Honte, incompréhension, dégoût et bien d’autres qualificatifs qu’on a cru déceler en lisant cette information sur les réseaux sociaux et autres groupes whatsapp:
“ Lycée de Biyem - Assi, un élève de Première enceinte le professeur d’Espagnol. Le proviseur vient d’interdire un certain type d’habillement chez les dames notamment”.
Est-ce cette histoire qui a amené madame le Proviseur du Lycée de Biyem Assi à rédiger cette note? Surtout lorsqu’on voit comment s’habillent tous ceux qui sont recrutés, afin de dispenser le savoir à des apprenants qui, même s’ils sont quelquefois plus âgés que leur professeur, n'en demeurent pas moins des élèves.
Il serait certainement opportun que l’on renseigne sur ce que prévoit la Loi dans ce genre de situation, si bien sûr il y’a des dispositions allant dans ce sens.
“ Mon attention a été attirée, et ce de façon récurrente, sur un laisser - aller flagrant dans les comportements vestimentaires du personnel, plus particulièrement le personnel féminin.
Vous êtes sans ignorer que l’enseignant doit être un modèle pour la société en général et pour l’élève en particulier.
Afin de promouvoir un climat de salubrité morale et physique propice à l’éthique de l’éducateur et de l’éducation, j’ai l’honneur de rappeler à tous les personnels du lycée de Biyem - Assi que le respect du code de la bonne tenue est une obligation morale et professionnelle car, il y va non seulement de notre mission d’encadreur mais aussi d’éducateur…”.
N.R.M
Meka Bami élève au lycée technique d’Ebolowa est décédé ce mercredi 5 mai 2021.
Le décès de Meka Bami élève inscrit au lycée technique d’Ebolowa est rendu public par la Société Anonyme des Brasseries du Cameroun (SABC). Il se trouve que l’enfant a trouvé la mort après l’effondrement d’un des murs du centre de distribution de la SABC au quartier Nkovos. Le communiqué des Brasseries ne donne pas des précisions sur les causes de l’effondrement de son mur.
«Notre direction sécurité est déjà mobilisée pour analyser, en relation avec les autorités compétentes locales, les circonstances qui ont conduit à cet accident tragique que nous déplorons. Le Directeur général du Groupe SABC exprime sa douleur et sa compassion face à cet accident malheureux et adresse les sincères condoléances du comité de direction de l’entreprise à la famille du défunt que nous soutiendrons dans cette épreuve», indique le Groupe SABC dans son communiqué.
Une source s’étant confiée à Cameroon info net, affirme que le mur qui s’est effondré, présentait déjà depuis quelques temps des signes de défection.
«La clôture du Centre de distribution des Brasseries du Cameroun à Ebolowa ne répond pas aux normes. Nous avons averti depuis longtemps. C’est un mur fait avec des parpaings de 15, avec un fer non approprié. Inadmissible pour un mur de 8 mètres de hauteur. L’exécution des travaux avait été bâclée, mais comme les Brasseries du Cameroun sont toutes puissantes, personne ne pouvait nous entendre», déclare la source de Cameroon info net.
Selon des sources médiatiques, l’incident a également fait un blessé.
Liliane N.
C’est à l’aide d’un ciseau que l’élève inscrit en classe de 4ème a tué son camarade de classe âgé de 14 ans.
L’élève dont nous préférons taire le nom et qui est aujourd’hui présentée comme une meurtrière, était loin d’imaginer que le pire allait se produire, le 12 mars 2021 au Lycée bilingue de PK21 où elle est scolarisée. Selon ses camarades, ce jour-là, la victime répondant au nom de Franck Tessop, lui a fait une blague qui ne l’amusait pas. Elle a pris l’un de ses cahiers. En dépit des demandes de la mise en cause, Franck Tessop n’a pas voulu lui remettre son cahier. Sorti de leur salle de classe, il a plutôt continué à jouer avec ledit cahier. Sa camarade a fini par récupérer son cahier.
Seulement, une fois rentrée dans la salle de classe, elle y sera rejoint par Franck Tessop qui cette fois-ci va lui arracher des mains des ciseaux et le morceau de tissu qu’elle possède. La mise en cause va récupérer ses effets à savoir les ciseaux et le morceau. Dans le mécontentement, celle-ci va lancer en direction de la victime les ciseaux qui vont malheureusement le blesser. Les ciseaux en question ont atterri sur la poitrine de l’élève. La mise en cause à la vue de ce qui s’est passé, va présenter ses excuses à son camarade de classe qui s’est rendu à l’infirmerie pour des soins. Sauf que juste quelques minutes après son arrivée à l’infirmerie, Franck va perdre connaissance et rendre l’âme.
