Selon les informations publiées par notre confrère Giga-Foot, le Ministre camerounais en charge des Sports (Minsep) auraient donné l’instruction aux coordonnateurs de stade de ne pas les ouvrir pour les matchs d’ouverture de la première journée des ligues 1 et 2 programmés par la Fédération camerounaise de football (Fécafoot).
Décidément tout laisse à croire que la reprise du Championnat professionnel du Cameroun ne pourrait pas avoir lieu ce mardi comme programmée par la Fécafoot. Elle pourrait cette être bloquée à cause de l’indisponibilité des stades. Selon la source sus évoquée, même si aucun document officiel ne circule à propos, le Minsep aurait donné l’instruction ferme aux coordonnateurs des stades où les matchs de la première journée devraient se jouer ce 10 novembre 2020, de ne pas les ouvrir.
Toutefois, notre source informe que les clubs contactés envisagent se déplacer tout en fondant leur espoir sur la médiation engagée par la Fédération internationale de football association (Fifa), qu’elle puisse ramener les différents protagonistes à la raison. L’on apprend par ailleurs que l’instruction du Minsep serait l’une des conséquences du conflit qui oppose la Fécafoot au Minsep et la Ligue de football professionnel du Cameroun (Lfpc).
Rappelons que dans un communiqué signé de son secrétaire général, la Fédération camerounaise de football avait annoncé qu’elle va procéder à la reprise du Championnat Elite One ce mardi. Un communiqué qui était intervenu après le retrait de l’organisation des championnats professionnels à la Lfpc. En effet, celle-ci avait organisé le lancement de la saison le 1er novembre dernier avec un trio arbitral équato-guinéen en raison de l’indisponibilité des arbitres locaux en recyclage.
Innocent D H
En octobre 2020, le pays a exporté 16 534 tonnes de bananes contre 17 339 au mois de septembre 2020, soit une baisse de l’ordre de 1 405 tonnes (8,5%). Des chiffres ont été compilés par l’Association bananière du Cameroun (Assobacam).
Cette baisse des exportations de la banane camerounaise s’explique principalement par la diminution des exportations des trois sociétés engagées dans ce domaine. Le cas le plus indexé, c’est celui de la Cameroon Development Corporation (CDC), apprend-on. En effet, au mois d’octobre 2020, la CDC a exporté 781 tonnes de bananes contre 1 312 au mois de septembre 2020. Ce qui correspond à une baisse de 531 tonnes (6,7%).
Outre la CDC, la Plantation du Haut Pendja (PHP), le leader du marché avec une production annuelle d’environ 12 000 tonnes sur une surface de production de 3 000 hectares, a également enregistré une baisse de performance en matière d’exportation pendant cette période. Elle a exporté 14 650 tonnes contre 15 360 en septembre, soit une baisse de 710 tonnes (4,8%).
Une autre entreprise dont la performance a connu une chute, c’est la BOH plantations (BPL). Elle a enregistré à son compteur 1 103 tonnes de bananes exportées, soit une baisse notée de 164 tonnes (12,9%).
L’année dernière, le Cameroun avait globalement exporté 15 953 tonnes. Spécifiquement, 14 695 correspond au volume d’exportation réalisé par la PHP. BPL et CDC ont quant à elles réalisé respectivement, 1 258 et 0.
Soulignons que la PHP est la filiale camerounaise de la compagnie fruitière de Marseille. Elle a été transformée par rachat des sociétés SPNP (Sociétés des Plantations Nouvelles du Penja), de la Société SBM (Société des bananeraies de M’Bomé) et de la PHP (Plantation du Haut Penja).
Innocent D H
La part contributive du Centre linguistique régional de Garoua (CLRG) est considérable dans la promotion du bilinguisme. En activité depuis 2003, ce centre offre globalement une formation en français et anglais aux apprenants qui sont des nationaux et parfois des internationaux.
