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Alors que le départ de ces dix personnes avait fait grand bruit sur les réseaux sociaux avec des célébrations de part et d'autre, notamment par des adversaires politiques du Parti Camerounais pour la Réconciliation Nationale, le président du Pcrn semble avoir choisi la voix de la grandeur au moment des adieux 

 

Voici en substance ce qu’il écrit aux sieurs Mahi Mahi - Nyemb Dieudonné Coppée - Thong Thong Sosthène - Bel Célestin - Batambock Samuel - Bikes François Xavier - Boumsong -  Biyiha Jean Parfait ainsi qu’aux dames Dinogui Bernadette - Koumayep isabelle:

“ Je prend acte de votre démission du Parti Camerounais pour la Réconciliation Nationale ( PCRN). Par ailleurs, je vous exprime ma gratitude pour les suggestions qui accompagnent votre démission. Bon vent et parfaite considération, cher ex camarade”.

Une attitude adoptée par les militants et sympathisants de  cette formation politique qui, sans insultes, sans aucun propos dénigrant, sans commentaires salaces n’a été tenu à l’endroit de leurs anciens camarades.

Une attitude qui tranche avec celle des démissionnaires qui n’ont pas manqué de proférer moult insultes envers ceux auprès de qui ils ont cheminé pendant quelques temps dans la Sanaga Maritime, au point où l’on s’est posé la question de savoir s’ils avaient véritablement adhéré parce qu’ils avaient cru aux idéaux du Parti Camerounais pour la Réconciliation Nationale.

Une interrogation qui a tout son sens, lorsqu’on se souvient que nombreux sont ceux qui ont feint le militantisme par simple opportunisme, pensant trouver de ce côté, un terrain fertile “pour poursuivre avec des pratiques obscures dont ils se sont rendus spécialistes dans leur ancienne formation politique. Malheureusement, ils ont fait fausse route et, il est donc tout à fait normal pour eux de démissionner;

Après les élections régionales, des dispositions avaient été prises afin que nous ne soyons plus surpris et, certains pourraient suivre ceux qui s’en vont parce qu’il s’agit de faire preuve de rigueur si nous pensons changer le Cameroun demain”, réagit Valère Venant Djié - militant du Pcrn dans la Sanaga Maritime.

 

Nicole Ricci Minyem

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Tel est l’appel lancé ce samedi par le président du Parti Camerounais pour la Réconciliation Nationale car, de son point de vue, il ne faut pas retomber dans les pièges du passé alors que la prochaine élection présidentielle pointe à l’horizon 

 

L’honorable Cabral Libii insiste toutefois auprès de ses militants et sympathisants afin qu’ils ne baissent point la garde, au regard de toutes les attaques dont ils sont victimes sur les réseaux sociaux, les attaques personnelles dont il n’est pas facile de se défaire surtout lorsqu’elles sont infondées et permanentes. 

L’élu du Peuple ajoute cependant qu’au regard de l’importance des réseaux sociaux aujourd’hui, il est plus que jamais nécessaire de “ Choisir les combats et les adversaires qui en valent la peine; De toiletter sans ménagement les plate-formes; De Sortir sans attendre des plate-formes putrides….”.

 

Et à contrario 

 

Cabral Libii invite ses camarades à: “ Investir désormais l'essentiel de leur intelligence et de leur énergie pour convaincre leurs frères et sœurs qui eux, sont de plus en plus nombreux à exprimer la soif de les voir habiter l'ambition qu’ils ont  à rassembler et mobiliser”.

 

Son message 

 

“A l'approche de l'élection présidentielle, et après, ma personne et notre dynamique, avons été pris de cours et avons essuyé venant de Toutes Parts,toutes sortes d'insanités et de boniments. On a eu tort au début de négliger cela. Et on a payé cher. Car, beaucoup de citoyens s'en abreuvaient de bonne foi.

