Serge Espoir Matomba le premier Secrétaire du Peuple uni pour la rénovation sociale pense que son parti politique a gagné en maturité en participant aux élections régionales du 6 décembre 2020.
Le Peuple uni pour la rénovation sociale (Purs) a bel et bien compéti hier dimanche 6 décembre 2020. Seulement le parti politique de Serge Espoir Matomba ne sort pas vainqueur de ces toutes premières élections régionales. Loin de se morfondre, l’ancien candidat à l’élection présidentielle de 2018 pense qu’il a été bien pour sa formation politique de participer.
«Le PURS a été très heureux de participer à ces premières élections régionales. A la base, nous n'avions pas de conseillers dans les localités où nous présentions des listes. Nous n'avons donc rien perdu. Ce n'est que partie remise; des promesses pour l'avenir. Nous continuons à gagner en maturité», a écrit Serge Espoir Matomba.
Le premier Secrétaire du PURS précise que son parti politique c’est présenter à ces élections régionales pour marquer leur apport dans la résolution de la crise qui sévit dans les régions anglophones du Nord-Ouest et du Sud-Ouest (NOSO).
«Notre participation était avant tout l'occasion de contribuer à l'accélération de la résolution de la crise anglophone. Maintenant que les jalons sont posés, nous attendons vivement l'implémentation du statut spécial accordé aux 2 régions du NOSO lors du Grand Dialogue National», a écrit Serge Espoir Matomba.
En fixant le cap sur le prochain scrutin, Serge Espoir Matomba affirme que son parti politique a réussi à se faire de nouveaux contacts, qui lui seront utiles dans l’avenir.
«Tous les nouveaux contacts noués lors des divers déplacements dans les régions sont comme des graines semées porteuses de récoltes futures pour un meilleur avenir du Cameroun.Nous gardons notre ligne: nous ne sommes pas dans la caricature. Nous avons bien saisi cet autre moment pour présenter notre programme et bien repréciser nos objectifs. Nous n'oublions pas de féliciter tous les camarades qui ont eu le mérite de porter haut les couleurs du Purs dans leurs circonscriptions électorales», a écrit Serge Espoir Matomba.
Liliane N.
Il s’agit d’une mesure prise en conséquence des explosions de bombe à fabrication artisanale enregistrées ces derniers temps à Yaoundé.
Le jeudi 3 décembre 2020, Naséri Paul Bea le gouverneur de la région du Centre a sorti un communiqué en rapport avec les fêtes de fin d’année. Le patron de la région du Centre interdit la commercialisation des pétards et des engins explosifs, dans toute sa zone de commandement.
«Le gouverneur de la région du Centre a l’honneur d’informer les populations de son ressort et à titre de rappel qu’en raison du contexte sécuritaire fait d’actes criminels terroristes à l’aide d’engins explosifs improvisés dans quelques lieux de Yaoundé et afin d’éviter toute confusion que l’interdiction de la vente et l’utilisation d’engins explosifs de types pétard et feux d’artifices restent et demeurent en vigueur sur toute l’étendue de la région du Centre», a écrit Naséri Paul Bea.
Ceux qui ne respecteront pas cette interdiction, seront sanctionnés conformément à la loi. «Tout contrevenant à la mesure d’interdiction, met-il en garde, s’expose aux sanctions prévues par les lois et règlements prévus en matière de sécurité et de maintien de l’ordre» ? a écrit Naseri Paul Bea.
La décision du gouverneur du Centre d’interdire la vente des pétards et des engins explosifs n’est pas le fruit du hasard. Elle a un rapport avec les explosions des bombes artisanales que Yaoundé a enregistrées cette année. D’ailleurs il est désormais interdit d’entrer dans des débits de boisson avec des sacs ou des colis douteux.
Liliane N.
Du fait de son utilité médicale, l’Organisation des Nations unies a décidé de reclasser le cannabis dans les conventions internationales.
