L’enseignant arrêté par les Forces de l’ordre est passé aux aveux complets.
C’est actuellement l’affaire qui meuble les échanges dans la ville de Bagangté située à l’Ouest du Cameroun. Un enseignant de Mathématiques et Directeur du C.E.S de Bitchoua Nord dans l'arrondissement de Tonga a sodomisé à mort un élève inscrit en classe de Seconde C au Lycée Bilingue de Bangangté. L’affaire s’est déroulée hier mardi 8 décembre 2020.
Selon les témoignages recueillis, le défunt élève Bryan a été vu avec son bourreau quelques heures avant la découverte de sa dépouille pendue. Il est dit qu’il avait l’habitude de se rendre chez M. l’enseignant pour effectuer des travaux ménagers. L’épouse du mis en cause l’a quitté après avoir demandé le divorce. Elle est partie en fuyant avec les enfants. Elle le soupçonnait d’être homosexuel.
Arrêté donc par les Forces de l’ordre, l’enseignant a avoué son crime. Il explique qu’il a simulé la pendaison parce qu’il a pris peur lorsqu’il a vu que l’enfant a rendu l’âme. Il voulait ainsi maquiller son crime. L’autopsie réalisée par un médécin a confirmé que l'enfant a été bel et bien sodomisé avant de rendre l'âme.
L’affaire s’étant répandue dans la ville comme une trainée de poudre, la population en colère a pris d'assaut le domaine de l'enseignant. Ledit domicile, les véhicules, la ferme de celui-ci avec tous ses animaux ont été incendiés. Sans l’intervention des Forces de l’ordre, le mis en cause ne serait plus de ce monde. Il se trouve actuellement dans une cellule en attendant d’être présenté au Procureur.
Liliane N.
Tout en refusant les accusations de corruption portées dans la gestion des kits de dialyse, le Dr Malachie Manaouda Ministre de la Santé affirme être disposé à fournir des informations au Député du Social democratic front Jean-Michel Nintcheu.
Le Ministre de la Santé n’a pas gardé le silence sur les accusations de corruption portées contre lui par l’Honorable Jean-Michel Nintcheu. En effet, le Député du Social democratic front (SDF) a accusé le Ministre Malachie Manaouda de corruption dans le marché spécial de 20 000 kits de dialyse passé à plus de 756 millions de Francs CFA. Sur les antennes de Canal 2 international précisément à l’émission «Rétro», le membre du gouvernement a apporté des précisions sur la gestion et la passation du marché ci-haut cité.
«Disons que le dispositif que nous avons mis en place, c’est que voyant l’impact du Covid-19 qui est arrivé sur les centres d’hémodialyse, effectivement nous sommes rentrés en contact avec Fresenius, l’entreprise qui a nos machines. Vous savez qu’avant cela, nous devons passer par NUMELEC. C’est NUMELEC qui est allé commander les produits chez Fresenius qui passait par le Maroc avant d’arriver à Yaoundé. Aujourd’hui, nous avons dit qu’il n’était pas question que nous, avec notre état de consommation, que nous passions par un individu ou alors par une autre structure. Nous avons établi une relation directe avec Fresenius. Ils vont d’ailleurs arriver au Cameroun à partir du 15 Décembre pour que nous consolidions cette relation directe et que Fresenius puisse s’installer au Cameroun, disponibiliser les kits au Cameroun», a déclaré le Ministre de la Santé.
Il convient de noter que Malachie Manaouda a trouvé que le Député du SDF était dans son rôle de parlementaire. Seulement, il dit être disposé à lui fournir l’information, considérant les accusations du Député du SDF comme des rumeurs.
« Tout ce que nous pouvons dire à l’Honorable Nintcheu, s’il y a des choses qui manquent encore, des informations qu’il manque et qu’il n’arrive pas encore à décrire nous sommes ouverts. Il peut à tout moment passer .Nous lui donnerons toutes les informations », a-t-il déclaré.
Liliane N.
Sebastian Coltescu le quatrième arbitre de la rencontre PSG-Istanbul a traité Achille Webo entraineur adjoint d’Istanbul, de nègre.