Puis, vous avez courageusement appris à y faire face. Votre revanche a été à la hauteur des attaques. Vous êtes devenus à certains égards redoutables.

Je vous en félicite.

Restez vigilants. Contrairement aux interpellations de quelques-uns, je vous enjoins de rester parés. Demeurez des guerriers alertes et impitoyables.

Nous sommes sur le terrain et devons y consacrer notre énergie certes, mais nous devons aussi gagner la bataille des réseaux sociaux. Ce qui s'y fait et s'y dit "arrose" le terrain. Le combat n'en est qu'à son entame. Les réseaux sociaux comptent dans le façonnement de l'opinion.

En même temps, beaucoup ont compris. Les internautes  savent de plus en plus faire la part des choses. De même, beaucoup de vos camarades  sont fortement incommodés par ces "bagarres" incessantes. Même si eux ne comprennent pas toujours, vous, surpassez-vous pour les comprendre.

Soyez donc plus lucides. Choisissez les combats et les adversaires qui en valent la peine. Toilettez sans ménagement vos plate-formes. Sortez sans attendre des plate-formes putrides.

Détournez-vous avec dédain de certains personnages et de certains débats de diversion. Certains adversaires et certains sujets, méritent de moins en moins votre attention.

 

Investissez désormais l'essentiel de votre intelligence et de votre énergie pour convaincre vos frères et sœurs qui eux, sont de plus en plus nombreux à exprimer la soif de vous voir habiter l'ambition qui vous a rassemblée et mobilisée.

Rentrez à la base.

Ne tournez pas le dos, ayez juste "quatre" yeux!

Vous aurez toujours mon inébranlable soutien”.

 

N.R.M

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Joseph Espoir Biyong trouve que le Parti démocrate camerounais partage les mêmes valeurs que lui en politique.

Alors qu’on pensait que Joseph Espoir Biyong adjoint au maire de la Commune de Douala 5e avait fini avec le monde de la politique, il vient de donner une information qui le remet au-devant de la scène. L’ancien militant du Parti Camerounais pour la Réconciliation Nationale (PCRN) de Cabral Libii annonce qu’il rejoint les rangs d’une formation politique très peu connue. Il s‘agit du Parti démocrate camerounais (PDC). Et si on s’en tient à ses déclarations, Joseph Espoir Biyong pense avoir des choses en commun avec le PDC.

«Je suis JOSEPH ESPOIR BIYONG Maire de Douala 5, j'ai décidé de rejoindre le PDC (parti démocrate camerounais). Ce parti Respect les valeurs pour lesquelles je suis en politique en ce jour. Le PDC absent sur la chaîne politique, ne sera pas un obstacle. Rejoignez-nous afin qu'ensemble, nous luttons pour nos valeurs», a-t-il écrit sur sa page Facebook.

A titre de rappel, le nouveau militant du PDC a officiellement démissionné du PCRN le 3 mai 2021. Comme Célestin Djamen avec le Mouvement pour la renaissance du Cameroun, Joseph Espoir Biyong passait comme le frondeur de sa  formation politique. Il avait regretté la participation du PCRN aux toutes premières élections régionales, en indiquant publiquement que le choix du boycott de ce scrutin et d’autres précédents décidé par Maurice Kamto, était le meilleur. Cette sortie avait déplu à ses camarades du PCRN. Depuis ce temps, il s’en est suivi une guéguerre entre lui et les responsables de son ancien parti. Le malaise a été tel qu’il a fini par claquer la porte. Alors que le 12 mai 2020, il déclarait sur les antennes de ABK Radio : « je suis une découverte, une créature de Cabral Libii et je lui dois allégeance jusqu’à la mort. Je vais profiter de cette opportunité qu’il me donne ».

Liliane N.

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Le député Cabral Libii informe l’opinion nationale que le PCRN a créé une académie citoyenne, qui sera chargé de (ré)éduquer le peuple à la politique et aux valeurs de la République.