En date du jeudi 3 décembre 2020, l’Organisation des Nations unies (ONU) a produit un communiqué en rapport avec les résultats du travail effectué par la Commission des stupéfiants des Nations unies (CND) et le cannabis. Il se trouve que la CND a accepté que le cannabis soit reclassifié. Le communiqué de l’ONU apporte plus de précisions.
«En examinant une série de recommandations de l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) sur la marijuana et ses dérivés, la CND s'est concentrée sur la décision de retirer le cannabis du tableau IV de la Convention unique sur les stupéfiants de 1961 - où il figurait aux côtés d'opioïdes mortels et toxicomanogènes, dont l'héroïne», peut-on lire dans ledit communiqué de l’ONU.
La CND a procédé à un vote pour arriver au point de ne plus considérer le cannabis comme un stupéfiant. Le vote très serré a donné 27 Etats pour, 25 contre, 1 abstention) lors de la 63e session de la CND tenue le 2 décembre 2020. Les Etats qui ont voté sont ceux qui sont membres de l’organe qui décident de quelles substances sont considérées comme des drogues au vu du Droit international.
Pour ce qui est donc des raisons qui vont conduire à la reclassification du cannabis, elles sont d’ordre médical. Il est présenté aujourd’hui comme ayant un fort potentiel thérapeutique. Et il pourra même être utilisé dans l’élaboration de certains médicaments au même titre que la morphine ou l'opium.
«À l'heure actuelle, plus de 50 pays ont adopté des programmes relatifs au cannabis médicinal, tandis que le Canada, l'Uruguay et 15 États américains ont légalisé son usage récréatif, le Mexique et le Luxembourg étant sur le point de devenir les troisième et quatrième pays à le faire», fait savoir l’ONU.
Du côté de l’Afrique, on parle de neuf pays qui pourraient prochainement légaliser le cannabis. Il s’agit de l’Afrique du Sud, le Zimbabwe, le Lesotho, le Nigeria, le Maroc, le Malawi, le Ghana, l’Eswatini (ex-Swaziland) et la Zambie. C’est ce que révèle le dernier rapport de Prohibition Partners, un groupe de réflexion qui milite à coup d’études et de statistiques pour une large dépénalisation de cette drogue.
Liliane N.
Le Conseil de l'Ordre note qu'il n'y a pas d'avancées au sujet des revendications des avocats, et envisage de sanctionner ceux des leurs qui se sont désolidarisés de la grève censée s’achever ce vendredi 4 décembre 2020.
Même en connaissance de ce qui a meublé les échanges du Conseil de l’Ordre des avocats du Cameroun qui s’est réuni le 2 décembre 2020, il est impossible de répondre avec certitude ce qui se passera après ce jour de vendredi 4 décembre. Les avocats vont-ils poursuivre avec la grève. Ou alors vont-ils mettre fin à ce mouvement d’humeur initié en guise de dénonciation des persécutions policières sur leur corps de métier ?
Tout compte fait le Conseil de l'Ordre des avocats qui s’est retrouvé, dit avoir «pris acte des jugements de condamnation prononcés contre les quatre confrères poursuivis devant le Tribunal de Première Instance de Douala». Il indique avoir aussi pris acte de leur libération. Le Conseil de l’Ordre des avocats dit avoir relevé «opportunément que jusqu’à ce jour aucune mesure n’avait été prise pour que les responsables des brutalités policières perpétrées dans la salle d’audience de la juridiction suscitée (Tribunal de première instance de Bonanjo NDLR) soient identifiés et punis en conséquence.
En raison de cette absence de sanctions, le Conseil de l’Ordre des avocats du Cameroun dit maintenir l’application de la suspension du port de la robe jusqu’à la date de ce vendredi 4 décembre tel que prévu. Et d’autre part, il dit maintenir la suspension des prestations exclusivement devant les juridictions statuant dans les matières criminelle et électorale du 7 au 11 décembre 2020.
