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Les élus de cette formation politique ont reçu il y a quelques jours, l’accord du Directeur du Contrôle des Intrants et Produits Agricoles du ministère de l’Agriculture et du Développement Rural.

 

Une décision qui fait suite au rapport d’enquête technique réalisée au mois de Juin 2020, par Minkoma Armande – Inspecteur Semencier National et Mani Pierre Ghislain – Contrôleur Semencier Régional, dans les exploitations du Parti Camerounais pour la Réconciliation Nationale.

Celles – ci sont situées à Manguengues – Arrondissement d’Eseka – Département du Nyong et Kelle – Région du Centre.

Le certificat d’exercice de l’activité semencière octroie le droit au Pcrn de multiplier des semences

A base de céréales, tels que le maïs, le sorgho, le blé, l’oseille de Guinée…

Des féculents, à l’instar du manioc, des pommes de terre, d’ignames

Mais aussi du cacao, sans oublier des plants certifiés de bananier plantain, de cacaoyer et d’anacarde.  

Cette autorisation, renouvelable dans les mêmes conditions a une durée de trois ans et, de l’avis des membres du mouvement Onze Millions de Changements, « Il convient de rappeler que le Parti Camerounais de la Réconciliation Nationale a toujours inscrit l'Agriculture au cœur de sa politique de développement. Et cet accord s'inscrit dans cette stratégie, afin de permettre au Cameroun de préserver ses devises, en réduisant l'importation de céréales mais aussi en créant des emplois durables… ».

Autres réactions

Attaqués et hués par leurs adversaires politiques et autres libres penseurs, notamment par Boris Bertholt qui a écrit sur sa page Facebook : « Mince. C’est la première fois depuis que je suis la politique dans le monde que j’entends un truc comme ça d’un parti de l’opposition. La politique, c’est le monde des idées et non du commerce… ».

Réponse de Armand Okol : « Un Parti Politique est d'abord une association, une personne morale qui œuvre à concrétiser ses idées. Les activités commerciales ne sont pas interdites aux partis politiques. Le fait que le Pcrn accède à la souveraineté semencière va lui permettra de faciliter l'entrée de milliers de camerounais dans l'agriculture, par l'hypothèse de distribution gratuite de semences assortie de formations culturales dans la spéculation choisie…

D'ailleurs la loi n° 90/056 du 19 Décembre 1990 portant sur la création des Partis Politiques dispose en son article 12 (copie jointe) que : Tout Parti Politique autorisé peut... Percevoir le produit de ses activités culturelles et économiques… 

Les champs semenciers de riz pluvial, de cacao, de maïs, de bananier-plantain et de noix de cajou sont d’ores et déjà lancés… ».

Les populations quant à elles, semblent percevoir favorablement  cette nouvelle et, d’aucuns ont même déjà déposé  des projets, au niveau de la mairie d’Eseka, dans l’espoir de rentrer en possession des semences ou alors des plants.

 

Nicole Ricci Minyem

 

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Dans un entretien accordé à l’Agence Cameroun Presse, le Député du Nyong et Kelle revient entre autres sur les doléances qui leur ont été soumises par les populations, les projets qui sont les leurs à plus ou moins court terme mais surtout, l’importance que revêt pour eux, les inscriptions massives des populations sur les listes électorales.

 

-         Merci Honorable d’accepter de répondre à nos questions. Vous revenez d’une tournée parlementaire qui vous a conduit dans certaines régions et localités du Cameroun. Que peut-on retenir de cette tournée ?

Je tiens déjà à vous remercier pour l’intérêt que vous marquez pour notre parti ; et, de nos activités qui sont suivies tous les jours par vous. Bien évidement, nous revenons d’une tournée préalablement prévue pour dix jours, mais qui est allée au-delà.

Nous sommes allés au contact de nos populations, de notre base militante. Nous avons effectués des visites dans quatre régions du pays ; notamment à l’Est, l’Adamaoua, le Nord et l’Extrême Nord.

Les impressions sont bonnes. Nous sommes allés dire merci aux populations, pour la confiance à nous accordée pendant les dernières élections bien que n’ayant pas les élus partout. Mais, c’était déjà cela, leur témoigner cette reconnaissance vis-à-vis de ce qu’elles ont fait.  

Cette tournée parlementaire a par ailleurs été l’occasion idoine pour remobiliser les troupes pour les échéances à venir ; c'est-à-dire les élections de 2025.

Nous avons également inauguré les sièges du Parti Camerounais pour la Réconciliation Nationale, que ce soit à l’Est, dans l’Adamaoua, dans le Nord également.

