Sur recommandation du Lamido de Rey-Bouba, Sa majesté Aboubakary Abdoulaye par ailleurs 1er vice-président du Sénat, ces autorités procèdent à la redynamisation de ces comités afin de mettre fin à toute forme de délinquance à Touboro.
L’un des quatre arrondissements que compte le département du Mayo-Rey, Touboro est frontalier avec Tchad et la République centrafricaine entre autres. Cette position géographique lui permet de réaliser des échanges commerciaux avec ces pays voisins. Dans l’arrondissement de Touboro, plusieurs ethnies sont répertoriées et cohabitent dans la paix. « Ici, il y a les peuls, les toupouri, les massa, les moudang et même des ethnies du Sud-Cameroun qui vivent dans la solidarité, il n’y a pas de problème », indique Oumarou Moussa représentant du lamido dans cette unité administrative.
Le Lamido de Rey-Bouba, Sa majesté Aboubakary Abdoulaye, par ailleurs 1er Vice-président du Sénat a recommandé aux chefs traditionnels de cet arrondissement de redynamiser les comités de vigilance afin de lutter contre l’insécurité sous toutes ses formes. « Nous sommes appelés à appliquer à la lettre les instructions de notre lamido. Nous savons tous que les comités de vigilance travaillent beaucoup dans la lutte contre les bandits, les preneurs d’otages, les voleurs de bétails et bien d’autres. Dans tous les quartiers de Touboro, les chefs traditionnels veillent à ce que ces comités fonctionnent normalement en parfaite collaboration avec les populations, les chefferies et les forces de défense et de sécurité », indique également Oumarou Issa.
Les chefs traditionnels demandent ainsi aux populations de rester vigilantes tout en dénonçant systématiquement les personnes suspectes. Dans le département du Mayo-Rey en général et à Touboro en particulier, les autorités traditionnelles se serrent les coudes dans la lutte contre l’insécurité afin que triomphent toujours la paix et le vivre ensemble tels que prônés par le Chef de l’Etat, Paul Biya.
Innocent D H
Les syndicats des transports routiers au Cameroun déterminés à tordre le coup à toute forme de fraude et de corruption qui entourent la délivrance des documents officiels dans le secteur. Pour eux la digitalisation apparaît comme l’une des meilleures solutions à expérimenter par ce temps de la modernité.
Selon les explications de Pierre Nyemeck Ntamack, président de la Confédération générale des syndicats des transports : « Il s’agit d’adopter l’enregistrement des professionnels de ce secteur dans un fichier manuel dans un premier temps, et informatique par la suite pour évoluer enfin vers la digitalisation ». Pour le président de l’Organisation patronale des syndicats de transporteurs et auxiliaires du Cameroun (Opstac), la délivrance des documents dans le secteur est entourée d’une opacité. « La délivrance des documents officiels étant plombée par le marchandage, personne ne peut vous donner le nombre exact de véhicules. Même le ministère des Transports qui délivre par exemple les permis de conduire et les licences de transport ne peut vous donner les statistiques exactes sur le nombre de véhicules en circulation », fait savoir Jean Paul Noah.
Grosso modo, les syndicats dénoncent, la fraude, le trafic de faux documents comme le permis de conduire ou la carte grise. En juin 2020, les résultats d’un audit du ministère des Transports révèlent l’existence de 396 auto-écoles clandestines à travers le pays.
Le président de l’Opstac évoque notamment, le cas récent de la mairie de la ville de Yaoundé a lancé une opération dite coup de poing, qui a conduit à la mise en fourrière de 400 véhicules circulant sans documents officiels. Un état de choses qui pénalise financièrement les professionnels du transport routier au Cameroun. Il justifie également en partie le nombre élevé d’accidents de la route, qui font perdre chaque année environ 100 milliards FCFA à l’économie.
En mai 2020, le Ministère des Transport a institué une nouvelle de contrôle technique automobile. Il a également mis en place une carte grise sécurisée le 17 octobre dernier. Ce qui participe des efforts du Gouvernement camerounais de lutter contre la fraude et la corruption de transport à travers la modernisation des documents de transport routier.