Le Conseil de l’Ordre envisage par ailleurs de demander la réactivation du groupe de travail Minjustice/Barreau du Cameroun sur l’amélioration du système judiciaire. Il affirme en outre avoir mis en mouvement des procédures disciplinaires contre les avocats s’étant manifestement inscrits en marge des résolutions arrêtées, soit en les violant soit en les contestant de manière inappropriée.
Liliane N.
Paul Eric Kingue le Maire de la Commune de Djombe-Penja remercie le Chef de l’Etat pour cette aide financière, qui a permis à sa chaîne de télévision «School Tv Africa».
Hier jeudi 3 décembre 2020, Paul Eric Kingue le Maire de la Commune de Djombe-Penja était face aux hommes de média. Il s’agissait pour l’ancien allié de Maurice Kamto, de parler de la chaîne de télévision «School Tv Africa» qu’il a créée et dont les activités vont être lancées officiellement dans les prochains jours. Cette rencontre avec la presse a donné lieu à des révélations, comme l’aide financière de la Présidence de la République. Paul Eric Kingue affirme avoir reçu 20 millions de FCFA du Président Paul Biya pour cette télévision.
«J’ai bénéficié d’une contribution de 20 millions de FCFA du Président Paul Biya pour ce projet», a-t-il déclaré avant d’expliquer: «jai écrit à Paul Biya, pour lui dire que l’école n’a pas de couleur. J’ai été surpris que seulement 10 jours après, Paul Biya m’ait envoyé 20 millions FCFA [...] il a donné ses 20 petits millions qui m’ont aidé à monter sur satellite. Je voudrais lui dire merci», a indiqué l’ancien allié politique de Maurice Kamto, qui aujourd’hui, se présente comme l’un de ses pires détracteurs.
Pour parler en bref de «School Tv Africa», il faut dire que c’est en fait une chaîne de télévision dédiée exclusivement à l’éducation. La formation des élèves qui la regardent est assurée par les inspecteurs pédagogiques nationaux et des enseignants de l’École normale supérieure de Yaoundé. Les programmes portent sur ceux arrêtés par les Ministères en charge de l’éducation au Cameroun à savoir celui des Enseignements secondaires et de l’Enseignement supérieur. «School Tv Africa» ambitionne donc de couvrir les programmes scolaires et académiques.
Selon nos sources, «School Tv Africa» est opérationnelle depuis le mois d’avril 2020. Elle diffuse 24 h / 24 h. Elle peut être captée sur les bouquets Creolink, Free Africa, TV+, Digitel, Swecom, TNT.
Liliane N.
Le suspect du meurtre des élèves de Kumba interpellé se faisait appeler «Commandant Zabra».
Même si le meurtre des 7 élèves de Kumba est entré dans les annales des horribles crimes commis au cours de la crise anglophone, les Forces de défense et de sécurité poursuivent leur travail. Selon nos sources, elles viennent de mettre la main sur deuxième suspect. Celui-ci se faisait appeler «Commandant Zabra». Et il a été pris dans un débit de boisson à Kumba, apprend-on de nos sources. D’après celles-ci, le suspect essayait d’extorquer de l’argent à un vieil homme. Il a été maitrisé puis, présenté à Chamberlain Ntou’ou Ndong le Préfet de la Mémé.
Il faut rappeler que deux jours après le meurtre des élèves de l’école privée Mother Francisca, le Bataillon d’intervention rapide (BIR) a interpellé le premier suspect. L’information avait été rendue publique par René Emmanuel Sadi le porte-parole du gouvernement par ailleurs Ministre de la Communication. L’interpellation de ce mis en cause avait été possible grâce à la collaboration des populations. Elle a eu lieu dans la nuit du 26 octobre 2020, aux environs de 21h 30 minutes. Ce jour-là, il y avait une patrouille de présence du 6ème BIR, qui avait été déployée dans les artères du quartier Kossala à Kumba, sur la base des informations recueillies auprès des populations locales.