Nous avons eu des entretiens privés avec les autorités traditionnelles, administratives pour leur dire quel est notre programme, notre plan d’action pour le Cameroun, si nous arrivions à conquérir la magistrature suprême en 2025.

-         Quel est l’accueil qui vous a été réservé ?  

L’accueil, pour ceux pour ceux qui sont régulièrement connectés sur les réseaux sociaux ou encore, pour ceux qui ont suivi quelques médias, voyez – vous on a de la peine à comprendre que dans cette partie du pays, nous soyons aussi bien accueillis, reçus.

On a envie de dire que mieux vaut aller résider de ce côté, que dans la partie Sud du pays ; parce que les populations sont assez accueillantes ; nous avons drainé pas mal de monde ; pas mal de foule et, pour des visites qui étaient prévues restreintes, nous nous sommes retrouvés pratiquement à faire des meetings.

On avait mille personnes qui couraient venir voir les élus et en premier, le président national qui est l’honorable Cabral Libii.  

-         Quels sont les problèmes qui vous ont le plus été soumis, aussi bien par vos électeurs, ensuite par les autres couches de la population ?

Ceux qui sont nos électeurs nous ont beaucoup plus demandé de rester à leur contact. Ils veulent avoir une très bonne maîtrise de nos actions ; des activités menées par le Pcrn au quotidien. Voilà un peu ce qui revenait tout le temps.

Ils nous ont soumis quelques petits soucis d’ordre interne et, nous avons apporté des solutions aux petits problèmes qu’il y’avait dans les coordinations, les comités de base, les sous comités d’Arrondissements, pour que l’harmonie règne et qu’on remobilise les personnes ; qui avaient pris quelque distance avec le parti après les élections, après les échecs.

Nous leur avons promis de travailler main dans la main pour que ces choses qu’on a connues en 2018 et en 2020 ne se reproduisent pas.

-         Et pour les potentiels électeurs et autres ?

Nombreux sont les Camerounais qui n’ont toujours pas des actes de naissance et donc forcément, qui n’ont pas des cartes nationales d’identité. Nous leur avons promis à chaque étape, que nous allons répertorier au niveau national et, la personne la mieux indiquée est le délégué général à la sûreté nationale.

Nous allons lui soumettre cette doléance, pour qu’une fois la pandémie passée ou maîtrisée, les équipes sur place essaient de travailler dans ce sens.

Déjà qu’il y’a une institution qui existe, le Bureau National de l’Etat Civil (Bunec) qui, à mon sens doit fournir beaucoup plus d’efforts afin de pouvoir régulariser ces milliers et milliers  de cas des Camerounais qui sont, pour certains, en âge de voter, d’autres un peu plus jeunes, d’autres encore beaucoup plus vieux qui n’ont pourtant pas ce précieux sésame qui est l’acte de naissance, encore moins la carte d’identité nationale.  

A côté de cela, il y’a les problèmes des Camerounais de tous les jours : Manque d’électricité, de routes, d’eau potable…

Vous avez vu à la fin, nous avons eu une grande donation d’une foreuse et d’un pickup pour pouvoir nous mouvoir facilement. Grâce à ces dons, nous aurons la possibilité de sillonner au cours des prochains mois,  le Cameroun profond et d’offrir de l’eau potable  aux populations.

-         A l’Est Cameroun, comment de passe la cohabitation entre les natifs du coin et les réfugiés qui viennent notamment de la République Centrafricaine ?

Nous n’avons pas beaucoup ressenti cet aspect là. Le Cameroun est une terre d’accueil ; ça fait que lorsque les centrafricains viennent trouver refuge auprès de leurs Frères Camerounais, ils ne rencontrent aucun problème.

Certains vivent dans les camps, d’autres au sein de la population et aucun problème de cohabitation n’a été porté à notre attention.

Par rapport aux problèmes d’insécurité, il y’a du petit banditisme, des petits coups de vol parce qu’il y’a des personnes nécessiteuses…Grosso modo, la situation est maîtrisable, la sécurité est assez renforcée dans ces zones là.

On tire un coup de chapeau à tous les éléments de nos Forces de Défense et de Sécurité qui sont déployées dans toutes les  régions du pays qui connaissent des problèmes d’ordre sécuritaire.

-         Honorable, au-delà des discours politique, pensez – vous que les élus du Pcrn (Députés – Maires – Conseillers Municipaux) seront capables de relever les défis auxquels ils sont confrontés ?

Vous savez, nous ne sommes pas là pour faire de la propagande. Nous sommes là pour poser des actes qui vont parler tous seuls demain.

