Il s’agit d’une campagne spéciale initiée par la Direction générale de Finexs voyage, après le décès du gendarme Armel Liem Pime, dans son agence de Douala.
Du 3 août 2020 au 3 septembre 2020, les membres de l’armée, les policiers et les militaires qui iront à la compagnie de transport interurbain Finexs, paieront des tarifs qui ont été revus à la baisse. Après avoir présenté leur Carte nationale d’identité et leur carte professionnelle, ils seront admis à ne payer que 1500 au lieu de 3000 FCFA pour un voyage en classe économique. Et pour voyager en classe Vip, ils vont payer 3000 au lieu de 6000 FCFA.
Visiblement, Finexs voyage veut apaiser et calmer les esprits, après l’agression du gendarme Armel Liem Pime qui s’est soldée par la mort de celui-ci. Le 30 juillet dernier, l’administration de la compagnie a organisé un service œcuménique au cours duquel Mr Felix Etoundi a condamné l’agression qui a fini par ôter la vie au soldat, qui revenait d’une mission à Buéa dans la région du Sud-Ouest, et mis son collègue qui a été conduit dans un hôpital de la place, dans un état critique. M Felix Etoundi avait aussi demandé à tous d’apporter leur soutien à sa compagnie dans ces moments difficiles et délicats.
A titre de rappel, le gendarme Armel Liem Pime a été battu à mort par un groupe de badauds parce qu’il n’a pas pu payer la somme de 100 FCFA, après avoir utilisé les toilettes publiques de l’agence de Douala de Finexs voyage. Selon des sources, le défunt a juste manqué de petite monnaie.
Liliane N.
Parmi les 109 ex-membres de la secte terroriste Boko Haram, il y a 41 combattants armés dont trois de nationalité camerounaise.
C’est une information qui a été rendue publique par la chaîne à capitaux publics, la Crtv. 109 combattants de la secte Boko Haram ont décidé de déposer les armes à Mora, dans la région de l’Extrême-Nord. Ils ont rejoint le centre régional de désarmement, de démobilisation et de réintégration (CNDDR) de Meri pour leur réinsertion. Les autorités précisent que ces désormais ex-combattants de la nation sont revenus à de bons sentiments au cours d’une récente opération de ratissage de la Force Mixte Multinationale à la frontière nigériane.
Les 109 ex-combattants ont donc ainsi rejoint les 155 autres qui sont déjà dans le Centre de Mora. Ceux-ci sont formés aux petites activités génératrices de revenus. En sa qualité de Coordonnateur régional du Cnddr, Oumar Bichaïr, indique que ces démobilisés sont pour la plupart des agriculteurs et éleveurs. Il rajoute que plusieurs autres métiers tels que la menuiserie, la maçonnerie et le petit commerce ont été identifiés et les 109 nouveaux pensionnaires du centre seront formés dans les prochains jours auxdits métiers.
A titre de rappel, en fin d’année 2019, Francis Faï Yengo le Coordonnateur du Comité national du du Ddr a indiqué que l’ensemble des centres de désarmement, de démobilisation et de réintégration abritaient 252 ex-combattants de la Nation. Rendu à ce jour, les autorités camerounaises, rapportent qu’avec ces nouvelles redditions, le nombre est porté à 264.
« La première chose qu’on donne à ces enfants dans les centres Ddr (Désarmement, de démobilisation et de réintégration Ndlr) c’est la sécurité. Parce qu’il faut dire que ces enfants ne viennent pas massivement parce qu’ils ont peur, aussi bien de leurs amis restés en brousse que des forces de sécurité avec qui ils ont eu des accrochages pendant plusieurs mois, et même de leurs familles parce qu’ils y ont créé beaucoup de problèmes. Mais il s’agit ici de l’Etat, les Forces de défense leur assurent la sécurité dans les centres. La deuxième chose qu’on leur offre c’est les petites activités génératrices de revenus. Dans les centres Ddr, ils pratiquent l’agriculture, l’élevage et bien d’autres petits métiers. Parce que, quand les conditions sécuritaires seront à nouveau réunies, ils n’auront pas à recommencer à zéro », expliquait Francis Faï Yengo.
