C’est une camionnette qui aurait ôté la vie à des commerçants dans ce marché de la capitale économique camerounaise. En effet, l’engin incriminé aurait forcé dans le tas avec son chargement de lattes.
Une tragédie de trop ajoutée dans le registre sombre des accidents de la route qui ne cessent d’endeuiller les populations camerounaises. Le marché de Ndogpassi sis à Douala, la capitale économique a été ce samedi, 13 février 2021, le théâtre d’un drame déplorable.
De sources concordantes, la camionnette à l’origine de ce que l’on pourrait qualifier de catastrophe, présentait un défaut de visite technique. L’on apprend que l’engin incriminé a forcé dans le tas avec son chargement de lattes. Dans sa course folle, plusieurs commerçants et usagers du marché de Ndogpassi auraient été écrasés au passage, à en croire les descriptions faites par les médias locaux.
Les dernières informations font état de 05 morts déjà dénombrés. Outre ces pertes en vies humaines, au moins 03 blessés graves figurent parmi les victimes de cet accident de la circulation. Une enquête a été ouverte par les autorités compétentes pour déterminer les causes exactes du drame et établir les responsabilités.
En rappel, le 27 janvier dernier un accident à Dschang dans la région de l’Ouest Cameroun a fait des dizaines de morts. 53 personnes étaient décédées dans une collision entre un autobus de passagers et une camionnette transportant du carburant, dans une zone réputée pour ses nombreuses virages et ravins.
Innocent D H
Le siège de la Bourse des valeurs immobilières de l’Afrique centrale (Bvmac) à Douala au Cameroun a abrité le 03 février dernier, la cérémonie de première cotation de l’emprunt obligataire « Bdeac 5,45% Net 2020-2027 ». C’était en présence du président de la Banque de développement des Etats de l’Afrique centrale (Bdeac), Fortunato-Ofa Mbo Nchama et du vice-président Marcel Ondele.
Cette cérémonie de cotation fait suite à l’opération d’emprunt obligataire dont le lancement a eu lieu du 21 au 29 décembre 2020 sur le marché sous-régional par l’institution de financement du développement en Afrique centrale. Ce qui a permis à la Bdeac de procéder à la levée environ 107 milliards de FCFA. Un emprunt introduit dans la bourse de Douala qui devra permettre le financement des projets des secteurs privé et public, mais aussi la mise en œuvre des projets intégrateurs prioritaires du Programme économique régional de la Communauté économique et Monétaire de l’Afrique centrale (Cemac) en monnaie locale.
L’inscription en bourse des titres « Bdeac 5,45% Net 2020-2027 » marque l’engagement de cette institution bancaire à animer le marché financier sous-régional, à en croire Fortunato-Ofa Mbo, président de la Bdeac. Les opérateurs du secteur boursier peuvent ainsi acquérir des titres de cet emprunt obligataire de 107 milliards de nos francs. Il est question pour la Bdeac de montrer sa crédibilité étant donné que selon M. Mbo Nchama, elle a une ambition clairement affichée pour les deux prochaines années. Elle compte lever des ressources pour un montant d’environ 450 milliards de FCFA.
Rappelons ici que, la cotation dont il est question désigne l’opération par laquelle un titre financier entre sur le marché boursier. Une opération qui consiste à attribuer une valeur de marché à un titre émis par une société. Et convient d’indiquer que pour le cas de la Bdeac, la procédure d’introduction retenue pour la première journée de cotation est l’offre publique de vente à prix déterminé avec un cours de référence fixé à 100%, soit 10 000 FCFA.
Innocent D H
L’homme dont il est pratiquement impossible de définir l’âge exact arbore l’attirail complet d’un soldat de ce corps d’élite avec insignes – arme -montre – bonnet…
Interrogé par les éléments de la Compagnie de Gendarmerie – Douala II, le nommé Sila Charley qui affiche une mine patibulaire a laissé entendre, lors de son interpellation qu’il est un sergent chef en service au Bir – zone Douala ; ce qui après investigation s’est révélé faux.
