Les populations de cet arrondissement situé dans le département de la Bénoué, région du Nord ont été invitées à voter la liste du Parti camerounais pour la Réconciliation nationale (PCRN) afin d’impulser le développement socio-économique. Le Président national CABRAL Libii a tenu ce dimanche à la place des fêtes de Pitoa un meeting qui a connu la présence de nombreux militants.
Symbiose parfaite entre les militants et sympathisants du PCRN et le président national du parti à Pitoa. CABRAL LIBII est venu dans cette partie de la région du Nord soutenir ses camarades, candidats aux municipales étant donné que la localité de Pitoa occupe une place stratégique dans la dynamique de campagne du PCRN. « Sur les 308 villages que compte cette unité administrative il n’y a pas un seul qui ne dispose pas d’un comité de base du parti. Nous avons une liste qui est très représentative de toutes les réalités sociologiques, et puisqu’il y a une réelle réceptivité sur le terrain », déclare CABRAL LIBII.
Les populations de l’arrondissement de Pitoa ont été invitées à aller massivement aux urnes le 09 février prochain accomplir leur devoir de vote en faveur du PCRN dont la liste des municipales est conduite par SALASSA YOUSSOUFA DJITAOU afin d’impulser le développement socio-économique de la localité. Le jeune parti politique qui compétit pour la première fois à la tête de l’exécutif communal de Pitoa compte fermement sur son projet politique.
« Au cas où nous venons à remporter le scrutin, nous voulons faire de la commune de Pitoa une référence en termes de déploiement de compétences, de projets sociaux. Nous voulons dire à la communauté nationale voilà de quoi le PCRN est capable de faire. Je demande aux candidats et aux militants de rester vigilants et de surveiller le vote parce que nos adversaires ne dorment pas ils cherchent des voies et des moyens pour nous nuire », ajoute le président du parti camerounais pour la Réconciliation nationale.
Avant le meeting de la place des fêtes de Pitoa, le président du Parti camerounais pour la Reconstruction nationale s’est rendu dans une dizaine de villages situés dans l’arrondissement (Badjengo, Badjouma-centre, Sékandé etc…).
Pour les municipales du 09 février, le PCRN est en lice avec deux autres partis politiques. Il s’agit notamment du RDPC et du FSNC. Ceci présage que les joutes électorales ne sont pas gagnées d’avance pour le parti de LIBII qui est face à ces deux mastodontes qui ont pendant plusieurs années réussies à établir un contrat de confiance avec l’électorat.
Innocent D H
C’est la principale exigence qui transparaît dans cette lettre ouverte rédigée en début de week end, par le président national du Parti Camerounais pour la Réconciliation National et les militants de cette formation politique
Les faits
Dans un article publié le 28 janvier dernier et repris le lendemain, sous la rubrique la « phrase choc », le quotidien national bilingue avait attribué au leader du PCRN, ces propos : « Je ne fais pas la campagne pour les législatives mais pour la présidentielle. Mais, comme avant d’être président il faut d’abord faire ses preuves à la mairie et à l’assemblée nationale et pourquoi pas ministre, je suis avec vous… ».
Des mots qui n’ont jamais été prononcés estime Charly Gabriel Mbock - Directeur de Campagne du PCRN.
« le quotidien Cameroon Tribune a attribué au Président Nationale du Parti Camerounais pour la Réconciliation Nationale, Monsieur Cabral Libii, des propos calomnieux, malveillants et diffamatoires totalement tronqués de la réalité… ».
Plus loin, on peut lire : « Cameroon Tribune a dans cette attitude anti professionnelle et puérile, présenté le Président Cabral Libii comme un homme politique qui serait en campagne électorale pour le double scrutin législatif et municipal du 09 Février 2020 prochain à la quête effrénée de strapontins à l’instar d’un minable et risible poste ministériel… ».
Une invention cauchemardesque sortie de l’esprit de l’auteur de cet article affirme le Directeur de Campagne du PCRN et qu’il faut condamner
« La direction de campagne du Président Cabral Libii condamne fermement et sans vergogne cette affirmation affabulatoire, fantasmatique et fantasmagorique sortie de nulle part si ce n’est de l’esprit inventif et cauchemardesque de son auteur ou de ses auteurs… Cela constitue en soi une véritable contre campagne en cette période hautement sensible, qui sape le moral des troupes et qui a une influence néfaste et négative sur les activités de campagne du PCRN ».
