Certains quartiers de la capitale économique sont complètement inondés après la forte pluie qui s’est abattue aux premières heures de ce 21 août 2020.
Les images de certains quartiers mal lotis tels que Makèpe Missokè, Bepanda, Mabanda, des quartiers résidentiels à l’instar de Bonapriso, Denver, Makèpe Orly sans oublier Akwa font le tour de la toile depuis ce matin. On y voit des localités totalement trempées dans l’eau. On aperçoit des personnes marchant dans une eau qui traîne au passage toute sorte de détritus, de déchets. Sur le réseau social Twitter, une vidéo amatrice présente même des habitants d’un quartier de la capitale économique qui ont recours à une pirogue. La scène provoque chez certains internautes un fou rire, qui se demandent si Douala est finalement devenue Venise la ville italienne.
L’une de nos sources qui vit au village Massombo rapporte que de ce côté-là, des arbres sont tombés sur des véhicules garés. Une autre de nos sources raconte qu’il est impossible de voir le goudron sur l’avenue du Lycée Akwa et sur les ruelles avoisinantes. A Bonabèri dans le 4ème arrondissement de Douala, par endroits de cette zone, le volume des eaux a atteint plus de 50 centimètres de hauteur. Du côté de Nyalla dans le 3ème arrondissement, les rigoles sont débordées. Le spectacle fait craindre une montée de l’épidémie de choléra. Car les déchets ménagers sont drainés par des eaux qui bouchent les voies de canalisation.
Circulation
Les faits ci-haut rapportés, sont la conséquence de la pluie diluvienne qui s’est abattue dès les premières heures de cette journée du 21 août 2020. Elle a laissé derrière elle, d’énormes bouchons par endroits de la ville de Douala. La circulation étant perturbée. C’est le cas des axes Sandaga-Ancienne direction des douanes, Bonakouamouang-Salle des fêtes d’Akwa, Nouvelle route Bonabassem – Makèpe.
L’alerte inondation
Les dégâts de la pluie de ce matin, n’étonnent pas ceux des habitants de la ville qui ont été informés de l’alerte inondation lancée par le Ministère de la Décentralisation et du Développement Local. Georges Elanga Obam a fait parvenir aux Maires du Cameroun, un message fax, dans lequel, il recommandait à ceux-ci de prendre toutes les mesures jugées utiles pour éviter les inondations. Dans ledit message, il indiquait que l’Observatoire national des changements climatiques met en garde contre des inondations qui peuvent survenir dans les grandes villes du pays. Le Ministre Obam avait alors prescrit le drainage en milieux urbain et périurbain et l’organisation des campagnes de lutte contre l’insalubrité dans les Communes et les Communautés urbaines, sans oublier le curage régulier des drains.
Liliane N.
Le successeur d’Alfred Nguini à la tête de l’Ambassade du Cameroun en France S.E André Magnus Ekoumou affirme qu’il n’y a que les camerounais.
S.E André Magnus Ekoumou a officiellement pris ses fonctions d’Ambassadeur du Cameroun en France le mercredi 19 août 2020. Au cours de sa prise de parole le Diplomate a laissé clairement entendre quel sera son champ de bataille durant son mandat à la tête de l’Ambassade du Cameroun en France, l’une des plus importantes des représentations diplomatiques de notre pays à l’extérieur. Il a précisé qu’en dehors du fait qu’il n’y a que les camerounais, toute autre classification, appartenance tribale, ethnique n’existe.
«S’agissant de notre diaspora, en m’envoyant à Paris, le Chef de l’Etat m’a fortement instruit de rassembler tous les Camerounais. De faire de notre ambassade la maison commune des Camerounais. Il n’y a ni BAS, ni Patriotes, ni Nordistes, ni Beti, ni Bamileké, ni Douala, ni Anglophone. Il y a seulement des Camerounais. Comme vous le savez, la communauté camerounaise de France représente l’une des tranches les plus importantes de la diaspora à l’étranger. Aussi, dans le cadre de la normalisation des relations avec elle, que tout soit mis en œuvre pour intégrer ces frères et sœurs aux efforts de construction et de développement de notre cher et beau pays», a-t-il déclaré.
En plus de ce travail de rassemblement qu’il devra faire auprès des camerouanis vivant en France, S.E André Magnus Ekoumou a démontré qu’il était parfaitement au courant des défis de l’Ambassade que lui a confié Paul Biya le Président de la République.