Liliane N.
Rufine Adèle Ngono alias Lady Ponce a servi une citation directe à sa collègue artiste Corine Céline Ntyame connue sous le nom de Coco Argentée.
Entre Rufine Adèle Ngono alias Lady Ponce et Corine Céline Ntyame alias Coco Argentée, le malaise semble profond. Après s’être livrées en spectacle sur la toile, le clash entre ces deux stars camerounaises du Bikutsi se déporte dans les Tribunaux. La première, auteur du titre à succès «secoue secoue» a porté plainte contre la go galaxie. C’est une citation directe qui a été servie à cette dernière.
A l’origine du conflit existant entre Lady Ponce et Coco Argentée, un texte que la go galaxie a écrit sur sa page Facebook. Ce texte s’adresse à la plaignante qui la traîne aujourd’hui devant les Tribunaux. Le texte publié dans la nuit du 26 au 27 juillet 2020 disait ceci: «il est temps que vous arrêtez vos conneries, bande de sorciers star, star dans zéro…Poncefack (appellation née de l’association du nom de Lay Ponce et de son mari, Ndlr), prononce mon nom je vais te traiter et te prouver que tu étais entourée d’asticots tout ce temps. Quand c’est trop c’est laid. Lionne indomptable t’es un exemple ? Votre birth (anniversaire de mariage, Ndlr) c’est le pardon que tu dois demander à dieu pour le mal que tu nous as fait ...tu as utilisé ton ex et là-bas contre moi, toujours pour ta gloire. Essaie de me répondre», ajoute la go galaxie avant d’étaler ses avoir. Mon respect envers toi c’était avant. Avec mes fausses chansons, j’ai 2 immeubles, 1 duplexe, 1 villa 10 étangs et plantations, des terrains…toi tu as quoi en tant qu’exemple ?».
Coco Argentée est donc attendue au Tribunal de Première instance de Yaoundé dès 7h 30 précises. La citation directe que lui a servie Lady Ponce par le biais de son conseil, continue de faire le tour de la toile.
Liliane N.
Maurice Kamto affirme qu’il est urgent de renforcer la sécurité des personnes et des biens dans les zones en crise. Le Pr Jacques Fame Ndongo lui fait savoir que le régime légitime de Paul Biya en modernisant les paradigmes entre autres diplomatiques, sociaux et culturels a toujours gardé la détermination de préserver l’unité du Cameroun, la sécurité des personnes et des biens.
La guéguerre épistolaire observée depuis un temps entre Maurice Kamto le président du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (Mrc) et le Pr Jacques Fame Ndongo le Ministre d’Etat, Ministre de l’enseignement supérieur (Minesup) se poursuit. Le leader du Mrc farouche opposant au régime en place, a fait une publication en rapport avec l’attaque de Boko Haram à Ngwetchewe, localité de la région de l’Extrême-Nord. En condamnant cette attaque de la secte terroriste qui a coûté la vie à 19 personnes parmi lesquelles 2 kamikazes, l’ancien candidat à l’élection présidentielle de 2018 a noté que le Cameroun se meurt du fait de l’incompétence du régime en place.
«Le peuple Camerounais assiste, impuissant, à la mise à mal de la paix et de la sûreté sous le régime illégitime et incompétent en place. Nous lui disons qu’il est possible de restaurer la paix et la stabilité dont notre pays pouvait s’enorgueillir naguère. L'avènement de l’Etat de droit et d’une gouvernance dévouée à la protection et à l'épanouissement de tous les citoyens Camerounais sans discrimination aucune nous y mèneront. Restons confiants, mais toujours alertés !», a écrit Maurice Kamto sur sa page Facebook, qui suggère au régime Biya, de procéder urgemment au renforcement de la sécurité des personnes et des biens dans les zones exposées.
Réaction du Pr Jacques Fame Ndongo
Cette autre publication de Maurice Kamto n’est pas passée inaperçue aux yeux du Ministre d’Etat, Minesup. Il a noté quatre contradictions dans la déclaration du leader du Mrc. L’une de ces quatre contradictions est que Maurice Kamto «transgresse le principe aristotélicien du tiers-exclu (A ne peut pas être égal à non A). Un régime légal et légitime ne peut pas être illégitime» : le Chef de l’Etat a été élu puis réélu dans la transparence, au suffrage universel direct par le peuple camerounais, maître de son destin».
