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Mfoungo

Mfoungo

Siriki, Souké, Fati, Souleymane.bf, stars de la célèbre série burkinabé ont fait partie du ballet d’hôtes reçus le 26 juillet dernier par le ministre des Arts et de la Culture (Minac) Bidoung Mkpatt.

 

C’est dans une ambiance digne d’une scène théâtrale à la hauteur des hôtes du jour, que  les comédiens de la série burkinabé à succès, « Les Bobodiouf » ont échangé avec le ministre des Arts et de la Culture (Minac), Bidoung Mkpatt. Au cours de cette audience du 26 juillet 2019 à Yaoundé, initiée par Athanase Mvondo dit « Edoudoua non glacé », les vedettes du petit écran venues du Burkina Faso ont présenté au ministre le projet qui les amène au Cameroun.

En effet, rapporte Cameroon Tribune, Mahamoudou Tiendrébéogo (Souké), Frédéric Soré (Siriki), Pauline Ouattara (Fati) et Souleymane Koumaré (Souleymane BF), sont à l’affiche d’une production dévoilée au public de Douala et Yaoundé, les 24 et 26 juillet dernier. « Je suis venu chercher l’onction du patron des Arts et de la Culture pour la projection d’un téléfilm récemment tourné et produit au Cameroun », a déclaré Edouadoua non glacé.

Une initiative coopérative fortement saluée par  Bidoung Mkpatt. Intitulé « A malin, malin et demi », le téléfilm met en lumière les rapports compliqués existant entre un patron et ses employés. Il a été tourné en partie à Yemsoum 2, une localité située près de l’arrondissement d’Obala, département de la Lékié, le village natal d’Edoudoua et à Yaoundé durant deux mois.

Les hôtes du Minac ne l’ont pas caché, ils sont « heureux d’être au Cameroun pour prendre part à une telle opération artistique », eux pour qui participer à des productions camerounaises devient une habitude. Siriki et Souké notamment, ont déjà été vus dans le film « Le serpent de bronze » de Thierry Ntamack. De quoi réjouir le monde des Arts et de la Culture, en perpétuelle recherche de coopération et de coproduction dans divers secteurs, notamment le cinéma.

Dans la même journée, le Minac a ensuite reçu Fabiola Ecot Ayissi, promotrice culturelle et fondatrice du Centre international pour le patrimoine culturel et artistique (Cipca) situé au quartier Emana à Yaoundé. Fabiola Ecot Ayissi a relevé les réalisations de son Centre inauguré le 4 avril 2018. Elle a sollicité l’accompagnement multiforme du Minac. Assurance lui a été donnée par Bidoung Mkpatt.

 

Otric N.

Entre la réalité des faits qui se déroulent sur les fronts de combat dans différentes régions du Cameroun et la nature des informations qui circulent de part et d’autre, la frontière est quelquefois très mince.

 

Alors que le Cameroun est actuellement traversé part de nombreuses crises socio sécuritaires, les populations sont perdues et confuses dans la qualité des informations qui lui sont transmises au quotidien. L’opinion en vient parfois à condamner certains médias de vouloir amplifier des conflits par la nature des informations qu’ils diffusent. Sur le terrain pourtant, la réalité peut être pire que ce qui se dit dans d’autres médias qui en montrent un façade moins tragique.

 

L’univers médiatique camerounais (tous les supports : télévision, radio, presse écrite et journaux en ligne) est de plus en plus confronté aux fausses nouvelles. Peu importe l’événement, l’acteur mis en cause, le lieu ou le moment, les informations erronées surgissent. L’opinion publique pointe un doigt accusateur sur les médias et réseaux sociaux.  Les médias et professionnels avertis doivent désormais y faire face dans le processus de traitement d’information, pour de multiples raisons.

 

Au moment où le Cameroun fait face à divers conflits de part et d’autres de son territoire national, ce problème de désinformation confronte les professionnels des médias à plus de rigueur dans la quête et la vérification des informations reçues. Tous les citoyens, y compris certains journalistes se trouvent parfois pris au piège des « fake news ». Les risques liés à la transmission d’une fausse information sont autant valables pour les médias que pour la société, au regard des dommages qui pourraient être causés, surtout par ces temps de crises.