 

Le député Cabral Libii affirme que l’élection présidentielle de 2025 est déjà proche. Aussi, il invite les camerounais à l’action. Dans une tribune récemment publiée, il s’interroge sur le fait que ses compatriotes sont-ils prêts à accepter une succession filiale par crainte du régime. Pour lui, si la raison est oui, alors il faut comprendre qu’il s’agit là d’un prétexte douteux. Parce que pense-t-il, le régime ne peut pas faire face à une marée humaine qui marche.

Retrouvez ci-dessous la tribune de Cabral Libii

DE L’ALIÉNATION POLITIQUE AU FATALISME ÉLECTORAL…

La prochaine élection présidentielle n’est plus lointaine…

Mais une question se pose : les camerounais sont-ils prêts à garder l’échine courbée y compris face à une « succession filiale » ?

Beaucoup repondraient que c’est possible parce que nous sommes sous une dictature et que le peuple pourrait se faire massacrer en cas de révolte.

 Prétexte douteux car, même si le regime est férocement repressif, il ne pourrait pas tenir devant une marée de 1 000 000 personnes, marchant à Yaoundé de la poste centrale à… Etoudi.

Une autre raison invoquée est l’utilisation par le régime d’un code électoral taillé sur sa mesure. Cela aussi ne tient que difficilement la route. En effet en 1992, il a fallu de peu pour qu’un candidat de l’opposition l’emporte sur le Président en exercice…À l’époque, les élections étaient encore plus obscures qu’aujourd’hui. Au lieu d’Elecam d’aujourd’hui, c’étaient des sous-prefets totalement sous l’influence du pouvoir qui organisaient les elections, avec très peu d’observateurs internationaux et sans contrôle citoyen des réseaux sociaux.

Si les raisons de la répression et/ou du mauvais code électoral sont insuffisantes pour justifier le statu quo politique de notre pays, quelle arme le régime utilise-t-il pour se maintenir au pouvoir pendant ce nombre record de décennies ?

À mon avis, il s’agit de l’aliénation !

De L’ALIÉNATION POLITIQUE plus précisément.

L’aliénation c’est le processus par lequel un autre que soi prend le contrôle de notre conscience. C’est la dépossession de ce qui fait notre humanité à savoir, notre conscience.

Pour paraphraser le philosophe Karl Max : Ce n’est pas la conscience des hommes qui détermine leur être, mais c’est leur être social qui détermine leur conscience. Ça veut dire que nous avons les idées de notre situation matérielle, sociale et environnementale ou de notre vécu historique.

Selon l’environnement où nous avons grandi, selon notre vécu, selon notre milieu social, nous n’aurons pas les mêmes idées.

Dès lors que notre conscience se construit à travers les influences qu’elle reçoit, il est évident qu’à un vécu différent, va correspondre une conscience différente.

Concrètement, 2 personnes avec des situations matérielles différentes ne pensent pas de la même façon. 2 personnes avec un traumatisme historique différent ne pensent pas de la même façon. Ca veut dire que les hommes ne sont pas si libres qu’on ne le pense. Ils pensent par rapport à ce qu’ils sont ou ce qu’ils ont vécu.

Si vous en zone urbaine, du haut de votre niveau d’éducation, votre situation matérielle intéressante, de votre accès illimité à internet, vous demandez à un pauvre paysan en zone rurale pourquoi il échange son vote contre un billet de banque ou…une sardine, il vous répondra certainement qu’au moins on a pensé à lui avec tous ces « cadeaux ». Que c’est mieux que les promesses de changement des autres hommes politiques qui n’ont même pas pris la peine d’arriver dans son village ou qui arrivent « sans rien apporter ».

Vous parlez donc la à une personne aliénée. Cette aliénation n’est pas de sa faute. Elle n’a même pas conscience de son aliénation. Pire, elle se croit même libre de ses choix!

Pendant une élection, vous pouvez accumuler des records d’audience dans les meetings, mais le jour du vote, les électeurs conditionnés par leur aliénation, font le choix du court terme.