A la question de savoir s’il est un homme en tenue, membre de ce corps d’élite, celui qui est soupçonné d’avoir usurpé le grade dont il se revendique a finalement admis qu’en fait, « il n’est pas militaire ».
Cependant, il refuse d’apporter des éléments de réponses à certaines interrogations, notamment celle de savoir « Comment il a fait pour entrer en possession de la tenue, des godasses, de l’arme… Vous avez fait comment pour avoir cette tenue, parce qu’elle appartient uniquement au Bir – Vous les avez eu par quel canal ? Depuis combien de temps portez – vous cette tenue » ?
Sans s’étendre, l’individu interpellé se limite à dire : « J’ai seulement pris pour porter ».
L’on ne peut que spéculer, en se remémorant des plaintes qui sont déposées un peu partout par exemple par des petits commerçants, des call boxeurs et autres « débrouillards » qui subissent quelquefois des violences des hors la loi qui prétendent qu’ils sont « hommes en tenue, alors il ne peut strictement rien leur arriver ».
Quelques uns parmi ces « bandits » sont membres de gangs criminels, qui forcent les serrures dans des domiciles privés, délestant les propriétaires, violant parfois femmes et jeunes filles.
D’autres encore opèrent dans des véhicules en commun, pointant leurs armes sur les victimes afin de les dépouiller, les narguant au passage et les laissant traumatiser.
Ceux qui ont le courage de porter plainte, en faisant le portrait de leurs agresseurs, révèlent simplement la présence d’ «un homme en tenue dans le taxi, qui a pointé une arme sur eux ». Si les enquêtes des enquêtes prouvent qu’il s’agit des usurpateurs, parfois le mal est déjà fait.
C’est ainsi que sur les réseaux sociaux, certains n’hésitent pas à présenter les « Birois » comme de « grands criminels à la solde du Pouvoir en place, qui n’hésitent pas à s’en prendre aux Camerounais », issus soient d’une région bien déterminée, soit d’un parti politique.
Le port de la tenue militaire est régi par la loi N°82-19 adoptée par l'Assemblée nationale du Cameroun et promulguée le 26 novembre 1982 par le Président de la République.
Des sanctions sont en outre prévues pour ceux qui s'aviseraient d'outrepasser ladite loi : « Est puni d'un emprisonnement de trois mois à deux ans et d'une amende de 50 000 à 200 000 FCFA ou de l'une des deux peines, celui qui vend, confectionne, achète, distribue, porte ou détient des effets ou insignes militaires ».
Nicole Ricci Minyem
Roger Mbassa Ndine le Maire de la ville de Douala a également fait de Lilian Thuram, ambassadeur de la ville auprès de l’UNESCO.
C’est une cérémonie riche en émotions qui s’est déroulée le jeudi 21 janvier 2021 à la Maison de la culture Sawa. Au cours de ladite cérémonie à laquelle a pris part Roger Mbassa Ndine, Lilian Thuram l’ancien footballeur français a été élevé au rang de citoyen d’honneur de la ville de Douala. Il a également été fait ambassadeur de la ville de Douala auprès de l’Unesco.
Reconnaissant, Lilian Thuram a tenu à dire merci pour les distinctions qui lui ont décernées. «Vous ne pouvez pas imaginer ce que vous venez d’accomplir pour moi. C’est une marque de reconnaissance immense et je mesure le poids de cette charge. Je puis vous assurer que je ne vous décevrai jamais. Je serai de retour à Douala très bientôt», a déclaré le français natif de Pointe-à-Pitre (Guadeloupe), champion du monde de football en 1998 et d’Europe en 2000.
Il convient de dire que Lilian Thuram a également reçu du Ngondo, le titre de notable d’honneur. Il a donc été introduit dans la case secrète où il a été initié et reçu ses attributs de notable. A sa sortie de cette case, le français Lilian Thuram avait le pagne du Ngondo noué à ses hanches, un bonnet vissé à la tête et il tenait une pagaie.
Dès l’annonce de ce que le Ngondo comptait faire de Lilian Thuram son notable d’honneur, on se demandait ce qui motive cette décision. La cérémonie d’hier a donc pu d’obtenir des réponses.