Il faut rétablir la vérité, demander des excuses et agir en tant que professionnel exige Charly Gabriel Mbock
« Nous appelons la direction de Cameroon Tribune à plus de professionnalisme en cette période de campagne électorale et leur demandons sans délais et dans les mêmes formats de publier in extenso ce droit de réponse puis de rétablir les propos exacts du Président Cabral Libii…Nous suggérons aussi fortement que des excuses officielles soient présentées au Président National du PCRN singulièrement et au parti politique dont il préside aux destinées de manière générale pour le préjudice moral subi et les conséquences incalculables engendrées par ce propos diffamatoire et calomnieux… ».
Si ces sommations ne sont pas respectées, le Parti Camerounais pour la Réconciliation Nationale entend recourir au droit
« le PCRN attend de voir publier un démenti formel de cette désinformation abjecte comme la loi en fait obligation, sauf à obliger le parti à recourir aux voies de droit, le cas échéant… ».
Nicole Ricci Minyem
Dans l’une de ses parutions il y a quelques jours, le quotidien bilingue national a attribué au président du Parti Camerounais pour la Réconciliation National des propos qu’il aurait tenu lors du lancement de sa campagne à Makak.
Extrait de ces mots que le journaliste a appelé phrase choc « Je ne fais pas la campagne pour les législatives mais pour la présidentielle. Il faut d’abord faire ses preuves à la mairie ou à l’Assemblée nationale et pourquoi pas être ministre. Je suis avec vous ». Du pur maraboutisme journalistique estime Armand Okol.
« Du quotidien national au « Bêtisier National »
Le journalisme est un métier noble. Ici comme ailleurs, on le considère comme relevant du top du corps des professions de l'élite. Au Cameroun d'ailleurs, on lui attribue (certes de manière informelle) le positionnement de quatrième pouvoir, c'est-à-dire immédiatement après l'exécutif, le législatif et le judiciaire. Dans notre pays aussi, une idée préconçue laisse croire que les meilleurs journalistes, sous-entendus comme ceux qui allient bonne formation et professionnalisme sont ceux qui exercent dans les médias publics.
En vérité, ils relèvent réellement du statut du parapublic. Vrai ou faux débat, toujours est-il (honnêteté intellectuelle oblige) que l'on y trouve du bon, mais aussi du mauvais et même (n'ayons pas peur des mots) du piètre voir de l'exécrable. Surtout lorsque, comme en l'espèce, on foule au pied la critique des sources, principe cardinal d'un métier, qui consiste à recouper et à vérifier une information avant de la publier.
Ne pas le faire est pour le moins assimilable à du « maraboutisme journalistique » mais plus sérieusement c'est sorcier, démentiel, manifestement méchant, je voulais dire criminel. C'est cette dernière catégorie qui a pondu ce machin (l'expression n'est pas assez forte) en illustration.
Au-delà de ce que cette phrase pompeusement attribuée à un imaginaire auteur n'a jamais, mais alors jamais été prononcée par celui dont le nom est mentionné en dessous, mais et c'est là où le bas blesse, il y'a vraisemblablement une volonté de nuire dans la posture fantasmatique, fantasmagorique et préméditée de la part de ce(s) mystérieux affabulateur(s).
Et même, on peut y déceler du narcissisme, et un zeste de diabolisation expressément voulu dans la démarche des auteurs du pamphlet. Et pour cause, le fameux média qui orchestre et propage ce propos calomnieux a régulièrement été convié au meeting du Président National du PCRN à Makak dimanche dernier. Mieux, votre humble serviteur a personnellement contacté par deux fois le reporter de « Cameroon Tribune » désigné pour le suivi des activités de notre parti politique (fait rarissime d'ailleurs car c'est à peine si ces laudateurs assermentés du régime relaient souvent notre actualité singulière et celle de l'opposition en général) à l'effet de l'informer non seulement des dispositions prises pour assurer le déplacement des journalistes, mais de notre disponibilité (celle du leader et de l'humble individu que suis-je) à répondre à toutes ses préoccupations.
Par ailleurs, le meeting en question a été entièrement retransmis en direct sur des plateformes officielles et donc consultable h24 par quiconque le souhaiterait. Pis encore, Cabral LIBII a dû suspendre une réunion qu'il présidait le lendemain de l'événement pour accorder au journaliste de cet organe de presse une interview exclusive. Mais curieusement dans le rendu, pas trace du meeting, du moins celui auquel nous autres avons participé, l'interview est mystérieusement porté(e) disparu(e), et à la place, un propos sorti de nulle part, si ce n'est de l'imaginaire inventif de ces manipulateurs de l'opinion.
