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Le De Cujus de l’avocat décédé dans des conditions curieuses a été examiné ce samedi dans un hôpital de la ville de Yaoundé. Des médecins légistes commis par l’ordre national des médecins du Cameroun cherchent les causes réelles du départ brusque et tragique du célèbre défenseur des faibles.

 

Les enquêtes autour du décès tragique de Maître Sylvain SOUOP sont en cours. Dans le cadre de ces enquêtes différents corps professionnels ont demandé à en savoir plus sur les circonstances du décès de cet illustre spécialiste de la plaidoirie. L'autopsie a été réalisée le week-end dernier, sur la dépouille de Maître Sylvain SOUOP. Un exercice qui devrait à terme élucider et donner de savoir avec exactitude ce qui a amené le décès de l’avocat. Soit c’est une complication liée à son accident de la circulation, soit c’est une erreur médicale du fait des médecins du Centre des Urgences de Yaoundé.

L'opération a été faite samedi à Yaoundé par l'équipe de médecins et de médecins légistes commise par l'ordre national des médecins du Cameroun. La dépouille du leader du collectif des Avocats du MRC a été longuement auscultée par les experts en présence du groupe d'avocats commis par l'ordre des Avocats du Cameroun. La première organisation veut savoir si c’est une erreur médicale afin de nettoyer dans ses rangs ; le barreau quant à lui souhaite savoir ce qui est arrivé à leur confrère, question d’engager éventuellement des poursuites pour que réparation soit faites et que les coupables soient punis.

Après cette étape, le rapport d'autopsie est attendu. Il devrait permettre d'établir les responsabilités dans le cadre du décès de l'avocat de renom mort dans des circonstances troubles au Centre des Urgences de Yaoundé après avoir été victime d'un accident de la circulation. C’est après cette étape que le De Cujus sera remis à la famille qui pourra alors décider du programme des obsèques de Maître Sylvain SOUOP.

Par ailleurs, les résultats de ces enquêtes en cours ont aussi un enjeu majeur, elles permettront peut-être de réconcilier les citoyens avec l’hôpital public et le personnel de santé des centres de santé du Cameroun. Car il faut le reconnaître, le décès brutal de Maître Sylvain SOUOP jette un important discrédit sur le corps des professionnels de la santé dans notre pays. Vivement les résultats de cette autopsie.

 

Stéphane NZESSEU

 

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Ce service pourrait reprendre au mois d’avril 2020.

 

Les passagers en attente de la reprise du service de train de Camrail de la ligne Douala-Yaoundé, pourraient être satisfaits au mois d’avril 2020. C’est depuis le mois d’octobre 2016, que ledit service a été suspendu, du fait de l’accident du train N°152 de la compagnie ferroviaire survenu dans la ville d’Eséka.

Le service doit donc reprendre étant donné que le gouvernement a récemment reçu les quatre dernières locomotives sur les neuf qui ont été commandées, chez l’américain General Electric. Il avait lui-même financé leur construction. Camrail a aussi réceptionné dans ce lot, les cinq premières locomotives. La cérémonie de réception s’est déroulée le 17 janvier 2020, à Douala. Pour ces engins, la compagnie a investi 12,3 milliards de Fcfa.  

Nos sources rapportent que si Camrail n’a pas de nouvelles voitures voyageurs, il va procéder à la réhabilitation des anciennes. En fait, la compagnie ferroviaire cherche à densifier son offre de transport entre Douala et Yaoundé. Pour revenir à l’investissement fait par l’Etat, il convient de noter qu’il fait partie du 2ème plan quinquennal des investissements ferroviaires, dans le cadre duquel le Cameroun est engagé dans le processus d’acquisition du matériel roulant, destiné à la relance des activités voyageurs. Il s’agit de 25 voitures voyageurs, qui seront livrées par la société franco-coréenne CIM-SSRT, et de cinq modules autorails, à livrer par le suisse Stadler.

A titre de rappel, c’est précisément le 24 octobre 2016, que le train 152 de Camrail a déraillé. L’accident s’est produit près de la gare d’Eséka. Il avait été révélé que ledit train avait été doublé de 16 voitures au lieu de 9 habituels. Le bilan avait indiqué qu’il y a eu 79 personnes décédées et près de 500 blessés. Il y a également eu des personnes portées disparues à l’instar de Me Dissake que ses proches continuent de chercher.  Son époux Me Dissake a rédigé des correspondances aux autorités notamment Issa Tchiroma Bakary à l’époque Ministre de la Communication et même à Paul Biya le Président de la République. L’objet de ces correspondances porte sur la situation de son épouse. 