Les apprenants du Centre linguistique régional de Garoua proviennent de divers ordres sociaux comme l’explique Bienvenu Liboc, directeur adjoint de cette auguste institution rattachée directement à la Présidence de la République. « En général ce sont des adultes en activité et à la retraite. Nous avons ces adultes qui viennent des administrations publiques, privées, confessionnelles et parapubliques. Nous avons des conventions de formation avec certaines structures à Garoua. L’autre cible, c’est aussi les jeunes scolaires et universitaires. Pour les jeunes scolaires, nous partons des enfants de 04 ans. Nous fonctionnons tout au long de l’année ».
Les offres de ce centre sont riches et variées parmi lesquelles la formation bilingue et l’interprétariat. « Ce que nous offrons comme formation globalement, c’est le français et l’anglais. Nous offrons aussi le français et l’anglais en alphabétisation. Nous avons des examens internationaux et tests de compétence dans les deux langues. Il y a aussi spécialement les cours en face à face. Nous avons également l’immersion qui est régulière au centre. Nous avons des traductions et interprétations », renseigne en outre Bienvenu Liboc.
En activité depuis 2003, le Centre linguistique régional de Garoua fonctionne au quotidien suivant des fourchettes horaires qui s’étendent de 08 heures à 20 heures. Un plan d’activité qui permet à cette structure d’enregistrer des résultats probants. « Nous avons fait quatre remises des certificats du bilinguisme au centre. Nous avons fait des interprétations avec les organismes internationaux tels que l’ABN et la CBLT et des organisations internationales du coton. A mettre également à notre actif, nous avons préparé des gens à des examens et ils nous ont répercuté leur succès éclatant. Des échos favorables nous proviennent aussi de la partie orientale du Nigéria qui amène souvent leurs étudiants en immersion chez-nous », ajoute le directeur du Centre linguistique régional de Garoua.
Le centre linguistique régional de Garoua qui forme en moyenne 5 000 apprenants par an est un véritable pôle de promotion du bilinguisme dans la région du Nord et même au-delà. Cette institution revêt plus que jamais son importance surtout au lendemain de la visite d’écoute et de sensilisation effectuée par le président de la Commission nationale pour la promotion du bilinguisme et du multiculturalisme (CNPBM) dans la région du Nord. Peter Mafany Musongue qui a rencontré les forces vives, les a invité à œuvrer pour l’accroissement de la pratique du bilinguisme dans le Nord afin de consolider efficacement le vivre ensemble et l’intégration nationale.
Innocent D H
Des recettes fortement en hausse par rapport à celles engrangées au cours de l’exercice 2019. Grâce à ces performances, la circonscription douanière couvrant le port en eau profonde de Kribi devient la 2ème plus grosse pourvoyeuse de recettes douanières au Cameroun.
A en croire les explications de Norbert Belinga, le chef secteur des douanes du Sud II, circonscription douanière qui couvre le port en eau profonde de Kribi, mis en service en mars 2018 dans la région du Sud du pays, cette plateforme portuaire a déjà généré des recettes douanières de 76,8 milliards de FCFA depuis le début de l’année 2020.
Si l’on compare ces recettes à celles générées par le port l’année dernière, il se dégage qu’elles sont fortement en hausse. Celles-ci ayant seulement culminé à 11,5 milliards de FCFA. Une augmentation exponentielle des recettes douanières au Port autonome de Kribi (PAK) qui trouve son explication dans l’ouverture de nouvelles lignes maritimes, ce qui a induit dans le foulée, un accroissement du trafic. Il faut ajouter le Kribi Conteneurs Terminal (KCT) qui a enregistré en septembre 2020, sa meilleure performance depuis le lancement de ses activités en mars 2018. « Le terminal à conteneurs enregistre une hausse de 23%, soit 59 escales en 2020 contre 48 escales en 2019. Le terminal polyvalent pour sa part réalise une de progression exceptionnelle de 457%, soit 39 escales en 2020 contre seulement 7 escales en 2019, expliquée en partie par le fait que ce terminal a servi de base pour les navires opérants sur les plateformes gazières et pétrolières », indique Philomène Nzameyo, responsable des statistiques au PAK.