Innocent D H
Dans un communiqué publié ce mardi 10 novembre 2020, le Ministre des Sports et de l’Education physique (Minsep), Narcisse Mouelle Kombi annonce que le Match-Cameroun Mozambique prévu le 12 novembre 2020 au stade de la réunification de Douala « se jouera à huit clos ». Le document signé par le Minsep indique que cette mesure rentre dans le cadre de la lutte contre la pandémie du coronavirus prescrite par la Fédération internationale de de football association (Fifa).
Il s’agit ainsi d’une décision fait suite aux échanges entre le Minsep et la Confédération africaine de football (CAF). Ce qui implique que, « l’entrée au stade sera exclusivement et strictement réservée aux officiels munis d’un titre d’accès (accréditation, badge) et d’un laissez-passer, l’entrée au stade sera exclusivement et strictement réservée aux officiels munis d’un titre d’accès (accréditation, badge) et d’un laissez-passer ».
Relevons que dans la liste des 24 joueurs présélectionnés par le Portugais, Antonio Conceiçao pour cette rencontre, certains joueurs manquent à l’appel. Ce sont notamment, des défenseurs Michael Ngadeu, Faï Collins et Jean Onana, tous positifs à la Covid-19. L’on apprend également que Eric Maxim Choupo-Moting n’a pas encore rejoint le groupe. Le capitaine des lions indomptables souffrirait de douleurs lombaires. Selon les déclarations du Pr William Ngatchou, médecin de l’équipe nationale à la fin d’une séance d’entrainement à l’annexe du stade de la Réunification au quartier Bepanda en prélude à cette rencontre : « Nous attendons le rapport médical d’ici la soirée pour savoir s’il peut regagner la tanière ou pas ».
Toutefois, ces absences vont être palliées par les joueurs de la liste, assure Antonio Conceiçao. La rencontre prévue pour le 12 novembre 2020, s’inscrit dans le cadre des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des nations (CAN) que le pays organise en 2022.
Innocent D H
Dans une correspondance adressée au président de l’interprofession avicole, François Djonou, le 09 novembre 2020, le ministre de l’Elevage, des Pêches et des Industries Animales (Minepia) invite les opérateurs de la filière avicole à suspendre momentanément les importations d’œufs, des poussins d’un jour et autres produits avicoles.
Dans l’extrait de la correspondance du Minepia publiée ce 10 novembre 20 dans les colonnes du quotidien national bilingue, Cameroon Tribune, on peut lire : « J’ai l’honneur de vous demander d’informer les opérateurs de la filière avicole de surseoir momentanément aux importations des poussins d’un jour, des œufs à couver et autres produits avicoles en provenance des pays infectés ».
Dr Taïga justifie sa décision par « l’apparition récente et la propagation des foyers de l’influenza aviaire hautement pathogène au Danemark, en Allemagne, au Royaume-Uni, aux Pays-Bas, en Russie et en Israël. Des pays à partir desquels le Cameroun s’approvisionne en intrants avicoles ».
L’on apprend que le Minepia a également adressé sa lettre au directeur des services vétérinaires et au directeur du développement des productions et des industries animales. Il demande à ses collaborateurs de : « renforcer la surveillance aux frontières et faire appliquer rigoureusement les mesures d’inspection sanitaire vétérinaire conformément à la décision du 25 juillet 2006 interdisant l’importation de certaines espèces sensibles à la grippe aviaire et de certains matériels d’élevage ».
Il est question d’éviter la survenue de l’épizootie de grippe aviaire au Cameroun comme en 2016 et 2017, informe le journal. « Pour un monitoring constant, le ministre instruit que des rapports hebdomadaires d’activités menées sur le terrain lui soit adressés », a relayé Cameroon Tribune.
Innocent D H
L’enveloppe budgétaire de l’Etat du Cameroun telle que préparée par le Ministère des Finances (Minfi) se chiffre en recettes et dépenses à cette somme. Toutefois, cette prévision budgétaire devra encore être soumise aux arbitrages des services du Premier Ministre, mais surtout de la Présidence de la République.