C’est pour cette raison qu’il faut toujours être compréhensif avec ces personnes. Il ne faut même pas les juger, mais travailler à les arracher de cette aliénation.

Une autre catégorie de personnes aliénées sont des gens qui ne pensent pas que leur destin depend d’eux-mêmes.

Ils ne pensent pas qu’ils ont la solution à leurs problèmes ou que leur avenir est entre leurs mains. Ce sont des gens qui à longueur de journée espèrent la venue d’un liberateur, d’une intervention militaire étrangère, d’une mise en place d’un code électoral parfait, croient en un « sauveur » pour que le pays change de cap. Ils sont mentalement enchaînés et (dés)espèrent que les dirigeants en place meurent pour sortir de la dictature. Pourtant comme on l’a vu au Tchad et Gabon voisins, le décès d’un autocrate ne sonne forcément pas la fin d’un régime…

Les plus téméraires de ces aliénés font énormément de bruits pour attirer l’attention des médias étrangers ou des puissances néocoloniales. Mais sur le fond, ils ne pensent pas qu’ils peuvent se libérer tous seuls. Ils sont esclaves dans leurs têtes.

Aliénés « sardiniques » ou aliénés « neocoloniaux » ont un point commun: Ils retardent tous la libération du peuple par la seule voie sure: Les élections !

En effet, seule la marée électorale peut faire plier un dictateur sans trop de dégâts. Cela sest déjà produit en Afrique avec l’ancien président ivoirien Robert Guei ou l’ancien Président sénégalais Abdoulaye Wade.

Tous les dictateurs connaissent ce secret et s’emploie à tout faire pour le dissimuler au peuple.

À cet effet, ils utilisent 2 armes plus puissantes que les moyens militaires: Le divertissement et le découragement.

Le divertissement est l’arme favorite des puissants pour contrôler les masses. C’est pour cette raison que même aux pics de la pandémie du COVID19, les débits de boisson restent ouverts. Même si le pays n’a pas d’hôpitaux ou bien que le chantier de l’autoroute Yaoundé-Douala piétine depuis 10 ans, l’argent ne manquera jamais pour construire des stades toujours plus faramineux.

Les réseaux sociaux sont venus encore donner un coup de pouce au pouvoir dans son offre de divertissements. À longueur de journée, les citoyens s’invectivent, discutent des sujets chronophages et s’éloignent de l’essentiel.

Le découragement est également une arme très puissante du pouvoir : On laisse diffuser par des hommes politiques à leur solde, qu’avec ce code électoral, rien n’est possible, que la France ou les USA sont des remparts infranchissables du pouvoir et que sans eux, rien n’est possible, que bientôt la succession dynastique est inévitable, que 2025 est encore loin et on a encore le temps de s’épuiser sur des sujets périphériques, que de toutes les façons, les jeux sont faits et il faut tout simplement tout accepter.

La conséquence de cette stratégie du pouvoir est la résignation électorale… voire l’abandon electoral. Par conséquent, les gens ne s’inscrivent pas sur les listes électorales. Quand ils s’inscrivent, ils ne retirent pas leurs cartes. Quand ils retirent leurs cartes, ils ne votent pas. Et ceux qui arrivent a voter ne s’intéressent pas au sort de leurs votes y compris dans leur propre bureau de votre ou circonscription électorale. Voilà la recette qui fait que le pouvoir se maintient depuis 50 ans!

Ils ont aliéné le peuple!

Pour changer cette situation, il faut désaliener ce peuple. Il faut le sortir de la caverne. Il faut l’éduquer sans le juger, sans le brutaliser physiquement et surtout verbalement.

Sortir une personne de la caverne nécessite également de la méthode. Il faut de la patience et de la tempérance. Il faut former des leaders qui iront éduquer à leur tour les masses.