Et, pour ceux qui nous ont écoutés durant la période de campagne, nous avons évité de faire des promesses. Nous pensons que les actes valent mieux que les paroles et, maintenant que nous sommes aux affaires, nous allons nous atteler à faire ce qui est à notre niveau.

Nous avons quelques projets que je ne vais pas dévoiler ici et qui sont entrain d’être implémentés sur le terrain et d’ici deux, trois mois au plus, vous aurez les échos de certains de ces projets.

Quand vous allez voir le Maire de Massok Song Loulou, celui d’Eseka, celui de Nkondjok, vous voyez les réalisations.

Les députés sont aussi présents sur le terrain et, en six mois, vous avez les échos de ce qui a été fait en l’espace de six mois.

C’est vrai que les attentes sont grandes. Le peuple Camerounais, dans son entièreté a reposé son espoir sur nous. Et, bien que nous ne soyons pas très nombreux, nous allons pourtant tout faire, pour que  ce petit nombre fasse parler de lui, par la force de ses propositions et de ses réalisations.

Au bout de cinq ans, je souhaiterais qu’on tire des conclusions ensembles et à ce moment, on ne nous demandera plus si nous faisons de la propagande. Je pense qu’à ce moment là, les réalisations seront là et, elles parleront d’elles mêmes.

-         Que répondez – vous à ceux qui vous considèrent comme les élus du Nyong et Kelle, c'est-à-dire que votre base électorale se limite dans ce département ?

Il ne faut déjà pas sortir du cadre de député ; parce que ses premières missions sont votées les lois et contrôler l’action du gouvernement.

Vous savez, il y a un certain nombre de choses, que nous faisons aujourd’hui et qui, ma foi ne cadrent même pas avec l’activité principale d’un député. Mais, nous y sommes, on avance.

Maintenant, parler des députés du Nyong et Kelle, moi je voudrais vous dire tout de suite que, depuis que nous avons été élus, nous n’avons pas fait de tournée officielle dans le Nyong et Kelle.

Cela ne veut pas dire que nous n’y pensons pas, encore moins que nous négligeons nos électeurs de ce côté. Toutefois, nous savons que nous sommes des députés de la Nation ; cela signifie que partout, nous sommes appelés à parler des problèmes que rencontrent les populations de l’Est, de l’Adamaoua, du Centre, du Sud bref de tout le monde. Nous sommes des députés de la Nation.

Bientôt, nous serons de retour dans le Nyong et Kelle pour aller expliquer à nos populations, celles qui nous ont porté là où nous sommes aujourd’hui, ce que nous avons fait au cours des six premiers mois passés à l’Assemblée Nationale et ce que nous comptons faire pour la suite ;

Nous allons leur parler de ce que nous envisageons faire pour la réalisation de certains projets pour le bon déroulement des activités dans le Nyong et Kelle…

-         Quelles sont les difficultés auxquelles vous avez été confronté au cours des six premiers mois ?

Des difficultés, il y en a toujours. Vous avez des dossiers qui sont introduits et qui ne reviennent pas. Vous savez, l’administration au Cameroun est ce qu’elle est, on l’a toujours décrié. Les lenteurs administratives sont permanentes mais, nous essayons de bousculer les mentalités pour que les choses avancent mieux.

-         Si on vous demandait de faire un bilan des six derniers mois ?

Je pourrais dire que notre bilan est largement positif. D’ailleurs, la majeure partie des Camerounais nous le dit tous les jours. Nous encourage et nous demande de continuer sur la même lancée. Cela nous galvanise et nous pousse à aller toujours de l’avant.

Vous savez, nous ne nous arrêtons presque pas. Nous passons le temps à lire les dossiers soumis à notre attention car, il est question d’avoir la maîtrise des sujets que nous comptons évoquer et qui vont apporter un changement dans la vie de nos compatriotes.

-         Vos projets à plus ou moins court terme ?

Nous nous inscrivons toujours dans une dynamique du collectif ; c'est-à-dire que lorsque nous allions à l’élection, un député n’est pas député tout seul. Et, pour le cas des députés du Pcrn, nous sommes un projet. Et, je vous l’ai dit plus haut, je ne veux rien dévoiler pour l’instant. Au moment opportun, tout ce qu’il y’a à savoir sera visible pour tous.

Je peux néanmoins vous promettre qu’au bout de chaque fin d’année, un bilan sera fait par les élus du Pcrn. Nous tenons compte des doléances qui nous sont faites, nous travaillons avec des partenaires et restons dans la même logique : l’Humain au centre de chacune de nos actions.

