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Mfoungo

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Ils vont appeler les membres du gouvernement à s’exprimer sur les problématiques socioculturelles des régions du Cameroun.

 

L’échange qui se tiendra ce 26 juin 2019 entre les Députés junior et les membres du gouvernement, s’inscrit dans le cadre de la 26e session du Parlement des enfants. Cette session est liée à la journée de l’enfant africain organisée les 16 juin de chaque année. Même s’ils ne sont que des enfants, les Députés junior vont demander à avoir des éclaircis sur des questions portant sur les conditions de la femme et de la jeune fille, des réfugiés internes et l’établissement des actes de naissance.

 

Le sujet des réfugiés internes inscrit à l’ordre des questions à poser aux membres du gouvernement, peut s’expliquer par la présence de certains enfants victimes de ce phénomène dans les rangs des Députés juniors. D’ailleurs, la 29ème journée de l’enfant africain a été célébrée sous le thème : « L’action humanitaire en Afrique : les droits de l’enfant avant tout ».

 

Lors de cette journée, on avait appris de Jean Pierre Edjoa, le Directeur de la protection des droits de l’enfant au Ministère des Affaires sociales, que pas moins de dix enfants de déplacés internes ont été conviés à prendre part à la 21ème édition du Parlement junior. Leur condition de vie détériorée du fait des crises qui paralysent leur localité d’habitation, les autorités se trouvent aujourd’hui contraint d’agir. Le sujet est donc assez important. « Les zones en crise ne permettent plus la sécurité de ces enfants. Nous les y retirons », avait déclaré Jean Pierre Edjoa le Directeur de la protection des droits de l’enfant au Minas lors de la célébration de la journée de l’enfant africain.

 

Pour revenir donc à l’échange prévu ce jour, il faut noter que les Députés junior ont été avant ce 26 juin 2019, suffisamment outillés sur les sujets objet de leurs interrogations. Ils ont eu droit à de causeries éducatives, des visites dans des structures publiques, parapubliques et autres. Le 25 juin 2019 hier, ils ont été conviés à se rendre au Palais des verres, histoire pour eux de se familiariser avec les lieux. Le 19 juin dernier, ils ont consacré cette journée aux activités parlementaires. Ils ont discuté du projet de la mise en forme des questions, de la résolution y relative et du vote des différents Députés chargés de la lecture au cours de la plénière de ce jour.

 

Liliane N.

 

Quelques mois après la visite du sous-secrétaire d’Etat américain chargé des affaires africaines, Tibor Nagy, des membres du congrès américain sont annoncés. Ceux-ci viennent apprécier les mesures conjointes mises en place dans la lutte contre le terrorisme au Cameroun.

 

La situation sécuritaire qui prévaut au Cameroun est préoccupante pour tous ses partenaires. Dans le combat acharné que cet Etat dont la stabilité était, il y a quelques années reconnue à travers le continent, la contribution des Etats-Unis n’est pas des moindres. Entre autres diplomates qui pourraient faire partie de la délégation, l’on peut citer : Karen Baas, Barbara Lee, Sheila Jackson, RON Kind, Jim Sensenbrenner, Hank Johnson et Ron Wright.

 

Loin d’être une visite de fantaisie, cette descente sera à coup sûr, l’occasion de revisiter tout ce qui a été mis en place pour sortir le Cameroun des griffes des terroristes de toutes parts. Au moment où le Cameroun cherche la solution idéale pour sortir de la crise anglophone, le sujet pourrait être la priorité des problèmes abordés avec les différentes autorités.

 

Depuis le début de la guerre menée contre Boko Haram, les Etats Unis soutiennent le Cameroun. De diverses manières, le régime de Washington a montré sa désapprobation face aux violations présumées des droits de l’Homme dont le Cameroun a souvent été accusé tant dans le conflit qui se poursuit dans les régions septentrionales que celui des régions anglophones de plus en plus préoccupant.

 

Ainsi, depuis trois ans, Les Etats-Unis sont entrés en scène, en accordant une aide militaire au Cameroun dans la lutte contre la secte terroriste. Dans l’Extrême-Nord, des soldats ont été déployés pour renforcer l’armée camerounaise et autres forces en présence sur le front. Les troupes américaines apportent ainsi des connaissances aux soldats camerounais dans les domaines du renseignement et de la reconnaissance aérienne.