C’est pourquoi nous au PCRN, nous avons créé une académie citoyenne. Sa mission est de (ré)éduquer le peuple à la politique est aux valeurs de la République. Nous sommes conscients que ce travail peut prendre du temps. Si vous sortez une personne de l’obscurité totale de la caverne pour la lumière du soleil, vous courrez le risque de « griller » ses yeux et à la fin, il ne verra plus rien du tout! Patience, méthode, pédagogie sont les principes directeurs de l’académie citoyenne du PCRN.

Vous avez sûrement l’âme d’un leader et vous avez envie d’éclairer votre communauté ou votre environnement, prenez contact avec l’équipe pédagogique de l’académie : +237 677656899 ou +237 696077182.

Notre objectif est d’atteindre une masse critique de leaders, capables de faire sortir notre peuple de l’aliénation. Ce n’est qu’ainsi que nous pourrons libérer plus d’énergies pour le développement vertigineux de notre pays.

Cabral Libii

 

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Le président du Parti Camerounais pour la Réconciliation Nationale Cabral Libii adresse à Espoir Biyong une vive gratitude au nom de sa formation politique.

Dans sa posture de président du Parti Camerounais pour la Réconciliation Nationale (PCRN), Cabral Libii a adressé un message à Espoir Biyong qui a récemment décide de quitter les rangs de sa formation politique.  

«Je viens d'apprendre par reportage télévisé la démission de BIYONG J. Espoir, Adjoint au Maire de Douala 5ème, des rangs du PCRN. Je lui adresse au nom du parti, notre vive gratitude pour son inoubliable engagement, certes parfois tumultueux... Que Dieu le bénisse toujours», a écrit Cabral Libii.

A titre de rappel, c’est le lundi 3 mai 2021, que Espoir Biyong à travers sa page Facebook, a fait savoir à toute la communauté nationale, qu’il démissionnait du PCRN.

« A partir de ce lundi 03 Mai 2021, je démissionne définitivement du PCRN (Parti Camerounais pour la Réconciliation Nationale)», a-t-il écrit.

La démission de l’adjoint au Maire de Douala 5ème ne surprend pas vraiment. Parce qu’il s’était à plusieurs reprises montré opposé à certaines prises de positions de son parti politique. Il avait vivement critiqué la participation de son parti aux élections régionales de décembre 2020. Dans ses prises de parole, il avait donné raison à Maurice Kamto dont le parti politique pratique depuis les dernières élections législatives et municipales, la politique du boycott.

Liliane N.

 

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« A partir de ce lundi 03 Mai 2021, je démissionne définitivement du PCRN (Parti Camerounais pour la Réconciliation Nationale). » C’est l’annonce que l’adjoint au maire de Douala 5e a fait sur son compte Facebook ce lundi 03 mai. Un départ qui semble évident au regard des derniers évènements au sein de son désormais ancien parti politique.

 

Nous l’annoncions déjà dans un précédent article sur www.agencecamerounpresse.com, Joseph Espoir BIYONG a franchi la ligne rouge depuis un certain temps. Joseph Espoir BIYONG, comme Célestin Djamen pour le MRC avant lui, était devenu le principal frondeur au sein du Parti Camerounais pour la Réconciliation Nationale (PCRN). Joseph Espoir BIYONG n’était plus en accord avec les choix de son leader Cabral Libii.

Joseph Espoir Biyong n’est-il plus la créature de Cabral Libii ?

Manifestement la pomme de discorde est consommée entre les deux. Pourtant il y a encore un an, au cœur de la crise qui l’opposait aux responsables de son parti politique, Joseph Espoir BIYONG semblait faire profil bas en reconnaissant sur les antennes de ABK Radio : « Je suis une découverte, une créature de Cabral Libii et je lui dois allégeance jusqu’à la mort. Je vais profiter de cette opportunité qu’il me donne ». Le maire adjoint le disait le 12 mai 2020. Et un an plus tard il va faire le choix de prendre la porte du parti. C’est dire qu’il a été très difficile pour le jeune élu municipal de revenir réellement sur ses pas, de retenir sa langue et de tronquer sa liberté de ton sur l’autel de la discipline du parti.