Nous allons travailler dur déjà pour sortir le Nyong et Kelle du sous développement mais aussi, le Cameroun dans son ensemble.       

-         Honorable, le Pcrn va t-il prendre part aux élections régionales ?

Oui, nous envisageons de le faire mais, au moment opportun, une communication plus appropriée sera faite sur cette question.

-         Autre chose à ajouter, honorable ?

Je dirais, six mois, c’est une grosse expérience ; c’est beaucoup de choses apprises en quelque temps ; le fonctionnement d’un parlement, d’une nation. Ce n’est pas toujours facile de voir cela de l’extérieur.

Il était donc important pour nous, d’être dans ce sillage. Vous savez, nous nous préparons à gérer ce pays. Il ne faudrait pas que lorsque nous serons aux affaires, que nous soyons des novices.

Et, nous sommes à quelques jours, de la clôture des inscriptions sur les listes électorales. C’est le 31 Août et, nous appelons encore et toujours les Camerounais à s’inscrire sur les listes électorales.

Un message qui s’adresse à ceux qui sont en âge de voter, qui sont détenteurs d’une carte nationale d’identité afin qu’ils s’inscrivent partout où ils se trouvent.

Nous pensons que l’alternance arrivera par les urnes et, comme aime souvent bien le dire notre président national, l’honorable Cabral Libii, que ce soit une vacance au poste ou autre chose, in fine, nous arriverons toujours aux élections. Et ceux qui ne sont pas inscrits, ne vont jamais voter et ils ne vont pas décider de leur destin.

C’est le message principal que nous passons depuis deux, trois ans. Lorsque nous aurons atteint douze millions d’inscrits, les Camerounais changeront le destin de leur pays.

 

Entretien mené par Nicole Ricci Minyem

 

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Jean Michel Nintcheu le Député du Social democratic front pense que le Mouvement pour la renaissance du Cameroun même en ayant boycotté les élections législatives et municipales du 9 février 2020, continue d’être un acteur de poids politiquement parlant.

Invité au programme dominical «La vérité en face» diffusé sur la chaîne Equinoxe Tv, l’Honorable Jean Michel Nintcheu du Social democratic front (Sdf) s’est exprimé entre autres sur le Mouvement pour la renaissance du Cameroun (Mrc), le parti politique de Maurice Kamto. Il n’a pas caché son admiration face à cette formation politique qui a boycotté les élections législatives et municipales dernière, et réussit tout de même l’exploit d’être un poids lourd dans la scène politique. «Le MRC qui a boycotté les élections a aujourd'hui une grande capacité de mobilisation. Il faut le reconnaître...Le Mrc est dans une posture qui le rapproche le plus de ce que le peuple de l'opposition souhaite»,  a déclaré l’Honorable Jean Michel Ninctcheu.

LE PCRN DE CABRAL LIBII

Pour ce qui est du Parti camerounais pour la réconciliation nationale (Pcrn), l’Honorable Jean Michel Nintcheu pense que lorsqu’ils passeront plus de temps à l’Assemblée nationale et qu’ils auront une bonne compréhension de la manière dont les choses se passent à la chambre basse du parlement, ils deviendront moins enthousiastes. «Les Députés du Pcrn ont le zèle du néophytes…Ils sont très enthousiastes. Ils n'ont fait que 3 mois au parlement et comprendront la réalité du parlement. Je suis à plus de 15 ans au parlement. Même les Députés Rdpc ne peuvent pas changer une virgule sur un texte de loi sans la volonté de la Présidence», a-t-il affirmé.

LE SDF

L’Honorable Jean Michel Nintcheu pense qu’il serait bien que le parti politique fondé par le Chairman Ni John Fru Ndi se retire des institutions du pays. Pour lui, ce serait un signal fort. « Je ne suis pas le seul dans le parti [Sdf] à penser qu'à un moment Il faudra faire des sacrifices pour sauver ce pays…J'ai fait la proposition à mon parti de quitter les institutions et de laisser le RDPC avec le parlement, afin de créer un électrochoc», a déclaré le président régional du Sdf pour le Littoral. Le Député a tenu à préciser que ses positions ne sont pas celles du Chairman. Une façon de dire qu’il l’assume tout seul ses propos.

Liliane N.

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Le président du Parti camerounais pour la réconciliation nationale pense que tous ses concitoyens doivent prétendre à accéder à la Présidence de la République.

C’est l’une des déclarations phares que Cabral Libii le président du Parti camerounais pour la réconciliation nationale (Pcrn) a faites dimanche 19 juillet 2020, sur le plateau du programme “Face à l’actu” de la chaîne de télévision Stv. «L’objectif du Pcrn est connu, je dois être élu Président du Cameroun à la prochaine Présidentielle, c’est une prétention légitime que tout camerounais devrait avoir», a déclaré le Député.