Découvrez ci-dessous la réplique du Pr Fame Ndongo
Liliane N.
L’ancien Ministre de la Défense et son épouse Bernadette Mebe Ngo’o écroués à Kondengui ont décidé de saisir la Cour d’appel du Centre, après que le président du Tribunal de Grande Instance du Mfoundi, le juge des libertés ait rejeté leur demande de remise en liberté.
Edgar Alain Mebe Ngo’o l’ancien Ministre de la Défense (Mindef) et son épouse Bernadette Mebe Ngo’o ont décidé d’intenter une autre action pour être remis en liberté. Le journal Kalara paru en kiosque le 4 août 2020, rapporte qu’il y a de cela une dizaine de jours où les requêtes séparément introduites auprès du président du Tribunal de Grande Instance du Mfoundi, le juge des libertés (Habeas Corpus) ont reçu une réponse négative. Sans donner les raisons du refus de remettre en liberté l’ancien Mindef et sa femme, le juge a décidé du rejet pur et simple de leurs requêtes.
Il faut rappeler que Edgar Alain Mebe Ngo’o et son épouse sont poursuivis pour des faits présumés de détournement de biens publics, corruption active, blanchiment aggravé de capitaux, délits d’initiés, intérêt dans un acte et violation de la réglementation des marchés publics. L’ancien Mindef a été placé en détention provisoire à la prison de Kondengui le 8 mars 2019. Son épouse y a été conduite le 11 mars, soit trois jours plus tard, pour des accusations de complicité de détournement de biens publics, blanchiment de capitaux et de complicité de corruption active.
Le couple est poursuivi avec des anciens collaborateurs de l’ex-Mindef à savoir le lieutenant-colonel Joël Mboutou et l’inspecteur du trésor Maxime Mbanguè, dans le cadre d’opérations d’acquisition de matériels militaires. Des opérations, selon l’accusation, entourées de surfacturations et de corruption dont le préjudice est évalué à plusieurs milliards de FCFA.
Liliane N.
C’est l’une des résolutions de la réunion de concertation qui s’est tenue le 4 août 2020 entre le Dr Malachie Manaouda Ministre de la Santé et le Collectif des médecins indignés.
Même s’il n’a pas pu obtenir du Dr Malachie Manaouda le Ministre de la Santé, le maintien de la prime de «technicité agent technique», le Collectif des médecins indignés s’en est sorti avec une prime «Covid-19». C’est ce que révèle le Dr Daniel Gams Massi le porte-parole de ce Collectif qui indique que la réunion de concertation qui a eu lieu hier, avec le Ministre Manaouda, a été fructueuse et apaisée. «Le Ministre a apaisé le Collectif avec la prime de risque Covid», a-t-il déclaré. Selon celui-ci, il y aura aussi une motivation basée sur le Fonds de solidarité de la Covid-19.
Pas de prime de «technicité agent technique»
Pour ce qui est de la suppression de la somme de 2400FCFA du salaire des médecins, qui représente en fait la prime de «technicité agent technique», le Ministre de la Santé a maintenu sa décision, la raison étant que cela participe de la politique actuelle du gouvernement d’assainissement du fichier solde de l’Etat. Les médecins fonctionnaires percevaient en effet cette prime injustement, n’étant pas assujettis à ladite prime. Ce qui a fait perdre à l’Etat plus de 2 milliards Fcfa pendant 18 ans.
«Dans ses explications, le Directeur des Ressources humaines au Ministère de la Santé Publique, Emile Ella Ngbwa a fait savoir aux médecins que seuls 4990 personnels fonctionnaires des corps de la Santé Publique en service au Ministère de la Santé publique percevaient encore la prime de technicité agent technique code 242, d’un montant 2400 Fcfa. Pourtant le décret du 04 février 2002 a supprimé la prime de technicité aujourd’hui revendiquée par les médecins dits «indignés» pour créer trois autres primes (technicité corps-santé, santé publique, astreinte), dont la somme totale des trois dépasse 43 000 FCFA pour les médecins A2, deuxième classe», rapporte l’hebdomadaire spécialisé Echos Santé, du mercredi 5 août au lundi 10 août 2020.