Lire aussi : Joseph Espoir BIYONG annonce-t-il son départ du PCRN ?

Joseph Espoir BIYONG s’était fait remarquer à la suite des élections régionales de décembre 2020. Pour lui, son parti ne devait pas prendre part à ces élections comme l’avait préconisé le MRC, il est entré dans une marche qui l’a mené aujourd’hui à son auto exclusion du PCRN.

Maintenant, les questions qui se posent sont celles de savoir le nouveau chemin politique que va emprunter celui qui reste un élu du peuple ayant bénéficié du suffrage des militants du PCRN. Ceux qui ont fait comme lui, ont le plus souvent créé leur propre parti politique. Mais, dans la posture de Joseph espoir Biyong, il est difficile d’envisager un véritable avenir politique au sein d’un parti qu’il tenterait de porter.

Et si Joseph Espoir BIYONG devenait le premier élu du parti de Célestin Djamen ? Le parti de ceux qui se mettent « APAR » ?


Stéphane NZESSEU

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Dans un message posté sur son compte Twitter, le député Cabral Libii demande aux militants de son parti politique de ne pas tenir des propos inutilement clivants, stigmatisants et confusionnels.

Pour le député Cabral Libii président du Parti camerounais pour la réconciliation nationale (PCRN), les militants de sa formation politique peuvent faire des répliques après l’attaque qu’il a reçue de Me Alice Nkom. Cependant, leurs répliques doivent rester dans la ligne du PCRN.  

«Militants et sympathisants du PCRN. Bien vouloir vous abstenir de propos inutilement clivants, stigmatisants et confusionnels qui éloignent vos répliques de la ligne du PCRN. Restons focus sur le leadership de l'intelligence et des idées. Le temps de la diversion est écoulée», a écrit le président national du PCRN sur son compte Twitter.

Il faut souligner que des militants et cadres du PCRN sont montés au créneau pour soutenir le président national de leur parti. C’est le cas de l’honorable Nourane Foster qui sur sa page Facebook a posté un message dans lequel, elle encense le député.

L’Exemplarité n’est pas de ce monde, elle est divine. La reconnaissance n’est pas de ce monde, elle est divine. Attaqué, humilié, dénigré, victime de toutes sortes de diffamations il a toujours su garder la tête haute. Courageusement, L’homme a embrassé le destin qui est le sien. Dieu voulant, il pourra bientôt présider à notre destinée. C'est également un humain avec un coeur, ses états d'âmes, ses moments de faiblesses. Pour nous il est un modèle, au-delà de nous dire que c’était possible, il nous a montré le chemin. Pour le Cameroun il est une chance», a-t-elle écrit.

L’honorable Rolande Ngo Issi pour sa part a été plus dure dans a réplique. Elle a demandé à Me Alice Nkom de présenter d’abord son cv en politique avant de donner des conseils au président de leur parti.

«Ma très chère grand-mère j'ai suivi avec beaucoup de passion tes sorties au sujet de l'évolution politique de mon leader l'hon Cabral Libii. J'ai essayé dans mon esprit immature en politique de comprendre ce dérapage public et je me suis résolue de vous interpeller en insistant sur certains aspects: Primo lorsqu'on donne objectivement des leçons d'expérience et de maturité politique on commence par présenter les forces et faiblesses du concerné. Ensuite, présenter son propre CV dans le domaine car en réalité, nous qui nous revendiquons d'une certaine génération nous inspirons du parcours élogieux de nos parents et grands-parents», a-t-elle écrit.

Liliane N.

 

 

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Le Maire PCRN de la commune de Douala 5e vient de lancer une boutade via son compte Facebook. Le leader du parti de Cabral Libii laisse entrevoir la création par ses soins d’un autre parti politique dans les jours à venir. Un parti qui sera la suite des initiatives de l’histoire de « 11 millions de citoyens ».

