Accusé de mensonge par une télévision de la place alors qu’il a juste démontré que la prétendue Ong Human Rights Watch a retiré son rapport par rapport aux évènements de Ngarbuh suite à la mise au point faite par le porte parole du gouvernement , l’Enseignant et analyste politique est voué aux gémonies par ses ennemis sur la toile.
Une attitude qui n’a pas plu à tout le monde, d’où cette sortie
« Mme Ilaria Allegrozi est une menteuse.
En fait Mathias Eric Owona Nguini dit la vérité, je vous explique.
Le premier rapport de HRW est basé sur les témoignages de Mme Ilaria Allegrozi.
Dans le premier rapport, il y avait des images satellites et des noms des témoins qui ont vu les militaires massacrés ses villageois ainsi qu'une liste de personne décédée.
Ce rapport a été établi par Mme Ilaria Allegrozi.
Pris en flagrant de mensonge, les services secrets camerounais ont constaté en fait qu'elle prenait toutes ses informations chez un général ambazonien capturé par les militaires.
Étrangement sur la liste des morts qu'elle avait établit sur ce rapport, certains se sont retrouvés vivants a Yaoundé, ou a Limbé
Pris en flagrant de mensonge, elle l'a d'abord supprimé son rapport sur Twitter et sur le site officiel du HRW ils ont juste un peu changé le rapport, en fait elle n'est plus mise en avant comme la rapporteuse, ils ont supprimé les images satellites et les listes des noms des personnes décédées.
C'est vraiment malhonnête de la part d'une ONG comme HRW et aujourd'hui elle est la première à crier au Fake news pourtant Mathias Eric Owona Nguini dit la vérité.
Nous sommes tous Camerounais, nous ne sommes plus dans les années 20 ou ont pouvait nous manipuler.
Regardez la vidéo de TV 5 le premier rapport avant la modification était exactement pareil que ses dires devant les journalistes… ».
Attaque terroriste de Tubah dans le Nord-Ouest : La mise au point du gouvernement Camerounais
Les raisons d’une telle série de désinformations recueillies sur la toile
Jo Ngambi : Incitateur à la révolte" toujours avec des mots hors contexte, la vérité est vraiment devenue un vrai fléau pour certains camerounais très regrettable
Elie Cyrille : Nous ne sommes pas dans la guerre des chiffres et votre média aussi n'en fait pas mention. Il est question de savoir si le rapport a été retiré ou pas? Équinoxe vous brandit un article disant que c'est le rapport de HRW, alors qu'il existe une grande différence entre un rapport et un article
Marcel Enguono : Mais c'est véritablement lamentable pour le berceau de nos ancêtres... comment en est-on arrivé là. Pourquoi cette haine !!!?
Nicole Ricci Minyem
Dans un rapport publié il y a quelques heures celle qui prétend être une chercheuse senior sur l’Afrique à Human Rights Watch a proposé une liste des victimes des évènements malheureux de Ngarbuh en plus de ses autres élucubrations
Et pourtant, des informations non officielles font état de ce que dans ce « répertoire » figurent les noms des femmes et des enfants qui vivent depuis dans la capitale politique Camerounaise depuis un peu plus de trois ans. D’autres parlent de deux ans et nombreux sont ceux qui ont été recensés parmi les réfugiés internes ayant trouvé gîte et couverts à Bamenda, Douala et Yaoundé.
Certaines se seraient confiées sur les antennes d’un média de la place car elles ne comprennent pas comment et sur quelle base leurs noms apparaissent dans le document de Human Rights Watch. Refusant de servir de prétexte ou d’armes dans cette cabale orchestrée par cette prétendue Ong contre leur pays, avec des complicités avérées, dont celle du nommé Nfor Yacubu, interpellé par les Forces de Défense et de sécurité, toutes les familles mentionnées dans le rapport de Ilaria Allegrozzi « auraient consulté les avocats et envisageraient de porter plainte… ».
Mais que cherche Human Right Watch au Cameroun ?
Bien malin celui qui sera capable d’apporter une réponse concrète et convaincante à cette question. Depuis le début de la crise sécuritaire dans les régions du Nord et du Sud Ouest, les travailleurs de cette prétendue Ong semblent avoir comme mot d’ordre d’incriminer les Forces de Défense et de Sécurité de toutes les tueries qui se vivent là bas.
Ces individus qui sont de connivence avec les terroristes, ces prétendus spécialistes d’on ne sait trop quoi qui soutiennent et protègent ceux qui financent les meurtriers des populations qui ne demandent qu’à vivre en toute quiétude ont franchi une autre étape.
Ilaria Allegrozzi dans son « torchon » accuse les Peuls : « Au moins 30 Peuls armés ont tout d’abord pénétré à pied dans Ngarbuh 1, un quartier de Ngarbuh, le 13 février vers 11h00 du soir, pillant de nombreuses maisons… ».