«Je n’ignore guère l’ambiance qui prévaut au sein des diverses structures de la chancellerie et des postes consulaires d’une part; et des rapports de collaboration quelques fois difficiles qui ont mis à mal, à certains égards l’osmose professionnelle à laquelle je vous invite d’autre part. J’en appelle ainsi au sens de responsabilité de chacun, en vue d’atteindre ensemble les objectifs qui ont présidé à notre affectation à nos différents postes ici en France», a prescrit l’ambassadeur à ses collaborateurs.
Liliane N.
Pour le Mouvement réformateur, la mesure relative à la restriction de vente, d’achat et de possession d’armes blanches au Nord-Ouest et au Sud-Ouest tend à criminaliser l’ensemble des populations des deux régions anglophones.
Le Mouvement réformateur (MR) dont Samuel Billong est le président, n’approuve pas les mesures conservatoires prises par Paul Atanga Nji le Ministre de l’Administration territoriale (Minat), à la suite de cas multipliés d’assassinats horribles de civils aux armes blanches, au Nord-Ouest et au Sud-Ouest (Noso). Réuni en session extraordinaire le jeudi 20 août 2020 dans la capitale Yaoundé, le bureau politique du MR s’est appesanti sur cette décision du Minat.
En dénonçant aussi les horribles meurtres qui ont été commis sur les civils au Noso, le Mp s’est dit toutefois offusqué par ces mesures conservatoires de Paul Atanga Nji. La raison avancée est qu’elles tendent à criminaliser l’ensemble des populations de ces régions anglophones. Pour le MR, elles démontrent également que le gouvernement manque de sérénité face à tout ce qui se passe en zone anglophone. Et elles sont au finish «absurdes».
Chef de l’Etat
Le MR reconnaît que les violences qui ont cours au Noso demeurent une préoccupation majeure. Il note que le gouvernement qui a tenté de résoudre la crise qui met en mal les régions anglophones n’a connu que des échecs. Aussi, il appelle Paul Biya le Président de la République à «peser de tout son poids pour l’arrêt des violences dans les régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest», si tant est qu’il se considère toujours comme le mendiant de la paix.
Séparatistes
Le MR qui revendique un attachement à l’unité nationale, et au renforcement de l’intégration de la sous-région Afrique Centrale demande aux «populations de l’ancien Southern Cameroon en l’occurrence de se prononcer librement et sereinement sur leur avenir dans un cadre démocratique». Il les exhorte à privilégier la voie pacifique pour la résolution de la crise.
Liliane N.
La famille de Confort Tumassang a reçu des menaces de personnes inconnues qui refusaient que la défunte repose dans la concession familiale.
La famille de Confort Tumassang précisément sa mère ne s’est pas laissée intimidée par des personnes agissant sous anonymat, qui ne voulaient pas que la maman qui a laissé 4 enfants orphelins, soit enterrée dans la concession familiale. La mère de la défunte qui a reçu la visite de Confiance Ebune le chef de cabinet de Joseph Dion Ngute le Premier ministre qui l’y a envoyé, affirme avoir pris le soin de mettre ses petits-enfants en lieu sûr. Il faut préciser que Confort Tumassang a été mis sous terre le samedi dernier. Son inhumation s’est faite en collaboration des Forces de défense.
«Un homme masqué qui s'adressait à moi en me tournant le dos, est venu jusqu'ici m'intimider, me demandant de ne pas l'enterrer ici. J'ai refusé de céder à ce chantage en disant qu'ils n'ont qu'à venir me tuer aussi, c'est ici quo je vais mourir J'ai enterré ma fille parce que ici c'est chez moi, je n’ai plus un autre village et où aller, Aujourd'hui, je suis seul. Pour la sécurité de mes petits-enfants, on a dû les emmener ailleurs », déclarait-elle face à l'émissaire du Premier Ministre en début de semaine.
Il faut rappeler que Confort Tumassang était âgée de 32 ans. Elle a été tuée à coups de machette à Muyuka, dans le département du Fako, région du Sud-Ouest. C’était le 11 août 2020. Les séparatistes qui l’ont tuée, l’accusaient de collaborer avec les Forces de l’ordre. Pour manifester leur ras-le-bol, les femmes sont descendues dans les rues de Buea dans la journée de mardi, pour dénoncer cet acharnement contre la gente féminine. Des violations, et brutalité humiliante qui continuent d'être perpétrée sur les femmes. Elles appellent une fois de plus à la fin des actes barbares contre les femmes.