Et quel que soit le bout par lequel on considère la chose, il dénote de ces propos calomnieux, diffamatoires et outrageants à outrance un plan machiavélique tendant à jeter du discrédit et de l'opprobre sur un leader de parti politique non moins candidat à une échéance électorale imminente en cette période aussi sensible que celle de la campagne électorale. C'est risible, ridicule, inadmissible, et mesquin de la part d'un média qui ne doit son existence et sa survie qu'à l'argent du contribuable, c'est-à-dire celui de nos impôts à tous.
Quand on pense alors à la véhémence avec laquelle ce tabloïd a coutume de qualifier les confrères d'être la presse poubelle ou à caniveau, on a juste envie de conclure qu'il est lui-même un média à gages avec de la mauvaise foi chronique en plus. En somme, la critique est aisée, mais le BÊTISIER COLLECTIF… ».
N.R.M
Les candidats du parti camerounais pour la réconciliation nationale (PCRN) pour la députation dans le département du Mfoundi sont à l’assaut des électeurs.
En tête de fil, le jeune candidat à la charge de représentant du peuple au sein de la chambre basse du parlement au nom des populations du Mfoundi, Mr Ernest YENE. Avec ses équipes et d’autres candidats du PCRN dans le Mfoundi, ils ont parcouru plusieurs quartiers de la ville pour se présenter aux populations et faire connaître leurs projets politiques pour l’amélioration des conditions de vie des populations du département.
Au marché de melen, ils ont longuement échangé avec les commerçants qui s’y emploient. Les vendeurs à la sauvette, les bayam sellam, et les grands commerçants ont eu l’occasion d’écouter et de se faire écouter par ceux qui briguent la législature à venir. Au cœur des échanges, l’amélioration des conditions d’exercice de leurs métiers, la pression fiscale et la multiplicité des organes de collecte des impôts et autres taxes, les questions de transport des marchandises avec les tracasseries routières qui n’en finissent plus. Les candidats ont écouté avec assiduité les préoccupations des marchands. En retour, ils ont formulé des promesses fermes. Des promesses qui tiennent d’abord à une chose, aller voter le 09 février les personnes à qui ils veulent confier leur destin pour les cinq prochaines années. Les candidats du PCRN ont exhorté ces camerounais à quitter cette attitude léthargique qui consiste à se plaindre et porter critique aux dirigeants, or quand vient le moment de les sanctionner, ils se recroquevilles et fuient les élections, laissant ainsi libre court à ceux qui ont échoués hier. Il est donc naturel que ces gens qui hier n’ont pas pu bien gérer reproduisent les mêmes schémas.
« Il faut aller voter ». C’est le premier message des candidats du PCRN aux populations rencontrées ce jour. Car, faut-il le rappeler, la culture de l’abstention ajouté au mot d’ordre de boycott lancé par le MRC plombent considérablement la volonté d’un grand nombre de citoyens à aller accomplir leur devoir civique.
A côté des marchands, les candidats ont aussi abordé les motos taximen. Les conducteurs de moto qui sont depuis un certain temps un véritable champ électoral. Tous les acteurs politiques veulent y récolter des voix. Mais pour le candidat Ernest YENE, le métier de moto taxi n’aurait jamais dû exister si en amont les différents maillons d’encadrement de la jeunesse et de développement économique avaient fait correctement leur travail. L’existence de ce métier est l’avoeu de l’échec de notre système social et économique. Il faut se l’avouer, il n’y a aucune valeur ajoutée pour la société dans l’activité de moto taxi, au contraire. Et Ernest Yene a saisi l’occasion de ces échanges pour leur expliquer ce qu’il est en mesure de faire s’il lui était confié la responsabilité de député de la Nation.
Stéphane NZESSEU
Cabral Libii fait face à une adversité très forte dans les pays bassas où il est candidat à la députation. De plus, en tant que sa contrée d’origine, il serait bien que le PCRN enregistre de très bons scores dans ces communes et départements. Mais les puristes de l’UPC ne sont pas prêts à céder du terrain. Face à cet affront, le PCRN choisit une stratégie politique qui espérons le sera payante.