C’est donc pour atteindre cet objectif, que Cabral Libii et sa formation politique répondent toujours présents à chaque rendez-vous électoral. «À chaque fois qu’il y’aura élection, nous irons aux élections et nous battrons pour les remporter», a-t-il ajouté. D’ailleurs le député pense que son parti se positionne bien pour être le premier des formations politiques du pays. «Le Pcrn par le travail a la prétention d’être le parti politique leader au Cameroun», a-t-il déclaré.

Les ambitions de Cabral Libii sont largement partagés par les militants du Pcrn. L’un d’entre eux appelé Ange Toueli réjouit des déclarations de son président de parti, a indiqué que le peuple camerounais sera tenu informé de ce qu’il pourrait survenir. «Le Pcrn va diriger le Cameroun. Le peuple souverain sera informé tôt des actions et rapidement ajustements, corrections et réorientations pourront s’opérer. Une Gouvernance participative et  performante!», a écrit le cadre du Pcrn.

Liliane N.

 

 

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Ce jeudi au quartier Anguissa à Yaoundé, les élus du PCRN étaient réunis autour de leur président, l’honorable Cabral Libii. Face aux journalistes, les députés et maires de ce parti politique ont essayé de dresser un premier bilan de leurs activités au sein du parlement et dans leurs différentes circonscriptions administratives. Seulement, à la surprise de tous, la seule élue absente à cette rencontre était la députée 2.0, Nourane Foster.

 

La jeune représentante du peuple au sein de la chambre basse du parlement multiplie des actions de fronde avec le sommet de son parti et plus singulièrement avec le président dudit parti politique, Cabral Libii. Après les dissensions autour de la gestion de la Covid, c’est aujourd’hui sa tenue à distance de certaines sorties et initiatives de son parti qui interroge.

On se souvient qu’au début de la crise de la Covid 19, la députée 2.0 n’avait pas vu d’un bon œil que Cabral Libii ait accepter de se rendre dans le domicile du très honorable Cavaye alors que celui-ci était censé être en confinement puisqu’il était soupçonné de porter les germes de la maladie. De plus, il n’avait respecté aucune règle parmi celles mises en œuvre par le gouvernement camerounais à l’époque. Des règles qui encadraient l’entrée sur le territoire de personnes provenant de pays à risque.

Toujours dans le sillage de la gestion de la crise du coronavirus, la députée avait en son temps initié une démarche de sensibilisation en marge de celle organisée par son parti le PCRN. Une initiative suspendue dans un premier temps par le ministre de l’administration territoriale, et qu’il va autoriser par la suite.

Depuis le mois de Février dernier, les actes de la députée Nourane Foster montrent très bien qu’il y a anguille sous roche dans la relation qu’elle a vis-à-vis du reste des élus de son parti. Très indépendante, elle apparaît très peu aux côtés de son président Cabral Libii lorsqu’ils sont hors du parlement.

De plus, on a le sentiment qu’elle ne lui voue aucunement le culte de personnalité que pratiquent l’essentiel de l’entourage du jeune prodige de la politique au Cameroun. Au point où l’on se pose la question de savoir : qu’est ce qui ne tourne pas rond entre la députée 2.0 et le reste de la troupe du PCRN ?

La non présence de l’honorable Nourane Fotsing à cette rencontre à laquelle ont pourtant pris part des responsables du parti venant du littoral fait naître davantage de suspicion sur l’état de la sérénité dans les rangs du PCRN.

NOURANE FOSTER : La députée du Buzz ?

 

Stéphane NZESSEU

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Robert Kona le fondateur du Parti camerounais pour la réconciliation nationale salue le fait que sa formation politique est aujourd’hui représentée à l’Assemblée nationale. 

 

Robert Kona est heureux quand il voit ce que le Député Cabral Libii a accompli avec la formation politique le Parti camerounais pour la réconciliation nationale (Pcrn), qu’il a créé. Pour cela, il n'envisage pas demander une compensation pour avoir cédé le leadership du Pcrn à l'ancien candidat à l’élection présidentielle de 2018. “Ma récompense est au-delà de certaines compensations parce que le parti a déjà cinq députés à l’Assemblée nationale et sept maires. C’est ça qui fait ma fierté et non une récompense”, déclare-t-il.