Sans nul doute, la rencontre PSG-Istanbul qui se jouait hier mardi 8 décembre 2020 rentrera dans l’histoire du racisme du monde entier. Cette rencontre qui a été interrompue, sera très minutieusement sculptée. La raison étant que Sebastien Coltecu quatrième arbitre du match a sorti un propos raciste contre Achille Webo ancien Lion indomptable et entraîneur adjoint du club de football turc Istanbul. Sebastien Coltecu a traité Achille Webo de «nègre». Le camerounais n’a pas laissé passer ce propos raciste.
Les images diffusées par nos confrères de la chaine Canal+, ont montré Achille Webo entraîneur adjoint du club d’Istanbul dans tous ses états. «Pourquoi vous dites «negro», a-t-il demandé à plusieurs reprises. L'incident va s’aggraver lorsque l’arbitre central de la rencontre va expulser Webo. Le jeu arrêté, la pression ne faisant que s’accentuer sur le quatrième arbitre, les joueurs d’Istanbul en solidarité à leur entraîneur adjoint vont décider de ne plus continuer la partie. Décision idem pour ceux du PSG. Presnel Kimpembe et Kylian Mbappé, entre autres, vont prendre la route des vestiaires. En dépit des tractations, les deux équipes ont décidé de ne plus retourner sur la pelouse. La partie a été reprogrammée pour ce mercredi 9 décembre 2020 dans la capitale française.
Recep Tayyip Erdogan le Président turc a fermement condamné le propos raciste tenu contre Achille Webo. «Je condamne fermement les propos racistes tenus à l'encontre de Pierre Webo, membre du staff technique de Basaksehir, et suis convaincu que l'UEFA prendra les mesures qui s'imposent. Nous sommes inconditionnellement contre le racisme et la discrimination dans le sport et dans tous les domaines de la vie. Non au racisme», a-t-il écrit sur son compte Twitter ce mercredi 9 décembre 2020.
Liliane N.
Ces employés de la société d’Hygiène et de salubrité du Cameroun réclament un paiement de 20,6 milliards de FCFA pour leur prestation, et 2 mois de salaires impayés.
La société d’Hygiène et de salubrité du Cameroun (Hysacam) passe un sale temps à Douala. Il se trouve que ces employés sont mécontents et comptent manifester. Ils réclament à l’entreprise le paiement de leur prestation chiffré à 20,6 milliards de FCFA et demandent aussi à percevoir les salaires des mois d’octobre et novembre 2020.
Par voie de correspondance, ces employés mécontents d’Hysacam ont fait connaître à leur hiérarchie leur désir d’observer un mouvement d’humeur. Dans leur correspondance, ils ont indiqué vouloir observer un « mouvement d’arrêt de travail suite à plusieurs manquements liés aux conditions de travail qui sont devenues très difficiles ». La correspondance adressée au chef d’agence est passée par le Syndicat interrégional des travailleurs d’assainissement, propreté et activités connexes du Cameroun (SYNITAPACC).
En plus de réclamer deux mois de salaires impayés, les employés mécontents d’Hysacam dénoncent le non reversement des cotisations mensuelles de la mutuelle.
« Nous lançons un appel à la grève des salariés de votre agence HYSACAM Douala. Ce mouvement à l’initiative du syndicat suite à la saisine à nous par vos délégués du personnel, prendra la forme d’un arrêt de travail concerté des intéressés sur l’ensemble de tous les quarts de services », peut-on lire dans le document signés par dix syndicalistes.
Pour tout ce qui est su rapporté, les employés d’hysacam de Douala entendent ne pas travailler durant des jours précis.
D’abord le 11 décembre 2020 pour le non-paiement des salaires du mois d’octobre 2020, ensuite le 16 décembre 2020 pour le non-paiement des salaires du mois de novembre 2020, et enfin le 23 décembre 2020 pour le non-paiement de la gratification 2020.
Liliane N.
Le Fon de Nso Sehm Mbinglo II a accompli son devoir d’électeur accompagné d’un bon nombre de ses sujets et d’une bonne escorte des Forces de Défense et de Sécurité.