Depuis quelques jours, on l’entend de plus en plus de la bouche des militants du PCRN. Ils se réclament presque tous désormais upécistes. Ce qui a le mérite de faire adhérer les populations du Nyong Et Kéllé et de la Sanaga Maritime. « J’ai décidé d’être héritier du ferment idéologique de la politique moderne au Cameroun. Et je ne demande l’autorisation de personne ». Ce sont les propos de Cabral Libii lors de sa campagne à Makak. Pour Cabral Libii, il y aurait une différence entre l’UPC en tant que parti politique et le nouveau concept qu’il met en exergue, « l’upécisme ». Pour lui, l’âme immortelle des leaders de l’UPC est l’esprit indépendantiste et futuriste pour un Cameroun libre et prospère.
D'un ton virulent, Cabral Libii affirme : « Allez dire à vos frères de l’upc de ne pas avoir peur. C’est un parti qui a été longuement combattu, depuis Avril 1948. Au point où ce parti n’a eu pour seule zone de repli la zone des bassas. Et les bassas doivent être félicités parcequ’ils ont pu sauvegarder un patrimoine national. Un jour quand j’arriverai, je donnerai la place qu’il faut et à ce parti et à ce patrimoine. Pendant que ce parti travers des moments difficile, Dieu suscite une nouvelle organisation. Où est le problème ? Allez dire à ceux qui disent du n’importe quoi que nous sommes venus les aider ». C’est donc clair, le PCRN a l’ambition de remplacer l’UPC qui est depuis de nombreuses années en lambeaux dans ces localités. Mais peut-on dire sincèrement que le PCRN est un parti indépendantiste ? Quelles sont les positions du PCRN sur la monnaie ? Sur l’unité africaine ? Et sur bien d’autres sujets, il y a de grands écarts entre les visions et les démarches politiques de l’UPC ou de l’upécisme et ce qui est fait comme choix stratégique par le PCRN.
Pour davantage convaincre les populations acquises à l’UPC, il fait des défis : « Plus qu’eux nous mèneront les combats, nous allons franchir les barrières qu’ils n’ont pas pu franchir. Nous allons continuer le combat ».
Stéphane NZESSEU
Le président du Parti Camerounais pour la Réconciliation Nationale (PCRN) a ouvert sa campagne électorale pour les législatives et celle des listes PCRN aux municipales ce lundi à Makak dans le Nyong Et Kellé.
C’est dans un véhicule de type Jeep Cheerokee, et dans une escorte des grands jours que le président Cabral Libii est arrivé à Makak. Bain de foule, bouquet de fleur, haie d’honneur et protocole de réception, le président Cabral Libii est invité à s’installer. Pendant quelques heures, la ville de Makak sera dans une effervescence tel que seul un candidat ayant l’assentiment de la population pouvait mobiliser. Spectacles d’humour, de musiques et de danses vont rythmer cette journée. Les principaux temps forts de cette campagne sera ces moments où le président Cabral Libii se lèvera (ce à plusieurs reprises) pour esquisser des pas de danses et « faroter » un tout petit peu les artistes ayant fait le déplacement.
C’est en langue locale, la langue bassa que le président du PCRN s’adressera aux populations. Le fils du village dans un premier temps procédera à la présentation des différents acteurs et candidats des différentes listes du parti de la réconciliation en compétition dans la contrée. Pendant un bon moment sur le fond d’une guitare rythmique « assiko », Cabral Libii va s’adresser aux populations. Et à chaque fois, chacune de ses interjections seront grandement saluées par la foule venue très nombreuse à ce meeting. Des cris d’approbation, voire de légitimation du jeune candidat à la présidence de la République, mais davantage à l’endroit de celui qui a donné un nouveau souffle à la politique camerounaise, en encourageant une nouvelle vague de jeune politicien à entrer en politique.
Dans la suite de son intervention, Cabral Libii reviendra à la langue française. Durant plusieurs minutes, il va exhorter les populations à faire confiance du PCRN et à ses candidats. Il soulignera d’ailleurs sa proximité idéologique voire spirituelle avec l’âme upéciste qui prévaut dans la région. Une approche bien reçue par les hommes et femmes présents. Le président Cabral Libii a également saisi l’occasion pour lancer un appel à la protection des votes par les électeurs. Il a aussi fait un appel au calme et amené les habitants de Makak à dire non à la fraude. Dans la même veine, il adressera des messages de conscientisation aux populations, et de surveillance des votes.