Le communiqué du Ministre Emmanuel Sadi indiquait que, « la fouille de la chambre où se cachait le malfrat ainsi mis hors d’état de nuire, a permis de récupérer entre autres : son pistolet automatique de marque RECK, 12 munitions 7.62 mmx39, 07 munitions de calibre 12mm, 07 téléphones portables, 01 récépissé de carte nationale d’identité au nom de ‘‘NFOR’’, un sac en bandoulière contenant du chanvre indien».
A titre de rappel, les élèves de Kumba ont été tués le samedi 24 octobre 2020.
Liliane N.
Monono Absalom Woloa le Préfet du département du Mbam et Inoubou dit avoir eu de multiples dénonciations de cas de pratique d’homosexualité enregistrées ces dernières semaines dans la ville de Bafia.
Monono Absalom Woloa le Préfet du Mbam et Inoubou a saisi par voie de correspondance les délégués départementaux des Enseignements secondaires et de l’Education de base du Mbam et Inoubou. L’autorité administrative a interpelé les délégués sur des pratiques homosexuelles qui se passeraient dans les établissements scolaires.
Aussi, il a confié la tâche à ceux-ci de saisir à leur tour, les chefs d’établissements de leur ressort. Il sera question pour eux de sensibiliser les enseignants et élèves par rapport à «ces pratiques déviantes». Monono Absalom Woloa le Préfet du Mbam et Inoubou attend des responsables d’établissements scolaires, qu’ils dénoncent toute personne suspectée pratiques homosexuelles.
Dans la note qu’il a fait parvenir aux délégués départementaux des Enseignements secondaires et de l’Education de base du Mbam et Inoubou, le Préfet affirme avoir reçu de nombreuses dénonciations de cas de pratique d’homosexualité enregistrées ces dernières semaines dans la ville de Bafia, et certaines révélations allant dans la même veine recueillies de sources dignes d’intérêt.
Il convient de préciser et de rappeler que l’homosexualité est punie au Cameroun. Cette pratique n’a jamais été légalisée. L'article 347 bis du Code pénal camerounais punit d'un emprisonnement de six (06) mois à cinq (05) ans et d'une amende de vingt mille (20 000) à deux cent mille (200 000) francs, toute personne qui a des rapports sexuels avec une personne de son sexe.
Liliane N.
Le président national du Mouvement pour la renaissance du Cameroun pense que ce sera une belle manière, de rendre hommage à l’écrivaine Djaili Amadou Amal, qui porte haut la littérature camerounaise.
Depuis l’annonce des résultats du prix Goncourt des Lycéens édition 2020, remporté par notre compatriote Djaili Amadou Amal, cette dernière ne cesse de recevoir des félicitations venant de tous les côtés. Maurice Kamto le président national du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (MRC) s’est joint aux multiples camerounais qui saluent la victoire de Djaïli Amadou Amal. Pour l’homme politique, l’écrivaine est certainement un modèle pour la femme et la jeunesse de notre pays.
«J’adresse à Djaïli Amadou Amal mes chaleureuses félicitations pour cette double reconnaissance historique qui fait honneur au Cameroun et plus largement à l’Afrique. Je me réjouis de cette distinction éclatante qui met en orbite une écrivaine talentueuse. Par l’exemplarité de son parcours riche en défis et nourri de sa détermination à se forger un destin, je crois pouvoir dire que Madame Djaïli Amadou Amal est un modèle pour la femme et la jeunesse camerounaises et celles de notre continent», a-t-il écrit.
Au-delà des encouragements, Maurice Kamto pense que la meilleure manière de rendre hommage à Djaïli Amadou Amal, serait d’introduire dans les programmes scolaires du pays, l’ouvrage qui l’a porté sur l’estrade du podium du prix Goncourt des Lycéens, «Les impatientes».
«Je souhaite la belle carrière littéraire qu’elle mérite à Madame Djaïli Amadou Amal. Vivement que « Les impatientes » fasse son entrée dans nos programmes éducatifs officiels. Ce ne serait pas un hommage immérité», a écrit Maurice Kamto.
Liliane N.
