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Liliane N.

Liliane N.

Le militant engagé du Rassemblement démocratique du peuple camerounais Messanga Nyamding dit être solidaire des chefs traditionnels de la région de l’Ouest qui viennent de faire une déclaration en rapport avec les sujets brulants du pays.

 

Le Pr Pascal Charlemagne Messanga Nyamding s’est exprimé ce matin de vendredi 27 novembre 2020 sur Radio Balafon. Il a parlé de la récente déclaration des chefs traditionnels de l’Ouest. De son passage dans cette radio privée, on retient que, les autorités traditionnelles de l’Ouest ont demandé au Pr Maurice Kamto de reconnaître Paul Biya comme le Président de la République du Cameroun.

«Les chefs de l’Ouest ont demandé à Maurice Kamto de reconnaitre Paul Biya, comme Président de la République du Cameroun. Paul Biya, c’est le chef. Je vous rappelle que lorsqu’il arrive au pouvoir on l’avait proclamé partout chef des chefs. Les gens doivent aussi regarder Paul Biya sur le plan traditionnel. Je ne sais pas si nous aurons encore un président avec tous les pouvoirs comme Paul Biya», a déclaré le Pr Messanga Nyamding.

Sur l’objet de la déclaration des chefs traditionnels qui dans leur document de 6 pages, indiquaient que l’option militaire à montrer ses limites dans la résolution de la crise qui sévit au Nord-Ouest et au Sud-Ouest du Cameroun, le Pr Messanga Nymading se montre solidaire.

«Les chefs sont la dimension sacrée du pouvoir. Les chefs sont dans leur rôle. Je suis le chef du centre administratif de Yabassi village. Ma chefferie est la chefferie la plus peuplée du département du Nkam. A ce titre, je ne peux qu’être solidaire aux chefs traditionnels de l’Ouest Cameroun, à qui je rends souvent visite. Ils ont les mêmes soucis que nous, à savoir, la paix. Nous sommes d’abord ce qu’on appelle les gardiens de la tradition. A ce titre, les chefs de l’Ouest sont dans leur rôle», a affirmé Messanga Nyamding.

Il faut noter que les chefs traditionnels de la région de l’Ouest ont demandé au parlement d’introduire le dossier du Nord-Ouest et du Sud-Ouest à l’ordre du jour.

 

Liliane N.

C’est le bilan de quatre Bataillons d’intervention rapide qui ont été déployés dans les régions de l’Adamaoua, du Nord, de l’Extrême-Nord et même de l’Est.

C’est un bilan relayé par Journalducameroun, dans l’une de ses publications de ce vendredi 27 novembre 2020. Il y a eu 4 Bataillons d’intervention rapide (BIR) qui ont été envoyés dans trois régions septentrionales en proie au phénomène des prises d’otage. Un Bataillon a été aussi envoyé à l’Est du pays. Tous ces Bataillons avaient la mission de lutter contre le phénomène des preneurs d’otages et le grand banditisme. De leur lutte, il ressort que 46 otages ont recouvré la liberté. Et 130 têtes de bétail ont été récupérées durant ces deux dernières années, rapporte Journalducameroun qui dit tenir ces données du bilan rendu public à ce mois de novembre des BIR.

En plus des personnes libérées et des bétails, les BIR déployés dans le septentrion et à l’Est ont également récupéré sur la même période, 36 armes de guerre et 228 munitions. Ils ont en outre interpellé 13 suspects et tué 15 présumés malfrats dans des combats. Dans l’optique de sécuriser davantage la frontière entre le Cameroun et la République Centrafrique, des incursions des groupes armés basés en RCA, le BIR a inauguré ce mois de novembre trois nouveaux postes opérationnels dans l’Adamaoua, notamment à Gbatoua-Godolé, Nyamba et Ngaoui.

Liliane N.

 

Le compatriote Joël Monefong se dit satisfait de l’échange qu’il a eu avec le Président Tshisekedi sur le projet de construction du Port en eau profonde de Banana.