Liliane N.
Les Lions indomptables de l’épopée du Mondial de 90 résidant dans la région du Littoral ont choisi chacun un appartement construit dans les logements sociaux de Mbanga Bakoko.
Au départ, ils n’étaient pas contents de recevoir des appartements construits dans les logements sociaux de Mbanga Bakoko. La raison est qu’ils s’attendaient à des maisons aux espaces un peu plus grands. «Je rêvais d’une maison plus spacieuse. Non seulement que ce n’est pas le cas mais, nous nous retrouvons dans une sorte de copropriété», a confié sous anonymat l’un des héros du Mondial 90 à Cameroon info net. Toutefois les bénéficiaires du de ce don du Président de la République ont laissé tomber leur mécontentement, après des moments d’échanges et de pourparlers avec les responsables de la Société immobilière du Cameroun (Sic).
Dans ces bâtiments qui abritent les logements sociaux de Mbanga Bakoko, les anciens Lions indomptables Makanaky Cyrille, Roger Milla, Benjamin Massing (Ayant-droit), Joseph Antoine Bell, Bonaventure Djonkep, Eugene Ekeke et Roger Feutmba se retrouvent dans le même immeuble (H). «Lesdits bénéficiaires ont porté leur choix sur l’immeuble H abritant les 7 appartements de type T4B choisi par chacun», peut-on lire dans le procès-verbal dressé à ce sujet. Il convient de préciser que Roger Feutmba, Cyrille Makanaky et Roger Milla étaient représentés. Il est prévu que la cérémonie solennelle de remise officielle des logements don du Président de la République, se déroule le 26 août 2020.
Liliane N.
Rigobert Song Bahanag l’ancien capitaine des Lions indomptables affirme que la génération actuelle des joueurs de l’équipe nationale de football fera de son mieux, pour être présent au rendez-vous de la Coupe du monde, qui va se dérouler au Qatar en 2022.
Dans une interview accordée à fifa.com le site internet de la Fédération internationale de Football association (Fifa), Rigobert Song Bahanag a parlé des chances de l’actuelle génération des Lions indomptables de se retrouver à la Coupe du Monde 2022 du Qatar. On sait que les coéquipiers d’Eric Choupo Moting vont devoir se défaire Pour composter leur billet pour cette prestigieuse compétition, les Lions Indomptables du Cameroun de la redoutable équipe de Côte-d’Ivoire. Elles auront à rencontrer aussi des adversaires comme le Mozambique et le Malawi. Même si l‘ancien capitaine des Lions Indomptables reconnaît que le jeu sera difficile, il rassure aussi sur la capacité des coéquipiers de Choupo à surmonter la difficulté.
«Je n’ai aucun doute sur le fait que les Lions feront le nécessaire. L’accès à ce troisième tour sera difficile car le niveau est relevé, mais c’est le prix à payer pour y arriver. Il va falloir mouiller le maillot et se battre. Les Lions Indomptables ont une bonne équipe et j’ai la conviction qu’ils seront au Qatar en 2022», a déclaré l’ancien coéquipier de Samuel Eto’o.
Rigobert Song pense que l’équipe des Lions indomptables peut encore progresser. La raison étant qu’elle est composée de footballeurs évoluant dans des clubs soit dans des coupes européennes.
«C’est un groupe en phase de reconstruction. Ils ont des joueurs qui ont du temps de jeu en club et certains jouent les coupes européennes. C’est une bonne chose. Ça permettra au sélectionneur d’avoir un groupe compétitif. En plus, il y a une bonne pépinière dans les sélections U-23 et A’ où l’entraîneur peut à tout moment piocher pour renforcer son groupe. Ce groupe progresse et si ces joueurs jouent ensemble très souvent, des automatismes vont se créer et ils seront plus forts», a déclaré l’entraîneur de la sélection des moins de 23 ans.
Liliane N.
Paul Atanga Nji le Ministre de l’Administration territoriale demande aux chefs traditionnels des régions anglophones de collaborer avec les autorités, pour mettre fin aux assassinats des civils.