Pour ce qui est des causes éloignées de l’accident, il se trouve que la trafic routier sur le tronçon Douala-Yaoundé avait été coupé à la date suscitée au niveau de la Commune de Matomb sur la route Nationale 3. Cherchant donc une alternative, les voyageurs s’étaient rabattus sur Camrail. 

 

Liliane N.

 
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-         Merci pasteur d’avoir accepté de répondre à nos questions. Qu’est ce qui vous a incité à apporter l’évangile dans cet arrondissement ?

Rev Pasteur Franklin Yebga : Merci à vous pour cette opportunité que vous m’offrez. Nous avons été invités par une dame qui, à un moment n’arrivait plus à faire face à ce qui se vivait ici. Les crimes de sang étaient permanents. Les gens s’entretuaient. Son fils était allé en prison, la mésentente avait fait son nid au sein de sa famille…Vous savez, dans notre ethnie, si quelqu’un meurt de suite d’un accident de circulation, ou alors de suite d’un assassinat, les gens ont peur. Il y’a une maladie qu’on appelle « Mback » et après des décès comme ceux que je viens de mentionner, on a peur qu’une autre personne suive et il faut se protéger. 

C’est ainsi que cette dame est tombée sur moi en venant à Yaoundé. J’étais encore un jeune pasteur à l’époque. Je n’ai pas hésité une seule seconde et j’ai accepté de faire le déplacement. C’est ainsi que je découvre ce département. Je n’étais jamais venu auparavant d’autant plus que j’ignorais même son existence.

A l’époque, il y avait comme unique moyen de locomotion les « opep » et quand la voiture roulait, vous voyiez le sol. De véritables monstres, il y’avait des trous partout mais, cela ne m’a pas découragé. Après la prédication, j’ai jugé opportun d’implanter une église ici. A l’époque d’ailleurs, au niveau de Ngoke II, il n’existait aucune église, quelque soit la dénomination. Nous avons tenu bon, malgré les menaces des sorciers qui envoyaient par exemple des menaces de façon permanente.

Je vous raconte une anecdote. Une fois, il y’a un sorcier qui s’est placé en travers de mon chemin et a tracé une ligne rouge. Il m’a dit en faisant des incantations que si je la traversais, j’allais mourir. Malheureusement et c’est triste de le dire, je l’ai envoyé en brousse et deux semaines après, il a quitté ce monde.  L’église s’est implantée.

 

-         Comment vous est venue l’idée de construire les forages ?

Après l’implantation de la première église, nous avons constaté que la plupart des villages faisaient face à un gros problème : le manque d’eau potable. Il fallait faire deux, trois voire quatre km pour aller s’approvisionner dans un ruisseau qui coulait dans un lieu très accidenté. J’y suis allé de nombreuses fois. On se lave, on fait la lessive et tout à côté, on essaye de puiser une qui soit consommable ; alors, je me suis dit qu’il me fallait trouver des moyens pour remédier à cette situation  et offrir des forages à ces gens. D’autant plus qu’à mon avis, ces populations me semblent abandonnées à elles mêmes face à ce problème. L’eau est une véritable denrée rare ici…

Jésus Christ n’apportait pas seulement l’évangile. Il est l’eau de vie. Mais à côté de cela, il y’a une eau physique dont les gens ont besoin. Et là, la construction des forages ne va pas bénéficier à nos chrétiens uniquement. Tous les villageois pourront venir puiser. Nous en avons construit quatre et le cinquième est en chantier.

Lire aussi : Mbam et Kim : Quand la dotation des forages devient le fardeau d’un pasteur

 

-         Vous avez une propension à aller toujours vers les zones les plus reculées. Je pense à l’Extrême Nord, au Nord, dans l’Adamaoua, au Sud et j’en oublie certainement. Qu’est ce qui vous intéresse dans cette façon de faire les choses ?

Première chose, le souci des âmes. Deuxième chose, là bas, les pasteurs n’y vont pas parce qu’il n’ya pas dîmes et offrandes. A Yaoundé et dans d’autres grandes villes, c’est ce que recherchent principalement les pasteurs. Au contraire, là où nous allons, c’est nous qui offrons.

En plus, dans ces grands centres urbains, vous avez cent à deux cent personnes pour vingt pasteurs alors que dans les coins reculés de notre pays, il n’y en pas du tout. Et très souvent, dans les villages, les gens sont plus ouverts, plus reconnaissants et pourquoi ne pas partager avec eux, les facilités que nous avons ? De l’eau courante, de l’électricité…Vous avez vu certains m’ont en quelque sorte considéré comme leur sauveur. A Sana par exemple, vous avez pu voir la joie des populations. Cela m’encourage car je me sens utile. Les églises sont construites, les besoins primaires des personnes que je rencontre sont comblés, je suis plus à l’aise ainsi.

