Le match amical entre la sélection des Lions indomptables A’ et celle du Soudan va se dérouler à Yaoundé.
Les Lions indomptables A’ préparent déjà le Championnat d’Afrique des Nations (Chan) qui va se dérouler au Cameroun. Le 10 octobre prochain, il est prévu que l’équipe des Lions dispute un match amical avec le Soudan à Yaoundé. Après cela, sous la conduite de l’entraîneur Yves Clément Arroga, les Lions prendront part à un tournoi amical qui se fera avec six nations. L’une de nos sources renseigne sur l’identité des 5 autres nations. Il s’agit du Niger, la Zambie, l’Uganda, la Guinée, le Burkina Faso et le Rwanda.
Il faut noter que le match amical interviendra après le premier stage post Covid-19 convoqué par l’entraîneur Yves Clément Arroga. Au cours d’une interview accordée il y a de cela quelques jours à Cameroon info net, il indiquait que la reprise va être difficile. Etant donné que les activités ont été arrêtées à cause de la pandémie du Coronavirus.
«Il sera question de reprendre tout le travail à zéro. Nous allons faire en sélection, ce que les clubs devraient faire avec leurs joueurs. Par exemple, le travail athlétique sera intense. Ce stage sera à 80% athlétique. Parce qu’il est question de retrouver l’état physique des joueurs restés sans activité ? Nous allons nous atteler à notre tâche afin que ces joueurs puissent retrouver leurs capacités. Dans notre projet-programme, il est question que le staff médical soit présent à l’arrivée des joueurs pour faire passer des tests afin de nous rassurer que ceux qui sont en sélection sont exempts de Covid-19. Le MINSEP est dessus pour mettre en place un staff médical qui va veiller à ce que cette pandémie ne puisse être un problème durant nos stages», a-t-il déclaré.
Il faut que rappeler le Chan se jouera en 2021.
Liliane N.
Maurice Kamto le président du Mouvement pour la renaissance du Cameroun a choisi Joseph Emmanuel Ateba comme le nouveau Secrétaire national chargé de la Communication, de son parti politique.
Maurice Kamto a procédé à des changements au sein du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (Mrc). Parmi ces changements, il y a celui qui touche le Secrétariat national chargé de la communication de son parti politique. Cet organe était dirigé par Sosthène Médard Lipot désigné Conseiller spécial lors des premières nominations effectuées le 18 août 2020. Pour certains observateurs ce changement au niveau du Secrétariat national chargé de la communication du Mrc vient mettre fin d’une façon définitive aux querelles qui ont souvent existé entre Sosthène Médard Lipot et Olivier Bibou Nissack le porte-parole de Maurice Kamto. Il est parfois arrivé qu’après des communications faites par celui-ci, l’ancien Secrétaire national Médard Lipot le reprenne en précisant qu’il est la seule personne habileté à communiquer au nom du Mrc.
Dans ces nouvelles nominations, Maurice Kamto a également choisi de renouveller sa confiance à Célestin Djamen, pourtant présenté comme un caillou dans la chaussure du Mrc, du fait de ses positions opposées depuis un certain temps à celles du leader. On se rappelle bien que Célestin Djamen fait partie des cadres du Mrc qui ont publiquement démontré qu’ils n’ont pas été d’accord avec le boycott des élections législatives et municipales du 9 février 2020. Et tout récemment, il s’est opposé au projet de lancement d’un nouveau plan de résistance nationale voulu par Maurice Kamto au cas où les élections régionales sont organisées.
Sur les antennes de Dynamo Fm, il a déclaré le 28 août dernier «je répète que le boycott est une véritable stupidité. Aujourd’hui on est au quartier et la suite c’est quoi ? », s’est-il demandé. Revenant sur le boycott du double scrutin il a déclaré «au contraire, on a permis au RDPC d’avoir plus de 150 sièges. La voie des urnes est la seule voie en république. Il faut que les gens le comprennent définitivement ». Tout compte fait Célestin Djamen reste le Secrétaire national chargé des Droits de l’Homme et de la Gouvernance. Cependant il aura à ses côtés, un Secrétaire national délégué, en la personne de Désiré Sikati.
Liliane N.
Le gouvernement et les membres du Comité de suivi des résolutions du Grand dialogue national se sont félicités de la consolidation de la voie du dialogue et de l’échange entre les fils et filles du Cameroun.