Du fait de la recrudescence des assassinats dans le Nord-Ouest et le Sud-Ouest (Noso), Paul Atanga Nji le Ministre de l’Administration territoriale (Minat) a convié les chefs traditionnels de ces deux régions à une table de concertation. Au cours de cette concertation qui s’est tenue à la salle de conférence de la mairie de la ville de Yaoundé et à laquelle ont également pris part les parlementaires du Noso, le Minat a demandé à ses hôtes deux principales choses. La première c’est d’œuvrer de concert avec les autorités pour la fin des meurtres commis sur les civils par les groupes séparatistes. La deuxième est d’apporter leur soutien au plan de reconstruction de leurs deux régions.
La concertation avait également pour but de faire connaître aux chefs traditionnels et parlementaires du Noso, la détermination du gouvernement à les accompagner à rejoindre leurs territoires. Il faut souligner que du fait des violences dues à la crise anglophone de nombreuses populations du Noso parmi lesquels leurs autorités traditionnelles, se retrouvent dans les grandes métropoles du pays à l’instar de la capitale Yaoundé.
«Les chefs traditionnels sont des auxiliaires de l'administration. Donc normalement, ils occupent un territoire et doivent y exercer leur autorité. Donc les Fon du Nord-Ouest et du Sud-Ouest qui sont à Yaoundé, ont été victimes, pour la plupart, des atrocités des terroristes. Mais nous avons fait une évaluation sécuritaire, et il est évident que les choses sont en train de se redresser. Le calme revient progressivement dans plusieurs arrondissements et départements des deux régions», a rassuré Paul Atanga Nji.
Liliane N.
Serge Espoir Matomba le premier Secrétaire du Parti uni pour la Rénovation sociale rappelle aux autorités, l’urgence de combattre l’insécurité, en mettant à la disposition des Forces de l’ordre, les moyens nécessaires.
Serge Espoir Matomba candidat à l’élection présidentielle de 2018 a réagi à la fausse alerte d’une bombe survenue le lundi 17 août au Ministère de la Fonction publique et de la Réforme administrative (Minfopra). Même si par le biais de la Crtv, il a été dit qu’il ne s’agissait pas d’une bombe artisanale mais plutôt d’un bipeur à l’insuline émettant des bruits comme un minuteur, pour le premier Secrétaire du Peuple uni pour la rénovation sociale (Purs), qu’on ait été en présence d’un engin explosif artisanal ou pas, les dégâts sont sans appel. Il est donc impératif que la vigilance soit de mise.
En remerciant le ciel de ce que les populations n’aient pas été mises en mal, Serge Espoir Matomba rappelle avoir déjà attiré l’attention des autorités, sur l’urgence de la mise en place des contrôles sécuritaires.
« Il y a quelques mois, j’attirais pourtant l’attention de ceux qui nous gouvernent sur l’urgence de redoubler de vigilance dans les contrôles sécuritaires après que trois (03) bombes artisanales ont explosé en plein Yaoundé. Cela n’est visiblement pas le cas. Le Gouvernement doit lutter contre l’insécurité. On n’attend pas de lui des discours, mais des actes. Il faut donner des moyens à nos forces de l’ordre, mais aussi les soutenir. La peur doit changer de camp et passer des honnêtes gens aux voyous », a-t-il écrit.
Dans ce combat qui doit être mené contre l‘insécurité, Serge Espoir Matomba pense que les populations doivent collaborer avec les Forces de maintien de l’Ordre. Cependant de son point de vue, il y a un besoin de revoir l’image des Forces de l’ordre pour qu’elles ré inspirent confiances aux populations qu’elles sont censées protéger.
« Nos forces de maintien de l’ordre doivent être suffisamment mobilisées et recyclées pour prendre conscience des enjeux et des défis du présent. Leur image doit être retravaillée afin qu’elles inspirent confiance et restent crédibles auprès de l’opinion et des populations… Le terrorisme n’est pas l’affaire des autres. Il nous guette à chaque occasion. La négligence d’aujourd’hui peut engendrer la psychose de demain. Nous devons refuser d’en arriver à ce point », a écrit le candidat à l’élection présidentielle de 2018.
Liliane N.
Dans une récente tribune qu’il a rendue publique, Jean De Dieu Momo le Ministre délégué auprès du Ministre de la Justice affirme que l’armée camerounaise est redoutée à l’extérieur, parce qu’elle jouit d’une excellence formation physique et intellectuelle.
