Les personnes mises aux arrêts sont suspectées d’être celles qui ont posé la bombe de fabrication artisanale, qui a fait de nombreux blessés au quartier Nsam, hier 1er novembre 2020.
Selon nos sources, la police a interpellé deux suspects pour la bombe artisanale qui a explosé hier, au quartier Nsam à Yaoundé. Il se trouve qu’après avoir commis leur forfait, les personnes mises actuellement aux arrêts, sont revenues sur le lieu du délit. Elles ont donc été à ce moment-là reconnues par des usagers et le gérant du débit de boisson dans lequel l’explosion a eu lieu. Les Forces de sécurité alertées ont pu mettre la main sur deux des suspects. Le troisième a pris la poudre d’escampette.
« Deux des poseurs de bombe de Nsam viennent d’être neutralisés en voulant prendre la fuite. Bravo aux Forces de défense qui ont pu mettre la main sur ces malfrats de la terreur avec la collaboration des populations. Le Bilan pour le moment fait état de nombreux blessés », a écrit le journaliste en service à Vision 4, Bruno Bidjang sur sa page Facebook.
Pour revenir sur les faits, c’est hier qu’ils se sont produits au bar situé à quelques 200 mètres du Carrefour Nsam. Ledit bar est connu sous l’appellation Secteur A. « Trois hommes sont entrés dans le bar et ont commandé à boire. Après avoir consommé, ils sont repartis, laissant sur place un sac. Quelques minutes après, l’explosion s’est produite », raconte un témoin.
L’explosion de la bombe de fabrication artisanale a fait plusieurs blessés, dont certains grièvement. Il y a aussi de sérieux dégâts matériels. Il faut rappeler que la dernière bombe toujours artisanale a explosé à Yaoundé précisément dans un bar situé non loin du marché Mokolo au mois d’avril passé.
Liliane N.
C’est le résultat d’une opération de saisie menée par le Commissariat central N°4 de la ville de Yaoundé, la capitale camerounaise. La fausse monnaie interceptée se présente en coupure de 2.000 FCFA et 10.000 FCFA, apprend-on.
Si l’on s’en tient aux informations relayées par la Radio nationale (Crtv) ce mercredi, 02 septembre 2020 au journal grand format 17-18, cette fausse monnaie a été récupérée par le Commissariat central N°4 de Yaoundé grâce à un système de renseignement d’appoint. Christine Irène Mindjom, commissaire divisionnaire explique : « c’est un crime qui porte sur la contrefaçon de la monnaie, sur la production de la fausse monnaie. En effet, sur des informations, nous avons appris que le nommé Ngweth Dieudonné qui est actuellement en cellule, était un fournisseur de fausses monnaies au nommé Allassa ».
Le nommé Allassa aurait été interpellé en possession d’une somme de 444.000 FCFA en coupure de 2.000 FCFA qu’il restait des 03 millions déjà distribués. A en croire la commissaire divisionnaire : « en remontant encore la piste, on a découvert que celui-ci s’apprêtait à passer une commande de 12 millions de FCFA en fausse coupure. Continuant nos investigations, nous avons aussi interpellé le nommé Mama en possession d’une somme de près de 05 millions en coupure de 10.000 FCFA. L’enquête a permis qu’on interpelle certains de leurs distributeurs ».
Il convient d’indiquer que, ce n’est pas pour la première fois que des personnes sont interpellées par les forces de sécurité et de maintien de l’ordre en possession de fausses monnaies dans la ville de Yaoundé. En avril 2019 par exemple, trois faux monnayeurs avient été arrêtés par les éléments du groupement territorial du Mfoundi. Des informations puisées à bonnes sources, ces individus essayaient d’injecter 200. 000 FCFA en fausse coupure dans le circuit économique.
Innocent D H
Selon la Crtv web, la bombe de fabrication artisanale aurait été introduite dans un colis administratif.
Les usagers du Ministère de la Fonction publique et de la Réforme administrative (Minfopra) ont eu plus de peur que de mal. L’alerte d’un engin explosif y a été donnée ce lundi 17 août 2020. D’après la Crtv web, l’engin aurait été introduit dans un colis administratif. Les bureaux ont été évacués et une équipe de démineurs a été dépêchée sur les lieux. Les forces de l'ordre ont bouclé le bâtiment qui abrite le Ministère de la Fonction publique et de la Réforme administrative.