 

D’autres aspects de la coopération entre le Cameroun et le pays de l’Oncle Ben seront également au programme, notamment, l’économie et la diplomatie. Les investissements entre les deux pays sont loin d’être négligeables.

 

Plus de peur que de mal, les Lionnes Indomptables se sont imposées face à la Nouvelle Zélande ce 20 juin 2019 au stade de la Mosson à Montpellier.

 

Les débats étaient houleux sur la capacité des Lionnes Indomptables à faire mieux que dans les précédentes rencontres de cette coupe du monde féminine. Conscientes des enjeux de ce match, les Lionnes ont donné le meilleur d'elles-même. Malgré de nombreuses occasions de buts manquées, elles ont finalement réussi l'exploit de baisser la pression dans le cœur des camerounais.

 

La sélection camerounaise de football féminin s’est qualifiée en tant que meilleur troisième pour les huitièmes de finale de la Coupe du monde féminin 2019, grâce à sa victoire (2-1) ce jeudi contre la Nouvelle Zélande à Montpellier.

 

Les Lionnes ont réussi l’impossible ce jeudi 20 juin 2019, au Stade de la Mosson à Montpellier. Il a fallu attendre la toute dernière seconde (90+5), pour que Nchout Ajara Njoya délivre le Cameroun d’une élimination précoce de la huitième édition de la Coupe du Monde féminine de football qui  a démarré le 7 juin dernier en France. Alors que le Cameroun et la Nouvelle Zélande, était à égalité, 1-1, l'attaquante de Valerenga, en Norvège, a inscrit le deuxième but salvateur dont le Cameroun avait besoin pour se propulser aux huitièmes de finale. Un doublée de l'héroïne Camerounaise du jour, qui a ouvert le score à la 57e min de  jeu.

 

Le but encaissé par le Cameroun à la 80e min de jeu,  est la conséquence d’une  erreur d'Aurelle Awona, la défenseuse camerounaise qui a mal appréhendé  un centre venu  de la droite et a marqué  dans son propre but. Un faux pas camerounais,  qui a  permis aux Néo-Zélandaises  de débloquer leur  compteur dans ce Mondial.

 

Malgré  cette faute, les Lionnes plus entreprenantes et mieux organisées, malgré quelques fautes techniques, n’ont pas désespéré.  Comme le dit  si bien un proverbe camerounais, « Impossible n'est pas camerounais ». Les Lionnes Indomptables sont allées  à la quête du but qui leur manquait et  ont réussi  à sceller une   victoire,  qui paraissait impossible. Une première réussite à ce Mondial pour les Camerounaises, troisième du groupe E qui leurs permet de s'envoler vers les huitièmes de finale, en tant que meilleur troisième de la phase de groupes. Pour sa deuxième participation à une phase finale de la Coupe du monde, les Lionnes joueront les 8e de finale comme en 2015 au Canada. Le Cameroun avait été éliminé par la Chine.

 

Les Lionnes ont devancé les Nigérianes, qui comptent le même nombre de points (3) parmi les meilleures troisièmes, la même différence de but (-2), mais ont marqué un but de moins (2 contre 3). Les Championnes d’Afrique sont  à la merci du Chili qui disputera  un match décisif contre la Thaïlande.

La Nouvelle-Zélande quant à elle, est éliminée du tournoi, tout comme l'Argentine.

 

La vidéo disponible ICI

Bravo les Lionnes !

La nouvelle est tombée ce mercredi matin, près de 32 jeunes camerounais enlevés pour une destination qui reste jusqu’ici inconnue. Aucune précision à cette heure sur les circonstances de cet enlèvement. Les premières sources en effet, non officielles privilégieraient la piste séparatiste. Les apprenants auraient été kidnappés hier par un groupe d'hommes armés non identifiés alors qu'ils se trouvaient devant leur établissement. Pour l'heure, aucune nouvelle des 32 otages.
 