Sa Majesté Sehm Mbinglo II ne s’est pas laissé intimider par les «Bui Warrior», un groupe séparatiste qui l’a enlevé le mois dernier. Le 6 décembre 2020, il s’est rendu dans un bureau de vote de la ville de Kumbo située dans la région du Nord-ouest, pour accomplir son devoir civique. Il a bénéficié de l’escorte des Forces de Défense et de Sécurité. Et il a également été accompagné par les sujets de son royaume.
A titre de rappel, Sa Majesté Sehm Mbinglo a été enlevé par les « Bui Warriors », au soir du 5 novembre 2020 au lieudit Baba 1, arrondissement de Babessi, non loin de Ndop (Ngo-Ketunjia, région du Nord-ouest). Il a été kidnappé avec le Cardinal Christian Tumi. Le chef traditionnel n’a été libéré que 5 jours après avoir été capturé alors que le Cardinal n’aura passé qu’une nuit entre les mains de leurs ravisseurs.
En le relâchant, les « Bui Warriors » avaient fait signer au Fon de Nso, une lettre de renoncement à sa candidature pour un poste de Conseiller régional dans le Nord-ouest. Ils avaient exigé le chef supérieur de « renoncer aux régionales du 6 décembre prochain, de plaider auprès du président de la République pour la libération des leaders sécessionnistes incarcérés à la prison centrale de Yaoundé-Kondengui, notamment, Sissiku Ayuk Tabe et sa suite ». Faute de quoi il serait interdit de rentrer dans sa chefferie.
Ils avaient indiqué que si l’autorité traditionnelle ne se plie pas aux conditions posées, il sera de nouveau enlevé.
Liliane N.
Célestin Bedzigui le président du Parti de l’Alliance libérale affirme que le Rassemblement démocratique du peuple camerounais a remporté les élections régionales, dans la circonscription de la Lékié, en ayant recours à l’intimidation jusqu’à un intéressement matériel et financier.
Célestin Bedzigui reconnaît que le Rassemblement démocratique du peuple camerounais (RDPC) a remporté les élections régionales dans la circonscription de la Lékié. Cependant dans un communiqué qu’il a rendu public, il affirme que la victoire du RDPC est le résultat des moyens qu’il a employés. Ces moyens vont de l’intimidation à un intéressement matériel et financier. Le président du Parti de l’Alliance libérale (PAL) indique qu’il a été donné de constater que même certains élus locaux de sa formation politique sont faibles face à la corruption.
Tout compte fait, tout comme Serge Espoir Matomba du Peuple uni pour la rénovation sociale, il dit fixer le cap pour le prochain scrutin.
Retrouvez ci-dessous le communiqué de Célestin Bedzigui
Le Rdpc a largement remporté cette élection dans cette circonscription. Tous les moyens, allant de l’intimidation jusqu’à un intéressement matériel et financier auront été mobilisés pour atteindre ce résultat.
En cette occasion notamment, il nous été donné de constater comment certains élus locaux y compris de notre formation politique sont fragiles devant la corruption par quelques billets de 10 000 F et devant l’intimidation, tous actes en négation d’un pratique citoyenne saine.
Notre objectif était de faire partager à l’opinion les perspectives d’un changement imminent et inéluctable dans la paix et sans tension civile. Notre campagne de communication a permis de l’atteindre largement.
En revanche, l’objectif de nos adversaires était de nous dépouiller des 5 conseillers municipaux acquis de haute lutte en Février dernier. Ils ne l’ont pas été atteints.
Le Parti des flammes a débauché deux Conseillers municipaux du PAL. Notre parti en réplique lui en a débauché 5. Au final, nous progressons de 60% en nombre de Conseillers Municipaux à nous favorable avec en plus un capital de sympathie auprès du peuple grandissant; des ingrédients significatifs pour l’avenir.
Nous restons optimistes et nous nous mettons au travail pour la « mère des batailles » à venir.
Liliane N.
Les jeunes concernés par ce recrutement doivent être des camerounais de sexe masculin, âgés d’au moins 18 ans et de 23 ans au plus.