 

Toutefois, cette psychose est souvent à l’origine de la négligence d’informations véridiques. Il se trouve donc que certains médias sur lesquels l’on jette régulièrement l’opprobre dans la société sont parfois ceux là qui transmettent la bonne information. En prenant le cas de la crise anglophone, certains lecteurs et internautes se basent très souvent à l’atrocité des images qui circulent sur les réseaux sociaux pour démentir des informations. La vérité ou la réalité ne se trouve pourtant pas derrière la nature des images. Des soldats camerounais ou des combattants séparatistes s’affrontent sur le terrain dans les régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest, tout autant que les islamistes de Boko Haram dans les régions camerounaises face à l’armée camerounaise.

 

Les désastres pourraient être commis par l’une ou l’autre partie dans l’un de ces fronts. Se baser sur les images pour tirer des conclusions basées sur des spéculations. Tous les responsables d’organes de presse au Cameroun sont conscients des enjeux médiatiques, sociopolitiques et surtout sécuritaires des informations qu’ils portent au public.

Dans le ton provocateur qu’on lui sait désormais, le ministre Jean de Dieu MOMO a annoncé sa présence à Bafoussam ce samedi pour la grande parade de soutient au chef de l’Etat.

  

Quelques heures déjà avant la mobilisation du RDPC à Bafoussam, le Ministre délégué auprès du Ministre de la justice informait l’opinion publique nationale et internationale qu’il fait partir du comité d’organisation.  « Je suis l’un des organisateurs de la rencontre de Bafoussam afin que nul n’en ignore », écrit le président national du PADDEC sur son mur Facebook ce vendredi 19 juillet 2019. Il ne pouvait en être autrement. L’homme politique le plus extravagant dans son soutient au président de la république ne pouvait pas manquer cet autre occasion de se faire voir.

 

Se faire voir, puisque c’est bien de ça dont il est question ce samedi. Ce d’autant plus que de manière fondamental, cette marche n’apportera aucun substrat politique à Paul BIYA. Le RDPC, au lieu d’une solution est davantage un problème pour l’exercice de la politique de Paul BIYA. On se souvient qu’à l’époque de la présidentielle, le candidat naturel du parti du flambeau n’a à aucun moment eu recours aux emblèmes du parti pour battre campagne.

 

D’un autre point de vue, il y a meilleure question sur lesquelles se pencher en ce moment. A l’instar de la question anglophone au sujet duquel Paul BIYA aurait commencé des démarches allant dans le sens du dialogue. Alors qu’on se serait attendu à ce que Jean de Dieu MOMO et les autres aparachiques du RDPC se soudent autour de se projet fédérateur en vue de la réconciliation des deux parties du Cameroun, on est surpris de les voir plutôt poser cet acte de marche qui ne fera que raviver les clivages et les luttes ethniques.

 

Hier, ce sont les « bamilékés » qu’on tentait d’opposer à d’autres groupes sociaux, dès ce samedi, il sera question d’opposer les « bamilékés » entre eux. Suivant la logique machiavélique de « diviser pour mieux régner ».

 

On n’est pas surpris que des politiciens de trempe du ministre MOMO s’engouffrent dans ce poison démocratique. Voici, l’intégralité de la communication de Jean de DIEU MOMO.

 

« Patriotes républicains ne cédez pas aux intimidations de clavier des soi-disant révolutionnaires. Ce sont mes amis d’hier. Ils ont tout dans la bouche et rien dans la tête. Ils ont compris instinctivement que le meeting de Bafoussam est celui de l’enterrement du tribalisme et de la violence politique au Cameroun. Leur unique fonds de commerce politique depuis 1956. Ces gens-là qui ont vécu dans la clandestinité depuis qu’ils ont été défaits en 1960 manifestent seulement leurs dernières agonies avant de disparaître à jamais. Ce qui va se passer à Bafoussam n’est rien d’autres que le dernier combat entre le BIEN et le mal. Entre la République et les maquisards qui se prennent pour des révolutionnaires. Tous les patriotes à Bafoussam pour signer l’acte de décès officiel du tribalisme et du repli identitaire dans notre pays. Et surtout rappelez-vous ce sont des bluffeurs agitateurs de spectres. »