Revalorisation du salaire
L’occasion étant idoine, l’Ordre National des Médecins du Cameroun par la voix de son président le Dr Guy Sandjon a réitéré au Ministre de la Santé la requête de revalorisation des salaires des médecins. Cette demande figurait également parmi les revendications du Collectif des médecins indignés.
Liliane N.
Le Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés indique que 22 attaques ont eu lieu dans le seul district Nord de Mozogo, dans la région de l’Extrême-Nord.
Le Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (Hcr) vient de rendre public les données relatives aux attaques de la secte Boko Haram dans la région de l’Extrême-Nord. Il en est que pour la seule période allant du 1er janvier 2020 au 2 août 2020, Boko Haram a commis 87 attaques. Et le district de Mozogo enregistre 22.
La récente attaque de Boko Haram a été perpétrée dans la localité de Ngwetchewe. Il s’est agi d’un attentat kamikaze qui s’est produit aux premières heures de la journée du 2 août 2020. Le bilan de cet attentat fait état de 19 personnes décédées parmi lesquelles 2 kamikazes et une quinzaine de blessés. Le Hcr rapporte que l’attentat de Ngwetchewe a poussé certains réfugiés à déserter la localité pour aller trouver refuge ailleurs. «Quelque 1500 personnes, dont des habitants terrifiés du site d’accueil, ont fui vers la ville voisine de Mozogo en quête de sécurité», fait savoir le Hcr dans un communiqué publié le mardi 4 août 2020.
Protéger les coins d’eau et installations sanitaires
Inquiet de la situation générale des populations de l’Extrême-Nord victime des attaques de Boko Haram, le Hcr préconise qu’une attention particulière soit de mise pour entre autres les installations sanitaires. «Les communautés locales de cette région défavorisée sont souvent les premières à répondre aux besoins des personnes qui fuient l’insécurité et la violence croissantes dans la région qui couvre le lac Tchad et le nord-est du Nigéria. Elles sont parfois apparentées et partagent avec elles le peu de ressources dont elles disposent. Dans un contexte d’insécurité croissante, le Hcr prévoit qu’une protection communautaire renforcée, des abris, de l’eau et des installations sanitaires seront nécessaires alors que le pays lutte contre la pandémie de Covid-19», a écrit l’agence dans son communiqué.
Respect du caractère civil
Notant que l’attentat de Ngwetchewe a été commis par deux kamikazes à l’aide “d’un engin explosif, peut-être une grenade”, au moment où des déplacés internes“dormaient” dans des installations de fortune, le HCR rappelle qu’il est primordial de respecter le caractère civil et humanitaire des camps de réfugiés. De ce fait, il «appelle tous les acteurs à respecter le caractère civil et humanitaire des camps de déplacés internes, et à répondre rapidement aux besoins urgents des personnes qui ont fui la violence et subi de multiples déplacements».
Liliane N.
Le Conseil supérieur de la magistrature se réunira plutôt le 10 août prochain.
Le communiqué signé par Ferdinand Ngoh Ngoh le Ministre d’Etat, Secrétaire général à la Présidence de la République ne donne pas les raisons du report de la réunion du Conseil supérieur de la magistrature, prévue initialement pour le 6 août 2020. Le document informe juste que ladite réunion aura plutôt lieu le 10 août prochain.
Il convient de noter que cette réunion du Conseil supérieur de la magistrature reste très attendue. Elle est importante dans ce sens qu’elle devrait permettre un nouveau déploiement au sein de la magistrature avec des magistrats sanctionnés et d'autres promus. En parlant des magistrats sanctionnés par exemple, on se rappelle que le 27 juillet 2020, Paul Biya le Président de la République a décidé de révoquer le dénommé Chi Valentine Bumah du corps de la magistrature au motif, d’abandon de poste. Le Conseil supérieur de la magistrature aura donc à actualiser certainement ses données.