Et portant, la réalité est toute autre. Il ne se passe pas un seul jour, sans que ce peuple ne subisse des exactions de la part de ces ambazoniens qui donnent l’impression d’agir « en toute impunité » parce que bénéficiant du soutien des Ong comme Human Rights Watch et de nombreuses autres qui n’ont jamais décrié même pas une fois, l’assassinat sauvage de ces Femmes et Enfants.
Nul besoin de revenir sur le travail que fait l’Armée Camerounaise. Contrairement à ce qu’affirme cette femme, les Forces de Défense et de Sécurité veillent au grain, en défendant certes l’intégrité du territoire national, mais les Soldats construisent les ponts, encadrent les enfants, aident les femmes à accoucher, font des dons, soutiennent de façon multiforme, ces populations qui, au fil des années ont appris à leur faire confiance.
Il apparaît dès lors pour Ilaria Allegrozzi et ses semblables que la production des torchons ne va jamais mettre à mal la confiance que les Camerounais ont vis-à-vis de leurs Forces de Défense et de Sécurité. Ils ne vont par ailleurs pas permettre que les Peulhs deviennent aujourd’hui la nouvelle cible de leurs bassesses. Et qu’ils se le tiennent pour dit.
Nicole Ricci Minyem
Une complicité entre un terroriste sécessionniste ambazonien et Ilaria Allegrozi, membre de l’ONG Human Rights Watch, a été découverte. L’exploitation du téléphone du nommé NFOR YACUBU, interpellé par les Forces de Défense et de Sécurité, ont permis d’établir des liens avec cette chercheuse "sénior" qui a pour habitude de produire des rapports incriminant le gouvernement camerounais.
Un sécessionniste ambazonien, NFOR YACUBU, a été interpellé le 24 février dernier par les Forces de Défense et de Sécurité dans la ville de Ndu, département du Donga Mantung. L’opération a été rendue possible grâce aux dénonciations des populations et autorités civiles.
D'après leur témoignage, cet individu se faisait remarquer par l’arnaque et un comportement exagérément violent à l’endroit des citoyens. Il est également connu comme étant le coordonnateur des mouvements ambazoniens dans le Donga Mantung (Ground Zero Coordinator of Donga Mantung).
Après son arrestation l’exploitation de son téléphone, notamment des groupes WhatsApp, a permis d’établir un profil exact du suspect. Tout d’abord, son identité de terroriste a été confirmée. L’une de ces missions était la manipulation des médias, des ONG et des puissances internationales. D’où la nature des informations que l’on retrouve dans les rapports de certaines ONG internationales pour qui la vérification des faits n’est qu’un léger détail.
S’appuyant sur les conversations et les fichiers de son téléphone, il s’est avéré qu’il est membre actif de plusieurs fora WhatsApp ambazoniens et dans lesquels il joue un rôle très important pour ses pairs. Il serait une référence en matière de fabrication de bombes artisanales, un logisticien à qui les combattants s’adressent en cas de besoin d’armes.
On a pu y dénicher des discussions avec Ilaria Allegrozi dans les quelles elle insiste pour obtenir « à tout prix des preuves montrant les forces de Défense et de sécurité brûlant des villages et commettant des exactions ». Dans cet ordre d’idées, il a envoyé à Ilaria, une vidéo supposée de l’incident de Ngarbuh, dans laquelle on peut voir une maison en terre cuite brûlée et le corps d’une femme couché au sol morte.
Il faut noter que les contenus envoyés à la chercheuse étaient méticuleusement sélectionnés par ce manipulateur. Lors d’une intervention dans un forum il se félicite « d’avoir Ilaria dans sa poche et de lui avoir fourni des informations qui vont faire que l’armée soit accusée ».
En plus, le nommé Nfor Yacubu serait un expert dans la réalisation et la propagande de vidéos de destruction des villages. Des vidéos exploitées par des contacts tels que Mme Ilaria Allegrozi et autres personnalités ayant pour habitude d’incriminer les forces de sécurité et le gouvernement camerounais.
Dans d'autres messages, la "respectable chercheuse" - qui n'a de respectable pas grand chose, demande même à son interlocuteur d'effacer tous les messages qu'elle lui envoie, au fur et à mesure qu'il les reçoit. "Pour des raisons de sécurité" dit-elle. En fait, la raison est bien plus obscure: sa seule source afin de construire son rapport à charge, c'est la filière terroriste. Comment prendre dès lors au sérieux un rapport ultra-agressif, basé sur des assertions non-confirmées par des sources neutres ? Comment prendre au sérieux ce rapport qui a été écrit par une personne qui tente probablement de survivre au Coronavirus qui touche gravement le nord de l'Italie ? Il faut dire que la dame n'est plus la bienvenue au Cameroun et comme l'a expliqué la presse locale ces derniers jours, si elle n'est plus venue au Cameroun depuis longtemps, c'est car depuis toujours elle attaque le Cameroun de manière injustifiée et non-fondée. Ce qui était des "on-dit" selon les ONG, est enfin prouvé au grand jour ce soir.
Quoi qu'il en soit, d'autres révélations sont à venir. Et Ilaria n'est pas la seule à prendre ses sources auprès des terroristes, sans vérifier la véracités des faits... Il y a aussi une journaliste de l'Agence France Presse !