 
Sachant que ce n’est pas la première fois que ces enlèvements surviennent dans ces zones, on se demande bien si les populations sont suffisamment protégées dans la zone de conflit. Comment comprendre que dans une partie de territoire autant militarisée que les alentours de Buea puisse voir 32 jeunes enfants être enlevés et déplacés dans la région sans laisser de traces au moment où se déroulent les épreuves du probatoire de l'enseignement général sur l'ensemble du territoire national.
 
 
Un enlèvement qui n’est pas de nature à installer un climat de sérénité en cette veille de dialogue instiguée par les religieux et certains membres du gouvernement. Une situation qui démontre s’il en était encore besoin que cette crise à donner de l’allant à de multiples groupes de bandits qui n’ont rien à voir avec les contestations des séparatistes. Des bandes armées qui profitent du vent de la sécession pour semer la tempête de la discorde et du grand banditisme.
 
 
Car comment comprendre que des personnes qui disent lutter pour l’émancipation d’un territoire et donc de sa population, s’adonnent aussi régulièrement à des actes d’enlèvements envers ces populations qu’ils disent défendre ? Des enlèvements dont les demandes de rançons seront une fois de plus adressées aux membres de la communauté qu’ils prétendent protéger. Des familles appauvries, démunies par le conflit.  Visiblement, cette crise n’est plus une simple crise d’identité comme on veut nous le faire croire.
 
 
 
On ne saurait vouloir une chose et son contraire. Les sécessionnistes se disent prêts à s’asseoir sur la table de discussion. Mais telle que les choses se présentent, il faudrait bien se demander avec qui va-t-on discuter réellement ? D’où la nécessité pour ces séparatistes de faire le ménage dans leurs rangs. Il est question pour eux aujourd’hui de s’organiser et de cesser ces actes de banditismes sur leurs propres populations s’ils veulent continuer de maintenir un soupçon de crédibilité. Puisqu’à cette allure, même les séparatistes seront incapables de donner un quelconque mots d’ordre de cesser le feu.
 
 
Stéphane NZESSEU
 

Les trois espèces de poissons utilisées pour la fabrication d’huile et de farine, indispensables à la sécurité alimentaire de ces pays, sont déjà surexploitées d'après Greenpeace. 

 

 

Greenpeace  exhorte les  gouvernements des pays d’Afrique de l’Ouest à mettre fin à l’industrie de la farine et de l'huile de poisson. Cette industrie est une véritable menace pour les réserves halieutiques de la région, essentielles à la sécurité alimentaire et aux moyens de subsistance des populations locales, comme le démontre le rapport publié aujourd’hui par Greenpeace.

Ce rapport, intitulé Poisson détourné - La sécurité alimentaire menacée par l’industrie de la farine et de l’huile de poisson en Afrique de l’Ouest, soulève de sérieuses inquiétudes quant à l’essor de cette industrie en Mauritanie, au Sénégal et en Gambie. Les trois espèces de poissons utilisées pour la fabrication d’huile et de farine, indispensables à la sécurité alimentaire de ces pays, sont déjà surexploitées.

“Des centaines de milliers de tonnes de poissons sont transformées en farine ou en huile pour l’exportation -- au détriment d’environ 40 millions d’Africaines et d’Africains. Les gouvernements des pays d’Afrique de l’Ouest doivent protéger les stocks halieutiques de la région. Leur priorité doit être de défendre le droit à la sécurité alimentaire de leurs citoyens, en réduisant rapidement les volumes de poisson destinés à la production d’huile et de farine”, déclare Ibrahima Cissé, responsable de la campagne Océans de Greenpeace Afrique.

“Des décennies de surpêche et d’incurie gouvernementale ont entraîné la dégradation des réserves halieutiques régionales. Aujourd’hui, avec le développement de l’industrie de la farine et de l’huile de poisson, le problème atteint un seuil critique : le poisson est détourné de l’assiette des populations au profit de fermes piscicoles, porcines ou avicoles dans des marchés lointains. Les produits de la pêche, qui autrefois bénéficiaient aux pêcheurs artisans et aux femmes transformatrices, permettaient de nourrir les familles les plus démunies ; ils sont désormais exportés pour alimenter des exploitations d’animaux d’élevage. Cela n’a pas de sens”, ajoute Ibrahima Cissé.