 

Stéphane NZESSEU

Le 15 juillet dernier, nous vous annoncions que onze personnes avaient été retrouvées mortes, à l’unité anti-drogue de la police, à Ouagadougou alors qu’ils avaient été placées en garde à vue, dans le cadre d’une enquête de la police nationale. Si les premiers résultats de l’enquête menée par les autorités burkinabè pour élucider les décès ne sont pas encore connus, les sentions sont tombées. Le commandant de l’unité antidrogue et la directrice de la police judiciaire ont été relevés de leur fonction. Les agents de police en service le jour du drame ont également été écartés de l’unité antidrogue.

 

Selon plusieurs médias, Le président burkinabè Roch Marc Christian Kaboré a condamné, jeudi, la mort des 11 détenus dans les locaux de la police anti-drogue dans la nuit de dimanche à lundi dernier, soulignant que ce sont des choses qui ne peuvent pas rester dans l'impunité. « Ce sont des choses qui sont inacceptables et qui ne peuvent pas rester dans l'impunité », a déclaré M. Kaboré alors qu'il présidait une cérémonie de sortie d'une promotion de policiers.

 

« J'ai instruit que la chaîne de commandement de ce service soit suspendue, en attendant que la police judiciaire fasse son travail et que nous voyions les mesures à prendre à l'issue du constat des médecins légistes », a-t-il ajouté.

 

En effet, la directrice de la Police judiciaire, Néné Ami Ouedraogo a été suspendue et le chef de la Division unité anti-drogue de la police nationale, Richard Belem, relevé de ses fonctions, a annoncé jeudi le gouvernement burkinabè dans un communiqué officiel.

 

Outre l'enquête ouverte par le Procureur du Faso, le Tribunal de grande instance de Ouagadougou, les autorités ont adressé des demandes d'explication aux agents de police en service lors de ce drame. Ces agents ne font d’ailleurs plus partie de l’unité antidrogue.

 

Lire aussi : Burkina Faso : 11 détenus en garde à vue décédés dans les locaux de l'Unité antidrogue de Ouagadougou 

 

Saluant ces mesures prises par le gouvernement, l'opposition politique a souligné de son côté que « ce drame traduit l'échec de la politique judiciaire et carcérale au Burkina Faso ».

 

Alors que tout le monde attend des précisions sur les circonstances du drame, l'Union nationale de la police du Burkina Faso (UNAPOL) a indiqué que les conditions de détention « délétères » pourraient être à l'origine de la mort des 11 détenus. Le syndicat de police souligne par ailleurs que des « déviances comportementales » des occupants du violon auraient également été observées au cours de la nuit. « C'est pourquoi l'Opposition politique exige le jugement de ce crime et la prise de sanctions exemplaires à l'encontre, non seulement de ceux qui ont commis une faute professionnelle, mais aussi des autorités politiques dont la responsabilité est engagée », a réagi le chef de file de l'Opposition politique Zéphirin Diabré.

 

En tout cas, les conclusions de l’enquête en cours sont très attendues par les familles des victimes et les autorités.

 

Danielle Ngono Efondo

 

Cela été dit lors de la rencontre qui a eu lieu entre Achille Bassilekin III le Ministre des Petites et moyennes entreprises, de l'Economie sociale et de l'Artisanat et Jalel Snoussi l'Ambassadeur de Tunisie au Cameroun.

 

Il est fort probable que dans les prochains jours, le Cameroun signe un partenariat avec la Tunisie dans le secteur du développement des Petites et Moyennes Entreprises (Pme). C’est ce qu’on retient de l’audience qu’Achille Bassilekin III le Ministre des Petites et moyennes entreprises, de l'Economie sociale et de l'Artisanat (Minpmeesa) a accordé le 16 juillet 2019 à Jalel Snoussi l'Ambassadeur de Tunisie au Cameroun.