Stéphane NZESSEU
Après avoir parcouru le triangle national parfois dans des conditions assez difficiles, le président national du PCRN a choisi ce Samedi, de lancer sa campagne électorale dans le chef lieu du département de la Sanaga Maritime
C’est une foule immense qui a fait le déplacement du stade St Palmier d’Edéa afin d’écouter une fois encore, le discours de l’homme classé à la troisième place par la cour constitutionnelle à l’issue de la présidentielle du 09 Octobre 2018.
Les raisons de ce choix sont expliquées par le leader du Parti Camerounais pour la Réconciliation Nationale : « J’ai choisi la ville d’Edéa parce que mon équipe stratégique me l’a proposé. J’ai confié cette responsabilité à des équipes spécifiques qui réfléchissent aux enjeux, aux défis multiples et ils m’ont convaincu de ce qu’il fallait commencer par cette ville. Le choix a certainement été judicieux c’est le lieu pour moi de les remercier et de dire aux nombreuses populations qu’elles n’ont pas tort, elles ne doivent pas avoir peur. Une nouvelle ère commence. Les choses ne seront plus jamais comme avant, il ne faut donc pas douter…L’offre politique du PCRN aux législatives et municipales ici à Edéa est certainement la meilleure et nous réitérons cet engagement… ».
Cabral Libii a dit sa volonté de se tenir aux côtés de ses camarades dans toutes les circonscriptions électorales
« Je ne suis certes pas candidat ici mais je suis candidat à la députation et, je serais un député de la Nation, je serais le député de chaque Camerounais quelque que soit son ethnie, son obédience politique, ses croyances religieuses, je serais là et toujours disponible pour tous ceux qui auront besoin de moi. Je pense que probablement, je suis le seul président d’un parti politique en compétition qui va se mettre au service de tous ses camarades partout où ils sont candidats… ».
C’est le même engouement vécu à Makak ce Dimanche
Les « Makakois » ont mis un point d’honneur à accueillir le fils du terroir. Les populations sont venues des villages environnants afin de montrer leur attachement à leur « fils prodige » et lui dire que ses candidats et lui peuvent compter à 100/100 sur leur voix. Mais, cet amour n’est pas seulement ressenti par les ressortissants de cette localité : « Je suis Aristide Kenfack, je suis un bamileké et je viens de Dschang. Je suis installé à Makak depuis un peu plus de 10 ans aujourd’hui et, je me sens chez moi. Pendant l'élection présidentielle, c’est ici que j’avais exercé mon devoir citoyen et, je vais faire pareil le 09 Février prochain. Cabral Libii c’est l’avenir de ce pays, Cabral Libii c’est ce jeune homme humble qui nous a montré qu’il y’a une façon différente de faire de la politique dans notre pays. Il nous parle avec le langage du cœur et, c’est la raison pour laquelle moi je l’aime… ».
Les propos de Marius Ndongo Essissima vont dans le même sens et il salue le partenariat PCRN et les autres formations politiques : « Il est évident pour tout le monde aujourd’hui que la classe politique doit être renouvelée, nous avons besoin de voir de nouveaux visages. Certes, le parti au pouvoir a 34 sièges qui lui sont acquis mais je suis convaincu que les partenariats noués avec ces jeunes formations politiques vont faire bouger les lignes, aussi bien au niveau local qu’à l’hémicycle. Cabral Libii et Serge espoir Matomba, mis ensembles peuvent faire des merveilles. Je n’oublie pas l’UDC, non, tout sera différent… ».
Nicole Ricci Minyem
Le meurtre du lycée de Nkolbisson semble avoir ouvert la boîte de pandore et les images, vidéos et informations qui ont suivi laissent entrevoir que la blessure est profonde.
Cependant, après avoir pointé un doigt accusateur contre ces parents qui démissionnent de plus en plus de leurs devoirs, Anne Féconde Noah, porte parole du Parti Camerounais pour la Réconciliation Nationale (PCRN) a estimé qu’il fallait creuser plus, et élargir le cercle de ceux qui sont responsables de cet afflux de violence dans le milieu scolaire.
« Déferlement de la violence dans nos écoles : 3 responsabilités pas très souvent convoquées
Après avoir parlé de la responsabilité des parents, des enseignants etc, peaufinons le diagnostic et relevons ces choses pour que les autorités compétentes prennent leurs responsabilités et que ça change en bien.