La nouvelle est tombée ce mercredi 2 décembre 2020.
C’est notre compatriote Djaïli Amadou Amal qui a gagné la 33ème édition du prix Goncourt des Lycéens. Elle est lauréate avec son ouvrage «Les impatientes». Huffingtonpost fait savoir que «depuis deux mois, près de 2000 élèves de toute la France sont engagés dans la lecture des 14 romans sélectionnés par l’Académie Goncourt. À la suite des délibérations en classe, cinq auteurs étaient encore en lice face à Djaïli Amadou Amal: Miguel Bonnefoy (Héritage), Lola Lafon (Chavirer), Hervé Le Tellier (L’Anomalie), Maud Simonnot (L’enfant céleste) et Camille de Toledo (Thésée, sa vie nouvelle)».
Djaïli Amadou Amal succède donc ainsi à Karine Tuil, lauréate de l’édition précédente, récompensée pour son roman "Les choses humaines". Il faut préciser que la révélation du nom du lauréat du prix Goncourt des Lycéens est arrivée juste deux après la proclamation des résultats du Prix Goncourt 2020. Notre compatriote qui est arrivée jusqu’à l’étape de la finale n’a certes pas remporté ledit Prix, cependant elle a touché de nombreux camerounais, africains et amoureux de la littérature.
Se montrant reconnaissante envers tous ceux qui l’ont soutenu, Djaïli Amadou Amal a affirmé avoir vécu une belle expérience.
« Ensemble nous avons porté l’espoir dans une nouvelle dimension, l’espoir d’un lendemain meilleur pour non seulement la femme, mais pour l’humanité entière. La flamme que nous avons allumée ne s’éteindra pas ! J’exprime par la même occasion une pensée à tous ceux et celles qui m’ont soutenue dans mon parcours, ainsi qu’à mes devancier(e)s, ces noms de la littérature africaine et internationale qui m’ont inspirée et qui, d'une façon ou une autre, ont forgé ma carrière d’écrivaine », a-t-elle écrit.
Liliane N.
Paul Atanga Nji indique que chaque gouverneur de région a été chargé de remettre aux chefs bénéficiaires, la dotation spéciale du Chef de l’Etat.
Paul Biya se montre à l’écoute des populations. Alors qu’on tend à la fin de la campagne électorale qui a débuté le samedi 21 novembre 2020, le Président de la République donne du sourire aux chefs traditionnels engagés pour les toutes premières élections régionales du pays. Le Chef de l’Etat vient de décider d’accorder une dotation financière spéciale aux autorités traditionnelles candidates aux régionales.
Le communiqué radio-presse signé par Atanga Nji le Ministre de l’Administration territoriale qui est parvenu à notre rédaction, fait savoir, qu’il a été donné aux dix gouverneurs des régions de porter à ces chefs candidats, ladite dotation spéciale du Président dès ce jour et jusqu’à demain vendredi 04 novembre 2020.
« Ce grand geste traduit la constante sollicitude du Chef de l’Etat à l’endroit des chefs traditionnels du Cameroun. Au début de la campagne électorale en cours, les candidats issus du Commandement traditionnel ont émis le vœu de bénéficier d’un soutien financier à l’instar du financement accordé aux partis politiques lors des consultations électorales », a écrit le ministre Paul Atanga Nji.
A titre de rappel, les textes sont restés muets sur un quelconque financement à octroyer aux chefs traditionnels candidats aux élections régionales. Par contre, le financement public pour les partis politiques est prescrit par l’article 285 de la loi N°2012/001 du 19 avril 2012 portant Code électoral, modifiée et complétée par la loi N°2012/017 du 21 décembre 2012.
Dans un communiqué qui date du 24 novembre 2020, le ministre Atanga Nji indiquait aux partis politiques que «la première tranche dudit financement leur sera servie au prorota des listes présentées et définitivement acceptées. Quant à la seconde tranche, elle sera répartie après la proclamation des résultats, proportionnellement au nombre de sièges obtenus ».
Liliane N.