Ainsi, la circonscription douanière couvrant le port en eau profonde de Kribi devient la 2ème plus grosse pourvoyeuse de recettes douanières au Cameroun. Elle se positionne après celle du Littoral I, qui couvre le port de Douala, dans la région du Littoral.
Innocent D H
Le Gouvernement camerounais projette l’imposition d’un droit de timbre sur la publicité y compris les distributions gratuites dans le cadre de la promotion commerciale, et sur tout autre support matériel ou immatériel. C’est dans le cadre de la préparation de la loi de finances de l’Etat du Cameroun pour l’exercice 2021.
Dans le projet de loi de finances 2021 qui sera soumis aux parlementaires au cours de la session budgétaire de novembre 2020, figure parmi les projections, un droit de timbre qui sera perçu au taux de 3% du coût de la publicité pour chaque support, qu’il soit imprimé localement ou importé, à l’exclusion de la publicité par véhicule automobile. S’agissant de la publicité sur les tabacs et les boissons alcoolisées, y compris sous la forme de distributions gratuites, le droit de timbre sera perçu au taux de 15%.
Le projet de texte gouvernemental indique tout de même que le droit de timbre sur les distributions gratuites lors de la promotion commerciale devra être déclaré et reversé auprès des centres des impôts de rattachement des entreprises, au plus tard le 15 du mois suivant celui au cours duquel les distributions ont été faites, note-on.
Les investissements publicitaires se chiffrent à environ 25 milliards FCFA par an, selon les informations fournies par le Groupement inter patronal du Cameroun (Gicam). Une véritable niche de ressources pour l'administration fiscale camerounaise.
Il faut dire que le projet de loi de finances 2021 que va présenter le Gouvernement au Parlement lors de la session de novembre, pourrait également durcir la réglementation contre les marketers insolvables qui trichent parfois avec la Taxe spéciale sur les produits pétroliers (Tspp). En effet, concernant le non-acquittement de ladite taxe par les marketers dans les délais légaux, le projet de texte prévoit « leur suspension immédiate des enlèvements des produits pétroliers auprès des sociétés en charge de la gestion des dépôts pétroliers ou de raffinage, et transmission des informations aux services fiscaux pour constatation de la dette fiscale vis-à-vis du redevable réel ».
Innocent D H
Ce mercredi 4 novembre 2020, des individus non identifiés ont attaqué le Kulu Memorial College, à Mile IV à Limbé. Selon les sources sur place, des personnes armées ont battu et déshabillé les enseignants et les élèves. Un geste qui ne laisse indifférent le président du Parti camerounais pour la réconciliation nationale (Pcrn).
Après cette autre attaque de trop perpétrée par des hommes armés non identifiés contre une école à Limbé, dans le Sud-Ouest Cameroun, Cabral Libii décrit les faits qu’il condamne avec la dernière énergie. Sur sa page Facebook, le président du Pcrn écrit : « Une vidéo virale circule en ce moment et montre des terroristes se livrant à des actes de brutalité et d’humiliation des jeunes élèves dans un établissement scolaire de la partie anglophone du pays. Hier encore on rapportait le cas d’enseignants kidnappés par une horde de bandits à Kumbo ».
L’homme politique poursuit par ailleurs, « L’objectif est manifestement de perturber la reprise des cours après 04 longues années blanches dans cette partie du pays. Je condamne avec la plus grande fermeté ces actes ignobles qu’aucune personne de bonne foi ne pourrait inscrire dans le cadre des revendications sécessionnistes pacifiques ».
Cabral Libii garantit tout son soutien aux élèves, aux enseignants et parents qui vivent l’enfer du terrorisme dans cette partie du Cameroun en crise. « Je réitère ma proposition au Président de la République d’apporter une réponse sécuritaire à la hauteur de la menace actuelle. La situation n’est manifestement pas maîtrisée. Un état d’urgence devrait être rapidement décrété pendant que le règlement politique de la crise se poursuit », souhaite le candidat arrivé troisième à la présidentielle de 2018.