Ce n’est plus un secret. Joël Monefong va apporter son expertise et son savoir-faire à la République démocratique du Congo (RDC), dans la réalisation du projet de construction du Port en eau profonde de Banana. Il a d’ailleurs été reçu par Félix Tshisekedi le Président de la RDC.

«Toute ma gratitude à S.E. Félix Tshisekedi pour l’audience de compte-rendu de notre mission de conseil à la RDC dans le cadre du projet du port en eau profonde de Banana », a écrit Joël Monefong qui est en fait conseiller financier dans le cadre de ce projet.

Il faut savoir que le 18 septembre 2020, il y a eu un conseil de Ministre à propos de ce projet de construction du Port en eau profonde de Banana. Et Investir au Cameroun rapporte que «ce jour-là, le président congolais a relevé qu’il y a « des divergences profondes au niveau de la partie congolaise, non seulement sur la stratégie de négociation et d’implémentation de ce projet vis-à-vis du partenaire privé, mais également sur le modus operandi pour y arriver ». Et Joël Monefong financier camerounais à la tête du cabinet « Contacturer », a donc été contacté.

Selon Investir au Cameroun, le projet du port de Banana «se situe à l’embouchure du fleuve Congo. La phase 1 de ce projet prévoit de construire un quai de 600 mètres et 25 hectares d’espace de stockage pour un coût de 350 millions $ (192,9 milliards de FCFA)».

En bref, Joël Monefong est diplômé en finance et management à l’Université du Québec à Montréal. Il a été conseiller technique numéro 1 au port autonome de Kribi, dans la région du Sud du Cameroun.

Liliane N.

 

Naseri Paul Bea le gouverneur de la région du Centre indique que la priorité est donnée à la protection des camerounais.

Naseri Paul Bea le gouverneur de la région du Centre est encore revenu sur l’aspect sécuritaire de son territoire de commandement et en particulier de la ville de Yaoundé, dans les colonnes de Cameroon tribune, le quotidien à capitaux publics. Le patron de la région du Centre a parlé des mesures qui ont été prises pour contrer les explosions de bombe à fabrication artisanale dans les débits de boisson. On note dans les déclarations du gouverneur, que l’application desdites mesures sera vérifiée, parce que la priorité est donnée à la protection des vies des camerounais.

Au passage l’une de ces mesures est l’interdiction d’accès dans les débits de boisson avec des sacs et des colis douteux.

«Pour le moment, nous sommes dans la phase de sensibilisation. Après, nous procéderons aux contrôles. Ceux-ci seront systématiques et permanents, surtout aux heures de forte fréquentation. En début de soirée, en l’occurrence. Nous allons contrôler avec rigueur, les heures de fermeture de ces établissements. L’autre objectif est de lutter contre le tapage nocturne. Il faut que les populations se tiennent en état d’alerte. Voilà pourquoi nous invitons également l’association des tenanciers des ventes-à-emporter à sensibiliser et à éduquer leurs collègues qui ne sont pas encore au courant de cet arrêté», déclare le gouverneur Naseri Paul Bea.

Pour ce qui est des débits de boisson qui se trouveront dans l’incapacité de protéger leur clientèle, le gouverneur prévoit tout simplement la fermeture de leur établissement.

«La sécurité n’a pas de prix. Et pour cela, si un petit bar n’a pas les moyens d’assurer la sécurité de sa clientèle, on sera obligé de le fermer pour préserver les vies des Camerounais. .. On ne compare pas les moyens de subsistance ou de plaisir avec la sécurité des hommes», ajoute le gouverneur Naseri Paul Bea.

Liliane N.

 

Jean Marc Ekoa Mbarga le Préfet du Diamaré rappelle que la marche du 29 novembre prochain initiée par le «Collectif citoyen contre les souffrances du peuple», est interdite.