Robert Kona espère que son parti politique marquera le grand coup à l’élection présidentielle de 2025 avec le Député Cabral Libii. De son point de vue, l’ancien allié du parti Univers du Pr Prosper Nkou Mvondo a le potentiel nécessaire pour rempoter ladite élection.

“Nous n’avons pas assez de mairies et de nombreux municipaux pour les régionales, nous partons un peu défavorisés. S’agissant de la présidentielle de 2025, j’ose croire et je peux vous l’affirmer que notre parti passera à la tête de l’Etat par notre cher camarade Cabral Libii, qui a déjà été deux fois 3e, si je laisse de côté les municipales. A la présidentielle 2018, il était 3e ; aux législatives et municipales de février 2020, notre parti est toujours sorti 3e. C’est une preuve à suffisance qu’en 2025 il sera le président de la République par définition. Il a toutes les chances. En 2018, je n’avais pas entendu parler de lui et de nulle part il est sorti troisième. Comme qui disait : aux âmes bien nées, la valeur n’attend point le nombre des années”, déclare Robert Kona.

 

Liliane N.

 

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Dans un post publié sur la page Facebook du parti politique qu’il conduit, l’honorable Cabral Libii appelle les uns et les autres à prendre conscience et à opérer le choix qui convient le mieux à chacun.

  

« Haro sur les « passagers clandestins » de l’alternance

Un passager clandestin est par définition une personne qui veut aller d'un endroit à un autre sans payer le prix (ticket) du transport. Ils ont une prédilection pour les métros, les trains ou les bus. L'avion étant par le dispositif qui l'entoure, plutôt hors d'atteinte...

En politique, un passager clandestin est une personne qui souhaite l'alternance, qui réclame à corps à cri l'alternance, mais qui ne posera jamais des actes concrets qui contribuent à l'atteinte de cette alternance. Bien au contraire!

On lui propose l'alternance par le vote, il ne s'inscrit pas sur les listes électorales. Quand bien même il est inscrit, il ne va pas voter. S'il fait l'effort de voter, il ne surveille pas son vote. Et le statu quo continue.

D'autres personnes disent que le vote ne sert à rien et qu'il faut une alternance par l'insurrection populaire. Mais, tu ne les verras jamais lancer ou suivre un mot d'ordre pour faire descendre les gens dans la rue à Yaoundé, capitale politique ou dans une autre ville du pays pour faire chuter le « dictateur ».

Même pour de simples marches n'ayant rien à voir avec l'insurrection, vous ne verrez qu'une poignée de personnes se rendant effectivement sur le site prévu des événements, et les autres rasant les murs et assistant impuissamment et sans réactions, à la capture par la répression, de leurs concitoyens « imprudents ».

Le passager clandestin ne vote pas, mais réclame la Victoire de son candidat. Ne descend pas dans la rue à Yaoundé, mais il souhaite de tout son cœur une insurrection populaire.

Certains membres de la communauté anglophone du Cameroun réclament l'indépendance de ce territoire. On voit tous comment ils en payent le prix sur le terrain. Mais une bonne partie des camerounais souhaitent aujourd'hui qu'on arrive à l'alternance mais ne veulent pas payer le prix (réel).

Comment reconnaître les passagers clandestins de l'alternance ?

Ils sont connectés 24h/24 et 7 jours/7 sur les réseaux sociaux

Ils ne sont pas inscrits sur les listes électorales et/ou n'ont pas de cartes d'électeurs

Ils parlent d'alternance à longueur de journée en fieffés doctrinaires de l'illusionnisme politique

Lancent des slogans pompeux et vaseux jamais suivis d'effets sur le terrain

Ils veulent des élections transparentes et des institutions fortes, mais répugnent le parlement ou on change les lois

Ils critiquent tout: Le système en place, les dirigeants, la communauté internationale, les acteurs de la société civile et tout autre acteur politique dont ils ne partagent pas les choix du moment, ils ont la science politique infuse

Ils détectent les moindres failles du système, les exposent sur les réseaux sociaux et permettent même au pouvoir en place de s'améliorer et de s'ajuster pour être encore plus fort. Au même moment, ils attaquent toute autre personne qui peut faire des propositions pour permettre au pays d'avance

Ils écrivent de longs textes et des décryptages sur internet, font beaucoup de buzz et de "directs", parlent bien à la télé, etc... Mais après plus rien! Pas un seul appel à faire chuter le "tyran" par la rue, pas d'appel aux inscriptions sur les listes électorales et pas de vote quand l'occasion se présente.

Les passagers clandestins sont dangereux en raison de leurs innombrables distractions et diversion. Ils empêchent les esprits naïfs qui veulent payer le vrai prix de l'alternance par le vote (et même par la rue) de le faire. Leur nuisance à été souvent sous-estimée. Et pourtant...