Cette enveloppe budgétaire de l’Etat du Cameroun pour l’exercice 2021 préparée par le Minfi est en hausse de 449 milliards de francs CFA comparativement à celle de l’année 2020. En 2020 justement, le budget du Cameroun est de l’ordre de 4 409 milliards de FCFA. A souligner que le pays avait été contraint de revoir à la baisse ses prévisions budgétaires à cause des effets néfastes de la pandémie du coronavirus dont le premier cas a été enregistré au Cameroun en mars dernier.
En effet, dans une note datant du 03 juin, le Président de la République, Paul Biya avait signé une ordonnance modifiant et complétant certaines dispositions de la loi de finances 2020. Cette décision avait induit un collectif budgétaire, lequel avait fait passer le budget de 4951,7 milliards de FCFA initialement, a finalement 4 409 milliards de FCFA, soit une réduction de 542,7 milliards de FCFA. En outre, indique en sus la note d’information sus-évoquée, le budget devra être recentré sur la lutte contre la Covid-19 avec la création d’un compte d’affectation spécial dénommé « Fonds de solidarité nationale pour la lutte contre le coronavirus et ses répercussions économiques et sociales ».
Indiquons que selon un récent communiqué du Minfi, à compter de ce lundi, 09 novembre 2020, l’Etat du Cameroun compte apurer une partie de sa dette publique intérieure. Le montant alloué pour cette opération est de 50 milliards FCFA, apprend-on de ce document. La décision du membre du Gouvernement camerounais rentre « dans le cadre de la mise en œuvre des mesures de relance économique instruites par le chef de l’Etat à l’effet d’atténuer l’impact de la Covid-19, le ministre des Finances informe les opérateurs économiques, fournisseurs des prestations à l’Etat et aux entités publiques ».
Innocent D H
C’est une information rendue publique dans un communiqué signé par le Ministre camerounais en charge des Finances (Minfi) le 05 novembre dernier. Cette enveloppe, mise à la disposition des postes comptables du Trésor, est destinée au « règlement des factures et décomptes ordonnancés au titre de l’exercice budgétaire 2020 », peut-on lire dans le communiqué de Louis Paul Motaze.
Selon le communiqué du Minfi, Louis Paul Motaze, c’est à compter de ce lundi, 09 novembre que le l’Etat du Cameroun compte apurer une partie de sa dette publique intérieure. Le montant alloué pour cette opération est de 50 milliards FCFA, apprend-on du communiqué du Minfi. La décision du membre du Gouvernement camerounais rentre « dans le cadre de la mise en œuvre des mesures de relance économique instruites par le chef de l’Etat à l’effet d’atténuer l’impact de la Covid-19, le ministre des Finances informe les opérateurs économiques, fournisseurs des prestations à l’Etat et aux entités publiques ».
A en croire les explications du directeur de la Trésorerie à la Direction générale du Trésor et de la Coopération financière et monétaire du Minfi, Samuel Tela : « Les factures et décomptes des dépenses exigibles (investissements, biens et services) pour l’exercice 2020 sont payés chronologiquement. Les paiements qui vont commencer ce lundi rentrent donc dans la continuité des actions antérieures », a-t-il confié à nos confrères du quotidien national bilingue Cameroun Tribune.
Ce sont environ 5000 opérateurs économiques seront ainsi régularisés par l’Etat. Il s’agit des entreprises du secteur privé, les établissements publics et les Collectivités territoriales décentralisées. Pour ces deux dernières catégories, le paiement englobe les dépenses prises en charge jusqu’au 31 juillet 2020.
L’Etat camerounais doit débourser 208 milliards FCFA au titre du remboursement de la dette intérieure pour le troisième et le quatrième trimestre 2020. Avec le paiement de 50 milliards FCFA, le MINFI devrait en principe, s’acquitter de 158 milliards FCFA restants pour le quatrième trimestre de l’année 2020, afin de désintéresser ses fournisseurs internes.
