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Elle a été interviewée par nos confrères de Canal II International et la chercheuse de Human Rights Watch affirme que bien qu’il existe des points de convergence, le nombre de morts est inférieur à celui rendu public

 

Il en est de même pour des causes réelles de ces décès : « Nous continuons à souligner que ces tueries étaient délibérées et pas les résultats d’un incident malheureux. La dynamique de l’attaque est différente de celle présentée dans le rapport. Nous avons interviewé des dizaines de personnes et à aucun moment, nous n’avons entendu parler d’une mission de reconnaissance et les images satellites prises avant et après le massacre démontrent que quatre maisons ont été incendiées…».

Elle a profité de cette tribune pour insister sur le fait que les menaces n’auront aucun effet sur ses collaborateurs et elle : « Lorsque nous avons dénoncé les meurtres de Ngarbuh, le gouvernement et les militaires nous ont attaqués, ils nous ont rabaissés, ils nous ont provoqués parfois même avec les insultes, parfois personnelles contre moi. Le gouvernement devrait comprendre que nous ne seront pas intimidés par cette tactique… Nous voulons faire comprendre aux uns et aux autres que notre objectif n’est pas de déstabiliser le pays mais de travailler en parfaite synergie avec le Gouvernement, les membres de la Société Civile et tous ceux qui peuvent nous permettre de faire respecter les Droits de l’Homme».

La chercheuse senior chez Human Rights Watch a tout de même relevé que le compte rendu de la Commission d’enquête mise en place par le Président de la République est une avancée, bien que beaucoup reste à faire : « Ce rapport de la commission d’enquête représente une avancée très importante, un pas positif dans la bonne voie. Ça montre que le gouvernement est disposé à sanctionner les responsables des crimes commis par ses propres forces de sécurité… « Lorsque nous avons dénoncé le meurtre de Ngarbuh, le gouvernement et les militaires nous ont attaqués, ils nous ont rabaissés, ils nous ont provoqués parfois même avec les insultes, parfois personnelles contre moi. Le gouvernement devrait comprendre que nous ne seront pas intimidés par cette tactique ». 

Toutefois,

La sortie quelque peu ironique de l’italienne suscite un grand nombre  de questions, surtout lorsqu’elle exige que « des facilités soient accordées aux Ong qui n’ont qu’un seul objectif : la recherche de la vérité ».

Depuis la mort regrettable des femmes et des enfants à Ngarbuh, elle n’a eu de cesse de parler des drones, des missions et autres enquêtes. Pourquoi cette recherche effrénée de la « vérité » n’a pas été remarquée lorsque Florence Ayafor a été sauvagement, impitoyablement, férocement assassinée ?

Quels sont les résultats de l’enquête que ses collaborateurs et elle ont menée sur le terrain ? Où sont les images  des drones ?     

L’assassinat de cette Camerounaise, mère d’enfants qui a choqué plus d’un n’est qu’un exemple parmi la centaine de crimes commis par les ambazoniens et leurs complices. Pourquoi on n’a jamais remarqué un tel tollé de la part de Human Rights Watch ?  

Qu’est ce qui explique le silence de ce côté et qu’est ce qui fait de Ngarbuh, un cas particulier ?  

Ou alors, la fin de la culture de l’impunité dont parle la chercheuse senior de cette Ong ne concerne que les éléments des Forces de Défense et de sécurité ?

 

Nicole Ricci Minyem

 

Published in Défense

L’alerte de cette menace grave nous est parvenue dans le cours de cette journée de mardi. Une alerte donnée par un ancien acteur des forces ambazoniennes qui continue d’avoir des sources à l’intérieur du mouvement. Ils semblent s’être suffisamment préparés et les attaques sont imminentes.

 

Ce n’est pas la première fois qu’une annonce de menaces d’incursions de milices ambaziennes sur les sols des capitales politiques et économiques est donnée. On se souvient que la dernière édition du défilé du 20 Mai sur le Boulevard éponyme s’était déroulé sous très haute tension, consécutivement à ces menaces d’attaques terroristes sous formes d’attentat à la bombe ou par le biais d’un Kamikaze. Mais il n’en a rien été. Mais est-ce pour autant que le danger n’existe plus ? Que neni.