Mes chers compatriotes, qu'on ne vous trompe plus. Tout ce qui est précieux sur cette terre a un prix. L'alternance à un prix et il faut le payer!

Je laisse le choix à chacun de choisir son mode de paiement

Par la rue ou par les urnes, mais il faut le payer quand même. Si non, nous n'irons pas bien loin et le système à bout de souffle va se régénérer sous nos yeux.

Quand à moi, vous connaissez ma position, elle n'a jamais changé. L'alternance par les urnes est possible. Mais il faut en payer le prix.

Ce prix est connu: Il faut s'inscrire sur les listes électorales en masse, voter en masse et faire bloc dans la surveillance des votes. Ce n'est que de cette manière que nous pourrons voler de victoires en victoires » !

 

N.R.M

 

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Invitée ce mercredi soir dans l’émission Arrêt Majeur  sur Vision 4, la jeune députée du PCRN fait une déclaration qui précise les réelles ambitions de son parti politique, le PCRN. L’honorable fait savoir que le parti de la réconciliation est sur le champs politique pour faire des propositions.

 

Ce n’est pas la première fois qu’un membre du PCRN présente son parti comme n’étant pas un parti d’opposition. Cette appellation est devenue pour certains partis politiques au Cameroun, comme une peste à fuir. Simplement parce que se faire appeler parti d’opposition signifie vouloir déloger le Chef de l’Etat actuel de son siège. Et ce que le PCRN veut faire comprendre, c’est qu’il n’est pas prêt à déloger le Président de la République actuel. Cette réflexion est la conséquence de la signification même que la science politique donne au concept de parti d’opposition.

En fait, dans un régime représentatif, on appelle opposition parlementaire, l'ensemble des partis qui ne forment pas la majorité parlementaire. Dans le système anglo-saxon, en particulier dans le système de Westminster (Angleterre), l'opposition officielle est constituée par le premier parti d'opposition au parlement. Dans ce cas de figure, le PCRN est bel et bien un parti d’opposition. A moins qu’il ne survienne un accord qui fasse entrer le PCRN dans la majorité parlementaire actuelle.

De manière général, dans la politique, l'opposition désigne l'ensemble des mouvements et partis qui s'opposent aux forces politiques détenant le pouvoir. Dans un régime représentatif (avec un parlement élu des citoyens), l'opposition est l'ensemble des partis qui n'appartiennent pas à la majorité parlementaire ou à la coalition au pouvoir.

Elément essentiel du pluralisme démocratique, l'opposition exprime ses divergences et ses points de vue critiques par rapport à l'action du gouvernement. Elle ne peut exister que si le système politique est organisé et reconnaît ses droits. Si sa lutte est clandestine, on parle de résistance. En démocratie, l'opposition permet aux citoyens d'être informés de manière contradictoire sur la politique conduite par le gouvernement et de leur proposer une alternative politique sur la base d'un programme qui doit être réalisable.

Un parti d’opposition est un mouvement qui travaille pour l’alternance politique. Or il va de soi que dans sa présentation actuelle, tel que dit par l’honorable Rolande Ngo ISSI, le PCRN n’est pas de l’opposition, donc n’a pas pour première préoccupation l’alternance à la tête de l’Etat.

Il n’existe pas de parti de proposition en politique. Car se dire de proposition, veut dire travailler pour permettre au parti au pouvoir de mieux mener son projet politique. C’est donc une sorte d’alliance qui ne se dit pas. Devrait-on présumer que le PCRN est un adjuvant du RDPC ?


Stéphane NZESSEU

 

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Le décès de cet homme des médias, dans des circonstances qui restent inconnues pour le commun des Camerounais n’a laissé personne indifférent. Dans le chorus des condamnations, l’on a relevé les messages de Cabral Libii, président du Pcrn ainsi que celui du Mrc. 

 

 

Parti Camerounais pour la Réconciliation Nationale

« J'ai appris avec stupeur et chagrin, le décès du journaliste Samuel Wazizi dans des circonstances troubles.

J'adresse mes sincères condoléances à la famille du défunt et au corps des médias camerounais.

Je demande au gouvernement de faire toute la lumière sur cette affaire et de tirer toutes les conclusions qui s'imposeront à l'issue d'une enquête diligente et impartiale.

Je réaffirme mon attachement à la liberté de la presse et à la dignité des journalistes et des citoyens camerounais victimes des privations de liberté.