Indiquons que la dette intérieure du Cameroun au 30 septembre 2020, est estimée à 3 019 milliards de FCFA, selon les données fournies par la Caisse autonome d’amortissement (CAA).
Innocent D H
Dans un message porté adressé aux six préfets de la région, Midjiyawa Bakari lance l’alerte sur un projet d’attentats kamikazes sur le territoire camerounais. Il demande à ces autorités administratives de prendre en urgence des mesures nécessaires pour faire échec à ce projet macabre.
« 05 filles kamikazes dont les âges varieraient entre 14 et 16 ans, seraient en cours de conditionnement dans les bases Boko Haram de Mina et Teredji au Nigeria, dans le cadre d’un projet d’attentats que ce groupe terroriste envisagerait de mener sur le territoire camerounais », alerte le Gouerneur de la région de l’Extrême-Nord dans sa correspondance. Dans son message porté datée du 06 novembre 2020, Midjiyawa Bakari demande aux préfets : « de prendre, dans l’urgence, des mesures appropriées dans l’optique de faire échec à ce projet monstrueux et satanique de déstabilisation de notre territoire ».
Le numéro 1 de l’Extrême-Nord prescrit, la redynamisation sans délai des comités de vigilance de leurs circonscriptions administratives respectives autour des lieux de grands rassemblements à savoir les marchés, mosquées, églises et autres lieux de loisirs. Le Gouverneur commande également le renforcement systématique en collaboration avec les responsables des forces de l’ordre et de sécurité, des contrôles routiers, avec un accent particulier dans les zones frontalières.
Les départements du Mayo-Sava, du Mayo-Tsanaga et du Logone et Chari sont plus exposés aux incursions et attaques de Boko Haram du fait de leur proximité avec le Nigeria voisin, à en croire les informations fournies par le journal régional l’œil du Sahel. De nombreuses attaques des combattants de Boko Haram ont été enregistrées cette année dans la région de l’Extrême-Nord. La guerre contre ces insurgés a fait 2700 morts depuis 2013, apprend-on des sources non officielles.
Innocent D H
Selon les informations publiées par notre confrère Giga-Foot, le Ministre camerounais en charge des Sports (Minsep) auraient donné l’instruction aux coordonnateurs de stade de ne pas les ouvrir pour les matchs d’ouverture de la première journée des ligues 1 et 2 programmés par la Fédération camerounaise de football (Fécafoot).
Décidément tout laisse à croire que la reprise du Championnat professionnel du Cameroun ne pourrait pas avoir lieu ce mardi comme programmée par la Fécafoot. Elle pourrait cette être bloquée à cause de l’indisponibilité des stades. Selon la source sus évoquée, même si aucun document officiel ne circule à propos, le Minsep aurait donné l’instruction ferme aux coordonnateurs des stades où les matchs de la première journée devraient se jouer ce 10 novembre 2020, de ne pas les ouvrir.
Toutefois, notre source informe que les clubs contactés envisagent se déplacer tout en fondant leur espoir sur la médiation engagée par la Fédération internationale de football association (Fifa), qu’elle puisse ramener les différents protagonistes à la raison. L’on apprend par ailleurs que l’instruction du Minsep serait l’une des conséquences du conflit qui oppose la Fécafoot au Minsep et la Ligue de football professionnel du Cameroun (Lfpc).
Rappelons que dans un communiqué signé de son secrétaire général, la Fédération camerounaise de football avait annoncé qu’elle va procéder à la reprise du Championnat Elite One ce mardi. Un communiqué qui était intervenu après le retrait de l’organisation des championnats professionnels à la Lfpc. En effet, celle-ci avait organisé le lancement de la saison le 1er novembre dernier avec un trio arbitral équato-guinéen en raison de l’indisponibilité des arbitres locaux en recyclage.
Innocent D H
En octobre 2020, le pays a exporté 16 534 tonnes de bananes contre 17 339 au mois de septembre 2020, soit une baisse de l’ordre de 1 405 tonnes (8,5%). Des chiffres ont été compilés par l’Association bananière du Cameroun (Assobacam).