Innocent D H
L’encours de la dette du secteur public camerounais évaluée au 30 novembre 2020 est de 10 164 milliards de FCFA, soit une hausse de 5,7% pour un glissement annuel qui représente 45,8% du Produit intérieur Brut (BIP). Des informations fournies par la Caisse autonome d’Amortissement (CAA), structure de gestion de l’ensemble des fonds d’emprunts publics de l’Etat et des remboursements.
Cette dette du Cameroun à la fin du mois de septembre 2020 reste encore largement en déçà de la norme communautaire en zone Cemac (70%). Pour de nombreuses sources, ce rythme d’endettement du pays reste préoccupant. Le Fonds monétaire international (FMI) dans l’analyse de viabilité de la dette du Cameroun réalisée au terme de la 5ème revue du PEF en novembre 2019 indique que la dette du pays demeure « soutenable avec un risque de surendettement élevé ».
Cette augmentation pourrait exercer un poids important sur son profil et par ricochet ramener à la baisse la note souveraine du Cameroun, estime l’Agence de notation financière américaine Moody’s.
Selon la CAA, plusieurs facteurs peuvent principalement expliquer l’évolution de cet encours de la dette camerounaise. Il s’agit entre autres, des décaissements effectués dans le cadre de la réalisation des projets, les tirages sur les appuis budgétaires obtenus dans le cadre du Programme économique et financier (PEF) en cours avec le FMI ; l’accroissement des émissions de titres publics pour résoudre les problèmes de trésorerie de l’Etat, de prise en compte des nouvelles conventions de dettes croisées.
Indiquons qu’en terme de répartition, le portefeuille de la dette du Cameroun est constitué à fin septembre 2020 de 99,6% de dette directe de l’Administration centrale, dont environ 13% d’appuis budgétaires et 0,4% de dette validée par l’Etat central. Cette dette de l’administration centrale se compose 71,9% sur le plan extérieur et celle intérieure est de 28,1%, dont 8% reste à payer depuis plus de trois mois.
Innocent D H
Par Décret présidentiel signé ce 02 Novembre 2020, celui qui, pendant onze ans (2006 à 2015), a occupé le poste de Secrétaire Général à la Délégation Générale à la Sûreté Nationale va remplacer Jean Marc Mpay.
« Monsieur Ndocki Victor est, à compter de la date de signature du présent décret, nommé Ambassadeur Extraordinaire et Plénipotentiaire de la République du Cameroun auprès de la République Fédérale d’Allemagne… ».
Ses compétences s’étendent également dans les pays suivants : Autriche, Bosnie-Herzégovine, Croatie, Kosovo, Macédoine, Monténégro, Serbie, Slovaquie, Slovénie, République Tchèque.
L’homme qui par ce décret, a désormais rang de Diplomate aura entre autres pour mission de : « Promouvoir l’image du Cameroun dans son lieu d’affectation, dans les domaines politique, économique mais aussi culturel.
Il va en outre assurer des Camerounais et de leurs biens, à partir de cette représentation diplomatique
Car, depuis 2018, des activistes – membres de la brigade anti sardinards, se revendiquant d’être les soutiens du leader du mrc, en ont fait un terrain de chasse.
Par exemple le 04 Mai 2020, ils se sont agglutinés devant l’ambassade, réclamant à cor et à cri le corps du Président de la République qui, d’après eux, « serait mort ».
Ce sont les mêmes individus qui avaient organisé des manifestations sur le même site, prétendant que le Chef de l’Etat est un « usurpateur du pouvoir » et dont les plus proches collaborateurs entendent organiser une succession de gré à gré…
Le même groupuscule d’individus en mal de sensation, sous l’égide d’un certain « général wanto » a fomenté de nombreuses révoltes, sous de fallacieux, dont la plus récurrente est l’appel au Président de la République de « prouver qu’il est encore en vie », parce que pour ces êtres, celui qui apparaît lors des audiences et autres rencontres au sommet de l’Etat est un « sosie ».