Joseph Beti Assomo en sa qualité de Ministre de la Défense (Mindef) informe la population, du lancement d’un recrutement spécial de 2200 commandos qui vont intégrer les rangs du Bataillon d’intervention rapide (BIR). Dans le communiqué radio-presse signé par le Mindef, il est dit que les opérations relatives à ce recrutement vont se dérouler du 1er février 2021 au 14 mars 2021. Et elles se tiendront dans les chefs-lieux des dix régions administratives du pays.
Aussi pour concourir, le Ministre Joseph Beti Assomo précise que le recrutement concerne les jeunes de nationalité camerounaise. Ils doivent avoir un âge compris entre 18 ans au moins au 1er janvier 2021 et 23 ans au plus au 31 décembre 2021. «C’est-à-dire être né entre le 31 janvier décembre 1988 pour les plus âgés et le 1er janvier 2003 pour les plus jeunes», peut-on lire dans le communiqué du Mindef.
Toujours dans le cadre des conditions à remplir, le Ministre indique que les candidats attendus ne doivent pas avoir d’enfants. Ils ne doivent jamais avoir été condamnés. Ils doivent avoir une bonne moralité. Ils doivent être aptes physiquement pour passer les épreuves sportives, morales et écrites. Ils doivent également être détenteurs d’au moins du CEP ou du FLSC ou d’un diplôme équivalent. Cependant, ils sont tenus de présenter leurs diplômes les plus élevés. En plus de tout ce qui est suscité, les candidats doivent avoir une taille minimale de 1,66 mètre.
Le Ministre Joseph Beti Assomo attire également l’attention des candidats sur le fait qu’ils ont une interdiction de se marier avant 3 années de service effectif. Ils doivent présenter les diplômes authentiques sous peine de poursuite judiciaire. Et ils sont tenus de concourir dans leurs régions d’origine. Tout aussi important, les candidats qui seront retenus vont devoir présenter avant l’entrée dans le Centre d’instruction Commando des BIR, l’original de leur Carte nationale d’identité, sous peine de renvoi.
Liliane N.
Ces chefs traditionnels de l’Ouest désapprouvent la déclaration de leurs camarades adressée le 19 novembre 2020 à Paul Biya le Président de la République.
70 chefs traditionnels de la région de l’Ouest réitère qu’ils font allégeance à Paul Biya le Président de la République. Ces chefs qui font partie du Conseil des Chefs Traditionnels de l’Ouest (CCTO) ont eux aussi écrit une déclaration, comme l’ont fait le 19 novembre dernier certains de leurs collègues réunis dans un collectif. L’objet de ladite déclaration porte sur la situation sociopolitique de notre pays, le Cameroun.
Les 70 chefs traditionnels de l’Ouest en plus de dire qu’ils font allégeance au Président Biya, désapprouvent la déclaration du 19 novembre 2020 de leurs collègues. Ils affirment que la position de leur collègue ne reflète pas fidèlement leur esprit patriotique, d’humilité et de soutien au Président de la République et au gouvernement.
Ils se disent favorables à toutes les mesures qui ont été prises jusqu’ici pour juguler la crise en zone anglophone. De même, ils saluent les actions du gouvernement en faveur d’un climat politique plus apaisé et réaffirment leur «indéfectible soutien au Chef de l’Etat et aux institutions républicaines pour la poursuite de ses actions pour un Cameroun paisible, stable, uni et prospère».
Aussi dans leur déclaration, ils écrivent «au plan sécuritaire, nous renouvelons à l’endroit de nos frères et sœurs des régions Nord-Ouest et du Sud-Ouest, de l’Extrême-Nord, des familles des éléments de nos Forces de Défense tombés sur le champ d’honneur, notre compassion profonde et notre solidarité constante, notamment pour les nombreuses pertes en vies humaines à la suite des actes barbares des groupes séparatistes et Boko Haram que nous condamnons fermement».
Parlant du plan politique, ils écrivent «nous exprimons notre reconnaissance pour l’engagement inébranlable du Chef de l’Etat pour une démocratie apaisée malgré les tentatives répétées d’insurrection de certains partis politiques… ».