Depuis une quinzaine d’année, la musique dite 《urbaine》 se distingue par la violence, la sauvagerie, la vulgarité, la pornographie etc. On y promeut toutes sortes d'insanités. La consommation de stupéfiants Inceste, vol, viol, injures, mépris des parents ; y compris le meurtre au sens propre comme au sens figuré.
Or les croyants le comprendront bien, 《la foi vient de ce que l'on entend》. La foi entendue ici comme une conviction. A force d'entendre de tels messages inhumains, le subconscient finit par démystifier les tabous et assimiler des actes autrefois perçus comme graves comme banals et la suite on là connait.
Lorsqu'on sait que ces musiques sont majoritairement écoutées par les jeunes des collèges et lycées, ce serait une grave erreur de ne pas interroger leur contribution sur ce qu'on observe actuellement. Ces chanteurs ainsi que les adultes qui ne se gênent pas pour promouvoir leurs chansons en les faisant écouter ... doivent se remettre en question.
Les ministères de la culture et de l'Administration Territoriale sont conjointement responsables en tant que régulateurs. Déjà, les environs des écoles (collèges, lycées, universités) sont les plus prospères aux business des bars bruyants et des salles de jeux, sous les regards de tous.
La dernière fois qu'une chanson a été censurée à l'échelle nationale pour propos dangereux et incitatifs c'était quand ? Pourquoi dans un pays qui se présente comme sérieux, l'on peut impunément promouvoir la violence/ l'immoralité à outrance, la mort au nom de la culture ? Que font les régulateurs?
L'on se souvient qu'il y a quelques années, le préfet de la Mifi avait pris la juste décision d'interdire une chanson pornographique qui faisait la promotion de déviances de toutes sortes. Mais certains des internautes choqués par l'état avancé de la dépravation des mœurs, l'ont raillé, vilipendé à gorge déployée ici même. Pour certains, interdire ne servait à rien puisqu'on pouvait trouver la chanson sur internet. Or la censure a déjà un effet psychologique en ce sens qu'elle établit le mal dans une chose, en l'espèce dans une chanson. D'autres arguaient que c'est du cinéma parce que ces grands écoutent des chansons vulgaires en secret dans leurs chambres.
Mais là encore, écouter une chanson dans sa chambre veut dire qu'on préserve un tabou au lieu de le banaliser. Or il avait raison de vouloir protéger ses concitoyens de ces agressions morales. Pour d'autres moqueurs, il n'était pas moderne d'interdire une chanson en 2016 (je crois). Cette version de la modernité présente quelle plus value quand elle désinhibe la jeunesse face aux crimes de toutes sortes ? Quand elle contribue à détruire le socle social déjà si fragile ? A rien du tout !
Enfin la responsabilité de la justice qui peut d’ailleurs s'étendre à tout ce qui fonctionne mal dans notre pays puisqu'elle est le régulateur par excellence.
Mais pour en rester à l'exacerbation des violences en milieu scolaire comment la justice les favorise-t-elle ? Par le phénomène des 《relations》.
Un élève présente des signes de violences envers ses camarades ou son enseignant. Il est connu comme distributeur ou consommateur de stupéfiants parfois même au sein de l'établissement. Le censeur le dénonce au commissariat ou à la brigade du coin espérant qu'il répondra de ses actes, mais le lendemain, il revient narguer son censeur à l'école. Soit il a donné une partie de sa recette de vente de drogue à l'OPJ pour sortir, et être désormais l'un de ses protégés, soit il a été déféré et l'oncle de sa tante connait un magistrat.
Quelques fois c'est le neveu d'un tel, soit c'est un jeune qui fournit des lycéennes à un 《grand》, donc le grand appelle x et y...bref lorsqu'un tel enfant revient à l'école il est blindé, il fait peur du chef d'établissement au planton.
Par instinct de suivi, les responsables de l'école commencent à fermer les yeux sur ses dérives. Il joue au jambo à l'école, distribue la drogue, orchestre des viols et on a tous peur de parler... pourquoi ? Parce que la justice qui se voulait autrefois impersonnelle peut désormais être maîtrisé par un collégien.
Ça vire au cercle vicieux. Dans les quartiers généralement tous les habitants savent qui vole, qui distribue la drogue etc.
On sait dans quel bar du coin l'on a retrouvé des morts, on vend des ossements humains ou on fait du trafic. Les Opj du coin sont très souvent alertés. Mais que font les autorités compétentes pour sévir ?