«Le Ngondo, assemblée traditionnelle du peuple Sawa a adoubé l’ex-footballeur, devenu écrivain dont les ouvrages valorisent l’homme et la race noire», a justifié Pamphile Nyobe, secrétaire général du Ngondo.
Il convient de préciser que toute la cérémonie s’est déroulée à la Maison de la Culture Sawa qui a bénéficié du financement de l’Etat à hauteur de 75%. Le reste des 25% a été donné par le Ngondo.
Liliane N.
Les auteurs de cet assassinat courent toujours.
C’est une affaire qui laisse sans voix, à Douala précisément au quartier Borne 10 dans le 3e arrondissement de la ville. Un boulanger âgé de 40 ans prénommé Pascal a été assassiné dans la nuit du dimanche 17 au lundi 18 janvier 2021. Ses assassins n’ont pas encore été identifiés, et ils courent toujours. L’histoire de son meurtre a été relayée par la chaîne de télévision privée Canal 2 International dans son édition du journal parlé du soir du 18 janvier 2021.
Selon Canal 2 International, le défunt boulanger à perçu dans la journée du dimanche 17 janvier 2021, une cotisation d’un montant de 35 000 FCFA. Après la perception de cet argent, il a donné à boire à des individus dans un débit de boisson du quartier Borne 10. Sa facture s’est élevée à 4 000 FCFA. Sur le retour de sa maison, il a été attaqué par des personnes qui visiblement savaient qu’il était en possession de la somme de 31 000 FCFA. L’argent a été pris et son corps sans vie a été jeté dans un puit non loin de sa chambre.
Selon le reportage de Canal 2 International, les voisins de Pascal avouent avoir entendu les cris de détresse la nuit du meurtre. Seulement quand ils sont sortis, tout était redevenu calme. Cependant, ils ont trouvé la porte de la chambre du boulanger grandement ouverte. Et tout avait été retourné. La pièce était sens dessus dessous. Son téléphone aussi était introuvable.
«C’est à 5h du matin qu'un enfant voulant chercher de l'eau, aperçoit la plante des pieds d'un homme dans le puits d'environ 1m50 de profondeur. Le voisinage est alerté et le corps de Pascal repêché par les sapeurs-pompiers. Un boulanger plutôt gentil et sans histoires. Selon les voisins, il a été bénéficiaire dimanche 17 janvier 2021, d’une somme de 35 000 FCFA dans une tontine du quartier. Il a ensuite offert à boire dans son élan de générosité à quelques personnes pour une facture de 4 000 FCFA. Ses agresseurs sont partis avec les 31 000 FCFA restant. Tout porte à croire qu'il les connaissait parfaitement, raison de sa mise à mort», rapporte Canal 2 International.
Une enquête a été ouverte.
Liliane N.
Après ENEO, c’est CAMWATER qui prend le relais et annonce des perturbations dans la distribution de l’eau potable dans certains quartiers de la ville de Douala durant toute la journée de ce mercredi 16 décembre 2020.
Il devient de plus en plus difficile de vivre à Douala ces derniers temps. Après tout un weekend sans énergie électrique (et le sevrage se poursuit), c’est maintenant une autre période sans eaux qui s’engage. La Direction régionale de Camwater annonce que cette perturbation de la fourniture en eau débute ce 16 décembre, sans préciser le jour où tout va rentrer dans l’ordre.
La cause, d’après le contenu du communiqué de Camwater, c’est les importants travaux d’entretien de équipements de la station de production de Japoma. Et du fait de ces travaux un certain nombre de quartiers de la ville vont connaître une cessation de la distribution de l’eau. Notamment : Japoma – Nyalla – Yassa – Logbaba – PK 08 à 17 – Logbessou – Cité des palmiers – Kotto – Logpom – Maképé – Bonamoussadi – Ndogbong – Ndogpassi I, II, III.