Nous vous livrons ici l’intégralité de cette alerte à nous parvenu tel que reçu : « Greetings bro, just to inform you that separatists have a plan to destabilize Yaounde and Douala plus every other Francophone cities in a couple of days the civilians will be victims because it shall be insdiscriminate shootings, usage of explosives etc . They will equally kill everyone involved in the reconstruction of NOSO. They are purchasing heavy weapons now in Nigeria. Please know how you can alert our people. Its a reliable information from a reliable insider source. Thanks »

Il apparaît clairement que cette fois-ci, les milices ambazoniennes sont bien décidés à marquer leur présence en portant la guerre vers les zones anglophones. Une situation qui sonne comme un appel à la vigilance des agences du renseignement camerounais. 

Depuis quelques temps, les forces de libération de l’Ambazonie sont acculées dans leurs retranchement par l’armée camerounaise. Au point où ils manquent de plus en plus de ravitaillement et d’armements. C’est ce qui entre autre cause les exactions causés dans les villages de la Menoua et parfois dans le Noun. Des sorties sporadiques qui illustrent combien ces forces sont à bout de souffles. D’autres part, ils ont de nombreux soldats qui quittent les forêts, frustrés et trompés par les généraux de guerre qui ont transformé la quête de libération en guerre d’enrichissement personnels. S’en prenant parfois aux populations qu’ils sont censés protéger.

Toutefois, il ne faut pas oublier que c’est quand il est proche de la mort qu’un animal est plus dangereux. Redoublons de vigilance.

 

Stéphane NZESSEU

 

Published in Défense

C’est ce qui ressort de la réunion de concertation organisée par la Commission Nationale des Droits de l’Homme et des Libertés (CNDHL) il y a quelques jours

 

Cet organisme a été associé à d’autres entités, notamment les responsables de la sécurité militaire, ceux de la police, de la gendarmerie et les membres de la société civile afin de mener avec diligence, l’enquête ordonnée par le Président de la République au lendemain du massacre qui a entraîné le décès de nombreux civils, parmi lesquels des femmes et des enfants.

Une prescription présidentielle qui est intervenue alors que des voix s’élevaient afin d’accuser une fois de plus, les Forces de Défense et de Sécurité. A l’instar des organisations non gouvernementales qui estiment que les Soldats Camerounais massacrent impunément les populations qui n’ont rien à voir avec la guerre dans le Nord Ouest.

Malgré la mise au point de Joseph Béti Assomo qui précisait les conditions dans lesquelles l’attaque s’est déroulée, au cours de la nuit du 14 au 15 Février 2020 dans ce département du Donga-Mantung, les réseaux sociaux à travers des images, des illustrations et autres vidéos ont développé des fake news en demandant que les responsabilités des uns et des autres soient établies.

La position des ambazoniens a jeté un doute dans l’esprit de certains Camerounais qui ont remis au devant de la scène, l’assassinat des femmes et de leurs enfants dans le Nord et jusqu’à ce jour, l’on attend encore le verdict du tribunal.  

Dans le compte rendu établi au lendemain des investigations, les présidents et rapporteurs des sous – commissions n’ont pas manqué de relever qu’ils ont travaillé en toute quiétude et n’ont rencontré aucune difficulté sur le terrain, qui aurait pu entraver le bond déroulement de cette enquête également souhaitée par le Secrétaire Général de l’Organisation des Nations Unies.

A ce propos, ces derniers se sont félicités du fait que le président de la Commission Nationale des Droits de l’Homme et des Libertés a été désigné comme membre de cette commission d’enquête. 

Ils ont toutefois formulé un vœu, qui est celui de tous les Camerounais : C’est que les résultats des investigations menées soient rendus publics et que les suspects des violations avérées des droits de l’homme soient traduits devant les juridictions compétentes».

Il faut relever pour le condamner que depuis quelques mois, il y’a quelques individus qui se complaisent à fabriquer des fake news, dans l’optique de salir le travail abattu par les Soldats Camerounais engagés à défendre au prix de leur vie, l’intégrité du triangle national. Or, à plusieurs reprises, il a été prouvé que les terroristes, au cours des massacres qu’ils perpétuent dans ces régions en crise, volent les tenues de leurs victimes et ils n’hésitent pas à les arborer lorsqu’ils estiment que cela peut servir leur cause.

L’utilisation des boucliers humains ne semble pas leur causer le moindre problème de conscience et même s’il existe des brebis galeuses dans les rangs des Forces de Défense et de Sécurité, ces quelques individus ne sauraient en aucune manière, entacher le travail de titan célébré par tous ceux qui ont été arrachés des mains des terroristes, pour ne prendre que cet exemple.

