Les investisseurs retenus à l’issue de la procédure de sélection sont appelés à effectuer des aménagements appropriés dans les zones à fort potentiel aquacole des façades maritimes, des périmètres fluviaux et des lacs de retenue.
De sources officielles, le Ministre camerounais de l’Elevage, des Pêches et des Industries animales (Minepia) vient de publier une liste additive de 22 entreprises et GIE, puis 19 personnes physiques, tous présélectionnés dans le cadre de la recherche des candidats désireux d’investir dans l’aquaculture au Cameroun. L’appel à manifestation d’intérêt y afférent avait été lancé par le Gouvernement le 15 juillet 2020.
Les zones identifiées dans le cadre de ces investissements sont : le fleuve Dibamba (région du Littoral), le Nyong (dans la zone de Mbalmayo, région du Centre), les retenues d’eau de Lagdo (Nord) et le Lom Pangar (Est), ainsi que les façades maritimes situées entre Kribi et Campo (région du Sud), puis entre Limbe et Idenau.
Il convient de préciser ici que, le Gouvernement entend à travers cette initiative réduire la facture des importations de poissons, lesquelles contribuent à déséquilibrer la balance commerciale du pays. Tenez par exemple, pour le seul premier trimestre de l’exercice 2020, le Cameroun a officiellement importé 57 008 tonnes de poissons congelés, pour un montant de 38,9 milliards de FCFA, entrainant d’importantes pertes de de devises, un gros manque à gagner pour le pays.
Dans l’optique de contribuer à l’accroissement de la production aquacole au Cameroun, la Caisse autonome de développement de la pêche maritime (Cdpm) avait annoncé en 2020, la distribution de 300 000 alevins aux pisciculteurs locaux. En dépit de ce genre d’initiative pour la promotion de l’aquaculture, la production nationale demeure faible. Selon les statistiques révélées le 12 août 2020 au cours d’une concertation au Ministère du Commerce, cette production culmine généralement à 10 000 tonnes, et atteint souvent 15 000 tonnes au maximum, à en croire les producteurs.
Innocent D H
Dans une correspondance adressée au président de l’interprofession avicole, François Djonou, le 09 novembre 2020, le ministre de l’Elevage, des Pêches et des Industries Animales (Minepia) invite les opérateurs de la filière avicole à suspendre momentanément les importations d’œufs, des poussins d’un jour et autres produits avicoles.
Dans l’extrait de la correspondance du Minepia publiée ce 10 novembre 20 dans les colonnes du quotidien national bilingue, Cameroon Tribune, on peut lire : « J’ai l’honneur de vous demander d’informer les opérateurs de la filière avicole de surseoir momentanément aux importations des poussins d’un jour, des œufs à couver et autres produits avicoles en provenance des pays infectés ».
Dr Taïga justifie sa décision par « l’apparition récente et la propagation des foyers de l’influenza aviaire hautement pathogène au Danemark, en Allemagne, au Royaume-Uni, aux Pays-Bas, en Russie et en Israël. Des pays à partir desquels le Cameroun s’approvisionne en intrants avicoles ».
L’on apprend que le Minepia a également adressé sa lettre au directeur des services vétérinaires et au directeur du développement des productions et des industries animales. Il demande à ses collaborateurs de : « renforcer la surveillance aux frontières et faire appliquer rigoureusement les mesures d’inspection sanitaire vétérinaire conformément à la décision du 25 juillet 2006 interdisant l’importation de certaines espèces sensibles à la grippe aviaire et de certains matériels d’élevage ».
Il est question d’éviter la survenue de l’épizootie de grippe aviaire au Cameroun comme en 2016 et 2017, informe le journal. « Pour un monitoring constant, le ministre instruit que des rapports hebdomadaires d’activités menées sur le terrain lui soit adressés », a relayé Cameroon Tribune.