 

En fait après avoir suivi la mission économique multisectorielle au cours de laquelle la Tunisie a dévoilé ses charmes dans la ville de Douala, les autorités camerounaises se sont montrées très intéressées par le Made in Tunisia pour le développement des Pme. A titre de rappel, cette mission économique s’est déroulée du 30 juin au 4 juillet dernier. La Tunisie y avait présenté son savoir-faire en matière d'artisanat, de santé, d'activités agropastorales et de TIC.

 

La rencontre avec Jalel Snoussi a donc été l’occasion idoine pour le Minpmeesa, qui a indiqué que le Cameroun souhaite s'entourer de l'expertise des opérateurs économiques tunisiens. C’est ce qui a fait l’objet des échanges entre lui et son hôte. Un souhait qui tombe à point nommée car le Diplomate tunisien aussi est venu porter à la connaissance du Ministre, les objectifs et le bilan de la mission économique de Douala. Il souhaite faire rejaillir les retombées sur la coopération bilatérale qui lie son pays au Cameroun.

 

Au terme de l’audience, le Diplomate a déclaré « on a également parlé de la coopération technologique entre les deux pays, en matière de technopole. Il y a un projet de coopération technologique en perspective ». 

 

Pour Achille Bassilekin III, il est question de voir comment dynamiser les échanges qui ont meublé cette mission, mais surtout, en assurer le suivi. « Il faudra encadrer les Pme camerounaises pour qu'elles puissent tirer profit de l'expérience tunisienne, étant donné que c'est un pays du rivage de la méditerranée, dans le cadre de sa coopération commerciale avec l'Union européenne (UE). Le Cameroun ayant signé les Accords de partenariat économique avec l'UE. Il est aussi question que le Cameroun voit comment tourne le tissu de la sous-traitance qui participe aujourd'hui du dynamisme économique tunisien », a-t-il déclaré.

 

Liliane N.

 

15 pays  viendront à Yaoundé chercher les minimas pour les prochains Jeux Olympique Tokyo 2020,  le 20 juillet prochain lors de la 3e édition du Grand Prix International CAA.

 

Le Cameroun abritera samedi, 20 juillet prochain, la 3e édition du Grand Prix International de la Confédération africaine athlétisme (CAA) au stade Ahmadou Ahidjo à  Yaoundé.  Cette compétition offre la possibilité aux athlètes, de réaliser les minimas requis pour participer aux prochains Jeux Olympique prévus   du 24 juillet au 9 août 2020 à Tokyo, au Japon. Selon la Fédération camerounaise d’athlétisme, 15 pays sont attendus à cette édition. « Nous avons commencé à enregistrer les arrivées des athlètes, ce jeudi 18 juillet 2019. La délégation Zambienne est la première qui est  arrivée à Yaoundé.   Le  Nigeria,  le Bahamas, le Congo et le  Botswana sont également attendus ce jour  », explique Charles  Kouoh,  le secrétaire général de la Fecathlétisme au micro de la Crtv radio.

 

La délégation camerounaise sera constituée de 190 athlètes, sélectionnés parmi les meilleurs des différentes disciplines retenues  pour ce grand prix.  Il s’agit entre autres, de Marcel Mayack II et Sandrine Mbumi pour les épreuves de saut, Claude Chamaken record du Cameroun en lancer de javelot, Irène Bell Bonong, Emmanuel Esseme, Laure- Fanny Appes Ekanga, Linda Angounou, qui seront en lice pour défendre le pays des Lions Indomptables. Les athlètes camerounais basés à l’étranger  arriveront pour la plupart ce jeudi. 18 épreuves  au total ont été maintenues. Entres autres  la course, le saut, le lancer du poids, la marche. « Nous aurons une forte compétition sur les relais de 4x100 et 4x400 parce que les équipes de Botswana et du Nigeria, sont venues chercher leur qualification pour les championnats du monde dans ces épreuves. Nous pensons qu’il y aura un maximum de 230 athlètes qui prendront le départ », souligne le secrétaire général de la Fecathlétisme.