La jeune élève a été interpellée par la police et gardée à vue au commissariat du 7e arrondissement de la ville de Douala. Il faut souligner que le drame du lycée bilingue de PK 21survient juste deux mois après qu’un élève ait tailladé la joue de son camarade à cause de 50 FCFA au lycée de Ndog-Hem dans le 3e arrondissement de la ville de Douala.
Liliane N.
L’enseignant arrêté par les Forces de l’ordre est passé aux aveux complets.
C’est actuellement l’affaire qui meuble les échanges dans la ville de Bagangté située à l’Ouest du Cameroun. Un enseignant de Mathématiques et Directeur du C.E.S de Bitchoua Nord dans l'arrondissement de Tonga a sodomisé à mort un élève inscrit en classe de Seconde C au Lycée Bilingue de Bangangté. L’affaire s’est déroulée hier mardi 8 décembre 2020.
Selon les témoignages recueillis, le défunt élève Bryan a été vu avec son bourreau quelques heures avant la découverte de sa dépouille pendue. Il est dit qu’il avait l’habitude de se rendre chez M. l’enseignant pour effectuer des travaux ménagers. L’épouse du mis en cause l’a quitté après avoir demandé le divorce. Elle est partie en fuyant avec les enfants. Elle le soupçonnait d’être homosexuel.
Arrêté donc par les Forces de l’ordre, l’enseignant a avoué son crime. Il explique qu’il a simulé la pendaison parce qu’il a pris peur lorsqu’il a vu que l’enfant a rendu l’âme. Il voulait ainsi maquiller son crime. L’autopsie réalisée par un médécin a confirmé que l'enfant a été bel et bien sodomisé avant de rendre l'âme.
L’affaire s’étant répandue dans la ville comme une trainée de poudre, la population en colère a pris d'assaut le domaine de l'enseignant. Ledit domicile, les véhicules, la ferme de celui-ci avec tous ses animaux ont été incendiés. Sans l’intervention des Forces de l’ordre, le mis en cause ne serait plus de ce monde. Il se trouve actuellement dans une cellule en attendant d’être présenté au Procureur.
Liliane N.
L’élève Ngwang Suh, candidat au General Certificate of Education Ordinary Level a échappé belle à un kidnapping des séparatistes.
Les éléments de la république imaginaire de l’Ambazonie ont voulu enlevé l’élève Ngwang Suh, candidat au General Certificate of Education Ordinary Level. Selon Ndong Djenaga Nambi, proviseure du Lycée bilingue de Bamenda, ils sont venus le kidnapper à la sortie de l’école. L’incident s’est produit le 11 août 2020 autour de 16 heures. Mme la proviseure rapporte qu’à ce moment-là, elle a été alertée par des tirs de coups de feu. Faisant ses derniers rapports, la réaction normale qu’elle a eue dès l’entente des coups de feu a été de se cacher.
«J’ai pris peur et je me suis cachée. C’est en ce moment que les enfants qui rentraient se sont retournés et m’ont dit que les séparatistes voulaient kidnapper Ngwang Suh qui s’est opposé et a reçu une balle», a-t-elle déclaré au micro de la Cameroon radio television (Crtv).
Le kidnapping de Ngwang Suh a échoué. Cependant l’élève candidat au General Certificate of Education Ordinary Level a été blessé par balle. Simon Mooh le Préfet du département de la Mezam mis au parfum de cet incident a fait une descente au Lycée. L’autorité administrative a tout d’abord apporté son réconfort à la victime. Il a prescrit sa prise en charge médicale. Ensuite il a rebooster le moral des autres élèves candidats et des examinateurs.
Selon nos sources, Ngwang Suh n’étant pas un blessé grave, il est revenu le 12 août 2020 soit au lendemain de son attaque pour poursuivre son examen. Surtout que le le Préfet Simon Mooh a rassuré sur le fait que les examens allaient se poursuivre dans les 3 arrondissements de la ville de Bamenda avec un dispositif sécuritaire renforcé.
Liliane N.