Liliane N.
Alors que le Social democratic front avait déclaré sa non-participation aux élections régionales du 6 décembre 2020, certains de ses conseillers notamment de Bamenda 3 ont voté.
L’information est rendue publique par Ndi Tsembom Elvis, éditeur du journal The Observer. Il affirme que des conseillers du Social democratic front (SDF) ont voté à Bamenda 3, le 6 décembre 2020, jour du scrutin des élections régionales. Ils n’ont pas respecté le mot d’ordre du parti de la balance qui a choisi de ne pas participer aux premières élections régionales du pays.
«Le maire de Bamenda III, Fongu Cletus Tanwe, et ses adjoints sont venus voter aux côtés d’autres conseillers. Approché par des journalistes, il a refusé de commenter », a déclaré Ndi Tsembom Elvis.
On se rappelle que le SDF avait conditionné sa participation aux élections régionales par l’obtention de deux choses à savoir : une refonte des lois électorales et la nécessité de résoudre la crise dans les régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest. Avec ces revendications, le SDF rejoignait ainsi la posture du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (MRC) parti politique de Maurice Kamto qui a demandé qu’aucun corps électoral ne soit convoqué sans qu’il n’y ait eu la réforme consensuelle du Code électoral et la résolution de la crise anglophone.
Concernant donc les conseillers SDF qui sont allés voter, on attend toujours de connaître la position du parti. En refusant de prendre part aux élections régionales du Cameroun, le SDF a laissé la place au Rassemblement démocratique du peuple camerounais qui sans surprise et selon les tendances, a raflé les sièges des conseillers régionaux.
Liliane N.
Joseph Espoir Biyong adjoint au maire de la commune de Douala 5 accuse le Rassemblement démocratique du peuple camerounais d’avoir pactisé avec des partis politiques de l’opposition.
Joseph Espoir Biyong regrette la participation du Parti camerounais pour la réconciliation nationale (PCRN) sa formation politique aux élections régionales qui se sont déroulées le 6 décembre 2020. Il s’excuse auprès de Maurice Kamto qui a appelé au boycott de ces élections mais n’a pas été écouté par des politiques comme lui qui se définissent comme des républicains.
«Cette journée est effectivement historique. Cette journée nous permet de découvrir les profondeurs de notre pays. Et je peux encore envoyer un message fort au professeur Maurice Kamto en lui disant: «nous sommes tellement désolés de ne vous avoir pas écouté. Nous sommes tellement désolés de n’avoir pas compris ce qu’il disait», a déclaré l’élu du PCRN, parti politique de Cabral Libii.
Joseph Espoir Biyong est très remonté contre le Rassemblement démocratique du peuple camerounais (RDPC). Il accuse le parti au pouvoir de complot ayant conduit à ce que le PCRN ne sorte pas vainqueur dans le département du Wouri. L’adjoint au maire de la commune de Douala 5 indexe également des partis politiques de l’opposition qui selon lui, ont accordé leur voix au RDPC, au détriment du PCRN.
«(…) aujourd’hui, le PCRN avait un potentiel de 20 électeurs dans le Wouri. Un seul de nos électeurs a donné procuration au RDPC pour voter pour lui. 19 de nos électeurs nous ont voté. C’est pour cela que nous avons 19 voix. Le reste d’électeurs état du RDPC ils ont voté le RDPC. Les autres étaient d’autres partis d’opposition qui ont voté le RDPC. Je veux vous dire que dans le Wouri, il y a l’UDC, le MP, il y a d’autres partis politiques comme le PURS qui ont voté le RDPC. Nous voulons dire à tous ces partis d’opposition qui sont des donneurs de leçon, qui ont continué à nous faire croire qu’ils étaient la meilleure opposition et que nous-mêmes nous sommes des affidés du RDPC, on leur dit eh bien voilà ce que notre partenaire nous a fait. Parce qu’on a toujours dit: «le PCRN c’est la branche morte du RDPC», a-t-il déclaré face à la presse.
Liliane N.