Innocent D H
Le ministère camerounais des Finances (Minfi) vient de lancer un appel à manifestation d’intérêt international aux près des cabinets, bureaux d’études ou de groupements dans l’optique de la présélection des prestataires spécialisés en prévision d’un appel d’offres sur une liste restreinte pour la réalisation d’une étude de faisabilité économique et financière de cette future agence. Celle-ci devrait être mise en place d’ici 2022 afin de faire du Cameroun un pays émergent fondée sur le développement économique.
A travers cette étude de faisabilité, il est question d’évaluer l’impact économique du Conseil agropastoral délivré par l’agence sur le secteur agricole et l’économie, notamment par le biais des taxes parafiscales sur les produits agricoles (import, export, marché interne etc.). La future Agence nationale du conseil agropastoral (Anca) est destinée à institutionnaliser et pérenniser le dispositif public de conseil agropastoral mis en œuvre par le ministère de l’Agriculture et du développement rural (Minader) et le ministère de l’Elevage, des pêches et des industries animales (Minepia) dans le cadre du programme de consolidation du conseil agropastoral (PCP-Acefa).
Etant donné que le PCP-Acefa est la phase 3 du programme d’Amélioration de la Compétitivité des exploitations familiales agropastorales (Acefa), l’institutionnalisation du dispositif par l’entremise d’un organisme indépendant sur le plan juridique et financier alimenté sur fonds publics et privés (gouvernement, filières et aide au développement) participe d’un objectif d’efficacité et d’efficience des fonds alloués au développement agricole. Elle vise ainsi à offrir des services performants répondant aux problèmes des agriculteurs et éleveurs.
Il faut souligner qu’au Cameroun, l’essentiel de la production agricole provient des exploitations agricoles familiales (EFA) de petite taille. Leur nombre est évalué à 1,5 million et leur taille moyenne est de 2,4 ha, selon les données rendues disponibles par le Minader et le Minepia. Malgré leur contribution significative au PIB, les revenus des actifs qui pratiquent cette forme d’agriculture restent faibles, 55% des ménages vivant en zones rurales étant pauvres avec un revenu qui n’atteint pas 1,25 dollars par jour.
Selon la Stratégie de développement du secteur rural, « compte tenu de leur poids et de leur potentiel productif, accroître la valeur ajoutée au niveau des exploitations agricoles familiales est le principal levier existant pour faire accroître le PIB du secteur. Cette augmentation de la valeur ajoutée est également un levier important de lutte contre la pauvreté ».
Le Gouvernement camerounais dans sa stratégie de développement en cours de finalisation prévoit ainsi de renforcer l’accompagnement des producteurs dans la gestion de leurs exploitations de producteur pour l’approvisionnement, la transformation et la commercialisation.
Innocent D H
Selon les données rendues disponibles par le ministère de l’Elevage, des pêches et des industries animales (Minepia), au premier trimestre 2020, le Cameroun enregistre une baisse d’un taux de 41% dans la production des viandes. Un glissement annuel qui s’explique par la baisse de la production avicole du fait de l’impact de la pandémie du coronavirus sur la filière notamment à l’importation.
De sources officielles renseignent, « cette baisse est fortement accentuée par la baisse de la production avicole qui connaît une diminution de plus de trois quarts de son niveau il y a un an. Comparée à la même période en 2019, la production de viande de volaille au premier trimestre 2020 enregistre une chute de 76% ».
La même source explique que, cette tendance à la baisse de la prédominance de la viande de volaille autrefois en tête des consommations, pourrait s’expliquer par la suspension de la délivrance des avis techniques d’importation des œufs à couver due à la pandémie du coronavirus au premier trimestre de l’exercice en cours.
296 552 tonnes, c’est la production totale de viandes au Cameroun en 2019, contre 340 808 tonnes en 2018, soit une baisse de l’ordre de 13% enregistré. Une diminution étroitement liée à la chute de la production de la viande de volaille enregistrée par le pays depuis les troisième et quatrième trimestres de l’année 2019.