Rappel
Le vendredi 14 août 2020, c’est au quartier Mokolo qu’une bombe de fabrication artisanale a explosé. L’explosion qui a eu lieu dans un bar situé à proximité du marché Mokolo, a fait deux morts et de blessés. Elle s’est produite à mi-journée. Des riverains ont affirmé avoir vu deux hommes entrés dans le débit de boisson avec un colis puis en sortir. Une enquête a été ouverte.
Il faut rappeler que le 24 juin 2020, Landry Galax Etoga le Secrétaire d’Etat à la Défense chargé de la gendarmerie nationale, a fait parvenir une correspondance aux hauts responsables des Forces de défense et de sécurité, un message porté avec ampliation à la Direction du Cabinet Civil de la Présidence de la République. Dans ledit message, il disait que «l’analyse de la situation sécuritaire d’ensemble et les renseignements de plus en plus récurrents relèvent des velléités terroristes dans les grandes villes et agglomérations ». Il a ajouté que ces menaces pourraient se manifester à travers l’usage d’engins explosifs improvisés, ou des bombes artisanales dans les lieux de fortes fréquentations populaires.
Mesures prescrites
De ce fait le Sed avait prescrit l’adoption des mesures de sécurité ci-dessous:
Intensifier les recherches de renseignement prévisionnel avec un accent sur les milieux carcéraux et mototaxis ;
Assurer le partage urgent de renseignement avec les autres forces spécialisées, notamment des postes de liaison de la Direction Générale de la Recherche Extérieure, la Sécurité militaire…;
Resserrer les dispositifs de contrôle aux différentes entrées de vos agglomérations par l’identification des usagers et les fouilles systématiques à l’aide des détecteurs de métaux et miroirs de fouille ;
Intensifier les patrouilles diurnes et nocturnes, pédestres et motorisées sous la supervision des autorités administratives et judiciaires ;
Resserrer la ceinture de sécurité dans le périmètre extérieur des prisons centrales de Yaoundé (Kondengui), de Douala (New-Bell)…
Liliane N.
Le bilan officiel de cette explosion fait état de blessés graves et de nombreuses pertes matérielles.
Les faits se sont produits hier 14 août 2020, au quartier Mokolo sis à Yaoundé. C’est en mi-journée que les commerçants du marché Mokolo et les habitants de ce quartier ont été surpris par l’explosion d’une bombe de fabrication artisanale. La police et les sapeurs-pompiers immédiatement arrivés sur les lieux ont fait recours aux procédés habituels et adaptés à ce type d’incident. Les lieux ont été naturellement quadrillés par les Forces de l’ordre. Et une enquête a été immédiatement ouverte.
Selon nos confrères de Cameroon info net, des témoins racontent qu’ils ont vu deux hommes entrés dans un bar situé à proximité du marché de Mokolo qui se trouve lui-même dans le 2ème arrondissement de Yaoundé. Ces individus auraient déposé un colis avant de prendre la poudre d’escampette.
Le bilan de l’explosion fait état de nombreux blessés cependant aucune perte en vie humaine. On note aussi de nombreux dégâts matériels.
Ci-dessous quelques images de l’explosion à Mokolo
Cette explosion rappelle celle qui s'est produite dans la nuit du 20 au 21 juin 2020 dans la capitale. Sans oublier celle du 31 juillet 2020 où une bombe de fabrication artisanale a été découverte dans un sac à dos au quartier Nsimeyong.
Liliane N.
L’information publiée il y a quelques minutes par nos confrères de « News upfront » aurait comme source le collège d’avocats des mis en cause.
Fru Awah Joseph, l’un des membres du conseil de défense des dix prévenus, détenus à la prison centrale de Yaoundé – Kodengui aurait déclaré que leurs clients «avaient été invités à comparaître devant la cour d'appel de la région centre ce jeudi 16 juillet 2020 au sujet de leur appel déposé quelques jours après leur condamnation à la prison à vie par le tribunal militaire de Yaoundé ».
L'officier de communication de l'équipe de défense de Sisiku, l'avocat Amungwa Nicodemus a corroboré l'information, même s’il dit « regretter le laxisme dont fait preuve la justice camerounaise puisque le dossier devait s'ouvrir le 20 mars 2020. Il a été ajourné pour que les modalités soient respectées... ».