Les travaux devraient commencer autour de 09 heures. Et c’est sensiblement à cette heure que les perturbations devraient également débuter dans les foyers des habitants des quartiers ci-dessus cités. Mais en retour, il n’y a pas de précision sur le jour ou les horaires de retour de la fourniture en eau. Le communiqué nous informe vaguement que « le retour à la normale se fera progressivement dans ces quartiers dès la fin des travaux de maintenance de ces équipements ». Comme quoi, on ferait 05 ou 10 jours, les populations vont devoir attendre et espérer que la bonne surprise intervienne le plus tôt.
Comme pour signifier que cette situation peut durer vraiment longtemps, la Camwater fait savoir que « dans l’intervalle, les camions citernes procéderont à la distribution de l’eau potable dans ces quartiers impactés selon le planning qui sera diffusé incessamment ». Ils connaissent la nature des travaux, mais ils ne sont pas à même de dire quand est ce que ces travaux prendront fins. Curieux !
La ville de Douala est à l’aube d’une grande compétition, le CHAN 2021. Si les populations peuvent comprendre que ces mesures sont prises pour aménager les infrastructures pour une meilleure qualité du service d’eau, il n’en demeure pas moins qu’il serait intéressant de dire aux habitants desdits quartiers combien de temps ils devront se débrouiller sans eaux.
Stéphane NZESSEU
Ces employés de la société d’Hygiène et de salubrité du Cameroun réclament un paiement de 20,6 milliards de FCFA pour leur prestation, et 2 mois de salaires impayés.
La société d’Hygiène et de salubrité du Cameroun (Hysacam) passe un sale temps à Douala. Il se trouve que ces employés sont mécontents et comptent manifester. Ils réclament à l’entreprise le paiement de leur prestation chiffré à 20,6 milliards de FCFA et demandent aussi à percevoir les salaires des mois d’octobre et novembre 2020.
Par voie de correspondance, ces employés mécontents d’Hysacam ont fait connaître à leur hiérarchie leur désir d’observer un mouvement d’humeur. Dans leur correspondance, ils ont indiqué vouloir observer un « mouvement d’arrêt de travail suite à plusieurs manquements liés aux conditions de travail qui sont devenues très difficiles ». La correspondance adressée au chef d’agence est passée par le Syndicat interrégional des travailleurs d’assainissement, propreté et activités connexes du Cameroun (SYNITAPACC).
En plus de réclamer deux mois de salaires impayés, les employés mécontents d’Hysacam dénoncent le non reversement des cotisations mensuelles de la mutuelle.
« Nous lançons un appel à la grève des salariés de votre agence HYSACAM Douala. Ce mouvement à l’initiative du syndicat suite à la saisine à nous par vos délégués du personnel, prendra la forme d’un arrêt de travail concerté des intéressés sur l’ensemble de tous les quarts de services », peut-on lire dans le document signés par dix syndicalistes.
Pour tout ce qui est su rapporté, les employés d’hysacam de Douala entendent ne pas travailler durant des jours précis.
D’abord le 11 décembre 2020 pour le non-paiement des salaires du mois d’octobre 2020, ensuite le 16 décembre 2020 pour le non-paiement des salaires du mois de novembre 2020, et enfin le 23 décembre 2020 pour le non-paiement de la gratification 2020.
Liliane N.
Parmi les blessés graves, se trouve un homme qui a perdu sa jambe.
Dans la nuit du mercredi 18 novembre 2020 à jeudi, une bombe de fabrication artisanale a explosé au lieudit «Rail entrée du village Bonandale», dans la ville de Douala, région du Littoral. Le bilan de l’incident qui s’est produit vers minuit selon nos sources, a fait deux blessés graves. Ils ont été conduits à l’hôpital militaire de Bonanjo. La gendarmerie a établi un périmètre de sécurité et le secteur est bouclé. Les auteurs dudit incident n’ont pas été interpellés. Une enquête a été ouverte.
Il faut noter que c’est la deuxième explosion que Douala connaît en l’espace de trois ans. Le 22 septembre 2017, l’explosion d’une bombe artisanale avait fait un énorme trou sur un mur des installations de la Société camerounaise des dépôts pétroliers dans l’arrondissement de Douala 1er. Heureusement, il n’y avait pas eu de perte en vies humaines.