 

En attendant le jour J, la Fédération fait le nécessaire pour que cette journée se déroule dans de bonnes compétitions. « Au niveau de l’organisation, la réunion technique a déjà commencé au stade Omnisport et sur le plan administratif nous continuons avec les mêmes tâches que nous avons l’habitude de réaliser pour une meilleure organisation », confie t-il. Il faut noter qu’avec  l’aval de la confédération, le Cameroun est passé du Grand Prix bronze au Grand Prix International à la suite d’une organisation réussie du premier événement.

 

Marie MGUE

 

 

Le Ministre des sports et de l'éducation physique Narcisse Mouelle Kombi hier mercredi a visité les poulains de Blaise Mayam,  au Palais des Sports de Yaoundé. C’était au cours de leur dernière séance d’entraînement avant le départ prévu ce jeudi pour le championnat d’Afrique seniors messieurs de la discipline.

 

« Il y a une signification immédiate qui est liée aux très hautes instructions du chef de l’Etat qui soutient toutes les disciplines sportives dans lesquelles tous les Camerounais sont en mesure d’exprimer leurs talents et mettre en valeur le génie sportif camerounais. Le volley-ball en fait partir. La preuve, on a été agréablement surpris par l’excellente performance des Lionnes Indomptables de la discipline en Egypte. Aujourd’hui, nous sommes avec leur alter égo de la sélection nationale masculine », telles sont des déclarations du Ministre des sports Narcisse Mouelle Kombi aux lions de Volley-ball ce mercredi au Palais des sports de Yaoundé.

 

Le membre du Gouvernement poursuit en disant : « Nous sommes venus leur porter le message d’encouragement. Tout en leur précisant leur contribution à la victoire à travers : l’harmonie, la discipline et le Fighting Spirit. Nous sommes également venus leur dire que le gouvernement n'a jamais ménagé d’efforts pour soutenir le volley-ball comme cela a été fait et comme cela se sera encore dans le cadre de cette compétition. A cet effet, toutes les dispositions ont été prises pour que toutes les facilités et les commodités leurs soient accordées ».

 

Ces propos du ministre des Sports et de l’éducation physique, ont été faites au cours de la visite effectuée le mercredi 17 juillet 2019 dans la tanière des Lions Indomptables du volleyball. C’était au cours de leur dernière séance d’entraînement avant le départ prévu ce jour pour la Tunisie.

 

En posture de patron des Sports, le ministre accompagné de ses plus proches collaborateurs a pu palper du doigt la qualité de l’effectif proposé par le staff technique pour représenter valablement la Nation camerounaise à cette phase finale. De Nathan Wounembaina, à Ivan Kodi en passant par Ahmed Awal, Cédric Bitouna, Sem Dolengombai, Kofane Boyomo ou encore Alain Fossi, les joueurs ont fait montre de leur engagement et de leur détermination à ramener le trophée au Cameroun au terme de cette grand messe continentale. “Nous sommes sereins”. 

 

Au plan administratif, les petits plats sont mis dans les grands

 

Toutes les conditions semblent avoir été réunies au plan administratif depuis le début de la préparation. « La préparation a duré près de deux mois. Elle a démarré avec le tournoi des éliminatoires des Jeux africains. En corrélation avec les pouvoirs publics, nous avons assuré l’ensemble des commodités pour qu’un stage de haute facture puisse se tenir. Ces enfants se sont entraînés au palais polyvalent des Sports sur du Taraflex. Ils ont été logés dans l’un des meilleurs hôtels de la ville. Ils ont bénéficié de toute l’assistance qu ’il fallait », garantit Julien Serge Abouem, président de la fédération camerounaise de volleyball.

 

Sur le plan médical, tous se portent bien. « Je puis vous dire d’expérience qu ’ils risquent de surprendre et tout va se jouer sur des détails. Si nous arrivons à maîtriser ces détails, il est fort probable que dans les prochains jours, nous puissions célébrer un nouveau titre de champions d’Afrique », ajoute en substance Julien Serge Abouem. La compétition est prévue du 19 au 29 juillet 2019 à Tunis. Elle va mettre sur scène 15 meilleures équipes du continent qui vont rivaliser d'adresse. En rappel, c’est la Tunisie qui est le tenant du titre. 