Ce sera aussi sans nul doute l’occasion pour les nouveaux promus de se familiariser avec l’institution. A titre de rappel, le 15 juin dernier, Paul Biya a nommé comme membre de ce Conseil, l’Honorable Ngo Issi Rolande Adèle Député du Parti camerounais pour la réconciliation nationale. Le magistrat Abel Minko Minko a été porté par le Chef de l’Etat à occuper le poste de Secrétaire permanent, en remplacement de Foumane Akame décédé en janvier 2019.
Liliane N.
Par le biais de ses avocats, Sa Majesté Jean Rameau Sokoudjou demande par ailleurs au Préfet des Hauts-Plateaux, un dédommagement symbolique.
La réaction de Sa Majesté Jean Rameau Sokoudjou, après la mise en garde que Yampen Ousmanou le Préfet de Hauts-Plateaux lui a servi, ne se fera plus attendre. Le Roi des Bamendjou par ailleurs doyen des chefs traditionnels de la région de l’Ouest a fait recours à deux avocats: Me Hyppolyte Meli et Me Serge Emmanuel Chendjou. Il a requis leur service pour contester la lettre de Yampen Ousmanou. Aussi pour réclamer une notification individuelle.
Selon les deux avocats suscités, Sa Majesté Jean Rameau Sokoudjou n’a découvert que la correspondance de l’autorité administrative sur les réseaux sociaux. Il exige donc le retrait administratif immédiat de la mise en garde du Préfet des Hauts-Plateaux et son «dédommagement symbolique» pour tous chefs de préjudices subis dans le ressort territorial de son commandement traditionnel, et à l’extérieur de celui-ci du fait de la publicité ayant entourée la mise en garde contestée», peut-on lire dans la lettre envoyée à l’autorité administrative.
Me Hyppolyte Meli et Me Serge Emmanuel Chendjou notent des vices et irrégularités dans l’action administrative du Préfet des Hauts-Plateaux. Ils citent notamment le vice d’incompétence, l’illicéité et l’illégalité grossière, et le détournement du pouvoir de l’administration préfectorale. «Votre mise en garde n’est pas encore soumise à la formalité de notification individuelle, et mérite de l’être, accompagnée du rapport qui vous informe de la tenue le 18 juillet 2020 de la réunion de concertation politique non déclarée qui le motive et justifie son intervention», ont-ils écrit.
A titre de rappel, en date du 24 juillet 2020, le Préfet des Hauts-Plateaux de l’Ouest a accusé Sa Majesté Jean Rameau Sokoudjou d’avoir tenue une réunion politique non déclarée dans sa chefferie. Ladite réunion a eu lieu le 18 juillet dernier. L’autorité administrative a de ce fait adressé une mise en garde au roi des Bamendjou, en l’accusant de rébellion.
Liliane N.
Une fiche de décharge de la région de l’Ouest présente les produits réceptionnés, dans le cadre de la lutte contre la pandémie du Coronavirus.
La polémique autour des 4000 sacs de riz donné par Orca dans le cadre du Fonds de solidarité nationale pour la lutte contre le Coronavirus, n’est pas close. Les discussions continuent de se faire autour de la gestion de ce don par le Ministère de la Santé. Jouant dans la carte de la transparence, le Dr Malachie Manaouda a indiqué que ledit don a longtemps été acheminé dans les régions. Ce que confirme la fiche de décharge de la région de l’Ouest, qui circule actuellement sur la toile.
L’on apprend que 40 sacs de riz ont été distribués aux personnes guéries du Covid-19 dans le cadre de la lutte contre cette maladie dans la région de l’Ouest. L’Hôpital régional de Bafoussam et centre de prise en charge de Kouekong ont respectivement reçu 100 sacs de riz. 20 sacs de riz ont mis à la disposition de la prison centrale, tandis que les nécessiteux de la sainte famille en ont reçu 16 sacs de riz. La délégation régionale des affaires sociales et la mosquée centrale de la ville de Bafoussam ont reçu chacune 25 sacs. Toutes ces clarifications ont été apportées à la presse par le gouverneur de la région de l’Ouest afin de montrer patte blanche.
Liliane N.