 

-         Quelles sont les difficultés auxquelles vous avez dû faire face, au-delà de la sorcellerie que vous avez évoquée plus haut ?

Il n y a pas de route dans le Mbam et Kim. Un département d’environ 28 mille km2, il n’y a pas de route. Il est pratiquement impossible d’arriver ici en saison de pluie. Nous sommes à Nkoldjom, à environ 60 km de Sa’a mais, quand il pleut, il arrive des moments où vous pouvez faire un ou deux jours en route et le coût du transport est très élevé. Pour ce tronçon par exemple, vous êtes obligé de débourser 4 ou 5mille francs, pour 60 km à peine. Si vous prenez la moto, vous payez 8 mille francs pour le même trajet.

J’ai également fait un constat. A cause de l’enclavement, vous avez des régimes de plantains qui pourrissent dans la forêt. Je me souviens une fois, j’ai failli pleurer, alors que je rentrais à Yaoundé. J’ai rencontré une maman qui avait 70 régimes de plantain et elle me suppliait de prendre deux ou trois malheureusement, je n’avais pas de voiture, mais plutôt une moto. Comment aurais je pu faire ? Les infrastructures routières demeurent un très gros problème ici et c’est cela qui m’a marqué dans cette zone.

 

-         Quels sont vos liens avec les autorités administratives du coin ?

Vous savez, nous sommes dans un pays où il n’existe pas de véritable liberté de culte. C’est dommage. Même pas une véritable liberté d’expression. Vous semblez étonnée que je le dise mais, vous avez comme une épée d Damoclès au dessus de vos têtes avec ce que vous appelez la tolérance administrative. Certes, on ne vous dérange pas mais, on ne vous donne pas non plus les papiers qu’il faut même si vous avez souscrit à tout ce qui vous est exigé. Vous vous rendez compte que j’ai un papier à présidence que j’ai envoyé depuis le 12 Novembre 1998 et, il n’est jamais sorti. Qu’à cela ne tienne, nous avons de bonnes relations avec les autorités administratives, le forage de Nkoleton par exemple a été inauguré par le sous préfet à l’époque et même la chapelle…Notre souhait c’est que cela aille mieux, qu’il nous donne plus de possibilités. Nous ne demandons pas de l’argent, encore moins du matériel…

Il y a par exemple des établissements scolaires, des collèges que nous voulons construire mais, nous ne pouvons pas le faire à cause de la tolérance administrative.

 

-         Rev Pasteur, d’où proviennent vos financements ?

Aux Etats – Unis et ailleurs, j’ai beaucoup de relations au sein des Eglises de Sainteté qu’on appelle les Mouvements de Sainteté. Ce sont ces relations  que je capitalise pour investir dans mon pays, au lieu de le faire ailleurs. J’ai refusé d’aller aux Etats Unis parce que j’ai choisi de servir mon pays et je ne le regrette pas. C’est à ce moment que j’aime souvent dire qu’il ne faut pas être un homme politique pour faire des choses pour son pays. Lorsqu’une situation se présente, nous prions et si les âmes de bonne volonté sont touchées, le projet est lancé et mené à son terme, pour le bien être des populations. Le forage de Mete par exemple, c’est une veuve américaine qui l’a offert.    

Doc, j’étudie les projets mais je tiens à dire que c’est d’abord la situation de l’église qui nous intéresse. Parce qu’il faut dire que notre objectif principal c’est de gagner les âmes. Mais, dans un cas de force majeur, comme présentement à Sana et d’autres exemples sus cités, nous avons été obligés par ci, par là, de commencer par la construction d’un forage.

-         Quels sont vos projets à plus ou moins moyen terme ?

D’ici la fin de l’année, nous avons encore six à sept forages à offrir aux populations. Les deux premiers seront à Sana à Ntui et aussi à Maga dans le département du Mayo Danaï. J’y serais dans les prochaines semaines. Nous irons également à L’Ouest Cameroun.

-         Merci Rev Pasteur

C’est moi qui vous remercie pour cette opportunité

 

Interview réalisée par Nicole Ricci Minyem

 

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vendredi, 14 février 2020 08:15

Ernest Obama échappe à une agression à Paris

Le Directeur Général de Vision 4 échappe de justesse à une agression alors qu’il regagne son hôtel dans la ville de Paris. Il est attaqué par trois membres de la Brigade Anti Sardinard qui le qualifie de « Sardinard » en le pourchassant.