Sa nouvelle tribune, Jean De Dieu Momo le Ministre délégué auprès du Ministre de la Justice, la consacre à la défense de l’armée et précisément du Bataillon d’intervention rapide (Bir). Car on note qu’à chacune des exactions commises en régions anglophones par les séparatistes, les machinations sont faites pour que l’armée porte le chapeau. Le Mindel dans sa tribune précise que l’armée camerounaise en général et le Bir en particulier sont réputés être les meilleurs en Afrique subsaharienne. Du constat du Ministre Jean De Dieu Momo, ce qui fait la force de cette armée, c’est son excellente formation physique et intellectuelle, qui la rend redoutable à l’extérieur. L’ancien opposant au régime fait savoir que la création du Bir a d’ailleurs valu à Paul Biya le Président de la République des inimitiés de la part de certains amis internationaux.
Ci-dessous la tribune intégrale du Ministre Jean De Dieu Momo
CE QUE LES GENS NE SAVENT PAS:
J’entends les gens éructer que le BIR est une milice tribale au service du président Paul Biya. Rien n’est plus faux. Le BIR (Bataillon d’Intervention Rapide) est l’un des Bataillons parmi d’autres de l’armée camerounaise (les redoutables BTAP, BBR, RASS, le GPIGN, le BAFUMAR, les Forces Spéciales etc.). L’armée camerounaise dans son ensemble est la seule qui soit digne de ce nom dans toute l’Afrique subsaharienne et qui est redoutée par les prédateurs internationaux à cause de l’excellence de sa formation physique et intellectuelle.
Dans certains pays d’Afrique on a les vigiles en guise d’armée. Voilà la vérité et c’est pourquoi ce qui arrive ailleurs ne peut pas arriver au Cameroun pour la simple raison que notre armée est professionnelle et consciente des enjeux géopolitiques internationaux.
Le BIR est un Bataillon formé comme les autres corps d’intellectuels et comme chacun sait un soldat qui n’est pas intellectuellement bien formé est un assassin en puissance. Ce qui n’est pas le cas pour notre armée formée de patriotes qui ont fait l’école et dont le commandement est assuré par des intellectuels de haut vol.
Ailleurs on a des colonels qui n’ont pas le CEPE et qui ne savent faire autre chose que de tirer sur tout ce qui bouge. Le président Paul Biya a été très inspiré de créer le BIR et les autres forces de défense pour la protection de notre pays.
D’ailleurs la création du BIR est récente et aurait valu au président Biya quelques inimitiés de la part de certains amis internationaux, mais en bon patriote il protège son pays comme chacun d’entre nous construit la barrière autour de sa maison pour se protéger et protéger sa famille des bandits. UN GRAND BRAVO À TOUTES NOS BRAVES FORCES DE DÉFENSE CONFONDUES.
Liliane N.
Le Tribunal militaire n’a pas reconnu le Capitaine Bouba Simala coupable de menaces simples et outrage au président de l’Assemblée Nationale.
Le Tribunal militaire a rendu son verdict dans l’affaire qui opposait Cavaye Yéguié Djibril le président de l’Assemblée nationale (Pan) à son ancien aide de camp par ailleurs neveu, le Capitaine Bouba Simala. Le mardi 18 août 2020, le Tribunal l’a déclaré non coupable de menaces simples et outrage au Pan. La présidente du Tribunal militaire a déclaré que le mis en cause est aussi relaxé pour faits non constitués. Toutefois, l’ancien aide de camp de Cavayé Yéguié Djibril a été par contre reconnu coupable de violation de consigne.
Pour comprendre le verdict du Tribunal militaire, le quotidien Le Messager paru en kiosque ce 19 août 2020, s’est rapproché de certains juristes. «le Tribunal condamne Bouba Simala à six mois de prison ferme, aux dépens liquides à la somme de 359 000 FCFA, et alloue à Cavaye Yeguié Djibril, un franc symbolique. La nuance ici, apprend-on des juristes, c’est que Bouba Simala ressort libre du Tribunal puisqu'il avait passé 18 mois en détention provisoire. Il ne paye non plus aucun centime en termes de dépens, le temps mis en préventive compensant ce montant», rapporte le journal.
A titre de rappel, le Pan avait accusé le Capitaine Bouba Simala son neveu d’avoir planifié son kidnapping. Et selon le Pan, le Kidnapping devait se faire le 13 juin 2015, au moment où il devait aller faire le sport au Parcours vita de Yaoundé. Le mis en cause ravie de voir que le Tribunal militaire l’a reconnu non coupable des infractions qui lui étaient reprochées, a félicité son avocat Me Emmanuel Simh à la fin de l’audience.
Liliane N.