Après le Sous-préfet de l’arrondissement de Maroua IIe, Jean Marc Ekoa Mbarga le Préfet du Diamaré interdit la tenue d’une marche dite «contre les souffrances du peuple», dans sa zone de compétence. De ce fait, l’autorité administrative a signé un communiqué hier 25 novembre 2020. Dans ledit communiqué, le Préfet accuse le «Collectif citoyen contre les souffrances du peuple», initiateur de la marche qui doit avoir lieu le 29 novembre 2020, d’adopter une «attitude insurrectionnelle».

Aussi, il précise que l’interdiction de cette marche ne se limite pas seulement à l’arrondissement de Maroua IIe mais dans tout l’ensemble du département du Diamaré. Et ceux qui vont s’entêter à l’organiser, devront faire face aux sanctions prévues par la règlementation.

«Cette prétendue marche pacifique projetée le 29 novembre 2020 a été interdite par le Sous-préfet de céans sans autre forme de procès. Dès lors, toute personne qui se retrouvera sur la voie publique ou à tout autre endroit pour donner suite à une telle activité aux contours lugubres, ou répondre aux sirènes dudit inexistant mouvement, s’exposera à la rigueur de la loi», peut-on lire dans le communiqué du Préfet Jean Marc Ekoa Mbarga.

A titre de rappel, en interdisant cette marche suscitée, le Sous-préfet de Maroua IIème a fait mention d’un défaut défaut de déclaration. Il a trouvé qu’il y a une menace de trouble à l’ordre public. Et il a évoqué «une démarche visant à porter atteinte à l’unité et à la paix sociale».

Liliane N.

 

 

Ces anciens combattants séparatistes ont été accueillis par le Comité national de désarmement, de démobilisation et de réintégration, hier 25 novembre 2020.

 

Le Comité national de désarmement, de démobilisation et de réintégration (CNDDR) vient d’enregistre une nouvelle vague de repentis de combattants séparatistes. 23 anciens séparatistes ont décidé de déposer les armes. Ils ont décidé de ne plus combattre l’armée et la nation. Ils ont donc été accueillis hier dans la ville de Bamenda par le CNDDR qui se charge de leur intégration dans la société et réinsertion professionnelle.

« Je me sens vraiment léger. Je suis ravi. Je pense qu'ils ont compris le message du chef de l'Etat. Depuis près d'un mois, ils viennent progressivement », a déclaré tout content Francis Fai Yengo, le coordonateur national du CNDDR sur les antennes de Canal 2 International.

Mieux encore, ces combattants qui viennent de Donga Mantung, de la Menchum et de Santa dans la Mezam, ont indiqué qu’ils mettront de leur sien pour amener leurs frères qui restent dans la brousse de déposer les armes. D’ailleurs Francis Fai Yengo a parlé d’un total de 137 anciens séparatistes disposés à faire ce travail.

« Ces villes mortes perturbent l'économie de notre région. Nous, ex-combattants, nous allons nous assurer que cela s'arrête », fait savoir Emmanuel Ichu, ex-combattant.

A titre de rappel, en début de ce mois, 11 séparatistes ont aussi décidé de déposer les armes. Ils ont intégré le Centre de Buea du CNDDR. Ils ont présenté leurs armes le mercredi 18 novembre 2020 aux autorités notamment Bernard Okalia Bilaï, le Gouverneur de la région du Sud-Ouest. On a noté qu’il y avait des dizaines de fusils de plusieurs calibres.

 

Liliane N.

Ahmad Ahmad le désormais ex-président de la Confédération africaine de football indique qu’il y a eu des irrégularités dans la procédure ayant abouti à sa suspension.

Comme nous le disions dans l’une de nos publications, Ahmad Ahmad avait la possibilité de faire recours au tribunal Arbitral du Sport (TAS), pour l’annulation de la décision prise par la Commission éthique de la FIFA, qui l’a suspendu pour une durée de 5 années. Il a décidé de le faire. Et son équipe a rendu public un communiqué de presse parvenu à notre rédaction.