  

Nicole Ricci Minyem

 

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Le péché que ce couple a commis est d’avoir affirmé qu'ils sont proches du parti au pouvoir, renseignent nos sources.

 

Alors que les éléments de la république imaginaire d’Ambazonie ôtent la vie généralement aux civils en catimini, le 20 mars 2020, c’est sur la place publique, qu’ils tué un couple. La scène s’est produite au village de Vekovi, une localité située dans la commune de Jakiri, région du Nord-Ouest. Ces Amba boys reprochaient à ce couple, le fait d’avoir affirmé être proche du Rassemblement démocratique du peuple camerounais, le parti au pouvoir.   

 

Réagissant par rapport à cet autre forfait des Amba boys, Michael Ngwese Ekosso, le président national du Parti Démocratique Socialiste Uni (USDP), a déclaré que les exécutions publiques à Vekovi « ne reflètent pas les ambitions des anglophones / Camerounais du Sud dont le désir honnête est de vivre dans une nation bilingue et multiculturelle, dans laquelle ils peuvent être libres de dire ou d’écrire ce qu’ils pensent sans entendre un coup soudain à leur porte ».

  Ndop : L’Armée démantèle un autre camp ambazonien  

Poursuivant dans la même lancée, il a ajouté « ces groupes de jeunes hommes et femmes armés qui sont influencés par un autre groupe de Camerounais du Sud malveillants, dont la plupart vivent dans le confort de leurs claviers dans la diaspora, devraient savoir que leurs crimes contre l’humanité et perpétration de chaos, meurtres, intimidations , les enlèvements, la collecte de rançons parmi notre propre peuple, comme une forme d’essayer de mesurer la lutte, ont des contre-implications ».

 

Indexés dans la tuerie de ces civils, les Amba boys par la voix de Capo Daniel, membre de leur groupe armé ont dit condamné cette exaction.

 

Liliane N.

 

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Un 5ième cas de Coronavirus vient d’être annoncé au Cameroun par le Ministre de la Santé publique. C’est une véritable avalanche, et une explosion exponentielle des cas de maladie s’annone. Le ciel nous tombe sur la tête selon Dieudonné Essomba. 

 

« Les réactions d’agacement des Camerounais vis-à-vis de leur Etat commencent à s’intensifier. On se demande ce que le Gouvernement attend pour fermer les frontières, assurer le contrôle des voyageurs ou réduire la mobilité des populations.

Le problème ici est que le Gouvernement du Cameroun ne peut pratiquement rien faire, en dehors des effets d’annonce et un discours lénifiant pour tenter de rassurer la population !

Du point de vue économique, le Cameroun est tellement dépendant qu’il doit pratiquement tout importer. Des cure-dents aux avions, le pays ne produit pratiquement rien de ce qu’il consomme, en dehors des biens alimentaires et quelques produits de l’artisanat.

Et même sur le plan alimentaire où son autonomie est la plus grande, le pays dépend trop étroitement des importations de poisson et de riz, sans compter d’autres aliments comme le froment pour le pain. Quant aux produits plus évolués comme les médicaments, l’électroménager ou les biens industriels, il n’en produit pratiquement pas.

Ce n’est pas avec un tel modèle économique qu’on peut se permettre de fermer les frontières : le Cameroun ne serait pas capable de fonctionner même un seul jour !

Sur le plan financier, l’Etat du Cameroun est dans l’incapacité de dégager des ressources pour affronter une crise de grande ampleur. Déjà sous ajustement depuis 2017 et en cours de négociation avec le FMI pour une seconde phase, sa marge est très étroite. La sécession anglophone saigne le Trésor Public à blanc, et après les salaires et les dépenses de la guerre, il n’y a pratiquement plus rien dans les caisses.

Ceux qui, frénétiquement, appellent l’Etat à prendre des mesures oublient trop facilement que ces mesures ont une contrepartie : il faut les financer ! Et on ne finance pas des mesures avec des cailloux, mais avec des devises qui justement, nous manquent !

Sur le plan social enfin, la majorité des Camerounais, notamment ceux des villes vivent au jour le jour de petits métiers : sauveteurs, taximen, mototaxis, call-boxeurs, baïsellam, maçons, etc. Ils ne peuvent pas se permettre d’arrêter leur activité pendant 3 jours successifs. Ce n’est pas comme dans des pays évolués où de telles activités sont moins stratégiques et qui disposent des puissantes capacités d’appui. On obligé de les laisser faire, au risque d’une explosion sociale généralisée.