Une décision de justice toujours contestée
Condamnés en Août 2019 avec comme motifs : Sécession - Terrorisme – Hostilité contre l’Etat du Cameroun, le meneur des exactions dans les régions du Nord et du Sud Ouest au début de la crise sécuritaire qui sévit encore et ses neuf compagnons n’ont eu de cesse de récuser les accusations portées contre eux.
L’on se souvient qu’après le verdict du Tribunal Militaire de Yaoundé, maître Christophe Njone, l’un de leurs avocats avait estimé que la sentence a été prononcée en « violation des droits de l’homme » : « C’est une déception totale. Toutes les règles procédurales ont été violées. A l’entame de cette procédure, les avocats des accusés ont dénoncé le fait que le magistrat était récusé. Ce dernier n’a rien voulu entendre et a déclaré qu’il rendrait sa décision quoi qu’il arrive. C’est pour dire que tout était préparé à l’avance. C’est vraiment un braquage judiciaire ».
Devant la cour d’appel alors que les rumeurs vont bon train
Une rumeur persistante, reprise aussi bien par certains médias nationaux qu’internationaux laisse croire que l’ « Etat se montre de plus en plus accommodant, conciliant face aux leaders séparatistes qui exigent que les choses soient faites selon leurs désirs si l’on veut ramener la paix dans les régions du Nord et du Sud Ouest ».
Il n’en n’est rien du tout
Le ministre de la Communication – Porte parole du Gouvernement a été clair : « Aucune démarche n’a été entreprise allant dans ce sens. Les mesures sont prises au plus haut sommet de l’Etat afin que la paix et la tranquillité reviennent dans les régions en crise mais, tout se fait dans le strict respect de la cohésion sociale et du vivre ensemble. La main reste tendue pour tous ceux qui ont décidé de déposer les armes et des mesures d’accompagnement sont prises afin de faciliter leur réinsertion dans la vie sociale ».
Nicole Ricci Minyem
Que s’est-il réellement passé ce matin devant les bureaux de EDC à Yaoundé ? Alors que ces camerounais souhaitaient juste exprimer leur mécontentement à la suite de leur licenciement abusif de l'entreprise, les forces de police sont venus brutalement les embarqués. Et au cours de cette intervention d’une violence qui n'était vraiment pas nécessaire, le manifestant nommé Bouyoum est maintenant entre la vie et la mort.
Mr Bouyoum était avec Jean Yves Ngono Misso et d’autres, devant les bureaux de EDC pour revendiquer que leurs soient verser les droits consécutifs à leur licenciement abusif. Il faut rappeler que la tête de file de cette manifestation est l’ingénieur Jean Yves Ngono Misso, syndicaliste et ancien délégué du personnel au sein de l’entreprise.
Le président du Syndicat National des Travailleurs du Secteur de Développement des Ouvrages de Production de Transport et de Régulation de l'Electricité (SYNDOPTRE) écume les médias et les couloirs de EDC depuis des mois pour revendiquer ce qui lui revient de droit. Lui et ses autres collaborateurs avaient décidé de passer à l’acte en initiant des sittings devant les bureaux de l’entreprise de production de l'électricité au Cameroun.
D’un autre côté, les manifestants dénoncent les malversations financières autour des projets de construction de barrages en cours au Cameroun depuis de nombreuses années. Et au centre des dénonciations, les griefs dans la gestion du chantier de construction du barrage de Lom Pangar. Un barrage qui cause des drames environnementaux aujourd'hui pour les villages riverains, symptômes des ratés dans sa construction.
C'est dans cet élan qu’ils vont être brutalisés par la police ce matin. Avec l’un des leurs qui est aujourd’hui entre la vie et la mort. Il s’agit d’un certain Bouyoum. Il fait partie avec Yves Ngono des syndicalistes de EDC qui avaient été licenciés abusivement par le directeur général de EDC, Théodore Nsangou parce qu’ils dénoncent les détournements et la mauvaise gestion des projets de barrage.
Ce matin ils ont démarré une manifestation pacifique contre leur licenciement abusif sans respect des droits des travailleurs. Malheureusement pour eux, le DG de EDC, Theodore Nsangou a fait appeler les forces de maintien de l'ordre qui les a brutalement embarqués au point que Mr Bouyoum et d'autres ont été admis au service des urgences chirurgicales. En espérant que la prise en charge dont il fait l'objet en ce moment lui sauve la vie, il serait intéressant de questionner le comportement de certains de nos forces de l'ordre quand il est question d’interdire ou d'empêcher une manifestation pacifique.