 

Liste des 14 joueurs Camerounais retenus

Passeurs

Mbutgam Ahmed Awal (Amiens)

Ongolo Mayam Cyril (Université d’Oran Senia)

Kari Adeke Georges (Arles Volleyball)

Pointus

Kody Yvan (Qatar volleyball)

Badawe Elie (Fap)

Libéros

Fossi Kamto (Niort volleyball)

Djam Nelson (Fap)

Centraux

Kofane Boyomo (Amiens)

Voukeng Arthur (Cameroun sport)

Dolengombai Sem (Avignon Volleyball)

Reception/attaquants

Wounembaina Nathan (Tours volleyball)

Sali Hilé (Amiens)

Engohe Junior Charles (Niort volleyball)

Bitouna Cédric (Cameroun sport)

 

 

Innocent D H

 

Nommée pour la 9ème fois meilleure banque du Nigeria, le principal établissement financier africain, Guaranty Trust Bank plc (GTBank) a été nommé «Meilleure banque d'Afrique 2019» par Euromoney à l’occasion de ses Awards for Excellence annuels, qui ont été décernés à Londres le 10 juillet 2019 au London Hilton Hotel de Park Lane. 

 

L'établissement financier nigérian Guaranty Trust Bank plc (GTBank) a atteint un record avec sa 9ème nomination comme meilleure banque du Nigeria. Ces récompenses reflètent ainsi le fait que la banque est l’un des établissements financiers les mieux gérés du pays, avec un leadership solide et déterminé qui maintient l’activité dans un état permanent de réinvention et d’innovation. 

 

Le facteur déterminant de l’émergence de GTBank en tant que Meilleure banque d’Afrique et Meilleure banque du Nigéria réside dans son engagement en faveur du numérique et dans la clarté de sa vision qui consiste à réinventer l’avenir des banques et du secteur bancaire. Le Prix attribué par Euromoney souligne également la volonté de GTBank d’orienter l’avenir du secteur bancaire ainsi que sa stratégie cohérente à long terme, dirigée par une équipe de direction qui fuit la complaisance et maintient l’activité dans un état permanent d’innovation. 

 

Segun Agbaje, directeur général de GTBank a déclaré: «Nous sommes ravis et fiers de remporter les Prix Euromoney de la Meilleure banque d’Afrique et de la Meilleure banque du Nigeria. Ces distinctions reflètent les progrès que nous réalisons pour fournir la meilleure expérience bancaire qui inclut tout ce que veulent nos clients dans le monde d’aujourd’hui et de demain. Ces deux Prix témoignent également de notre rôle majeur s’agissant de montrer la voie en matière de normes de gouvernance d’entreprise de classe mondiale, d’excellence dans la qualité du service et de l’innovation dans le secteur bancaire africain.

 

GTBank a toujours joué un rôle de premier plan dans le secteur bancaire en Afrique. Considérée par les observateurs du secteur comme l'un des établissements financiers les mieux gérés dans tous les pays où elle a des filiales, GTBank sert de modèle au secteur des services financiers en raison de son ferme engagement en faveur de normes de gouvernance d'entreprise de classe mondiale, de l’excellence de ses services et de son innovation.

 

Fondée il y a 50 ans, Euromoney est la principale publication consacrée à la croissance de la finance internationale. Les Awards for Excellence décernés par Euromoney sont des Prix qui comptent pour les banques et les banquiers qui comptent. Cette année, Euromoney a reçu près de 1 500 candidatures de banques dans le cadre de son programme de Prix qui comprend 20 récompenses mondiales, plus de 50 récompenses régionales et des récompenses nationales de «Meilleure banque» dans une centaine de pays. Les Awards for Excellence du magazine rendent hommage aux meilleures banques à travers le monde en distinguant les établissements qui font preuve de leadership, d’innovation et de dynamisme sur les marchés où ils opèrent. Euromoney sélectionne ses lauréats en combinant des données quantitatives et qualitatives pour honorer les établissements qui ont offert à leurs clients la plus haute qualité en termes de service, d’innovation et d’expertise.