Hier 4 septembre 2020, Joseph Dion Ngute le Premier Ministre a présidé la réunion d’évaluation des résolutions adoptées lors du Grand dialogue national, qui s’est tenu du 30 septembre 2019 au 04 octobre 2019.
Il ressort de ladite réunion que le processus de décentralisation connaît une accélération. Etant donné que le 02 septembre 2020, Paul Biya le Président de la République a signé deux textes en rapport avec les élections régionales tant attendues.
L’équipe du chef du gouvernement a noté comme autres faits majeurs issus des assises du Grand dialogue national le vote et la promulgation de la loi portant Code général des Collectivités territoriales décentralisées avec la suppression du poste de délégué du gouvernement. Il y a aussi le statut spécial accordé aux deux régions anglophones à savoir : le Nord-Ouest et le Sud-Ouest. Sans oublier la création de la House chiefs, de la promotion des langues officielles.
Le chef du gouvernement et les autres membres du Comité de suivi des résolutions du Grand dialogue national ont également noté comme faits majeurs, la libération et l’abandon des poursuites judiciaires pour 333 personnes détenues dans le cadre de la crise anglophone. Il y a aussi eu la création du Comité national de désarmement, de démobilisation et de réintégration, avec aussi l’Ecole nationale d’administration locale à Buea. A cela s’ajoute le Plan de reconstruction des régions anglophones.
Pour ce qui est des actions à mener, le Comité évoque l’accompagnement des populations déplacées et des réfugiés dans leurs villages respectifs. Il y aussi comme l’une des plus importantes résolutions, la reprise effective des classes dans toutes les localités du pays à l’occasion de la rentrée scolaire et universitaire 2020-2021.
Liliane N.
Le Social democratic du front du Chairman Ni John Fru Ndi justifie son refus de prendre part aux toutes premières élections régionales, par la persistance de la crise dans les régions anglophones.
Alors que les choses se précisent de plus en plus pour les toutes premières élections régionales que le Cameroun va organiser, le Social democratic front (Sdf) fait se déclare cheval non partant. L’information a été véhiculée par Radio Equinoxe. Et le parti politique fondé par le Chairman Ni John Fru Ndi justifie ce refus par tout naturellement la crise anglophone qui continue de mettre en mal le Nord-Ouest et le Sud-ouest (Noso).
On peut peut-être comprendre la posture du Sdf. Parce qu’on sait que le parti de la balance n’a que fait multiplier les pires scores de ses participations aux élections, depuis la survenue de la crise socio-politique qui paralyse son bastion, son fief électoral : le Noso.
On se souvient que pour la toute première fois de son histoire, le Sdf n’est pas arrivé deuxième à une élection présidentielle. Le parti du Chairman Ni John Fru Ndi a fini troisième avec un score de 3,36% de suffrages. Le parti avait investi Joshua Osih comme candidat. Pour cette Présidentielle qui a eu lieu en 2018, il a été devancé par le Mouvement pour la renaissance du Cameroun de Maurice Kamto qui est sorti deuxième avec un score de 14,23%. Et il a également été devancé par le parti Univers qui avait investi Cabral Libii. Univers est sorti troisième avec un score de 6,28%.
Si le faible score de 3,36% inférieur aux 10% habituellement obtenu par le Sdf a été par certains militants du parti de la balance notamment ceux de la branche d’Allemagne attribué à Joshua Osih, d’autres ont évoqué la perte du bastion de l’électorat du Sdf. La deuxième justification semble donner aujourd’hui raison à ceux des militants du parti de la balance qui l’ont évoqué. Parce que le Sdf lors des dernières élections législatives et municipales s’en est sorti avec moins de 10 députés.
Liliane N.
Paul Atanga Nji le Ministre de l’Administration territoriale, Alamine Ousman Mey Ministre de l’Economie, Célestine Kectha Courtes Ministre de l’Habitat, Emmanuel Nganou Djoumessi Ministre des Travaux publics sont arrivés à Maroua ce 3 septembre 2020, pour s’enquérir au mieux des dégâts des pluies diluviennes qui se sont abattues de ce côté du Cameroun.