 

La vidéo est rendue publique dans les tours de 18 heures par Calibri Calibro (un membre de la B.A.S). Les images sont faites par une jeune dame qui s’est tenue en embuscade à l’entrée de l’hôtel. On peut l’entendre dire : « Le Sardinard est localisé, il approche de son hôtel ». C’est alors qu’elle fait apparaître à l’écran un groupe de trois personnes qui font semblant de se concerter dans la rue. Au même moment, le journaliste camerounais arrive dans leur dos. Et c’est la dame qui fait la vidéo qui prévient ses complices « il est là ». On peut donc voir les trois brigands qui visiblement étaient distraits se retourner et tomber nez à nez avec le Directeur de Vision 4. De manière brusque, ces agents de la terreur lancent sur le journaliste une poudre dont la nature n’est pas encore définie. Dans un geste reflexe, Ernest Obama va esquiver la poudre ainsi projetée. Dans la foulée, il va courir vers l’entrée de son hôtel. Il sera légèrement couvert de cette fameuse poudre. Il réussit rapidement à entrer dans l’hôtel. Mais il n’était pas seul. L’autre monsieur qui l’accompagnait va en prendre plein la figure. Mais réussira lui aussi à se mettre à l’abri.

 

Les trois agresseurs vont repartir en se réjouissant d’avoir pu s’en prendre à un « Sardinard ». Le prétexte, les paroles injurieuses selon eux du journaliste sur les antennes de son média à Yaoundé. Ils vont aller jusqu’à vouloir continuer de s’attaquer au journaliste à l’intérieur de l’hôtel, mais ils savaient que la police débarquerait dans les prochaines minutes, et ils sont partis. Un comportement répréhensible.

 

C’est regrettable ! C’est un événement à condamner et même à réprimer. S’attaquer à des journalistes c’est s’attaquer à la liberté d’expression. Et si un mouvement quel qu’il soit à l’ambition de porter atteinte à la liberté d’expression, c’est dire que c’est une organisation qui ne prône pas la démocratie, donc dictatoriale. La BAS vient de dévoyer par cette action, le peu de considération que lui reconnaissaient encore certains camerounais. Il n’était pas nécessaire de s’en prendre à Ernest Obama.

 

Stéphane NZESSEU

 

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vendredi, 07 février 2020 13:17

Echo de campagne : YOKI ONANA contrôle Yaoundé 6e

Le jeune Maire qui conduit la liste du RDPC pour les municipales à Yaoundé 6e était ce jeudi dans la localité de Mvog Beti pour mobiliser les militants du parti du flambeau ardent.

 

Le Rassemblement Démocratique du Peuple Camerounais (RDPC) est sur tous les fronts. C’est le seul parti politique qui a réussi l’exploit d’engager des candidats dans toutes les circonscriptions électorales sur l’ensemble du territoire camerounais, tant aux municipales qu’aux législatives. Et dans la Commune de Yaoundé 6e, le parti de la flamme est quasiment en pole position pour remporter la Mairie de l’arrondissement. Pour cette raison, le parti de Yoki Onana n’a pas forcé dans son déploiement. Le cœur de sa campagne a été l’inauguration du nouveau bâtiment moderne devant abriter les bureaux de la Mairie.

 

Pour ce meeting de jeudi, c’est le quartier Mvog Betsi qui était le théâtre des festivités. Tout commence avec l’arrivée de la délégation conduite par René Sadi qu'accompagnent Gilbert Tsimi Evouna, Jean Baptiste Beleoken. Dans son mot de bienvenue, le Président de la section Rdpc Mfoundi VI Yoki Onana, par ailleurs président du secteur N°2, croit que la présence de plusieurs invités de marque au quartier Eba/Mvog Betsi, témoigne de l'importance que Paul Biya attache au succès du RDPC dans cette localité. Yoki Onana promet une Victoire éclatante et sans bavure du parti au pouvoir à Yaoundé 6e. Pour lui la présence de René Sadi et sa délégation galvanise et motive les troupes à aller plus sereinement vers le chemin de la victoire. « Je prends l'engagement d'un plébiscite dimanche prochain » a conclu l'actuel Maire de Yaoundé 6.

 

Les municipales et législatives à Yaoundé 6 ne doivent souffrir d’aucune voix. Le RDPC attend du 100% dans cette circonscription électorale. Le président de la commission communale Laurent Serge Etoundi Ngoa lui aussi en place à EBA/Mvog Betsi, est venu galvaniser les militants RDPC de la liste conduite par Jacques Yoki Onana. Les populations sont présentes pour sceller leur engagement à soutenir le RDPC. Elles apprécient d'ailleurs les projets dont elles ont bénéficié notamment l'éclairage public avec la construction des lampadaires, le désenclavement de la zone par la construction de quelques tronçons de routes, l'encadrement des jeunes et des femmes ainsi que l'accompagnement des populations dans les activités génératrices de revenus.