Dans ledit communiqué de presse, on retrouve des éléments qui seront avancés par le malgache Ahmad Ahmad devant le TAS, pour avoir gain de cause. L’équipe du désormais ancien président de la Confédération africaine de football (CAF) évoque par exemple, le fait que la FIFA ait fait appel au cabinet d’audit PWC pour investiguer l’instance faîtière du football africain, alors que celui-ci travaillait toujours pour la CAF. Ce qui a donné lieu à un conflit d’intérêt et un problème de manque d’impartialité.

«De plus des rumeurs permanentes concernant une possible implication de la FIFA dans le travail de la Commission d’éthique ont constamment résonné dans la presse européenne et africaine. Des fuites d’information relatives à la procédure en cours – pourtant censée être strictement confidentielle – et systématiquement défavorables au président Ahmad, ont été rendues publiques par voie de presse, empêchant de fait, la tenue d’un travail d’enquête serein. Même l‘audition du président Ahmad auquel a été notamment refusé le droit de présenter une partie de ses témoins, lors d’une audience menée au pas de charge, ne s’est pas tenue selon les standards habituels», peut-on lire dans le communiqué de presse rédigé par l’équipe d’Ahmad Ahmad.

Pour ces irrégularités sus rapportées, Ahmad Ahmad va saisir le TAS, parce que trouvant aussi choquante et incompréhensible sa suspension décidée par la FIFA. Le recours au TAS sera également assorti «d’une demande d’effet suspensif, afin de ne pas aggraver le préjudice subi par le président Ahmad, et lui permettre de mener une campagne en vue de sa réélection à la présidence de la CAF», précise son équipe.

Liliane N.    

Antonio Conceiçao le sélectionneur des Lions indomptables pense que les footballeurs dans le continent africain doivent être valorisés.

L’incident que les Lions indomptables ont eu à vivre lors de leur passage à Maputo au Mozambique, ne valorise pas le football africain encore moins les joueurs. Pour mieux comprendre la sortie d’Antonio Conceiçao l’entraîneur des Lions, il convient de rappeler qu’après le match retour livré à Maputo, l’équipe et son staff technique ont été contraints de passer une nuit supplémentaire, du fait d’un désaccord entre la compagnie aérienne nationale Camair-Co et la Direction de l’aéroport international de Maputo. Le désaccord portait sur le ravitaillement en carburant de l’avion affrété pour les Lions indomptables.

Avant cet incident, il y a eu qu’à leur arrivée à Maputo, les Lions indomptables ont dû passer de nombreuses heures avant d’être accueillis. Aussi, la préparation des quintuples champions d’Afrique pour ce match retour comptant pour les éliminatoires de la CAN 2022, a également été perturbée par la lenteur observée dans la mise à disposition des résultats des tests Covid-19. Moins de deux heures, avant le coup d’envoi de la rencontre, plusieurs joueurs clés n’avaient pas encore connaissance de leur statut sérologique, et ne pouvaient dont pas figurer dans le onze entrant.

«Notre arrivée à Maputo, la longue attente à l’aéroport et toutes nos mésaventures, sont un aspect négatif pour le football africain et camerounais. Aucune professionnelle ne doit vivre ça. Je suis proche de mes joueurs. J’ai une relation de respect et je suis très exigeant avec eux. C’est pour cela que je mets un accent particulier dans la gestion de leurs corps, la récupération et la nutrition. Si on veut valoriser les joueurs et le football africain, on doit respecter les joueurs. À mon avis, mes joueurs n’ont pas été respectés et ça fait mal. Je pense que les fédérations et la CAF doivent impérativement trouver une solution pace qu’on n’avance pas», a déclaré Antonio Conceiçao sur les antennes de la CRTV.

Liliane N.

Narcisse Mouelle Kombi le Ministre des Sports a tenu informé le président de la Ligue de football professionnel du Cameroun, de la mise à sa disposition de 17 stades.