Greenpeace a recensé 50 usines de transformation de farine et d’huile de poisson dans la région, dont 40 étaient en activité en mars 2019. La majorité de la production de ces usines est destinée à l’exportation, principalement dans des pays d’Asie et de l’Union européenne. En Mauritanie, ces exportations ont doublé entre 2014 et 2018, faisant de ce pays le principal exportateur de farine et d’huile de poisson de la région. En 2017, on estime que près de 550 000 tonnes de poissons pélagiques ont été pêchées pour approvisionner les usines de transformation mauritaniennes.

L’industrie de la farine et de l’huile de poisson, en plein essor, menace non seulement les stocks de poissons régionaux, mais affecte également les moyens de subsistance et la sécurité alimentaire des populations locales. Environ 80 % des débarquements de poisson au Sénégal proviennent du secteur artisanal, et le poisson couvre environ 70 % des besoins en protéines animales de la population (plus de 50 % en Gambie).

Greenpeace Afrique demande aux gouvernements des pays d’Afrique de l’Ouest et aux entreprises de faire face à leurs responsabilités en protégeant les précieuses réserves halieutiques de la région, et d’accorder la priorité au respect des droits fondamentaux, à la sécurité alimentaire et à une vie décente pour les pêcheurs artisans et les femmes transformatrices. “L’assiette des Africaines et des Africains doit passer avant les intérêts des élevages industriels”, conclut Ibrahima Cissé.

 

 

Les nouvelles fonctionnalités de l'application permettent aux destinataires de transferts d'argent de demander et de recevoir de l'argent de l'étranger, de stocker plusieurs devises et d’effectuer des virements à tout moment vers un compte bancaire local, un portefeuille mobile money ou une agence de cash pickup.

 

 

Le leader des services de transfert d'argent en ligne, présente de nouvelles fonctionnalités qui rendront plus facile l’accès aux fonds pour les bénéficiaires de plusieurs pays, dont le Cameroun, lorsque ceux-ci reçoivent de l’argent de leurs proches d’Outre-mer. 

Les destinataires des transferts de fonds de tous pays, dont le Cameroun, peuvent désormais créer et accéder à un compte WorldRemit étranger pour opérer diverses actions :

  • Recevoir de l'argent instantanément sur leur téléphone depuis plus de 50 pays, et dans plusieurs devises comme l’USD et en XAF.
  • Stocker leurs fonds dans l'application en plusieurs devises comme l’USD ou le XAF.
  • Retirer de l'argent à tout moment grâce à la large gamme d'options de paiement de WorldRemit, comme le cash pickup dans plus de 1 500 points de retrait, le virement bancaire ou encore le virement via mobile money.
  • Envoyer de l'argent aux autres clients de WorldRemit d’un autre pays qui possèdent les mêmes nouvelles fonctionnalités de l’application.
  • Demander de l'argent à leurs amis et à leur famille à l'étranger en créant une requête de virement (avec la possibilité de choisir le montant et la devise) dans l'application WorldRemit et en partageant la demande avec leur expéditeur via Whatsapp, SMS ou e-mail. Les expéditeurs peuvent ainsi facilement approuver et effectuer le transfert en quelques secondes.

 

Andrew Stewart, Directeur Général de WorldRemit pour le Moyen-Orient et l'Afrique a déclaré : "Le Cameroun est l’un des dix pays au monde qui reçoit le plus de transferts WorldRemit, nous sommes donc ravis de faciliter la gestion des fonds de nos clients receveurs dans ce pays", a-t-il déclaré.

 

"Auparavant, seuls les expéditeurs de transferts WorldRemit pouvaient choisir si leur argent était reçu par dépôt bancaire, encaissement en espèces ou par virement mobile. Ce nouveau service permet aux destinataires, avec ou sans compte bancaire, de contrôler entièrement la façon dont ils gèrent leurs virements, ce qui leur permet de stocker des fonds dans un compte étranger dans plusieurs devises, de les envoyer à d'autres utilisateurs WorldRemit dans le même pays ou de retirer leurs argents à tout moment grâce à nos méthodes pratiques de paiement."