Au vu du pourcentage que représente la jeunesse dans la population Camerounaise, toutes les politiques publiques doivent être directement ou indirectement axées sur un meilleur encadrement de la jeunesse… ».
N.R.M
C’est la première descente sur le terrain du Président du PCRN. Cabral Libii a choisi d’aller à la rencontre des populations de qui il demande le suffrage pour les prochaines législatives.
Le leader du Parti Camerounais pour la Réconciliation Nationale (PCRN) est déjà en campagne. Les échéances se rapprochent. Dans moins d’un mois, les électeurs iront aux urnes pour choisir leurs représentants à l’Assemblée nationale et dans les différentes Mairies. Le PCRN joue gros dans ces élections à venir. Soit le parti trouve une assise politique solide à travers ses conseillers municipaux et ses députés, soit c’est une fragilisation du mouvement impulsé depuis l’époque la création du Mouvement 11 Millions de Citoyens. Remporter des sièges au cours de ces élections sera le couronnement
Ce dimanche 12 janvier 2020, Cabral Libii a effectué sa première sortie auprès des populations depuis le début de l’année. Le Président du PCRN a fait une descente dans la localité de Nguibassal. Une ville située dans le département du Nyong Et Kellé. L’un des objectifs de ce déplacement est de réconforter les candidats du PCRN dont les dossiers ont été recalés par les différents juges qui ont statués sur la légalité devant le Conseil Constitutionnel, mais davantage devant le tribunal administratif de la région du Centre. A ce sujet, le Président a apporté des nouvelles des recours du contentieux préélectoral en cours auprès de la Cour Suprême.
Remonter le moral des troupes, et rassembler au maximum autour des autres candidats en course dans la circonscription administrative. C'est donc à Nguibassal dans le Nyong et Kéllé que le Président Cabral Libii et son équipe sont descendus, c'était aussi l'occasion pour le leader tête de Liste PCRN à la magistrature législative dans le dit département de présenter les autres candidats titulaires qui sont Rolande Ngo Issi et Bienvenu Ndjip Ndjip. Le PCRN s'active déjà sur le terrain dans le Nyong et Kéllé comme partout ailleurs, pour qu'au lendemain du 09 février, la victoire soit marquante dans toutes les circonscriptions où il présente des candidats.
Ce fût surtout un moment de dialogue avec les populations sur les attentes de celles-ci pour le développement de la localité. Le Président a tenu à exhorter les habitats de la contrée à aller aux urnes le 09 février prochain. Des conseils et bien d’autres pour consolider la communion entre le PCRN et les populations locales.
Stéphane NZESSEU
Selon le Pr. Messanga Nyamding, l’Union des populations du Cameroun (UPC) ne devrait plus exister dans la mesure où, il a atteint son double objectif à savoir : l’indépendance du Cameroun et sa réunification. En outre, l’homme politique s’engage à barrer la voie de la victoire au PCRN pour l’élection du 09 février prochain.
Le Pr. invite les militants de l’UPC à rejoindre le Rdpc pour faire bloc dans le cadre des élections locales du 09 février 2020. Messanga Nyamding était invité sur une station de radio à Yaoundé ce week-end. Pour l’homme politique, ce parti ne devrait plus exister car ayant atteint ses deux objectifs à savoir : l’indépendance du Cameroun et sa réunification. Il lance d’ailleurs, « comme vous êtes des éternels bébés venez au RDPC, nous allons vous donner le biberon ».
Le cas de Cabral Libii
Cabral Libii, le président du PCRN est également pris pour cible par Messanga Nyamding. L’enseignant de diplomatie à l’Institut des relations internationales du Cameroun(IRIC), n’est manifestement pas content de l’instruction du Parti camerounais pour la réconciliation dans son Nkam Natal. Il rappelle que, le leader nationaliste Um Nyobe, le père fondateur de l’UPC avait été assassiné par les « nordistes ». Nyamding voit donc mal « comment Cabral Libii qui, lui-même originaire de ce département, peut-il avoir l’outrecuidance, de se liguer avec les fossoyeurs de l’UPC qui, de surcroît, ont mis à mort son leader ? ».
L’homme politique dit non au PCRN
C’est un engagement solennel que prend l’enseignant, celui de faire une tournée de sensibilisation dans les différentes circonscriptions de ce département. Finalité de sa démarche, décourager les populations à ne pas voter en faveur du parti de Cabral Libii lors du double scrutin de 2020.
Innocent D H