Alors que l’arbitrage de la Présidence de la République reste attendu, Narcisse Mouelle Kombi le Ministre des Sports et de l’Education physique avance avec la Ligue de football professionnel du Cameroun (LFPC). Par voie de correspondance, le Ministre Mouelle Kombi fait savoir au Général Pierre Semengue, que 17 stades sont mis à la disposition de la Ligue pour l’organisation des championnats Elite 1 et Elite 2.

 Dans sa correspondance, le Ministre des Sports affirme avoir pris acte de l’ordonnance du Tribunal arbitral du sport qui réhabilite la LFPC dont les compétences pour l’organisation et la gestion des championnats professionnels avaient été retirées par le Comité exécutif de la Fédération camerounaise de football (FECAFOOT).

Aussi, Narcisse Mouelle Kombi dans sa correspondance, demande au Général Pierre Semengue de se référer à la FECAFOOT pour les arbitres qui vont devoir diriger les matches. Il convient de noter que lors du lancement championnat fait par la Ligue, la Fédération n’avait pas envoyé des arbitres. La LFPC avait eu recours à des arbitres équato-guinéens qui ont été quelque temps après sanctionnés par leur fédération.

«S’agissant de la mise à disposition des arbitres fédéraux, je vous saurais gré de bien vouloir saisir formellement la Fédération Camerounaise de Football. Vous voudrez bien également soumettre le règlement de la compétition à l’instance fédérale. Ces mesures à observer impérativement par votre structure, tiennent des obligations statutaires de la FECAFOOT et visent à prendre en compte les recommandations de a FIFA, formulées dans sa lettre datée du 16 novembre 2020 et dans laquelle elle prescrit à la FECAFOOT, de «prendre sans tarder toute mesure permettant en priorité la reprise sous son égide du championnat interrompu». Il reste entendu qu’à ce titre et au regard des compétences spécifiques de la LFPC, la FECAFOOT est tenue de mettre à disposition tous les moyens techniques et humains nécessaires pour le bon déroulement desdits championnats», a écrit le Ministre Narcisse Mouelle Kombi.

Liliane N.   

La Société Commerciale de Banque du Cameroun (SCB), filiale du Groupe marocain Attijariwafa Bank a lancé un avis de recrutement d'un expert en montage d'équipements industriels.

 

Ca fait juste 19 mois où l'usine de transformation du cacao de Néo Industry a été inaugurée. Cette usine, il faut le préciser est située à Kekem dans la région de l’Ouest. Seulement certains éléments laissent penser qu’elle pourrait être démontée dans les prochains jours. Selon le confrère Cameroon Info Net, la Société Commerciale de Banque du Cameroun (SCB) prévoit envisagerait de poser un acte de ce genre. Sur son site internet, elle a publié justement un avis de recrutement d’un expert en montage d’équipements industriels.

« La Société Commerciale de BANQUE CAMEROUN, porte à l'attention du grand public que pour les besoins de démontage des équipements d'une industrie agroalimentaire située dans la ville de Kekem, elle recherche d'urgence un expert en montage d'équipements industriels. Les offres devront être sous enveloppe fermée avec la mention "AR RECRUTEMENT EXPERT", à déposer au service courrier situe à la Direction Générale - Bonanjo Douala avant le vendredi 27 novembre 2020 », peut-on lire dans ledit avis de recrutement.

Il faut savoir que Neo Industry Kekem S. A, a été inauguré le 26 avril 2019 par Joseph Dion Ngute le Premier Ministre. Cette usine représente un investissement de 54 milliards de FCFA. L’objectif qui lui a été assigné est de transformer annuellement 32.000 tonnes de fèves de cacao, 6000 tonnes de poudre, 12.000 tonnes de masse, et de l'huile de cacao obtenue après pression de 75% de masse de cacao.

Il faut aussi préciser que la construction de l'unité de transformation de Kekem avait bénéficié d'un financement de 13 milliards de FCFA octroyé par SCB Cameroun. Du côté de la SCB et ladite unité ; c’est bouche cousue. Rien ne filtre sur ce qui se passe réellement.

 

Liliane N.







Sunday, 05 June 2022 11:01