 

Lire aussi : Wari et WhatsApp permettent désormais à leurs utilisateurs d’utiliser les services financiers sur l’application mobile WhatsApp


Environ 65% des adultes au Cameroun ne disposent toujours pas d'un compte bancaire. Avec ce nouveau service, une gamme complète d’options est disponible à distance pour les bénéficiaires de transfert d'argent effectués via l'application WorldRemit.

 

WorldRemit a lancé pour la première fois son service de transfert d'argent en ligne vers le Cameroun en 2012, et le volume des transferts vers ce pays augmente d’année en année de plus 90%. Grâce à l'application ou au site web de WorldRemit, la diaspora camerounaise peut envoyer de l'argent à leurs familles en quelques clics, sans avoir à payer de frais élevés à un agent de transfert de fonds. 

 

 

 

Selon un rapport de l'ONU publié lundi 17 juin, la population mondiale devrait atteindre 9,7 milliards de personnes en 2050 contre 7,7 milliards aujourd'hui, avec un doublement des habitants de l'Afrique subsaharienne et près de 11 milliards de personnes en 2100.

 

Le rapport 2019 de l’ONU sur les Perspectives de la population dans le monde 2019 a également confirmé que la population mondiale vieillissait en raison d’une espérance de vie croissante et de la baisse des taux de fécondité, et que le nombre de pays connaissant une réduction de la taille de la population augmentait.

 

La moitié des 02 milliards de personnes supplémentaires prévues sur les 30 prochaines années viendra de neuf pays : l’Inde, le Nigeria, le Pakistan, la République démocratique du Congo, l’Éthiopie, la Tanzanie, l’Indonésie, l’Égypte et les États-Unis. Le rapport indique par ailleurs que l’Inde devrait dépasser la Chine en tant que pays le plus peuplé du monde aux alentours de 2027 et que la population d'Afrique subsaharienne devrait doubler d'ici 2050 (augmentation de 99%). Le taux de fécondité mondial, qui est passé de 3,2 naissances par femme en 1990 à 2,5 en 2019, devrait encore reculer à 2,2 en 2050.

 

Le rapport souligne par ailleurs que la réalisation des Objectifs de développement durable (ODD) convenus à l’échelle mondiale qui prévoit de favoriser le bien-être économique et social en protégeant l’environnement sera impactée par ces modifications de taille, de composition et de répartition de la population.

 

« La plupart des populations à la croissance la plus rapide se trouvent dans les pays les plus pauvres, où la croissance de la population pose de nouveaux défis pour l’éradication de la pauvreté, l’égalité, la lutte contre la faim et la malnutrition et le renforcement de la couverture et de la qualité des systèmes de santé et d’éducation afin que personne ne soit laissée pour compte », a déclaré Liu Zhenmin, le Secrétaire général adjoint de l’ONU aux affaires économiques et sociales dans un communiqué sur le rapport, soulignant que ce dernier propose une feuille de route indiquant où cibler l'action et les interventions.

 

Concernant l'espérance de vie, les habitants des pays les plus pauvres vivent encore sept ans de moins que la moyenne mondiale. Elle devrait s'établir à 77,1 ans en 2050 contre 72,6 ans en 2019, indique le rapport. En 1990, cette espérance de vie était de 64,2 ans.

 

Danielle Ngono Efondo

 

A quelques heures du coup d’envoi de la compétition footballistique la plus attendu, certains acteurs du domaine, donc Patrick Mboma, ancien international camerounais et consultant de Canal + a révélé les noms des favoris de l’édition 2019.  

 

La Coupe d’Afrique place les nations engagées dans une concurrence redoutable. Tout le monde se donne à fond pour remporter le titre suprême. Mais une seule nation devra sortir vainqueur. Qui parmi le Cameroun, l’Égypte, le Sénégal, le Maroc, l’Algérie…, soulèvera le trophée ? En tout cas, l’ancien international camerounais Patrick Mboma a donné son pronostic.