L’on apprend que sur cette période, les opérateurs économiques de la filière, surtout ceux engagés dans la production des poussins ont éprouvé des difficultés dans le processus d’approvisionnement à partir de l’extérieur. Il s’agit des intrants stratégiques tels que les œufs à couver et les poussins d’un jour majoritairement issus des importations. A l’origine le rationnement de la sortie décidée par la Banque centrale à savoir la Banque des Etats de l’Afrique centrale (BEAC).
Le Gouvernement camerounais devra booster davantage la capacité du pays dans la production de viandes malgré la conjoncture difficile imposée par la Covid-19. Il est question pendant cette période de continuer à répondre à la demande sans cesse croissante des consommateurs.
Innocent D H
Dr Abel Wade et Dr Moussa Yaya viennent d’être installés respectivement dans leurs fonctions de Directeur général (DG) et de Président du Conseil d’administration du Laboratoire national vétérinaire (LANAVET). C’était ce jeudi à Garoua au cours d’une cérémonie présidée par le ministre de l’Elevage des Pêches et des Industries animales (Minepia), Dr Taïga qui a recommandé aux promus, une gestion axée sur les résultats afin de booster la production des vaccins et autres produits à usage vétérinaire et humain.
En procédant à l’installation de ces nouveaux responsables à la tête du LANAVET, le Minepia les a appelé à se mettre rapidement au travail en faisant valoir leur riches expériences nationale et internationale. Objectif, assurer une production suffisante des vaccins et des produits biologiques pour couvrir les besoins du pays. Ils devront surtout accorder un intérêt particulier sur la diversification de la gamme des produits et la souscription à la dimension de la compétitivité afin de gagner de nouveaux marchés en Afrique mais aussi dans le monde.
Des consignes que comptent d’ailleurs appliquer à la lettre les heureux promus. Le DG, Abel Wade déclare à ce titre, « je m’engage à faire fonctionner le LANAVET et à le rehausser sur le plan national et international ». Quant au PCA, Dr Moussa Yaya, il est question de, « renforcer la compétitivité de cette structure au combien important pour notre pays ».
La cérémonie de ces installations s’est déroulée dans le strict respect des mesures barrières contre la Covid-19. Peu avant, le Minepia a pris part au Conseil d’administration extraordinaire du LANAVET qui devra s’affirmer comme un instrument important de développement vétérinaire en milieu rural comme celui urbain au Cameroun.
Innocent D H
A travers ce geste annoncé, la Caisse de développement de la pêche maritime (CDPM) va mettre à la disposition des pisciculteurs camerounais 300.000 alevins au cours de l’exercice 2020. Objectif, contribuer de manière significative à l’accroissement de la production aquacole au niveau national.
La dernière session du Conseil d’administration du CDPM pour le compte de l’année budgétaire 2019 s’est tenue le 30 décembre à Douala, la capitale économique du Cameroun. De cette importante session, l’on apprend l’engagement de la structure à procéder à la distribution de 300.000 alevins aux pisciculteurs au cours de l’année en cours, afin de booster leurs capacités productives. Pour matérialiser cette projection et bien d’autres projets en 2020, le Conseil d’administration a voté et approuvé un budget de près de d’un milliard de FCFA.
Selon les précisions du ministère de l’Elevage, des Pêches et des Industries animales (Minepia), malgré l’augmentation progressive de la production dans le secteur de l’aquaculture au Cameroun, le potentiel du pays reste faible. Pour relever la pente, les pouvoirs publics travaillent afin de limiter les importations de poissons congelés, qui chaque année contribue à plomber la balance commerciale au Cameroun.
Selon l’Institut national de la statistique (INS), signalons à titre illustratif que les importations massives de poissons de mer congelés, ont absorbé plus de 154 milliards de FCFA durant l’exercice 2018.
Innocent D H
Un marché relatif à l’acquisition progressive des vaches laitières et pour la reproduction des semences bovines a été signé entre le Cameroun et la société française, Coopex Montbéliarde. Montant du marché, 824 881 euros, soit 541 086 595 FCFA.