Le gouverneur de la région de l’Extrême-Nord avait annoncé la venue des membres du gouvernement dans sa zone de commandement. Ce jeudi 3 septembre 2020, ils sont bel et bien arrivés dans la ville de Maroua. Leur visite consiste à être mieux informée sur les dégâts causés par les fortes pluies qui se sont abattues à Maroua ces derniers jours.
Les Ministres de l’Administration territoriale, de l’économie, des Travaux publics, de l’Habitat, de l’Agriculture, de la Décentralisation et du Développement local sans oublier de l’Elevage et des Pêches qui vont rester à Maroua jusqu’au lundi 7 septembre 2020, vont visiter les divers sites sinistrés. Il s’agit par exemple de la visite des points critiques de la digue de Maga, mise à rude épreuve par les crues, du site des travaux de la route Maroua-Bogo, ou encore ceux de la route Maroua-Mora et Mora-Dabanga.
Durant leur séjour à Maroua les membres du gouvernement suscités vont à divers arrêts remettre des «dons du Chef de l’Etat» aux populations sinistrées. Il faut dire que depuis quelques semaines, Maroua comme d’autres villes du pays connaissent des pluies torrentielles, qui ont provoqué des inondations. Ces inondations sont même la cause de l‘effondrement du pont de Palar, sur la Nationale n°1 pour le Tchad.
Liliane N.
L’économiste Dieudonné Essomba reproche au politologue Mathias Eric Owona Nguini d’être comme les élites Ekang qui n’ont pas de conviction.
Dans un commentaire ce 3 septembre 2020 sur Facebook, Dieudonné Essomba expert en question économique dénonce l’attitude du Pr Mathias Eric Owona Nguini, qu’il assimile à cette élite Ekang qui chemine sans conviction.
«Owona Nguini est le visage exact de l’élite Ekang que nous dénonçons tous les jours! Si vous voyez l’un se plaindre, c’est bien parce qu’il a faim. Ils n’ont aucune conviction. Le jour où on lui donne un petit strapontin, il change carrément de veste et est prêt à tout sacrifier, y compris toute sa communauté. Malheureusement pour lui, leur « décentralisation » qu’il tente de brandir est justement le signe qu’ils ont échoué et qu’ils sont aux abois! Eux-mêmes savent qu’elle n’aboutira absolument à rien, puisqu’elle ne jouera aucun rôle, ni sur l‘intensification de la Sécession armée qu’ils tentent désespérément de contenir ni sur la dynamique communautariste qui va plutôt s’enflammer avec cette régionalisation elle-même», a écrit Dieudonné Essomba.
Même s’il n’est pas coutumier de voir Dieudonné Essomba fait des reproches à Mathias Eric Owona Nguini, il convient de souligner toutefois, que ce n’est pas la première fois où l’économiste se montre fâché contre l’élite Ekang. Le 6 août 2020, il avait écrit ce qui suit à son propos : «j’ai été combattu par les Ekang qui s’imaginent que le modèle institutionnel actuel les avantage, parce qu’ils y bénéficient de quelques petits strapontins. Mais ils ne savent pas que c’est un système qui les tue ! Notre élite est tellement idiote et tellement cupide qu’elle est capable de sacrifier tout l’avenir de la Communauté pour un petit poste ou quelques billets d’argent. Et si le peuple Ekang les suit dans cette folie, il sera esclave sur son propre sol ! ».
Liliane N.
Vincent Sosthène Fouda le président du Mouvement camerounais pour la social-démocratie affirme que le Cameroun ne mérite pas de connaître une violence générée par l’insurrection.
Vincent Sosthène Fouda s’est aussi exprimé sur l’un des sujets à polémique de l’heure au Cameroun. Ledit sujet est en rapport avec la déclaration du 24 août 2020 de Maurice Kamto, que certains ont considéré comme un appel à insurrection et d’autres pas. Pour le président du Mouvement camerounais pour la social-démocratie l’appel à insurrection n’a jamais été un programme politique. L’homme politique dans sa nouvelle tribune pense qu’entendre les armes résonner dans un pays et ses enfants s’ôter mutuellement la vie renvoie à un échec politique.
Retrouvez ci-dessous des morceaux choisis de la tribune du Dr Vincent Sosthène-Fouda
Le crépitement des armes à l’intérieur d’un pays, qui voit des citoyens d’un même pays s’entretuer est toujours un échec des politiques car la politique c’est justement l’art du dialogue et non l’expression de la force des armes. Ce conflit a assez duré, le langage qui l’accompagne est aussi barbare que la rivière de sang qui coule depuis des années et assèche la terre camerounaise.