 

 

En cette journée du 15 juillet 2019 dans la ville de Buéa, les terroristes sécessionnistes ont encore frappé de la pire des manières en décapitant un homme et en déposant ses membres au marché Muea. Ensuite, ils ont déposé son tronc à l’entrée appelée Mount Carmel avec un béret de gendarme dans l’optique d’instaurer la panique et développer une psychose dans le seul but d’imposer les villes mortes (ghost town).
Le colégion confirme d’ailleurs qu’il n'y a aucune absence parmi ses éléments. Une enquête a été ouverte. Néanmoins, les villes mortes sont observées dans la majorité des localités et agglomérations de la région malgré les efforts déployés par le préfet du département. On observe une timide circulation de quelques motos taximen.
Rien à signaler pour le moment sur tout autre plan.

 

Qui vous a fait juger des affaires intérieures du Cameroun? Vous devriez faire face aux inondations à Washington DC et permettre au Cameroun de gérer sa crise. Avez-vous déjà vu des parlementaires camerounais aux États-Unis pour une mission d'enquête? Même votre ambassade des États-Unis à Yaoundé sait que l'Amérique est fière d'accueillir des dirigeants des groupes ambazoniens tels qu'Eric Tataw, Tapang Ivo Tanku, Ebenezer, John Mbah, Yannick Sicot, Boh Herbert, Chris Bongam, Patrice Nganang et de nombreux autres migrants camerounais résidant notamment dans le Maryland , parrainant le terrorisme au Cameroun.

Les chefs de ce groupe terroriste collectent des fonds devant le public américain et tiennent des réunions même à proximité de la Maison Blanche. Vous leur vendez des armes à feu AK47 qu'ils utilisent pour tuer des paysans au Cameroun.

Les immigrés camerounais terrorisant le Cameroun depuis les États-Unis, réalisent des vidéos en direct sur Facebook pour semer la terreur dans le cœur de notre peuple et leur priver de la paix. L'Amérique peut-elle jurer qu'elle n'a jamais regardé l'émission en direct sur Facebook dans laquelle Eric Tataw demande aux terroristes de se couper les mains des femmes et des enfants au Cameroun? L'Amérique n'a-t-elle jamais regardé Tapang Ivo Tanku sur Facebook en direct, demandant aux terroristes de casser des ponts et de creuser des routes au Cameroun? Qu'en est-il du soi-disant professeur Patrice Nganang qui fait des déclarations xénophobes ouvertes entre tribus camerounaises d'Amérique?

L'Amérique utilise des Camerounais naturalisés comme Patrice Nganang pour combattre le Cameroun pour des raisons qui leur sont mieux connues. L'Amérique est un paradis pour les immigrants camerounais qui terrorisent le Cameroun, ferment nos écoles, paralysent, gênent les affaires et tuent des enseignants ainsi que des femmes enceintes. L’Amérique est heureuse d’engendrer des terroristes qui ont brûlé presque tous nos marchés et nos écoles publiques, y compris certains hôpitaux. Le Cameroun ne peut JAMAIS accorder la liberté à quiconque menace la paix de l’Amérique depuis le Cameroun, c’est ce que les nations amies devraient se faire les unes aux autres.

L'Amérique jette des pierres sur le Cameroun et cache ses mains. Si l’Amérique n'accueillait pas des terroristes qui organisaient des décapitations et l’enlèvement de personnes pour obtenir une rançon énorme au Cameroun, le terrorisme ambazonien aurait pu être réglé depuis longtemps. L’Amérique est le problème. Vous, Karen Bass, membre du Congrès, avez laissé la cause de la crise anglophone aux États-Unis et venez au Cameroun pour savoir quels faits? Si vous aimez le Cameroun, pourquoi ne pas directement emprisonner les terroristes qui paient pour que des bombes soient posées sur nos routes en provenance d'Amérique? Je vous suggère que l’Amérique a créé et entretient l’ambazonie par l’intermédiaire de ses dirigeants d’anneaux sur lesquels le FBI n’a jamais enquêté. C'est sur la bande vidéo que le plus grand nombre d'ambazoniens vivent en Amérique, où Sisiku Julius Ayuk Tabe a déclaré son indépendance en 2016. Vous connaissez leur drapeau, vous connaissez leur hymne, vous connaissez leur nom, bref vous les connaissez.