 

Dans un entretien accordé à Dw Africa, l’ancien international camerounais, a dévoilé ses favoris à la victoire finale. Parmi eux, le Sénégal et le Maroc sont en tête de liste. « De par ce que j’ai vu pendant les éliminatoires, de ce que je vois ces dernières années, la forme de certaines individualités dans leurs championnats respectifs, je pense que le Maroc et le Sénégal sont les principaux favoris de cette compétition. Derrière il y a d’autres formations comme le Cameroun qui est champion en titre donc on ne peut pas l’occulter, l’Egypte organise le tournoi et a le meilleur joueur africain dans ses rangs et d’autres nations comme la Côte d’ivoire ou la Tunisie… Si je devais qu’en dégager un, je mettrais d’abord le Sénégal. Le Maroc a beau collectif et le Sénégal a de très fortes individualités. », a-t-il déclaré.

 

Quelques jours avant Mboma, l’entraîneur des Super Eagles du Nigeria, le tacticien franco-allemand Gernot Rohr avait déjà indiqué que, les Lions de la Téranga  du Sénégal, les Pharaons d’Égypte, et les Aigles de Carthage de Tunisie sont les favoris du titre de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) 2019.

 

Lire aussi : CAN 2019 : les Lions indomptables sont retournés au Cameroun ce mardi

 

L'édition 2019 de la Coupe d'Afrique des nations de football qui représente la 32ᵉ édition va se dérouler en Égypte à partir de ce vendredi 21 juin jusqu'au 19 juillet 2019. C'est également la première organisée regroupant 24 équipes participantes.

 

Danielle Ngono Efondo

 

L’artiste musicien a publié ce mardi 18 juin 2019 sur son compte Facebook un post annonçant la fin du règne du Chef de l’Etat pour Juillet 2019. Dans une tentative d'explication, il prétend que le chef de l'Etat serait soutenu à la tête de la République par des forces qui vont le lâcher dans un futur proche. 

 

« URGENT. Le soutien accordé à Mr Paul BIYA à la présidence de la République Camerounaise s’achève le 21 juillet 2019 ». C’est le message qu’on peut lire dans cette publication mise en ligne dans les tours de 10h de la matinée du 18 juin 2019. Une annonce qui suscite l’intrique et l’hilarité chez plusieurs lecteurs. Ils se demandent si le célèbre musicien des chansons douces en langue béti a complètement perdu la tête.

 

En effet, voici quelques années déjà que l’artiste a poussé l’art jusqu’aux confins de la spiritualité. Il s’est converti à une croyance qui renie toute religiosité et proclame l’extrême spiritualité, à la lisière du spiritisme. Et celui qui se fait appelé « Dieudonné », ce qui est pour lui synonyme de prophète se défend plutôt bien. Dans les joutes qui suivent son post, il fait un effort pour recadrer et préciser sa pensée.

 

A la question de savoir si cette déclaration signifie que Paul BIYA quittera le pouvoir à cette date, l’illuminé répond « le soutien divin de son règne s’achève même après demain, le 21 juin, dans trois jours, mais il reste couvert jusqu’au 21 juillet et après, les shoten zen Jin (forces protectrices de la nature et de l’environnement) s’orienteront vers quelqu’un d’autre ». En clair, les puissances ésotériques protectrices du porteur du pouvoir d’Etoudi vont le lâcher le 21 juillet. Saint Desir ATANGO précise qu’il ne dit pas que Paul BIYA va quitter le pouvoir à cette date, mais que c’es sera terminé pour lui, qu’il sera désormais vulnérable et accessible à toute éviction spirituelle de la tête de la République.

 

Bien que cela puisse paraître surréaliste pour plusieurs, il ne faut pas méconnaître l’existence de pratique métaphysique entourant la gestion du pouvoir quel qu’il soit et plus encore du pouvoir suprême de l’Etat. On se souvient très bien qu’au lendemain de sa prise de pouvoir en 1982, Paul BIYA avait fait le tour des chefferies traditionnelles du Cameroun où il a subit des rites le dotant d’une onction particulière pour la gestion de l’Etat. D’aucuns classent dans ce même registre son érection comme N’Nom Ngui’i par les chefs traditionnels du Sud Cameroun il y a peu. En admettant la possibilité que ces forces métaphysiques soient réelles, tout porte à croire que cela relève de l'inédit, étant donné que le chef de l'Etat a été désigné par voie électorale, au sortir de l'élection du 07 octobre dernier pour un nouveau mandat de 07 ans. Le soutien du peuple qui l'a élu, reste donc actuel et de nombreuses circonscriptions lui renouvellent son soutien pour les échéances électorales prévues cette année (municipales, régionales et législatives). 