C’est dans une effervescence notoire que le RDPC a terminé son meeting à Mvog Betsi pour la commune de Yaoundé 6e et les législatives dans le Mfoundi.

 

Stéphane NZESSEU

 

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Il fait parti du package d’activités organisées par le ministère de la Jeunesse et de l’Education Civique à l’occasion de la 54ème édition de la fête de la Jeunesse 

 

Le vernissage de la onzaine qu’on peut assimiler au Village Jeunesse est un espace propice qui permet, en un lieu de rassemblement unique, de développer à partir du thème central de la célébration de la Fête de la Jeunesse, un maximum d’activités de sensibilisation, de brassage, d’échanges, d’informations, de formations et d’intermédiation en faveur de toutes les franges de jeunes pendant la « Onzaine de la jeunesse ».

Il s’agit concrètement

Du Youth chat on Line, qui est  un ensemble d’espaces de rencontres et d’échanges virtuels sur des plateformes et réseaux sociaux internet. Sur ces espaces, les internautes camerounais, y compris ceux de la diaspora, se connectent pour discuter, identifier les forces,  faiblesses, menaces et opportunités de leur vécu quotidien et trouver ensemble des solutions appropriées pour un vivre ensemble harmonieux.

De manière spécifique, cette plate forme fait prendre conscience aux jeunes de la nécessité d’un Vivre-ensemble et le fondement ce dernier – elle permet de recueillir les besoins, les difficultés, les aspirations et expériences, bonnes ou mauvaises des jeunes sur le Vivre ensemble - Amène les jeunes à participer pleinement à entretenir le Vivre ensemble des Camerounais (du Cameroun et de la Diaspora)…

Du U-Report qui donne la voix aux populations en général et spécifiquement aux jeunes sur des questions qui les concernent, afin que leurs avis soient considérés, pour des politiques et stratégies plus justes et équitables, mais aussi dans le souci d’interpeller cette jeunesse sur l’importance de leur implication effective à la vie des communautés.

 

Cet espace propose comme service :

- Un centre d’appels permettant aux populations de bénéficier d’un système de référencement vers des services de prises en charge adéquats et accéder à des informations clés - Des sondages qui permettent de capter les avis des populations sur des thématiques de développement. Ces résultats sont utilisés afin d’initier des plaidoyers pour influencer la prise de décisions en faveur des populations - Un système d’information automatique par SMS qui est une plateforme d’information dédiée…

Du Youth Connekt Space qui est une plateforme qui a pour objectif de connecter les jeunes à leurs modèles et aux ressources disponibles, dans le but d’optimiser leur autonomisation et faciliter leur participation au développement du pays.

Elle repose sur une stratégie consensuelle contrôlée et orientée vers les 07 composantes du Youth Connekt, notamment

Le Youth Connekt Hangout: C’est une plateforme virtuelle interactive où les jeunes sont mis en réseau

Le Youth Connekt Convention: Un forum physique, un cadre de concertation pour les jeunes entrepreneurs, les décideurs, les bailleurs de fonds, les partenaires au développement.

Le Youth Connekt Bootcamp: Un Camp de renforcement des capacités où les jeunes sont formés à l’entrepreneuriat, au management, au marketing, à la communication et à la recherche des financements.

Le Youth ConnektCommunity Service: Un cadre dans lequel les jeunes non scolarisés et scolarisés s’engagent dans les activités de bénévolat et de volontariat communautaires.

Le Youth Connekt Champion: Un cadre dans lequel sont primés chaque année les jeunes lauréats, leaders qui se sont distingués à travers des innovations ou leurs actions dans la société.

Le Youth Connekt Dialogue: Un cadre de dialogue entre les jeunes.

Le Youth Connekt Job: Renforce la formation et l’orientation professionnelle des jeunes, renforce les dispositifs d’accès à l’emploi. 

 

L’initiative vise à l’horizon 2020 des résultats suivants :

-Emploi en Entrepreneuriat : création de 10 millions d’emplois

-Education : création de 25 millions d’opportunités à travers les stages en milieu professionnel

-Participation civique et leadership : formation d’un million de leaders contribuant à la transformation sociale et servant de modèle au sein de leur communauté

-Genre : développement des initiatives et politiques durables réduisant les inégalités de genre ;

-Technologie et innovation : connexion des institutions d’enseignement, utilisation du numérique pour faciliter le transfert des compétences vers les communautés locales et stimulation de la création des Hubs.