J'en appelle une fois de plus à la libération sans délais de toutes les personnes injustement ou longuement incarcérées dans une perspective d'apaisement du climat social et de la lutte contre la pandémie à coronavirus, dont la prison est un terrain fertile de propagation.

Le pouvoir de Monsieur Biya reste l'unique responsable de cette situation et devra rendre des comptes à la famille du défunt et au peuple camerounais ».

Décès de Samuel Wazizi : Les Journalistes prennent position  

 

Mouvement pour la Renaissance du Cameroun

« Arrestation arbitraire suivie de la torture à mort de Samuel Abuwe Ajiekah dit «  Samuel Wazizi

Le Mouvement pour la Renaissance du Cameroun (MRC) a appris avec consternation et stupeur, le décès révoltant du journaliste Samuel Abuwe Ajiekah, dit « Samuel Wazizi », annoncé le 02 juin 2020.

M. Abuwe Ajieka avait fait l’objet d’une arrestation arbitraire le 02 août 2019 à Buea, dans la Région du Sud-Ouest, suivie de sa détention au secret depuis le 07 août 2019, détention au cours de laquelle il a subi les pires actes de torture et des traitements cruels, inhumains et dégradants qui ont entraîné sa mort. 

Le MRC présente à sa famille, ses amis, ainsi que l’ensemble de la corporation des journalistes Camerounais, ses condoléances les plus attristées, auxquelles il joint l’expression de sa sympathie émue.

Le MRC condamne sans réserve ces actes et traitements odieux et barbares d’un régime pour lequel la vie des Camerounais n’a aucune valeur. Il rappelle que le jeune Abuwe Ajieka n’est qu’une victime de plus, après tant d’autres, qui ont payé de leurs vies le prix de l’exercice de leur métier.

Le MRC n’exige que les responsables de ces actes, à tous les niveaux, y compris les donneurs d’ordre, soient identifiés, poursuivis devant les tribunaux et sanctionnés selon la loi.

Le MRC, dont nombre de ses membres ont connu dans leur chair la barbarie du régime de Monsieur BIYA, et dont quinze (15) d’entre eux font toujours l’objet d’une détention arbitraire dans des conditions inhumaines, appelle les Camerounais à s’indigner face à la barbarie et à se mobiliser pour arracher leur dignité et leur liberté confisquées par ce régime criminel ».

 

 

N.R.M

 

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Le Député du Social democratic front pense que l’Honorable Nourane Foster veut faire de la récupération politique, en ce moment de crise sanitaire.

 

Joshua Osih a accordé ce 27 mai 2020 un entretien à Abk radio. Il s’est exprimé sur le choix de Nourane Foster Député du Parti Camerounais pour la réconciliation nationale (Pcrn) à vouloir réorienter sa dotation véhicule pour la lutte contre la pandémie du Coronavirus. Pour l’ancien candidat à l’élection présidentielle de 2018, la camarade de parti du Député Cabral Libii laisse penser qu’elle est dans la récupération politique. D'après lui, elle a souvent rendu publiques ses actions sur le terrain. Pourtant de son point de vue, elle n’a pas besoin de médiatiser ses actions. 

« Le rôle du député n’est pas de descendre dans la rue ou dans les villages. Vous pouvez le faire de façon concertée ou individuellement. L’Honorable Nourane Fotsing a fait une très belle publication. Ce qui me dérange ce n’est pas ce qu’elle dit, mais le moment choisi pour le dire, ce qui donne l’impression qu’elle fait de la récupération politique sur un drame humain. Il y a des centaines de députés qui font les descentes de terrain sans publicité. On n’a pas besoin de faire des publications sur les initiatives de solidarité », a déclaré le Député du Sdf.

Sur la polémique qui a cours au sujet de l’allocation financière des Députés pour l’acquisition de leur voiture de fonction, Joshua Osih pense qu’il est tout à fait normal que cela se fasse. 

« Je suis à mon 2e mandat et les députés ont droit à une prime de 02 millions par an, ce qui fait malheureusement 10 millions sur 05 ans... L’État n’a pas le droit d’acheter les véhicules, on remet l’argent aux députés. Ce dont les Camerounais parlent aujourd’hui, on en a parlé depuis novembre 2019... Il faut qu’on sorte du bashing constant pour continuer de penser que, le député qui doit contrôler l’action du ministre, va arriver à l’Assemblée nationale à pied ou en descendant du benskin », a déclaré l’ancien candidat à l’élection présidentielle de 2018.

Le père Ludovic Lado demande à Cabral Libii de tronquer sa voiture de fonction de Député pour des couveuses dans les hôpitaux 

 

Liliane N.

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Sunday, 05 June 2022 11:01