Le Ministre de la Santé confirme un 5e cas de contamination au Coronavirus au Cameroun 

 

On ne nourrit pas sa poule le jour du marché

Naguère, j’avais demandé avec insistance la mise en place d’un Système d’Echange Local au Cameroun en instaurant une seconde monnaie, évoluant concurremment avec le CFA et valable seulement pour les biens locaux. Le but était de créer un réseau économique local autonome nous permettant de réduire l’excessive dépendance du pays.

La conséquence était la limitation des importations à des biens réellement utiles et la réduction d’un déficit commercial abyssal qui plombe notre croissance. Simultanément, ce modèle nous permettait de fermer les frontières en cas de nécessité sans trop de contrainte.

Mais personne n’a cru en cette solution et tout le monde se rappelle les immenses éclats de rire qui ont accueilli ma proposition !

Qu’est-ce que vous pouvez faire faire maintenant ? Rien du tout ! C’est avant qu’il fallait réfléchir !

De même, dans son entêtement à régler la crise anglophone par la force, le Gouvernement a introduit une terrible contrainte dans sa marge de manœuvre. Si cette épidémie prenait des proportions importantes, que fera-t-il ? Devra-t-il continuer avec sa guerre ruineuse en laissant le pays mourir, ou devra-t-il abandonner le NOSO aux ambazoniens pour limiter le coronavirus ?

Comme on le dit, la bonne gestion d’un pays est une affaire d’anticipation et de gestion du risque. On ne peut pas fonctionner comme si on maîtrisait en permanence le destin. Ces certitudes dogmatiques dans lesquels s’est enfermé notre Gouvernement nous a privés de toutes les marges de manœuvre qui nous auraient permis de faire front à une épidémie aussi grave.

Et quelle soit l’évolution de la situation, le Cameroun ne peut plus éviter une grave crise économique. Les effets du coronavirus seront terrifiants à l’échelle du monde et généreront une crise aux conséquences incalculables. En tant que pays inerte dans le commerce international, nous ne ferons que répercuter cette crise chez nous ; mais celle-ci sera amplifiée par de mauvais choix politiques et économiques internes que nous avions dénoncés à temps, souvent devant des sarcasmes et des regards désapprobateurs.

Et ce sont justement ces occasions qui favorisent des mouvements comme la Sécession Anglophone

 

La seule solution

Face à cela, que reste-il à faire ? Essayer de limiter la crise avec les moyens du pauvre et pour cela, une seule solution : imposer le port d’un habit rouge vif, avec une tête de mort, à tous ceux qui entrent au Cameroun pendant 14 jours, durée d’incubation du virus. Et ceci, qui qu’on soit !

Des gens habillés de cette manière éviteront les lieux publics ouverts à tous, mais bénéficieront de services spécialisés lorsque cela se révèle nécessaire. Ainsi, chaque banque devra avoir un guichet dédié, avec une caissière munie d’un masque de protection. Ils ne pourront emprunter que quelques taxis sécurisés, disposant de mécanismes appropriés pour désinfecter.

Evidemment, cette mesure s’accompagnera de l’application systématique des règles d’hygiène prodiguées par le Minsante.

Au niveau où on se trouve, je ne vois pas très bien ce qu’on peut faire d’autre ».

 

 

N.R.M

 

Published in Corona Virus

 

C’est du moins le point de vue développé par le Département d'État américain qui dans un rapport publié le 09 Mars dernier a relevé  des exemples pour attester de la « véracité de ces assertions »

 

Comme dans les précédents rapports, commis par des Organisations Non Gouvernementales tant nationales qu’internationale, le département exécutif fédéral chargé des relations internationales a lui aussi pointé un doigt accusateur contre les Forces de Sécurité nationale qui selon lui, se rendent coupables « d’Exécutions arbitraires, extrajudiciaires et des disparitions forcées ».

 

Des affirmations qui ne reposent sur rien de concret

Il peut paraître péremptoire de le dire de cette manière mais, au cours des derniers mois, il a été démontré avec preuves à l’appui que les Forces de Défense et de Sécurité ont su s’imposer dans les zones en crise par des actions qui vont parfois au-delà de ce qui rentre dans le cadre de leurs attributions.