 

Salon des opportunités socioéconomiques

C’est un espace qui présente et donne  des informations sur les différentes composantes du PTS Jeunes et toutes les opportunités d’insertion socioéconomiques offertes par les structures gouvernementales et non gouvernementales en direction des jeunes, tout en contribuant à la facilitation de la promotion des produits et/ou services desdites structures. C’est également l’occasion pour ces structures de se faire connaître, de vendre leurs produits, de nouer des contacts d’affaires et de négocier des contrats avec des partenaires techniques et financiers d’une part et les jeunes en quête d’opportunités d’insertion socioéconomique offertes d’autre part.

travers la Diaspora Youth Entrepreneurship Days il est question d’offrir aux compatriotes de la diaspora un cadre d’intervention volontaire leur permettant de mettre leurs expertises au service de la jeunesse en particulier, et de la nation en général ; et de partager leurs expériences avec leurs concitoyens.

 

De manière spécifique, il s’agit de :

Créer un cadre d’intervention pour les Camerounais de la diaspora

Accompagner et encadrer chacune des interventions des Camerounais de la diaspora

Elaborer, Produire et diffuser des documents sur l’apport de la diaspora dans le développement National

Amener les Camerounais de la diaspora à s’imprégner et à s’approprier les principales stratégies développées en vue d’une participation efficace de la diaspora au développement de notre pays

Mobiliser des ressources financières auprès des compatriotes de la diaspora en vue de promouvoir le financement des projets portés par des jeunes locaux

Promouvoir les interventions de compatriotes de la diaspora disposant des services à offrir ou des expériences à partager sur l’étendue du territoire où des besoins ont été identifiés

Promouvoir des formations technique, entrepreneuriale ou professionnelle et monter des projets professionnels des jeunes, par les compatriotes de la diaspora

Promouvoir la paix, le patriotisme et le vivre ensemble

 

Les Activités de citoyenneté et d’intégration nationale

Il s’agit d’un ensemble d’activités qui concourent à la promotion des comportements civiques,  du vivre ensemble harmonieux, du respect des institutions et de la vulgarisation des symboles et emblèmes de la République. Il s’agit du Challenge d’une citoyenneté responsable.

La Foire promotionnelle des initiatives et de la créativité des jeunes

Elle concerne l’organisation d’une exposition-vente des produits issus des exploitations agricoles,  artisanales, d’élevage ou toute autre activité des jeunes bénéficiaires des financements, des projets et programmes gouvernementaux et privés d’une part, et l’exposition des œuvres des jeunes issus des Centres de formation et illustratifs du volontariat d’autre part.

Les Activités de promotion de l’engagement volontaire

Il s’agit d’un ensemble d’activités ou de tâches qui relèvent des principes reconnues dans le domaine du volontariat à savoir : la gratuité de l’acte et la primauté de l’intérêt général. Lesdites tâches ou activités concernent divers domaines techniques, professionnels ou sociaux qui nécessitent la participation citoyenne des populations, davantage la jeunesse à leur réalisation.

Les Activités socio culturelles

Il s’agit ici d’offrir aux jeunes un espace de détection et de valorisation de leurs talents culturels et artistiques et promouvoir l’excellence culturelle des jeunes à travers l’accompagnement des vedettes confirmées.

Les Echanges socioéducatifs

Les échanges regroupent un ensemble d’activités de réflexion, d’information et de communications. Cette année, ils s’articulent autour d’un forum de restitution des rencontres internationales sur la jeunesse, d’une causerie éducative sur le thème « Pratiques déviantes et actes de délinquance en milieu scolaire » d’une conférence-débat sur le thème « les fondements de la recrudescence des actes de violence en milieu jeune : l’urgence d’une synergie d’actions ».

L’Animation Sportive de la paix et la fraternité

Il est organisé pendant toute la Onzaine de la jeunesse un tournoi de Volley Ball Intitulé  « Tournoi sportif de la paix et la fraternité ». Y participent les jeunes athlètes scolarisés et non scolarisés sur toute l’étendue du territoire national. Pendant le déroulement des rencontres sportives,  différents supports de sensibilisation sont utilisés pour véhiculer auprès des jeunes des messages de paix, de tolérance, de civisme, de patriotisme et de fraternité.

C’est le ministre de la  Jeunesse et de l’Education Civique qui procédé au lancement officiel du Vernissage de la onzaine ce Lundi et, il faut préciser que les mêmes activités se déroulent sur l’ensemble du triangle national.