 

C’est une vérité de La Palice, le Maire PCRN Joseph Espoir Biyong est au seuil de la porte du parti depuis ses déclarations incendiaires à la suite des élections sénatoriales de 2020.

On se souvient que le jeune magistrat municipal avait critiqué la décision prise par Cabral Libii de prendre part à ses élections sénatoriales, en affirmant que son parti aurait dû suivre le mot d’ordre de boycott lancé par le MRC et Maurice Kamto. Une position qui avait créé un tollé au sein de son mouvement politique. Depuis lors, Joseph Espoir BIONG surfe sur cette vague pour faire passer ses prises de positions au sein de l’opinion publique. Cette fois, c’est carrément sa démission qu’il annonce de manière subliminal.

On peut lire sur son compte officiel : « Tout une histoire ! Le moment venu, je vous la raconterai. En attendant, prions pour la naissance du quatrième et peut être dernier né de la famille. » Comme illustration, le maire met en relief les logos des différents mouvements et partis politiques par lesquels sont passés son leader, Cabral Libii pour aboutir au PCRN d’aujourd’hui.

Le premier de cette famille c’est bien le mouvement « 11 millions de citoyens ». Mouvement qui dans un premier temps consiste à encourager les jeunes camerounais à s’inscrire massivement sur les listes électorales, puis devient un mouvement civique qui porte la candidature de son leader pour la présidentielle de 2018. L’autre logo, c’est celui du parti UNIVERS qui sera le cheval politique qui va légaliser la candidature de Cabral Libii.

Ensuite, Joseph Espoir BIYONG ressuscite le logo de « Les citoyens », un parti politique mort-né, auquel le ministre Paul Atanga NJI n’a jamais permis de voir le jour. Et le dernier logo est bien celui de l’actuel étendard politique, celui du PCRN. De ce point de vue, on peut déduire que la famille « ONZE MILLIONS » a effectivement mis au monde trois instruments politiques, et Joseph Espoir BIYONG semble annoncer la venue au monde d’un quatrième, qui sera peut-être le dernier.

 

Stéphane NZESSEU

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Une lettre d’invitation ayant comme objet « Retrait de confiance au Chef de l’Exécutif communal d’Eseka » a été envoyée au préfet du département du Nyong et Kelle ce mardi. Pour donner plus de poids à cette initiative, les dissidents ont évoqué certains articles du code général des collectivités décentralisées.

 

L’Article 172 dans ses alinéas 1 et 4

Le Maire peut réunir le Conseil Municipal en Session extraordinaire chaque fois qu'il le juge utile. Il est également tenu de le convoquer quand une demande motivée lui est adressée par les deux tiers des membres.

Si la défaillance du Maire est constatée dans les cas prévus aux· alinéas 1, 2 et 3 ci-:-dessus, au terme d'une mise eh demeure restée sans suite, le représentant de  l'Etat peut signer les convocations requises pour la tenue d'une session extraordinaire du Conseil Municipal.

L’Article 173 alinéa 2

En cas de nécessité, le délai de convocation peut être abrégé à deux jours, sous respect du quorum prévu à l’Article 174…

Les Conseillers Municipaux de la Commune d’Eseka soussignés, convoquons l’ensemble du Conseil Municipal à une session extraordinaire le 19 Mars 2021 à 10 heures dans la salle polyvalente de l’Hôtel de ville d’Eseka.

« Réfractaires à tout développement »

Et à ce constat, l’on pourrait ajouter « refus de travailler sans qu’interviennent des actes de corruption, d’arnaques et autres agissements qui ne favorisent que certains individus, au détriment de la grande majorité ».

Il faut en outre relever que depuis son arrivée à la tête de cette Commune, Sylvain Tjock est confronté à de nombreuses difficultés alors que les fruits du labeur commun se font de plus en plus ressentir dans l’une des villes les plus vielles du Cameroun.

