L’opération a été menée le 29 Février dernier dans cette localité située dans la région du Nord Ouest et huit ambazoniens ont été tués après avoir ouvert le feu sur les éléments de l’Armée Républicaine
Selon des informations non encore officielles, tout serait parti de l’assassinat brutal et lâche d’un soldat Camerounais et d’un civil par des hommes sans foi ni lois, vivant des incantations maléfiques qui leur donnent l’illusion d’une invincibilité totale. Des êtres maléfiques qui bénéficient du soutien financier et logistique des prétendues Organisations non gouvernementales et autres individus résidents aux Etats – Unis, en France, en Afrique du Sud et même sur le territoire national. Des soi disant partenaires qui ont pour ambition de semer le chaos, la désolation et les cris de lamentation dans cette Afrique en miniature.
Toujours les premiers à ouvrir le feu
Alors qu’ils sont présentés par leurs parrains comme des êtres sans défense, revendiquant ce qui leur « revient de droit » avec des arbres de la paix, les mêmes sources nous revèlent les huit terroristes maîtrisés à Mendakwe ont été les premiers à ouvrir le feu sur les éléments des Forces de Défense et de Sécurité qui se sont vus obligés de répliquer.
Certains d’avoir le contrôle de la situation, les soldats ont mis la main sur cinq (5) canons, des explosifs, des amulettes, du chanvre indien et beaucoup d’autres objets.
La source, à la fin de son message publie en PS qu’«Aucun ambaFool de la diaspora n'a été tué. Seuls les analphabètes ternes sur le terrain perdent la vie pour rien…Massa, notre roi des jambes noires nous a toujours dit que les #AmbaBoys existent toujours parce que le Président Biya a pitié d'eux ».
Un prétendu génocide sur des terroristes qui célèbrent leurs crimes
Pendant le week end, une vidéo a fait le tour de la toile. On y voit des individus portant sur un pic, la tête ensanglantée d’une victime de leur folie meurtrière. Ils esquissent des pas de danse en faisant des incantations des personnes possédées dans un rituel macabre alors qu’en toile de fond, on voit des populations amassées qui elles aussi semblent prendre une part active à cet évènement.
Une armée professionnelle, super entraînée et toujours prête
Il y a quelques jours, des éléments du Bataillon d’Intervention Rapide ont été sélectionnés parmi les 1600 militaires issus des armées de 34 pays africains et leurs partenaires afin de bénéficier du programme Flintlock 2020, organisé dans plusieurs sites en Mauritanie (Atar, Nouakchott et Kaédi) et au Sénégal (Thiès) à la fin du mois de Février dernier.
Il convient de souligner qu’il s’agit du plus important et du plus grand exercice annuel des Forces d’opérations spéciales du commandement des Etats – Unis pour l’Afrique depuis 2005.
Il a été conçu pour renforcer les capacités des soldats des principaux pays partenaires. Ces derniers sont alors mieux outiller à mener la lutte contre les organisations extrémistes violentes, à protéger leurs frontières et à assurer la sécurité des populations.
Nicole Ricci Minyem