Cette baisse des exportations de la banane camerounaise s’explique principalement par la diminution des exportations des trois sociétés engagées dans ce domaine. Le cas le plus indexé, c’est celui de la Cameroon Development Corporation (CDC), apprend-on. En effet, au mois d’octobre 2020, la CDC a exporté 781 tonnes de bananes contre 1 312 au mois de septembre 2020. Ce qui correspond à une baisse de 531 tonnes (6,7%).
Outre la CDC, la Plantation du Haut Pendja (PHP), le leader du marché avec une production annuelle d’environ 12 000 tonnes sur une surface de production de 3 000 hectares, a également enregistré une baisse de performance en matière d’exportation pendant cette période. Elle a exporté 14 650 tonnes contre 15 360 en septembre, soit une baisse de 710 tonnes (4,8%).
Une autre entreprise dont la performance a connu une chute, c’est la BOH plantations (BPL). Elle a enregistré à son compteur 1 103 tonnes de bananes exportées, soit une baisse notée de 164 tonnes (12,9%).
L’année dernière, le Cameroun avait globalement exporté 15 953 tonnes. Spécifiquement, 14 695 correspond au volume d’exportation réalisé par la PHP. BPL et CDC ont quant à elles réalisé respectivement, 1 258 et 0.
Soulignons que la PHP est la filiale camerounaise de la compagnie fruitière de Marseille. Elle a été transformée par rachat des sociétés SPNP (Sociétés des Plantations Nouvelles du Penja), de la Société SBM (Société des bananeraies de M’Bomé) et de la PHP (Plantation du Haut Penja).
Innocent D H
Le représentant résidant de l’Institut africain d’informatique (IAI-Cameroun) vient de procéder à Garoua au lancement officiel de cette année académique. Armand Claude Abanda a également installé dans ses fonctions, la nouvelle cheffe de centre Ada Rihanatou tout en lui recommandant de donner une nouvelle impulsion à cette institution afin de connecter davantage la région du Nord à la modernité à travers l’informatique.
Le Centre de l’IAI-Cameroun, représentation régionale du Nord nouvellement relooké et équipé doit plus que jamais continuer à assurer la formation diplômante en informatique. Le lancement officiel de l’année académique 2020-2021 coïncide avec le démarrage de la nouvelle phase de vulgarisation de l’outil informatique dans le Nord. Et pour traduire dans les faits cette vision, la nouvelle cheffe de centre, Ada Rihanatou est consciente du principal défi à relever. « C’est un grand challenge qui m’a été lancé. J’espère pouvoir donner une image parfaite de l’IAI-Cameroun au centre de Garoua. Je compte travailler en étroite collaboration avec les différentes autorités de la région du Nord pour relever ce défi », déclare-t-elle.
En l’installant dans ses nouvelles fonctions, le représentant résidant de l’IAI-Cameroun nourrit l’espoir de voir le centre de Garoua devenir un véritable pôle d’excellence. « Donner une nouvelle impulsion, surtout que nous venons de rééquiper le centre grâce aux appuis du ministre Alamine Ousmane Mey et au ministre Louis-Paul Motaze qui ont contribuer pour le relookage du Centre IAI de Garoua. Nous avons également eu l’autorisation de lancer un concours de 40 places concernant uniquement de ce centre. Il concerne les candidats titulaires d’un baccalauréat littéraire ou scientifique. La date limite de dépôt des dossiers est fixée au vendredi, 13 novembre 2020. La composition dudit concours aura lieu le 14 novembre 2020 et la rentrée prévue pour le 16 novembre », mentionne Armand Claude Abanda.
Pour connecter davantage le Nord à la modernité numérique, le représentant résidant de l’IAI-Cameroun a effectué une visite de courtoisie à la mairie de Garoua IIème et à la communauté urbaine de Garoua où la signature des conventions pour la formation des personnels de ces structures dans l’usage des Technologies de l’Information et de la Communication (TIC).
Innocent D H