 

Nicole Ricci Minyem

 

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L’incendie s’est déclaré hier lundi 3 février 2020.

 

Une vidéo postée par la Cameroon radio and television (Crtv) présente des bâtiments du Lycée général Leclerc de Yaoundé en feu. L’intensité du feu visible est légendaire. Ces bâtiments en feu sont ceux qui abritaient la cantine. L’arrivée rapide de l’équipe des sapeurs-pompiers a permis de maîtriser l’incendie. Bilan de sinistre ; pas de pertes en vies humaines mais des locaux et des biens matériels détruits.

 

Sur la cause de l’incendie, André Fouda le Proviseur du Lycée général Leclerc a déclaré sur les ondes de la Crtv, que tout « est parti d’une bouteille de gaz à la cantine ». Il a ajouté qu’« une partie de la cantine (cinq cantines au total, ndlr) a été détruite avant l’intervention réussie des sapeurs pompiers. Les bureaux et les salles de classe n’ont pas été touchés ». 

 

Le Lycée général Leclerc est situé dans la capitale, dans le département du Mfoundi, région du Centre. Dans nos prochaines publications, nous reviendrons sur cette information.

 

Liliane N.

 

Published in Faits divers

C’est par l’école publique « don japonais » de Mfandena II au quartier omnisports à Yaoundé que l’Association Camerounaise d’Aide à l’Hygiène et Insertion des Jeunes dans les Collectivités a démarré sa campagne de propreté.

 

Ils sont plus de 85 % à ce jour, les enfants malades dans nos établissements scolaires. Nos enfants sont plus malades pendant les périodes de classe, que lors des vacances. Un phénomène qui s'explique par le niveau d’insalubrité dans lequel baignent nos écoles. Le principal lieu d’incubations des bactéries ce sont les toilettes des écoles. Elles sont, soit mal entretenues, négligées, et dans certains établissements, inexistantes. Et plusieurs de ces établissements n'ont pas d'eau courante, pas d’installation électrique qui fonctionne. Dans ces établissements, les enfants partent généralement avec de l'eau de la maison, ou alors ils vont puiser cette eau en dehors de l'école et très souvent une eau usée. Toute chose qui constitue un danger pour leur sécurité.

« J'ai été meurtri en voyant l'état des toilettes que nos enfants fréquentent au quotidien, alors j'ai décidé de donner du mien pour la santé de nos enfants pupilles de la nation et futur du Cameroun » dixit Patrice Siméon Mvomo, membre de cette organisation.

Il poursuit en disant : « Sous l'initiative de madame BELEMA Chonga Yvonne présidente de l'Acahijec, nous avons samedi dernier à l'école publique don japonais de Mfandena 2, procédé au lancement officiel du projet : "Réhabilitation et entretien des toilettes des écoles primaires et maternelles publiques". Pour un départ, nous avons choisi 28 établissements scolaires don japonais, plus deux grands complexes scolaires du Mfoundi. Pour un total de 45 000 élèves et 480 box toilettes à rénover, réhabiliter et entretenir. La brigade anti insalubrité va se déployer sur l'étendue du territoire national pour combattre cette insalubrité. La santé de nos enfants n'a pas de prix. C'est la raison pour laquelle en cette période de campagne électorale, nous profitons pour faire un plaidoyer auprès des différents Candidats aux élections législatives et municipales afin qu'ils ne négligent pas cette question. »

Une invitation est adressée aux candidats aux différentes fonctions électives. Dans le but de penser aux enfants et leur bonne santé dans les établissements scolaires.  Une activité qui s’est déroulée en présence de madame Ayuck Eveline directeur de la santé et des activités postes et Périscolaires au ministère de l'éducation de Base, représente personnelle du ministère De l'éducation de base, ainsi que des parents d’élèves venus en très grand nombre.

 

Stéphane NZESSEU

 

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Il existe au Cameroun une réglementation sur les affichages publics. Elle ne devrait en aucun cas se faire dans le désordre. Mais quand ce sont des magistrats municipaux ou candidats à cette fonction qui polluent la ville, il y a fort à craindre.

 

Sur les poteaux électriques, sur les murs des appartements privés, sur les murs des écoles, sur les plaques de signalisation ou de renseignement de certaines organisations ou entreprises, dans la ville de Douala par exemple, dans le cadre de ces municipales et législatives en vue, les affiches des candidats sont partout. Ceci en totale violation de la réglementation en vigueur. L’affichage électoral est pourtant réglementé dans notre pays. A ce titre, des emplacements sont réservés par l'Administration pour l'apposition des affiches et du matériel de campagne de chaque candidat ou liste de candidats, d'une part, à coté de chacun des bureaux de vote, d'autre part, à proximité des bureaux des arrondissements, districts et communes. Sur chacun de ces emplacements, une surface égale est attribuée à chaque candidat.

