial ;
Adopter une disposition relative à l’exonération ou un mécanisme de compensation relatif au paiement des frais de cession pour l’immatriculation des forêts domaniales par le Ministère de la Forêt et de la Faune
Alléger la procédure d’immatriculation et en assurer large diffusion pour supprimer les nombreux intervenants de la chaine qui alourdissent la procédure et créent un surcoût des frais pour les usagers ;
Institutionnaliser le dialogue multi-acteurs pour prévenir les conflits fonciers;
Sensibiliser les jeunes et les femmes sur les droits fonciers et successoraux modernes relatifs à l’accès à la terre ;
Institutionnaliser la préservation des droits des populations autochtones dans toutes opérations de cession des terres ;
Améliorer l’efficacité de l’administration foncière en veillant à ce que les Communes soient pleinement intégrées dans la gestion foncière et qu’un cadastre unique soit instauré pour répertorier tous les droits sur la terre afin d’en assurer la cohérence ;
Revoir le régime des cessions de terres à grande échelle en instaurant un moratoire sur la cession des terres jusqu’à ce que la nouvelle législation foncière entre en vigueur ;
Informatiser le fichier cadastral pour une meilleure sécurisation des titres fonciers ;
Faire une cartographie accessible des réserves foncières sur le plan national ;
Dresser une cartographie accessible des zones impropres à l’habitat ;
Poursuivre les consultations pour l’achèvement à brève échéance de la réforme foncière et domaniale en cours, prescrite par le Président de la République et relayée dans la Stratégie Nationale de Développement SND 30 ;
Redynamiser le projet Land-cam pour une participation efficace des citoyens à la réforme foncière et pour une amélioration des droits coutumiers et officiels liés à la terre et aux ressources naturelles ;
Accélérer le Programme de modernisation des domaines et des affaires foncières, ainsi que la digitalisation du cadastre, aux de fins de limiter les dérives et conflits fonciers et domaniaux qui perturbent fortement ce secteur d’activité ;
Poursuivre l'amélioration de la gouvernance foncière, en renforçant le chantier de l’assainissement des comportements des acteurs du foncier ;
Renforcer les synergies d’action entre les différents acteurs du foncier à travers la mise en place du Dialogue Parlement-Gouvernement/Société Civile ;
Organiser l’accès à l’information des populations locales et autochtones et des organisations de la société civile ;
Réduire les coûts de la procédure d’immatriculation des terres, et simplifier davantage la procédure d’obtention du Titre Foncier en supprimant les nombreux intervenants de la chaine qui alourdissent la procédure et créent un surcoût des frais ;
Améliorer le fonctionnement des guichets uniques existants ;
Instruire la formalisation des droits fonciers coutumiers afin de reconnaitre les droits de propriété formelle aux occupants sans titre du domaine national, et leur permettre de devenir propriétaire par une possession incontestée de longue durée ;
Limiter au maximum la superficie maximale des terres pouvant faire l’objet d’immatriculation directe au bénéfice d’un seul et même individu dans le domaine national, sur toute l’étendue du territoire ;
Accélérer le processus de mise en œuvre de la copropriété :
Garantir et sécuriser les droits fonciers à tous les acteurs sociaux et spécifiquement aux femmes et aux jeunes dont l’accès à la terre reste entaché de certains préjugés et des barrières économiques;
Encourager les jeunes et les femmes à accéder à la terre par voie de concession ;
Mettre en place des dispositifs qui permettent de sécuriser les terres communautaires pour les générations futures ;
Reconnaitre le droit d’accès aux terres des peuples autochtones des forêts et éleveurs nomades ;
Réduire les pesanteurs sociales susceptibles de créer des inégalités pour l’accès à la terre (droit successoral qui discrimine les femmes, conflits autochtones/allogènes) ;
Renforcer la lutte contre la spéculation foncière et l’accaparement des terres à des fins monopolistiques, en mettant en avant le rôle régalien de l’Etat dans l’administration et l’allocation des terres du territoire national;
Aménager dans le dispositif juridique national, des mécanismes d’urgence pour faire face aux besoins en terres des populations obligées de se déplacer du fait des catastrophes naturelles ou des conflits;
Œuvrer à la prévention des conflits liés à la terre et aux ressources naturelles entre les réfugiés et déplacés internes d’une part, et les communautés hôtes d’autre part.