Selon les informations rendues disponibles par le Ministère de l’Elevage, des Pêches et des Industries animales (Minepia), cette signature de marché intervient dans le sillage de la mise en œuvre effective des actions prévues dans le Projet de développement de l’élevage (Prodel). Elle concerne spécifiquement l’amélioration génétique des races bovines au niveau local.
L’on apprend que le Prodel a déjà favorisé la formation de 35 inséminateurs dans le cadre des activités d’insémination artificielle. Des bons points acquis en attendant la mise en œuvre du partenariat avec la société française.
Précisons qu’au Cameroun, jusqu’au 31 octobre 2019, les productions animales sont de l’ordre de 345 879 tonnes de viandes (bovine, porcine, caprine, ovine et volaille). Celles-ci proviennent des abattages contrôlés. De manière détaillée, l’on a enregistré 9 456 tonnes d’œufs de table, 199 047 tonnes de lait et la production du miel se situe à 9 298 tonnes.
Remarquons également que pour sa part, la Société de développement et d’exploitation des productions animales (Sodepa) a pu abattre 153 863 bovins dans les abattoirs de Yaoundé, Douala et Ngaoundéré, soit 23 079,45 tonnes de viandes fournies par la société aux consommateurs.
Innocent D H
C’est le ministère de l’Elevage des Pêches et des Industries animales (Minepia) qui fournit ces données. Dans le volet artisanal, 271 317 tonnes de poissons ont été produits, la pêche industrielle a enregistré quant à elle 370 tonnes, et l’aquaculture 7 077 tonnes.
Les procédures de construction d’un marché moderne de poisson à Youpwé (Douala) sont finalisées. Objectif, selon le Minepia booster la production halieutique au Cameroun en général, dans cette partie du pays en particulier. Pour ce faire un contrat devra être signé avec l’entreprise cocontractante au Japon pour la période allant du 14 au 20 décembre 2019. Le démarrage des travaux sur le terrain par l’entreprise est prévu en 2020 selon les termes contractuels. Trois nouvelles unités de production de glace pour la conservation des produits halieutiques ont été acquises à Douala, Limbe et Idenau.
Le Minepia assure mettre en œuvre des modalités de collecte et de conservation des produits issus de l’aquaculture et des moyens efficaces et efficients d’encouragement des partenariats entre les aquaculteurs et les acteurs impliqués dans la commercialisation du poisson. Un accord a d’ailleurs été trouvé avec la Mission de régulation des approvisionnements en produits de grande consommation (Mirap). Il est question, de favoriser aux producteurs, l’écoulements de leurs produits sur les marchés.
Innocent D H
Telle est la recommandation du Gouverneur de la région du Nord aux éleveurs ce mercredi 09 octobre 2019 à Boklé dans l’arrondissement de Garoua IIIème. Jean Abate Edi’i y a présidé la cérémonie de lancement de la campagne régionale de vaccination contre la peste des petits ruminants.
C’est une campagne de vaccination des petits ruminants de la région du Nord contre la peste animale qui vient d’être lancée à Boklé dans l’arrondissement de Garoua IIIème par le Gouverneur de la région du Nord Jean Abate Edi’i. Initiée par le Ministère de l’élevage des pêches et des industries animales (Minepat), cette opération vise à protéger les chèvres et moutons de la région contre cette épizootie qui constitue une véritable menace à la santé animale et à promouvoir un élevage plus productif.
La région du Nord étant considérée comme une zone d’élevage par excellence, le Gouvernement et ses partenaires tel que le Prodel (Projet de Développement de l’élevage) misent sur un ratissage large sur le terrain en procédant à une vaccination gratuite des petits ruminants contre la peste jusqu’au 30 octobre 2019. Une initiative saluée à juste titre par les bénéficiaires. C’est le cas d’Ibrahima Mohamadou, éleveur : « cette action vient à point nommé pour sauver la filière des petits ruminants. Nous remercions infiniment le Gouvernement de la République ».