Stéphane NZESSEU
C’est désormais un nouveau spectacle dans les hôpitaux de la ville de Yaoundé. Depuis la forte progression de la Covid-19 et la mise en œuvre des nombreuses mesures gouvernementales, les malades d’autres pathologies désertent les cabinets médicaux et services d’urgence par peur de contracter la maladie.
Des informations puisées à bonne source, à Yaoundé la capitale du Cameroun, nombreux sont les patients qui hésitent de plus en plus de se rendre dans les formations sanitaires même pour une simple consultation médicale.
C’est le cas à Biyem-Assi lundi dernier, dans l’hôpital de district de la ville où le 22 juin dernier, moins de 100 personnes sont venues pour se faire consulter par des spécialistes des pathologies autres que le coronavirus.
Pour cause, la peur de contracter la Covid-19 est plus que jamais dans l’air, même les dispositifs de lavage des mains et de désinfection ne suffisent plus pour les convaincre. Selon Agnès Bitjick, « n’eut été la rupture de stocks de médicaments, je ne serais pas venu à ce rendez-vous avec mon gynécologue ».
Une situation qui inquiète le corps médical car, qu’il s’agisse des soins dentaires, de la médecine générale ou de la maternité, les patients sont rares. « C’est une situation embarrassante et préoccupante. Car lorsqu’ils finissent par venir à l’hôpital, c’est dans un état critique d’une maladie dont les soins sont disponibles », souligne Dr Albertine Nguine, cardiologue, surtout à propos des malades chroniques.
Il faut constater que pourtant, le Gouvernement camerounais a mis en place de nouveaux sites de prise en charge efficace des malades de la Covid-19. Des pavillons ont même été restaurés pour la préservation de la santé des patients atteints d’autres pathologies.
Dans la ville de Yaoundé, des centres spécialisés sont désormais opérationnels et comptent un total de 1800 lits disponibles. On peut s’en apercevoir avec 650 lits dans les logements sociaux de Yassa, 550 à ceux d’Olembe, 600 au stade militaire et 274 au lieu-dit ancien Orca.
Le Ministère de la Santé demande aux femmes de reprendre le chemin des consultations prénatales
Innocent D H
La tragédie s’est déroulée Dimanche dernier dans une mini cité, au quartier Ewankang et elle aurait été causée par une intoxication au yaourt
Selon les témoignages recueillis sur place par nos confrères de la chaîne nationale auprès des voisins, tout aurait été déclenché dans la nuit de Samedi à Dimanche par un incendie alors que les habitantes de l’appartement sinistré étaient absentes.
« Lorsque l’incendie s’est déclaré, nous sommes allés porter secours à nos voisines, nous avons lutté contre les flammes que nous avons parfaitement maîtrisé et nous nous sommes attelés à sauver ce qui pouvait l’être encore malgré les gros dégâts causés par les flammes… ».
« Les habitants de la cité se sont rassemblés, et après que nous ayons tous fait le ménage, l’une des femmes à qui nous avons porté secours, a voulu remercier les uns et les autres, en leur offrant des yaourts ainsi qu’une bouteille de vin rouge. Il était question, auparavant de laver les verres et c’est ainsi qu’elle a partagé à toute la cité ».
Malheureusement tout a très vite tourné au vinaigre
L’une des mamans raconte : « Le yaourt a été donné à tout le monde mais, chez moi, chez ma voisine, 15 minutes après que son plus jeune fils ait consommé son yaourt, il s’est mis à convulser. Quelques minutes après, c’est dans un autre appartement que l’on a entendu les cris de détresse d’un autre enfant qui appelait sa maman au secours, en lui disant que son enfant ne va pas bien…
Alors que nous sommes entrain de chercher les motos pour conduire les enfants à l’hôpital, c’est chez moi que les cris de détresse sortent aussi. Mon fils paniqué, s’est mis à crier que maman, maman, je ne te vois plus, tu es où, je ne vois rien, je ne vois personne. C’est comme cela que mon bébé est mort entre mes mains ».
Un autre témoin de la scène relate les faits : « Une heure de temps après que nous ayons tous consommé le yaourt, mon voisin le plus proche était assis avec nous et on commentait ce qui venait de se passer, lorsque brusquement, il s’est mis à se plaindre du mal de ventre et est allé aux toilettes. Ce sont ses cris qui nous ont alerté et, nous l’avons accompagné à l’hôpital, c’est là bas qu’il est mort ».