Les Camerounais fondent leurs espoirs en Victor Ndocki
Las de voir leur pays traîner dans la boue, à cause des individus sans foi, ni loi, dont la seule volonté est d’installer leur compère à la tête du Cameroun, même si pour cela ils doivent passer par les moyens les plus vils, nombreux sont ceux qui ont salué la décision du Chef de l’Etat.
Ils ont profité de cette occasion, pour demander au nouvel Ambassadeur, « de mettre en œuvre, ses compétences de « flic » afin de traquer tous ceux qui ont pris l’option de mettre en mal, les Institutions de la République du Cameroun, faisant tomber sur ceux qui se montreront récalcitrants, la vigueur de la Loi… ».
Nicole Ricci Minyem
C’est à la faveur du Conseil de cabinet présidé par le Premier ministre, Chef du Gouvernement, Joseph Dion Ngute ce mardi, 03 novembre 2020. Le Gouvernement camerounais s’inquiète de la résurgence de la pandémie dans plusieurs pays occidentaux. Au cours de Conseil, le Ministre de la Santé publique (Minsante), Dr. Manaouda Malachie a présenté les statistiques de l’évolution de la maladie au Cameroun.
Les statistiques présentées par le Minsante au Conseil de cabinet font état de 21 103 cas enregistrés à date sur l’étendue du territorial avec 429 décès. Elles portent sur l’évolution de la pandémie de coronavirus sur le territoire national depuis la confirmation d’un premier cas au Cameroun le 06 mars 2020. A en croire ces statistiques, en début novembre, les services du Ministère en charge de la Santé, comptabilisent un taux de guérison de 96% et un taux de mortalité de 1,9%.
Dans le communiqué ayant sanctionné le Conseil de cabinet de ce 03 novembre, l’on peut lire : « Le Premier ministre instruit le ministre de la Santé publique de redoubler d’efforts, afin de renforcer la sécurité sanitaire du Cameroun face à la résurgence de la pandémie du coronavirus dans plusieurs pays (occidentaux) ».
Le Gouvernement camerounais a choisi de continuer la sensibilisation des populations sur l’impérieuse nécessité de poursuivre le respect des mesures barrières. Il s’agit notamment du port du masque dans les lieux publics, du lavage des mains, entre autres.
Selon le communiqué signé du Secrétaire général des Services du Premier ministre, Séraphin Magloire Fouda, les pouvoirs publics ont décidé de « renforcer » les contrôles sanitaires au niveau des frontières aériennes, maritimes et terrestres.
Innocent D H
L’entraîneur national des Lions indomptables de football vient de dévoiler une nouvelle liste de 24 joueurs convoqués pour la double confrontation prévue ce mois contre le Mozambique. Outre les huit joueurs écartés, plusieurs grosses pointures absents le mois dernier signent leur grand retour.
Parmi les huit joueurs mis à l’écart par rapport à la présélection d’Antonio Conceiçao, figurent le Dijonnais Ahmad Ngouyamsa, le Toulousain Stéphane Zobo et l’attaquant Erica Ayuk (Osmalispor). Ceux-ci ont été placés sur la liste d’attente. Toutefois dans cette nouvelle liste de 24 joueurs, les têtes d’affiche comme Eric Maxim Choupo Moting, Clinton Njie, Christiang Bassogog et Vincent Aboubakar. Tous absents le mois dernier, ils font leur retour avec l’attaquant angevin Stéphane Bahoken.
Il est aussi constaté dans cette nouvelle liste du sélectionneur des Lions indomptables du Cameroun, la présence des cadres comme André Onana, bien qu’à nouveau testé positif à la pandémie du coronavirus. Y figurent également, Micheal Ngandeu, André-Frank Zambo Anguissa et Karl Toko Ekambi.
Précisons que le Cameroun est déjà qualifié pour la Coupe d’Afrique des Nations de football (CAN) en tant pays hôte de la compétition prévue en 2022, prend tout de même part aux éliminatoires.
En rappel, Antonio Conceiçao avait d’abord rendu publique, une liste constituée de 32 joueurs convoqués pour la double confrontation contre le Mozambique les 12 et 16 novembre prochain.
Innocent D H