Une enquête menée à Douala, Yaoundé et Edéa a montré que ces emplacements n'ont pas existé au cours des précédentes élections malgré les stipulations du Code électoral. Et même pour les élections en cours, elles n’existent toujours pas. Les justifications avancées sont internes à l'Administration dont les moyens restent limités. Les candidats et les partis politiques ont alors pris pour habitude d'apposer les affiches où bon leur semble, ceci au mépris des interdictions imposées par la loi. Il apparaît clairement que les deux parties (Elecam et les partis politiques) ont chacun leur part de responsabilité dans le manque d’espace d’affichage dédié.

 

 

 

L'article 70 de la loi fixant les conditions d'élection et de suppléance à la présidence de la république interdit tout affichage public, même par affiche timbrée, relatif à l'élection en dehors de ces emplacements, aussi bien pour les candidats que pour toute autre personne ou groupement. Il en est de même pour les affiches ou inscriptions apposées dans un lieu ouvert au public ou bien dans un local privé si elles n'y sont pas placées par le propriétaire du local. Ces différents candidats aux élections locales devraient le savoir. Mais ils ne s’en encombrent pas. Ce qui nous semble curieux dans l’histoire, c’est que ce sont des magistrats de la municipalité et des législateurs qui se comportent ainsi, en marge de la loi. Même s’il est vrai que c’est Elecam qui devrait organiser ce cadre, il n’en demeure pas moins que les candidats sont allés au-delà de la loi. On n’a entendu aucun parti politique contester cette manière de faire illégale.

 

 

Stéphane NZESSEU

 

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La nouvelle est tombée comme un coup de tonnerre aux premières heures de cette matinée de vendredi. Une famille décimée à la suite d’un accident de la circulation à la vallée Nlongkak. Quelle tragédie !

 

Le jeune homme se nommait Dingha Alain Kanmi. Il était auditeur de justice affecté à la Chambre des Comptes. Il est sorti de l’Ecole Nationale d’Administration et de Magistrature (ENAM) promotion de 2017. Le jeune magistrat, âgé de 34 ans seulement a été arraché à la vie de manière brusque ce vendredi 24 janvier 2020. Le lieu du drame, le petit carrefour de la vallée Nlongkak à Yaoundé.

D'après les témoignages recueillis auprès de quelques proches du « De Cujus », tout se serait passé autour de 03 h ce vendredi matin. De toute évidence, la petite famille revenait d’une activité familiale et regagnait naturellement le foyer. Malheureusement, ils ne verront plus jamais leur domicile qui restera vide pour l’éternité. Au volant de leur voiture (une Toyota Yaris), le jeune magistrat vient de la vallée Bastos (de mini prix bastos), il enclenche la montée et se retrouve au niveau des feux de circulation. Alors qu’il fait la manœuvre pour poursuivre son chemin, un camion roulant à toute vitesse et qui ne l’a pas vu venir, va le percuter de plein fouet. Catastrophe ! Tout est irrécupérable. Même le véhicule ne va pas survivre de ce choc tellement c’était violent. Le camion venait du côté de Mballa II.

Rappelons qu’à cette heure de la nuit, les feux ne fonctionnent plus à Yaoundé. Tous les feux sont au orange. Comme quoi, il y a plus de réglage de la circulation. De plus, avec l’interdiction pour les camions et gros porteurs de traverser la ville avant 22 heures, ceux-ci généralement roulent à tombeau ouvert dans les artères de la cité. Autant d’aléas qui ont constitués les facteurs de ce drame auquel nous assistons ce vendredi. Si seulement les feux étaient actifs. Si seulement la vitesse de ces camions était surveillée. Si seulement …

Le Fils du Sénateur du Nord-Ouest, Dingha Ignatus est parti très tôt dans l’au-delà. Mais il n’est pas parti seul. Il a emmené avec lui son épouse de 26 ans, Nahbula Pélagie, leur fils de deux ans, ainsi que son beau-père. Le comble c’est que son épouse était enceinte et le jeune camerounais dans son sein ne verra jamais le jour. Il y a eu un blessé grave au passage. Les corps des morts ont été conduits au funérarium de l'hôpital central de Yaoundé. Quelle tristesse ! Quelle perte ! Quel drame !

Puisse le Seigneur consoler les familles.

 

Stéphane NZESSEU

 

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Sunday, 05 June 2022 11:01