Sortez les popcorns, regardez bien comment Ilaria va se défendre, affirmant qu'il ne s'agit que "d'une source" parmi d'autres... Mais si elle était intelligente elle ne le ferait pas. Elle sait ce que disent les conversations. Et tout sera publié petit à petit _
L’organisation des droits de l’Homme, Human rights watch, a publié ce 28 mars 2019 un rapport sur la crise sociopolitique qui sévit dans les régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest au Cameroun. Dans ce rapport, HRW fait un bilan de ladite crise depuis son début et établit les responsabilités des différentes parties au conflit à savoir l’Etat et les séparatistes.
Un fait remarquable dans ledit rapport est l’acharnement de HRW sur le gouvernement et les forces de sécurité et une couverture plus ou moins perceptible sur les sécessionnistes. C’est à se demander si ces derniers ne sont pas les commanditaires de ce rapport. Tout porte d’ailleurs à le croire étant donné qu’il a été rédigé par Félix Agbor Balla, avocat camerounais spécialisé dans les droits de l’Homme. Les ressources exploitées pour la rédaction de ce document seraient le fruit des recherches menées par Ilaria Allegrozi, chercheuse spécialisée dans les droits de l’Homme.
Dans des publications faites sur Twitter, ces deux acteurs se remercient mutuellement d’avoir contribué à l’aboutissement de ces recherches. « Je remercie Félix Agbor Balla et le staff du Centre pour les droits de l'homme et la démocratie en Afrique (CHRDA) de m’avoir aidé à mener les recherches qui ont servi de ressource dans le dernier rapport de HRW sur la crise anglophone au Cameroun », a tweeté Ilaria Allegrozi. La réponse de l’activiste éclaircit davantage l’éventualité d’une sollicitation préalable de cette collecte : « Nous vous remercions également ainsi que HRW d’avoir cru en nos capacités et notre professionnalisme ».
Ce rapport, fruit des efforts conjoints des partisans du sécessionnisme n’a donc que raison de léser les pertes de l’Etat et de mettre en avant celles des rebelles, tout en rendant les FDS responsables des dommages causés aux populations civiles.
Notons qu’en janvier 2017, Félix Agbor Balla a été arrêté et déféré à la prison centrale de Kondengui pour actes de terrorisme et rébellion entres autres chefs d’accusation. Il avait été arrêté avec 71 autres leaders du consortium anglophone et tous risquaient la peine de mort. Il a été libéré après huit mois de détention et a repris ses activités, poursuivant son combat pour la radicalisation du mouvement anglophone alors que les premiers groupes armés voyaient le jour.
Le rapport de HRW qui a donc été rédigé par cet activiste semble donc de toute évidence être en droite ligne avec sa détermination à voir son objectif atteint. HRW aurait-il été manipulé par ces mécènes de la diaspora qui essaient par tous les moyens de financer le conflit, perpétuer leurs idées et diviser le pays ?
L’acharnement du rapport sur les forces de défense est étrange. « Les forces gouvernementales ont tué plusieurs dizaines de civils, recouru à la force de manière indiscriminée et incendié des centaines d’habitations au cours des six derniers mois dans les régions anglophones du Cameroun… Depuis le mois d’octobre, au moins 170 civils ont été tués lors de plus de 220 incidents qui se sont produits dans les régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest ».
Ces déclarations trouvent leur propre faille dans le même rapport lorsqu'il indique la difficulté de collecter les informations dans ces zones en conflit « étant donné la persistance des affrontements et la difficulté à obtenir des informations dans des zones reculées ». Comment donc comprendre qu’une organisation internationale ait pu se baser sur de telles références pour rédiger un rapport sur une situation pour le moins sensible ? Des données collectées par des personnes vivant à l’étranger et craignant de retourner mener le combat sur le territoire national parce reniés par les siens ? Sur quelle base ces données ont-elles été établies ? Telles sont entre autres questions auxquelles tous ces oiseleurs qui sont les seuls à apprécier de part et d’autre le fruit de leur collaboration sont appelés à apporter des réponses.
Les mesures prises par les forces de sécurité camerounaises qui s’acharnent depuis près de deux ans à rétablir la paix et la stabilité dans les régions en crises, sont ici qualifiées de « réaction disproportionnée qui est contre-productive et risque de provoquer davantage de violence ». Le gouvernement camerounais saurait-il laisser ses citoyens entre les mains de rebelles sécessionnistes qui ont clairement montré leur manque d’intérêt à la recherche pacifique de la situation ? HRW et les rédacteurs de ce rapport semblent avoir un penchant pour ces combattants pour qui les pertes semblent plus élevées que celles subies par l’Etat et les populations. Il s’agit notamment des infrastructures telles que les écoles, les voies publiques et tout récemment encore, les hôpitaux vandalisés par les séparatistes comptent pour peu aux yeux de cette organisation. Il ne reste plus qu’à espérer que la manipulation de ces mécènes malveillants de la diaspora n’ait pas atteint les organisations internationales humanitaires.