Cette ville qui ployait sous des monceaux d’ordures, des rues qui servaient de dépotoir, un marché dans lequel des tas  d’immondices côtoyaient les vivres que l’on proposait aux clients.

L’obscurité était quasi permanente, aucun plan d’urbanisation, aucun projet dans lequel l’on sentait que les Jeunes notamment étaient pris en compte….

Pourtant, le Chef lieu du Département du Nyong et Kelle a vu le passage de nombreux maires, élus sous les couleurs de certains partis politiques, le Rdpc et les différentes tendances de l’Upc pour ne pas les citer. Cependant, qu’est ce qui a fondamentalement changé ? Rien du tout.

Dans les rangs du Parti Camerounais pour la Réconciliation Nationale, ceux qui restent fidèles aux idéaux du Parti disent qu’ils « savent désormais qui ont voté contre les aspirations du Peuple pendant les élections régionales…Ils n’ont jamais osé assumer leur choix et veulent pourrir le Parti de l’intérieur ».

De son côté, le Maire et ses principaux collaborateurs se disent « confiants de l’avenir car, deux ans à peine après avoir pris la tête de cette Mairie, le bilan, bien que provisoire est là et, le meilleur reste à venir ».  

 

Nicole Ricci Minyem  

 

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Sur ses comptes Facebook et Twitter, le député du Parti camerounais pour la Réconciliation nationale (PCRN) exprime toute son admiration sur l’infrastructure de football haut standing dont s’est doté le Cameroun à savoir le Complexe sportif de Japoma logé à Douala, la capitale économique. Selon l’élu du peuple, il n’y a rien à dire, c’est le plus beau du continent africain. 

 

A la lecture de ses publications sur la toile ce lundi, 18 janvier 2021, la camarade de parti et de l’Assemblée nationale de Cabral Libii a les mots justes pour apprécier ce joyau architectural d’une qualité rare et ultra moderne. « Un stade digne de la génération 2.0 ! Le plus beau en Afrique et en plus dans ma Circonscription Wouri Est ! Pour la première fois je suis obligée de reconnaître sur ce point », a écrit Nourane Foster sur son compte twitter. 

Reconnue pour son franc parler, l’honorable Nourane Foster ne cache d’ailleurs pas sa fierté à propos du stade de Japoma. Elle a en outre tweeté : « Après la visite du stade de Japoma hier, je crois que nous devons féliciter la coopération Turque-Cameroun et surtout remercier le Chef de l’Etat Président Paul Biya pour cette volonté politique ».    

Sans langue de bois, ni complaisance, les infrastructures sportives nouvellement construites au Cameroun sont appréciés aussi par les étrangers. C’est en l’occurrence, le coach des léopards de la République démocratique du Congo, Florent Ibenje. Sur les ondes de la Radio France internationale (Rfi) intervenant à l’émission Radio Foot internationale, il n’a pas manqué de saluer la qualité de ces infrastructures. Il n’a surtout pas manqué d’insister sur les stades d’entrainement qui, dit-il sont nombreux dans le pays.

Ce ne sont donc pas les infrastructures sportives de qualité qui manquent au Cameroun, reste que les populations elles aussi accompagnent les pouvoirs publics dans la pérennisation de ces bijoux. Une impérieuse nécessité surtout quand on sait que ce 18 décembre 2021, le Ministre des Sports et de l’Education physique (Minsep), président du Cocan 20-21, Narcisse Mouelle Kombi dénonce des actes de déviance et d’incivisme sur les sites de compétition notamment au Complexe sportif de Japoma. « Il s’agit par exemple du piétinement des sièges, de la pose des pieds sur les accoudoirs et les dossiers, de l’occupation anarchique des places et du dépôt d’ordures sur des emplacements inappropriés », relève le Minsep.

Innocent D H     

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Sunday, 05 June 2022 11:01