On voit des soldats qui construisent routes, ponts, écoles et maisons. On les trouve dans les salles de classe entrain de dispenser des cours aux enfants dont l’avenir scolaire semblait compromis, du fait des exactions commises par des terroristes. Ils font des dons multiformes aux populations qui ont tout perdu lors des raids  des ambazoniens et des membres de la secte terroriste boko haram.  

Que dire de tous ceux qui, prenant des risques parfois énormes se mettent en danger pour aider ces femmes qui bien qu’à terme sont parfois obligées de parcourir des dizaines de kilomètre à pied afin de donner naissance à leurs bébés. Leur vie et celles des nourrissons sont préservées grâce aux éléments des Forces de Défense et de Sécurité.

Certes, l’exemple de ces soldats qui ont tiré et assassiné des femmes et leurs enfants dans le Nord Cameroun vient jeter un air sombre à ce tableau mais, il ne s’agit que d’un cas isolé, qui ne saurait entacher le travail abattu au quotidien par ces Hommes et Femmes qui sont prêts chaque jour à faire le sacrifice suprême de leur vie, pour sauver celles de leurs concitoyens.           

 

Les groupes armés séparatistes anglophones et la secte terroriste Boko Haram, qui sévit toujours dans l’Extrême-Nord, ne sont pas moins mis à l’index.

A ce niveau, on est tenté d’apprécier dans une certaine mesure le rapport du Département d’état américain car contrairement aux autres, les rédacteurs du document ont pris la peine de relever que le Cameroun est attaqué presque de toute part, par des terroristes dont l’objectif affiché est de détruire le Cameroun en miniature.

Seulement, on aurait bien aimé voir dans ce rapport, la partie qui concerne le financement dont bénéficient ceux qui sèment la destruction, la mort et le désespoir au sein de nombreuses familles.

Chaque fois que l’armée Camerounaise a réussi à démanteler les camps des assaillants, elle a découvert des armes de pointe en plus de toute l’armada qui leur permet de commettre leurs crimes en toute quiétude.

D’où provient ce matériel militaire ? Les « fonctionnaires » du département américain qui veulent faire croire qu’ils sont au courant de tout ce qui se passe en terre camerounaise, même dans les coins les plus reculés semblent pourtant ignorer l’endroit d’où provient l’argent qui sert à l’achat de ces fusils d’assaut et autres. Ils n’ont pas mentionné le rôle joué par des « complices internes » qui dans les vidéos ne cachent point leur volonté de nuire à ce pays, tant que le Président de la République reste au pouvoir.

Prisonniers politiques, inféodation du pouvoir judiciaire, pires formes de restrictions à la liberté d'expression, à la presse et à Internet, arrestations ou poursuites injustifiées contre des journalistes et recours abusif aux dispositions de la loi réprimant les délits de presse, notamment la diffamation sont les autres exemples pris par les américains, pour démontrer que les Droits de l’Homme ne sont point respectés au Cameroun.

 

Nicole Ricci Minyem

  

Published in Judiciaire

 

L’opération a été menée le 29 Février dernier dans cette localité située dans la région du Nord Ouest et huit ambazoniens ont été tués après avoir ouvert le feu sur les éléments de l’Armée  Républicaine

 

Selon des informations non encore officielles, tout serait parti de l’assassinat brutal et lâche d’un soldat Camerounais et d’un civil par des hommes sans foi ni lois, vivant des incantations maléfiques qui leur donnent l’illusion d’une invincibilité totale. Des êtres maléfiques qui bénéficient du soutien financier et logistique des prétendues Organisations non gouvernementales et autres individus résidents aux Etats – Unis, en France, en Afrique du Sud et même sur le territoire national. Des soi disant partenaires qui ont pour ambition de semer le chaos, la désolation et les cris de lamentation dans cette Afrique en miniature.

Toujours les premiers à ouvrir le feu

Alors qu’ils sont présentés par leurs parrains comme des êtres sans défense, revendiquant ce  qui leur « revient de droit » avec des arbres de la paix, les mêmes sources nous revèlent les huit terroristes maîtrisés à  Mendakwe ont été les premiers à ouvrir le feu sur les éléments des Forces de Défense et de Sécurité qui se sont vus obligés de répliquer.

Certains  d’avoir le contrôle de la situation, les soldats ont mis la main sur cinq (5) canons, des explosifs, des amulettes, du chanvre indien et beaucoup d’autres objets.