Liliane N.
La cérémonie de présentation des équipes et officiels du Grand prix cycliste Chantal Biya 2020 a eu lieu hier 17 novembre 2020.
Il y a 60 coureurs venus d’Europe et d’Afrique qui vont compétir lors du Grand prix cycliste Chantal Biya 2020. C’est ce mercredi 18 novembre 2020, que le coup d’envoi sera donné à Douala en présence de Narcisse Mouelle Kombi le Ministre des Sports et de l’Education physique (Minsep).
Pour cette édition 2020, le Cameroun va compétir avec deux équipes à savoir le Snh Vélo Club et l’équipe nationale. Après Douala, la compétition va se disputer sur un total de 685,3 km dans quatre régions : le Littoral, le Centre, le Sud et l’Est. La deuxième étape se passera à Akonolinga-Abong-Mbang (139,5 km) le 19 novembre 2020. La 3ème étape Yaoundé-Ebolowa (Nkolandom, 167 km) se disputera le 20 novembre 2020, tandis que l’avant dernière étape Zoétélé-Nkpwang-Meyomessala (116,4 km) sera courue le 21 novembre 2020. L’épilogue Sangmélima-Yaoundé (166,4 km) est prévu le 22 novembre 2020.
Du côté camerounais on compte énormément sur le cycliste Clovis Kamzong Abessolo. D’aucuns affirment qu’il a des arguments pour gagner cette 20ème édition du Grand prix Chantal Biya. Cependant, les Rwandais, les Burkinabé et les Ivoiriens, sans oublier les Slovaques qui peuvent créer la surprise.
Il faut rappeler que l’édition 2019 du Grand prix cycliste Chantal Biya a été remportée par l’Algérien Azzedine Lagab.
Liliane N.
Ces 12 présumés braqueurs arrêtés sont tous des repris de justice, qui ont eu à voler dans les centres de distribution des Brasseries de Kribi, Eséka, Edéa, Nkonsamba, Olembé et Nsam.
La gendarmerie nationale a réussi à mettre la main sur un groupe de 12 présumés bandits. Ledit groupe composé de repris de justice a eu à braquer les centres de distribution des Brasseries depuis le début de cette année 2020. Les centres des Brasseries concernées sont ceux logés à Kribi, à Eséka, à Edéa, à Nkongsamba, à Olembé et à Nsam. Il y a eu un total d’environ 100 millions de FCFA emportés par ces présumés braqueurs.
Cameroon tribune le quotidien gouvernemental qui traite aussi cette information, rapporte que ces présumés braqueurs ont formé deux groupes.
«Dans le premier groupe, se trouvent les nommés Awou D. R., 40 ans, H. Sali, 36 ans et Ndifor V., âgé de 37ans. En leur possession, deux fusils de fabrication artisanale, 11 munitions et des poignards. Le second groupe est formé de Mukete V., 34 ans, M. Magadi, 42 ans, Bouba K., 27 ans, Maole E., 30 ans, Mewada A., 42 ans, Tedjou K., 30ans, Kamga K., 33 ans, Mbongwu S., 33 ans et Assoumi B., 35 ans. Dans leur arsenal, un pistolet automatique de marque Glock avec un chargeur de neuf cartouches, un pistolet automatique de fabrication artisanale».
C’est donc la saisie par les Brasseries, de la gendarmerie qui a aussitôt engagé des investigations qu’on a pu mettre la main sur ces derniers.
«Sur renseignement, un suspect… est interpellé à Yaoundé. La perquisition effectuée à son domicile conduit à la découverte d'une arme à feu et de 10 munitions. C'est son exploitation qui va permettre l'identification dans la ville de Douala des deux groupes appréhendés par la Gendarmerie nationale. Ndifor V. est déjà passé aux aveux et a reconnu sa participation au braquage de l'agence des Brasseries de Nsam, en compagnie de Nowa D», rapporte Cameroon tribune.
Liliane N.