La vaccination : moyen de prévention de la peste des petits ruminants
Pour le docteur Françoise Erayavaye Bouba, déléguée régionale du Minepia pour le Nord, il s’agit effectivement d’un moyen de lutte contre la peste des petits ruminants qui est une épizootie. « La peste des petits ruminants est une maladie virale. Elle peut même entraîner des mortalités qui peuvent s’élever à plus de 90%. La seule mesure que nous avons maintenant, c’est de faire vacciner les animaux ».
Lire aussi : Cameroun : Le gouvernement lance une campagne visant à vacciner 06 millions de petits ruminants contre la peste
Et pour booster la pratique de l’élevage dans le Nord, 40 hectares viennent d’être aménagés par le Prodel pour le pâturage, une alimentation équilibrée, renforcée également par une vaccination de qualité. Le Gouverneur de la région du Nord Jean Abate Edi’i, précise : « Cette campagne va se généraliser dans toute la région. J’ai donné des instructions pour que les éleveurs qui tenteraient de se soustraire de cette campagne, nous n’allons évidemment qu’aller à une solution extrême de pouvoir détruire ces animaux non vaccinés ».
L’horizon s’annonce donc sous de belles perspectives pour l’élevage des petits ruminants dans la région du Nord afin de produire des moutons et chèvres sains, et pour que le secteur puisse garantir des chiffres d’affaires à la hauteur des attentes des éleveurs.
Innocent D H
L'esplanade des services du gouverneur de la région du Soleil couchant, a abrité ce jeudi 03 octobre 2019, la cérémonie de lancement régionale de la campagne gratuite de vaccination contre la peste des petits ruminants (PPR).
En effet, le ministre de l'élevage, des pêches et des industries animales (Minepia) procède depuis le 07 août 2019, a une campagne de vaccination gratuite contre la peste des chèvres et des moutons sur l'ensemble du territoire national.
Dans la région de l'Ouest, le coup d'envoi a été donné ce jeudi en présence de nombreux propriétaires d'animaux sous la présidence de François ETAPA, représentant du gouverneur et par ailleurs SG des services régionaux.
Dans son allocution de circonstance, le Docteur MPOUOK Oswald délégué régional (Minepia) va commencer par situer l'événement dans son contexte : <<L''événement qui nous réunir aujourd'hui s'inscrit en droite ligne d'un ensemble d'activités qui ont démarré depuis très longtemps. Notamment par la phase de sensibilisation et le dénombrement dans toute la région de l'Ouest qui a mobilisé plus de 1600 relais communautaires, qui ont travaillé en collaboration avec les agents Minepia dans 1448 villages et dénombré un peut plus de 210 milles petits ruminants soit un taux de 67,57% des objectifs à atteindre qui nous ont été assigné par notre département ministériel>>.
Pour mener a bien cette opération,la région de l'ouest a reçu 312600 doses de vaccins, du matériel de travail et des équipements nécessaires. Le Minepia Ouest fait également savoir que 136 agents vaccinateurs ont été mobilisés à cet effet.
Selon le Minepia, l’opération vise à vacciner près de 8 millions de chèvres et moutons. La campagne va s’étendre sur trois ans : 2019, 2020 et 2021. Dès 2022, le Cameroun va passer à la phase de la surveillance de la maladie. Il s’agira de s’assurer que le virus n’est plus en circulation au sein du cheptel national. Les noms et les numéros de téléphone des bénéficiaires sont déjà répertoriés au niveau du ministère de l’Élevage. Les agents du Minepia feront des prélèvements avant et après la vaccination. La comparaison des résultats entre les deux phases permettra de déterminer si les animaux sont immunisés ou pas.
À en croire le Minepia, le but à terme est de parvenir à l’éradication de la peste des petits ruminants au Cameroun à l’horizon 2030. Cette peste décime souvent 80% des effectifs des petits ruminants dans le pays. Raison pour laquelle le Cameroun a adhéré à cette campagne de vaccination qui est mondiale. Ceci grâce à l’appui de l’Organisation des Nations unies pour l’agriculture et l’alimentation (FAO) et l’Organisation mondiale du Commerce (OMC).
Marcel Ndi