La source, à la fin de son message publie en PS qu’«Aucun ambaFool de la diaspora n'a été tué. Seuls les analphabètes ternes sur le terrain perdent la vie pour rien…Massa, notre roi des jambes noires nous a toujours dit que les #AmbaBoys existent toujours parce que le Président Biya a pitié d'eux ».

 

Un prétendu génocide sur des terroristes qui célèbrent leurs crimes

Pendant le week end, une vidéo a fait le tour de la toile. On y voit des individus portant sur un pic, la tête ensanglantée d’une victime de leur folie meurtrière. Ils esquissent des pas de danse en faisant des incantations des personnes possédées dans un rituel macabre alors qu’en toile de fond, on voit des populations amassées qui elles aussi semblent prendre une part active à cet évènement.

Une armée professionnelle, super entraînée et toujours prête    

Il y a quelques jours, des éléments du Bataillon d’Intervention Rapide ont été sélectionnés parmi les 1600 militaires issus des armées de 34 pays africains et leurs partenaires afin de bénéficier du programme Flintlock 2020, organisé dans plusieurs sites en Mauritanie (Atar, Nouakchott et Kaédi) et au Sénégal (Thiès) à la fin du mois de Février dernier.

Il convient de souligner qu’il s’agit du plus important et du plus grand exercice annuel des Forces d’opérations spéciales du commandement des Etats – Unis pour l’Afrique depuis 2005.

Il a été conçu pour renforcer les capacités des soldats des principaux pays partenaires. Ces derniers sont alors mieux outiller à mener la lutte contre les organisations extrémistes violentes, à protéger leurs frontières et à assurer la sécurité des populations.

 

Nicole Ricci Minyem 

 

Published in Défense
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Une complicité entre un terroriste sécessionniste ambazonien et Ilaria Allegrozi, membre de l’ONG Human Rights Watch, a été découverte. L’exploitation du téléphone du nommé NFOR YACUBU, interpellé par les Forces de Défense et de Sécurité, ont permis d’établir des liens avec cette chercheuse "sénior" qui a pour habitude de produire des rapports incriminant le gouvernement camerounais.

 

Un sécessionniste ambazonien, NFOR YACUBU, a été interpellé le 24 février dernier par les Forces de Défense et de Sécurité dans la ville de Ndu, département du Donga Mantung. L’opération a été rendue possible grâce aux dénonciations des populations et autorités civiles.

D'après leur témoignage, cet individu se faisait remarquer par l’arnaque et un comportement exagérément violent à l’endroit des citoyens. Il est également connu comme étant le coordonnateur des mouvements ambazoniens dans le Donga Mantung (Ground Zero Coordinator of Donga Mantung).

Après son arrestation l’exploitation de son téléphone, notamment des groupes WhatsApp, a permis d’établir un profil exact du suspect. Tout d’abord, son identité de  terroriste a été confirmée. L’une de ces missions était la manipulation des médias, des ONG et des puissances internationales. D’où la nature des informations que l’on retrouve dans les rapports de certaines ONG internationales pour qui la vérification des faits n’est qu’un léger détail.

S’appuyant sur les conversations et les fichiers de son téléphone, il s’est avéré qu’il est membre actif de plusieurs fora WhatsApp ambazoniens et dans lesquels il joue un rôle très important pour ses pairs. Il serait une référence en matière de fabrication de bombes artisanales, un logisticien à qui les combattants s’adressent en cas de besoin d’armes.

On a pu y dénicher des discussions avec Ilaria Allegrozi dans les quelles elle insiste pour obtenir « à tout prix des preuves montrant les forces de Défense et de sécurité brûlant des villages et commettant des exactions ». Dans cet ordre d’idées, il a envoyé à Ilaria, une vidéo supposée de l’incident de Ngarbuh, dans laquelle on peut voir une maison en terre cuite brûlée et le corps d’une femme couché au sol morte.

Il faut noter que les contenus envoyés à la chercheuse étaient méticuleusement sélectionnés par ce manipulateur. Lors d’une intervention dans un forum il se félicite « d’avoir Ilaria dans sa poche et de lui avoir fourni des informations qui vont faire que l’armée soit accusée ».

En plus, le nommé Nfor Yacubu serait un expert dans la réalisation et la propagande de vidéos de destruction des villages. Des vidéos exploitées par des contacts tels que Mme Ilaria Allegrozi et autres personnalités ayant pour habitude d’incriminer les forces de sécurité et le gouvernement camerounais. 