Œuvrer à la prévention des conflits liés à la terre et aux ressources naturelles entre les réfugiés et déplacés internes d’une part, et les communautés hôtes d’autre part ;
Mettre en place un dispositif pour améliorer la diffusion des coûts et des textes en vigueur en matière foncière, domaniale et cadastrale, notamment en ce qui concerne l’accès à la terre pour les jeunes et les femmes ;
Instituer une politique foncière et domaniale rationnelle axée sur un cadre juridique moderne au service de la bonne gouvernance ;
Réduire les pesanteurs sociales susceptibles de créer des inégalités pour l’accès à la terre;
Fixer dans le cadre des opérations d’aménagement du territoire et de zonage, l’obligation légale d’identifier et de protéger les terroirs communautaires ;
Préciser les modalités de la gestion et de la protection du domaine public afin d’éviter les utilisations privatives auxquelles il est exposé.
Élaborer un plan d’affectation des sols à long terme et le rendre accessible à tous les citoyens ;
Mettre en place une politique d’urbanisation à très long terme et faire une large diffusion des projets immobiliers de l’État dans les préfectures pour une meilleure information des populations;
Identifier et protéger les terres communautaires et recadrer le régime de cessions de terres à grande échelle à l’instar des UEFA ;
Adopter une disposition relative à l’exonération ou un mécanisme de compensation relatif au paiement des frais de cession pour l’immatriculation des forêts domaniales par le Ministère de la Forêt et de la Faune
Reconnaitre et tenir compte des régimes fonciers coutumiers et des réalités locales dans les procédures de cession des terres et assurer la pleine participation des communautés à la gestion des terres en ce qui concerne les projets de cession de droits sur leurs terres et les ressources qu’ils disposent;
Améliorer le tissus urbain des agglomérations et la gestion des espaces marchands et non marchands et mettre un terme à la construction et l’occupation anarchique des sols ;
Faire une cartographie accessible des réserves foncières sur le plan national ;
Dresser une cartographie accessible des zones impropres à l’habitat.
Institutionnaliser un dispositif de gestion décentralisée du foncier dans l’optique de rapprocher davantage l’administration des populations afin de faciliter la réalisation des projets de grande envergure,
Définir le rôle des collectivités territoriales décentralisées dans la gestion des terres au niveau local ;
Assurer la pleine participation des communautés à la gestion des terres ;
Reconnaitre et sécuriser la propriété foncière coutumière des communautés autochtones à travers la délivrance des attestations de propriété;
Reconnaitre aux villages un droit de propriété collective sur leurs terres traditionnelles sans aucune formalité préalable;
Reconnaitre la validité du droit coutumier dans la gestion des terres du village et délivrer un titre foncier collectif à chaque village, y compris sur les portions ne faisant pas l’objet d’une mise en valeur ;
Appliquer la reconnaissance du Consentement Libre, Préalable et Eclairé des populations autochtones comme une obligation légale indispensable pour toutes les initiatives pouvant affecter leurs droits, y compris les projets commerciaux et de développement.
La consécration juridique du droit de jouissance sur les terres rurales par un acte administratif formel, délivré par les responsables des structures décentralisées et les autorités traditionnelles ;
L’initiation d’une réflexion sur la possibilité d’admettre en milieu rural, les transactions foncières sous seing privé et portant sur des terres non immatriculées;
La reconnaissance officielle et la protection des droits fonciers coutumiers, telles que recommandées par les Directives volontaires pour une gouvernance responsable des régimes fonciers applicables aux terres, aux pêches et aux forêts, élaborées par l’Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture ;
La réduction des délais de délivrance des actes de propriété au profit des promoteurs agricoles, qu’il s’agisse des agro-industries ou de petits exploitants ;
La sécurisation et la crédibilité des titres de propriété permettant un accès au crédit hypothécaire et autres mécanismes de financement reposant sur une garantie immobilière ;
La mise sur pied d’un mécanisme d’information préalable des communautés autochtones, dont les terres ou les ressources sont ou risquent d’être affectées par un investissement agricole à grande échelle;
L’instauration au niveau local, des modes de règlement alternatifs de conflits fonciers ruraux;
La réduction des expulsions forcées des exploitants agricoles des terres rurales, qui ne sont pas compatibles avec l’utilité publique, et le payement des indemnisations justes et rapides en cas de privation de droits fonciers consécutive à une expropriation de la terre et aux ressources foncières pour tous les utilisateurs de la terre, notamment les jeunes et autres groupes vulnérables et sans terre tels que les personnes déplacées.