En passant, si vous-même Karen Bass s'aventure à Guzang dans la région Nord-Ouest, Chris Anu ordonnera votre enlèvement et votre décapitation, de la même manière qu'ils ont tué D.O Namata Marcel Diteng. Dois-je vous rappeler que Chris Anu vit aux États-Unis et que ses messages haineux et extrémistes sont partout sur YouTube?

Ambazonie n'a aucun cas !

Ils utilisent des armes pour forcer leur opinion sur les autres et faire en sorte que leur revendication de sécession soit populaire dans le monde entier. Si l'ambazonie cesse d'enlever les écoliers, de harceler les parents et les autorités scolaires, les écoles reprendront dans les régions du sud-ouest et du nord-ouest en septembre. Si Ambazonia avait un cas génial, ils n'auraient pas recours aux armes. Ils tuent des soldats, les décapitent, coupent leurs parties du corps et confisquent à des fins rituelles. Mais cette même ambazonie est la première à lancer un génocide devant la communauté internationale. Le point culminant de la stupidité de l'ambazonie est l'enlèvement récent de l'archevêque Cornelius Esua et le deuxième enlèvement de Ni John Fru Ndi, chef du parti de l'opposition SDF, tous deux résidant dans la région du Nord-Ouest du Cameroun. Les terroristes ambazoniens ont frotté l'archevêque dans la boue après l'avoir gardé en captivité pendant 24 heures, sans raison valable. L’homme de Dieu revenait d’une tournée pastorale, c’était le seul crime qu’il avait commis. Ambazonia attaque Dieu, mais les États-Unis voient toujours une raison de protéger leurs chefs de file. Les terroristes ambazoniens ont également kidnappé le président du SDF, l'obligeant pendant 48 heures à ordonner la démission des sénateurs et des parlementaires de son parti. Karen Bass, vous êtes également politicienne et parlementaire, imaginez-vous à la place de Fru Ndi, torturée pour avoir veillé à ce que vos collègues restent au parlement. Est-ce ainsi que les choses se passent en Amérique? Alors pourquoi protéger les chefs de file des groupes terroristes ambazoniens résidant en Amérique? Cela fait 3 ans que nous posons cette même question à l’Amérique, mais aucun des terroristes ambazoniens n’a été arrêté aux États-Unis.

Ambazonia est l’insurrection terroriste la plus dangereuse au monde. Ils sont pires que ISIS et Boko Haram mis ensemble, je prie pour qu'ils frappent bientôt l'Amérique, pour que vous compreniez ce que nous ressentons et de quoi je parle ici. À propos, des terroristes ambazoniens ont commencé à tuer des Américains au Cameroun. Le cas du missionnaire américain abattu avec un dane gun dans le nord-ouest il y a quelques mois est un exemple clair et net. Les terroristes sont des bêtes, ils sont dangereux pour tout le monde, y compris les Américains!

Lorsque l'Amérique a été frappée par Oussama Ben Laden, le Cameroun a partagé sa douleur. Maintenant que cette ambazonie terrorise le Cameroun, les États-Unis préfèrent protéger les terroristes. Comment un groupe terroriste très dangereux, aussi puissant que l’ambazonie, peut-il prétendre être faible et une nation aussi intelligente que l’Amérique doit-elle craquer pour cela? L'ambazonie est le problème au Cameroun, pas notre armée désintéressée pour l'amour du Christ! Ce que nous attendons des États-Unis, c’est qu’ils utilisent leurs renseignements pour identifier et punir tous ceux qui contribuent au gofundme et au varoius pour armer des terroristes au Cameroun. L'Amérique n'a pas besoin de venir au Cameroun pour résoudre notre crise interne, si vous nous aimez, amenez Eric Tataw, Tapang Ivo Tanku, Chris Bongam, John Mbah Akuru, Ebenezar Akwanga, Chris Anu, Patrice Nganang et ses associés. Ils sont tous là avant que votre nez en Amérique, orchestrant la terreur au Cameroun, traitent avec eux avant qu'ils traitent avec l'Amérique.

 

Frankline Njume

 

 

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Sunday, 05 June 2022 11:01