Dans d'autres messages, la "respectable chercheuse" - qui n'a de respectable pas grand chose, demande même à son interlocuteur d'effacer tous les messages qu'elle lui envoie, au fur et à mesure qu'il les reçoit. "Pour des raisons de sécurité" dit-elle. En fait, la raison est bien plus obscure: sa seule source afin de construire son rapport à charge, c'est la filière terroriste. Comment prendre dès lors au sérieux un rapport ultra-agressif, basé sur des assertions non-confirmées par des sources neutres ? Comment prendre au sérieux ce rapport qui a été écrit par une personne qui tente probablement de survivre au Coronavirus qui touche gravement le nord de l'Italie ? Il faut dire que la dame n'est plus la bienvenue au Cameroun et comme l'a expliqué la presse locale ces derniers jours, si elle n'est plus venue au Cameroun depuis longtemps, c'est car depuis toujours elle attaque le Cameroun de manière injustifiée et non-fondée. Ce qui était des "on-dit" selon les ONG, est enfin prouvé au grand jour ce soir.

Quoi qu'il en soit, d'autres révélations sont à venir. Et Ilaria n'est pas la seule à prendre ses sources auprès des terroristes, sans vérifier la véracités des faits... Il y a aussi une journaliste de l'Agence France Presse !

Sortez les popcorns, regardez bien comment Ilaria va se défendre, affirmant qu'il ne s'agit que "d'une source" parmi d'autres... Mais si elle était intelligente elle ne le ferait pas. Elle sait ce que disent les conversations. Et tout sera publié petit à petit _

Published in Défense

Ces révélations sont tirées du témoignage d’un général ambazonien qui dit avoir été approché par le Général EKO EKO, Directeur Général de la Recherche Extérieure du Cameroun. Depuis la prise de contact jusqu’à l’abandon des armes par les combattants d’élites des armées ambazoniennes, les techniques mises en œuvre par le Général patron de la DGRE sont des succès vibrants.

 

Dans les rangs des sécessionnistes, l’évocation du nom du patron des services secrets du Cameroun inspire la terreur et la peur. C’est comme prononcé le nom de Jésus Christ en enfer. Selon l’ancien Général Ambazonien Success Nkongho, « j’avais peur de cet homme et des hommes en tenues à cause de ce qu’ils nous ont fait avant ». « Ce qui me motive de venir avec certains combattants et réfugiés ambazonien qui ont déposés les armes, ce qui me motive de venir au Cameroun sans avoir crainte d’être arrêté, c’est parce que j’ai été convaincu par certains négociateurs, médiateurs de paix qui sont des membres du gouvernement du Cameroun. »

« En effet, avant que je ne vienne au Cameroun, ceux qui sont venus me faire parler ont appelé le General EKO EKO, dont j’avais trop peur. J’ai causé avec lui au téléphone. Les premières paroles qui sont sortis de sa bouche sont : « Mon frère, je suis ton frère, tu es mon frère, on sait qu’il y a des malentendus qui sont arrivés entre les gens d’une même maison. Mais on peut arranger ça entre nous. Il y a un temps pour la pluie, il y a un temps pour le soleil, il y a un temps pour le combat et il y a un temps pour la paix et je suis convaincu que voici le temps pour la paix. Tu es mon frère, je suis ton frère ». Ces paroles m’ont beaucoup marqué. N’oublions pas que c’est le patron des services secrets du Cameroun qui négocie pour la paix. C’est alors que je suis venu le rencontrer pour la première fois. On a discuté dans son bureau pendant longtemps et j’ai vu un homme qui était un véritable mendiant de la paix. Un homme épris de paix entre les camerounais et les ambazoniens. J’ai vu la simplicité, l’honnêteté, un homme qui craint Dieu et qui veut le meilleur pour son pays. La manière dont il réclamait la paix, c’est comme quelqu'un qui réclamait l’oxygène. »

Lire aussi : Dr Succes Nkongho : « Le retrait de l’armée dans le NOSO n’est pas la solution »

« Il m’a demandé si je peux parler à mes frères pour qu’il y ait la paix, j’ai dit y a pas de problèmes. Quelques jours je suis revenu avec des grands généraux et combattants ambazoniens. Et au terme des discussions ils se sont tous rendus compte de l’attachement de cet homme pour la paix. C’est ça qui a cassé notre orgueil, ça a cassé nos ambitions notre manière de faire. Et on s’est dit avec un homme comme celui-ci, on peut travailler pour la paix dans le Cameroun. »

Comme on peut le voir, la stratégie est toute simple, un dialogue franc et sincère entre les combattants des deux parties est en train de produire plus de résultats que des années de conflits armés. Et d’après le Général Success Nkongho, ils sont déjà des milliers de combattants qui ont déposés des armes à la suite des démarches du patron des services secrets du Cameroun.