Simplifier et unifier la législation foncière et domaniale ;
Moderniser les problématiques foncières liées au développement durables ;
Sécuriser davantage le titre foncier et améliorer la tenue du fichier cadastral;
S’assurer de la cohérence des textes juridiques relatif au foncier dont l’éparpillement est préjudiciable aux justiciables ;
Améliorer la gouvernance foncière et assurer la sécurité foncière de tous les détenteurs de droits, promouvoir la paix sociale et contribuer au développement économique et social ;
Garantir les droits fonciers sécurisés à tous les acteurs sociaux ; notamment aux femmes et aux jeunes dont l’accès à la terre reste entaché de certains préjugés et des barrières économiques;
Mettre en place un outil juridique ou des mécanismes sociaux favorisant l’émancipation des jeunes en matière d’accès à la terre ;
Adopter une réforme foncière inclusive qui met en cohérence les lois, les politiques et tous les acteurs sectoriels;
Identifier et protéger les terres communautaires et recadrer le régime de cessions de terres à grande échelle à l’instar des UEFA ;
Améliorer le régime des expropriations et compensations et redéfinir le concept d’utilité publique dans la nouvelle législation foncière ;
Faciliter l’accès à la justice en matière foncière ;
Protéger les terres communautaires pour les générations futures
Formaliser une politique foncière et adopter une loi unique régissant le foncier au Cameroun afin de disposer d’un document unique.
Introduire des enseignements relatifs à la gestion des litiges fonciers dans les écoles de formation ;
Simplifier et réduire les coûts de la procédure de recours dans le cadre des litiges fonciers ;
Définir clairement la place et le rôle des chefs traditionnels et accroître leur responsabilités dans la gestion et l’administration des terres et des ressources ;
Instaurer la gratuité de la saisine et des prestations des commissions consultatives et affecter des moyens logistiques et financiers à ces commissions ;
Mettre en place un dispositif juridique visant à lutter contre l’insécurité foncière et punir sévèrement les actes de double vente et d’occupation illégale de la propriété d’autrui ;
Redéfinir les compétences des juges administratif et judiciaire en matière de conflit foncier, notamment en ce qui concerne le vide juridique relatif à la rétrocession ou la préemption;
Faciliter l’accès à la justice en matière foncière.
Nicole Ricci Minyem
Ils ont axé leurs crimes sur l’abus sexuel des dames du troisième âge et alors que leur vice atteignait le sommet de l’ignominie, ces pervers sont allés jusqu’à ôter la vie d’une maman âgée de 85 ans.
Selon nos confrères du « quatrième pouvoir », « ces délinquants d'un autre genre viennent d'être rattrapés par la gendarmerie d'Ombessa, dans le Mbam-et-Inoubou, région du Centre. Ceux-ci vont devoir assumer leurs actes immoraux et immondes devant la loi ».
Une vidéo devenue virale sur les réseaux sociaux
Et c’est à travers cette dernière qu’on a entendu les témoignages des habitants, notamment ceux de la localité d’Issogho qui sont revenus sur les circonstances du tragique décès de Nguessaba Abang Monique :
« C’est quelques heures après sa mort qu’on nous a appelé et nous l’avons trouvé étendue dans la broussaille ; C’était la troisième agression sur sa personne. Les deux premières se sont successivement déroulées dans son domicile, certainement au milieu de la nuit et au champ. Elle avait réussi à faire face ; Malheureusement, ses agresseurs ont défini qu’il s’agissait d’une proie très facile et le troisième viol lui a été fatal ».
Autre lieu, même pratique
Guientsing, toujours à Ombessa est cette seconde antre dans laquelle les prédateurs sexuels ont établi leur quartier général. Ils y terrorisent les grands-mères :
« Il y a un type qui marche avec la machette pour suivre les vielles femmes dans les champs. Une situation qui m’a amené à ne plus m’y rendre du moins, lorsque je suis seule et c’est le même sentiment de crainte qui m’anime lorsque je suis seule à la maison parce que les enfants prouvent qu’ils sont très dangereux. Je suis comme toutes les autres mamans de mon âge, nous ne savons plus quoi faire… », raconte une vielle dame.
Un cri de cœur entendu
Ce sont les multiples partages de cette vidéo mais aussi les plaintes de ces populations paniquées qui ont incité les forces de maintien de l’ordre à ouvrir une enquête, afin d’avoir le fin mot de l’histoire.
Les trois individus interpellés agissaient-ils tous seuls ou alors, s’agit-il d’un vaste réseau de prédateurs sexuels ?
Si la réponse est positive, celui-ci se limite t-il dans le Mbam et Inoubou ?
Qu’est ce qui les a amenés à s’en prendre à leurs grand-mères ?
Des questions et certainement bien d’autres qui trouveront leurs réponses à l’issue de l’enquête qui a commencé ce Mercredi.
Nicole Ricci Minyem