 

De toutes façons, le 21 juillet n’est plus si éloigné, et comme cela a toujours été le cas avec de tels discours, on ne perd rie à attendre. 

 

Stéphane NZESSEU

Ecobank a également été sélectionnée pour le prix de Banque africaine de l’année aux Trophées. 

 

 

Ecobank a été élue Meilleure banque de détail d’Afrique 2019 lors des prestigieux Trophées African Banker. Le jury a été particulièrement impressionné par la souplesse, l’accessibilité 24h/24, 7j/7 et le coût abordable des produits, services, fonctionnalités et innovations de pointe de Ecobank pour répondre aux besoins et attentes de ses clients dans 33 pays africains, et améliorer l’inclusion financière. Ecobank a également été sélectionnée pour le prix de Banque africaine de l’année aux Trophées. La cérémonie des Trophées s’est déroulée à Malabo, en Guinée équatoriale. 

 

Ade Ayeyemi, directeur général du Groupe Ecobank, a déclaré : « C’est un honneur pour nous d’avoir été élus Meilleure banque de détail d’Afrique. Cela témoigne du succès de notre stratégie numérique et de notre présence panafricaine alors que nous continuons de faire progresser l’intégration financière et l’inclusion bancaire, et de jouer un rôle catalyseur dans la transformation de l’Afrique ».

 

« Nous innovons sans cesse pour répondre aux besoins des Africains, avec notamment notre application mobile Ecobank multi-fonctions qui a révolutionné les services bancaires en Afrique, l’ouverture de compte Xpress simplifiée pour les personnes non bancarisées et sous-bancarisées, et notre application Rapidtransfer App, permettant d’effectuer des transferts d’argent transfrontaliers à un coût minimal, voire sans frais. Nos Points Xpress propose des services bancaires en face à face à des milliers de personnes dans les communautés locales. Le modèle bancaire traditionnel se transforme et Ecobank va continuer de jouer un rôle pionnier dans les services bancaires pour des millions d’Africains. »

 

Nana Araba Abban, directrice exécutive du groupe par intérim, Banque des particuliers, a souligné : « Ecobank rend les services bancaires accessibles, pratiques et abordables. La banque continue d’élargir sa gamme novatrice d’excellents produits, services et fonctionnalités pour donner une meilleure expérience à nos clients et conserver une longueur d’avance par rapport à leurs besoins et attentes. Avoir remporté le prestigieux Trophée ‘Meilleure banque de détail’ deux années consécutives montre que notre stratégie et notre service satisfont de plus en plus d’Africains à travers notre réseau panafricain ».

 

Créée à Lomé, au Togo, en 1988, Ecobank Transnational Incorporated (‘ETI’) est la maison mère du Groupe Ecobank, le principal groupe bancaire régional indépendant panafricain. Le Groupe est présent dans 36 pays africains, à savoir : Afrique du Sud, Angola, Bénin, Burkina Faso, Burundi, Cameroun, Cap-Vert, Congo (Brazzaville), Congo (République démocratique), Côte d'Ivoire, Ethiopie, Gabon, Gambie, Ghana, Guinée, Guinée -Bissau, Guinée Équatoriale, Kenya, Libéria, Malawi, Mali, Mozambique, Niger, Nigeria, Ouganda, République Centrafricaine, Rwanda, Sao Tomé et Principe, Sénégal, Sierra Leone, Soudan du Sud, Tanzanie, Tchad, Togo, Zambie et Zimbabwe. Il emploie 16 386 personnes dans 40 pays différents, dans plus de 888 agences et bureaux. Ecobank est une banque universelle offrant des produits et services de la banque de grande clientèle, banque de détail, banque d’investissement et des services monétiques aux gouvernements, aux institutions financières, aux sociétés multinationales, aux organisations internationales, aux petites, moyennes et micro entreprises ainsi qu’aux particuliers.

 

 

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Sunday, 05 June 2022 11:01