 

Stéphane NZESSEU

 

Published in Défense

 

En tournée au Canada, le président du Mouvement pour la Renaissance du Cameroun annule l’audience qu’il avait au préalable accordé à ces « individus », lorsqu’ils ont insisté d’être admis en sa présence en arborant leurs gadgets

 

Le leader du Mrc, lors d’une interview accordée aux journalistes de Voa Africa a donné les raisons du changement qui a eu lieu à la dernière minute  

« Ce qui s’est passé c’est qu’on est venu me signaler que les membres de la communauté anglophone et on m’a clairement dit que c’était des « ambazoniens ». Vous savez, même en sachant que c’était des ambazoniens, j’étais prêt à les rencontrer ; mais, dès lors qu’on m’a dit qu’ils étaient porteurs des drapeaux de l’ambazonie et d’autres signes extérieurs tels que les casquettes, les tees shirts et les écharpes avec les insignes de l’ambazonie, j’ai dit, il faudrait qu’ils mettent ça de côté et, on peut discuter tranquillement. Ils ont accepté pour le drapeau mais, ils ont dit qu’ils refusaient d’enlever les tees shirts et les casquettes et les écharpes avec les drapeaux ambazoniens…

Dans ces conditions, il m’était difficile de les rencontrer parce que ce sont les symboles d’un état qui pour moi, n’existe pas. Et donc, discuter avec eux, veut dire que j’engageais une discussion et je n’en n’ai d’ailleurs pas le mandat, au nom de ce qu’ils appellent la république c'est-à-dire, la partie francophone du pays qu’ils ne reconnaissent pas, comme faisant partie d’un Etat donc ils seraient une composante avec justement l’état d’ambazonie. Les symboles sont important, il ne faut pas qu’on néglige ça. J’ai donc dit que dans ces conditions, je suis au regret de ne pas tenir cette encontre avec eux. Mais j’ai dit que si cela était mis de côté, j’étais prêt à les rencontrer et même une journée si cela était nécessaire… ».

 

A quel jeu s’adonne le président du Mouvement Camerounais pour la Renaissance du Cameroun ?    

Longtemps accusé de soutenir les ambazoniens, Maurice Kamto s’est longtemps refusé d’endosser cette responsabilité. Au lendemain de la casse des ambassades, alors que certains de ces individus avaient enlevé les images du Chef de l’Etat Camerounais, l’avaient souillé et avait mis à la place sa photo à lui, il lui a fallu plusieurs semaines pour se désolidariser de ces actes.

En tournée à l’étranger pour des motifs qui lui sont propres, il accepte toutefois de recevoir les représentants de cet « état » imaginaire qui ont affiché leur désir de ne jamais accepté la main tendue de celui qui représente les Institutions du Cameroun, le Président Paul Biya qui, depuis deux ans, a multiplié les actions pour que les armes arrêtent de semer mort et désolation en régions anglophones.     

 

Qu’elle différence cela fait–il que lui, Maurice Kamto reçoivent les ambazoniens avec ou sans leur drapeau et tous les autres gadgets représentatifs de leur appartenance ?

Il devrait simplement y aller, d’autant plus qu’au-delà de ces éléments, ce qui compte c’est qu’il se dit prêt à s’asseoir et à échanger avec ceux qui ont refusé de manière définitive, refusé la main tendue des autorités de la République.  Il veut converser et sur quels sujets, on se pose cette question, avec des « êtres » qui se sont donnés pour objectif de détruire, par tous les moyens possibles, l’Etat du Cameroun.

Des individus qui, au cours de ces dernières années, se sont attelés à arracher violemment la vie à tous ceux qui ont opté pour le dépôt des armes, causant peine et  désolation au sein de nombreuses familles aussi bien en zone dite anglophone que chez les francophones, malgré les mesures prises pour que la paix revienne.

Ce sont ces questions et bien d’autres, qui viennent dans l’esprit des Camerounais qui l’ont toujours soupçonné et accusé d’entretenir des « relations » avec les ambazoniens.

 

Nicole Ricci Minyem

 

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Sunday, 05 June 2022 11:01