Quatre personnes perdent ainsi la vie alors que deux autres sont toujours en soin intensif dans un hôpital de la place. Les femmes ayant partagé ce yaourt sont quant à elles, gardées à vue à la brigade de gendarmerie de Nkomo où une enquête a été ouverte.
Nicole Ricci Minyem
Le présentateur du « Grand Live » sur Vision 4 serait placé en détention préventive à la police judiciaire de Yaoundé. De sources concordantes, Bruno Bidjang aurait tenté de passer frauduleusement un téléphone portable à sa copine en détention à la police judiciaire (PJ).
Le motif de l’arrestation du journaliste de Vision 4 n’est pas encore révélé, toutefois, le TGV de l’info cite une source policière ayant requis l’anonymat. Cette source justement, indique que Bruno Bidjang aurait frauduleusement tenté de passer un téléphone portable à sa copine en détention à la PJ en méprisant au passage un Commissaire de police. Le TGV de l’Info ajoute par ailleurs, l’émission dont le journaliste avait l’habitude de présenter a été conduite hier soir par Mathieu Ekong, et son numéro est injoignable, apprend-on.
C’est depuis le 25 juin dernier que Bruno Bidjang a disparu des radars de l’écran. Selon certaines indiscrétions, le journaliste a été limogé du groupe l’Anecdote. Il a d’ailleurs fait parler de lui ces derniers jours avec un reportage à charge contre son ex-patron et collègue Ernest Obama. Ce dernier était alors en disgrâce au Secrétariat d’Etat à la défense (SED) où il a récemment passé 08 jours à la suite d’une plainte déposée contre lui par le PDG du groupe l’Anecdote.
En rappel, dans son reportage, Bruno Bidjang affirmait : « c’est quand Jean-Pierre Amougou Belinga apprend de sources bien introduites que son ancien Directeur s’est allié à un opposant en République centrafricaine, pour être son Directeur de campagne contre le Pr Sosthène Archange Touadera lors de la prochaine élection présidentielle ».
« Pour masquer cette ambition, l’ancien directeur des rédactions du journal l’Anecdote va subtilement publier cette affiche qui annonce la parution d’un livre sur les activités humanitaires de Paul Biya. Lequel livre, est préfacé par le Président centrafricain, et post-facé par Samuel Mvondo Ayolo, Directeur du Cabinet civil à la présidence de la République. Lesquelles personnalités qui aux dernières nouvelles, ne sont associées à ce livre », avait ajouté le journaliste de Vision 4.
Innocent D H
Ces présumés cambrioleurs avaient pris l’habitude de commettre des forfaits au quartier Odza.
L’opération de fouille lancée la semaine dernière dans la région du Centre par la Délégation régionale à la sûreté nationale, a déjà livré ses premiers fruits. Selon la police, rendu au weekend passé, on comptabilisait 11 présumés cambrioleurs aux arrêts. Ceux-ci avaient pris l’habitude de dévaliser les maisons situées au quartier Odza, dans la ville de Yaoundé. Ils sont tombés dans les filets des policiers grâce aux contrôles qui se sont multipliés dans toute la capitale.
Il convient de rappeler que le Commissaire divisionnaire Didier NGAH, Délégué régional à la sûreté nationale pour le Centre a prescrit des opérations de fouilles dans toute la région, avec objectif de mettre la main sur des objets illicites , qui sont en circulation. Ces objets recherchés sont les armes à feu, les armes blanches, les explosifs. Il y a aussi les stupéfiants. Les fouilles doivent également permettre à la police d’arrêter les hors-la-loi.
Comme on le voit dans toute la capitale, les fouilles se font sur les véhicules de tout genre. Les malles arrières, les boîtes à gants de ces véhicules sont passés au peigne fin. La police a aussi reçu le droit de fouiller les sacs à main et les sacs à dos des passagers des taxis, sans oublier les dessous sièges.
L’opération des fouilles actuellement en cours dans la région du Centre, naît du fait de l’explosion de deux engins explosifs dans la nuit du 20 au 21 juin à Yaoundé. D’ailleurs la gendarmerie nationale de son côté, a aussi appelé au renforcement des mesures sécuritaires, parce que redoutant des attaques terroristes dans les grandes villes du Cameroun.
Liliane N.