Notre peuple ne mérite pas une telle violence. Le Cameroun depuis 40 ans regarde sa diversité comme un obstacle à son unité, les guignols politiques n’ont pas compris qu’aucun pays n’est homogène du nord au sud et de l’est à l’ouest. Il nous faut reconnaitre reconnaître cette réalité pour construire notre pays dans le respect de sa diversité qui n’est pas culturelle, elle est linguistique, géographique, anthropologique etc.
C’est une richesse incommensurable. Gouverner un pays ce n’est pas céder à tous les vents aussi je crois que le fédéralisme quelque soit l’habillage sémantique qu’on lui donne n’est pas un modèle de forme de l’Etat dans lequel devrait se fondre le Cameroun. Je crois à la décentralisation parce qu’elle renforce notre Etat communautaire, panse les blessures causées par la colonisation, renforce la capacité des communautés nationales à comprendre ce qu’est un pays c’est-à-dire le dépassement du clan de l’ethnie et de la tribu pour la mise en commun dans une unité qui va au-delà de nos petits intérêts.
La nécessité des peuples à s’autodéterminer n’est pas synonyme de destruction des Etats existants, les régions du nord-Ouest comme celle du Sud-Ouest et une partie du Nigéria rattachée arbitrairement à ce pays frère après la défaite allemande à la Première Guerre Mondiale sont le Cameroun. Je souhaite que le Président de la république crée la 11 ème région comme je l’ai proposé lors du Grand Dialogue Nationale et cette région devrait être la presqu’Ile de Bakassi. Gouverner c’est se projeter hors le régime RDPC et allié ne se projette pas assez.
L’Observatoire national sur les changements climatiques annonce des pluies intenses avec de nombreux cas d’inondations dans la région du Littoral, entre le 1er et le 10 septembre 2020.
Le scénario des inondations que certaines villes du Cameroun comme Douala ont connu entre le 20 et le 21 août 2020 pourrait se reproduire dans les prochains jours, pour ce qui est de la région du Littoral. La période du 1er allant jusqu’au 10 septembre prochain risque d’être difficile pour les populations de cette région. C’est la substance de l’alerte portée par l’Observatoire national sur les changements climatiques (Onacc).
«Une attention particulière devra être portée sur certaines localités, qui présentent une très forte probabilité d’enregistrer une augmentation des températures maximales moyennes, par rapport à leurs moyennes historiques enregistrées à la même période de 1979 à 2018 », peut-on lire dans le bulletin N°5 de l’Onacc.
L’Observatoire interpelle aussi certaines localités de la région du Centre, sur ce risque de fortes pluies et d’inondations. Ces localités sont: Nkoteng, Yoko, Monatélé, Akonolinga, Mbandjock, Mbalmayo, Nanga Eboko, Ngoro, Yaoundé, Obala et Bafia. Pour la région du Littoral, les zones plus concernées sont: Melong, Loum et Mouanko.
Comme recommandations, l’Observatoire national sur les changements climatiques demande aux acteurs du secteur de l’agriculture de poursuivre la préparation des champs, procéder au semis des cultures de la deuxième campagne et d’entretenir les cultures dans les différentes zones agro-écologiques selon le calendrier agricole 2020 qu’il a proposé pour la saison agricole en cours.
En ce qui concerne le domaine de l’élevage, l’Oncc recommande de poursuivre avec l’organisation des campagnes de vaccination du gros, du petit bétail et de la volaille pour prévenir les épizooties, dans les cinq zones agro-écologiques.
Liliane N.
Jean Louis Batoum le Secrétaire national à l’organisation et à la mobilisation au Parti Camerounais pour la Réconciliation nationale affirme qu’avec juste 5 Députés, sa formation politique se fait remarquer sur le terrain.
C’est sur les antennes d’Abk radio qui émet à partir de Douala que Jean Louis Batoum le Secrétaire national à l’organisation et à la mobilisation au Parti Camerounais pour la Réconciliation nationale (Pcrn) s’est exprimé ce matin de 2 septembre 2020. Le militant du parti du Député Cabral Libii fait remarquer que de par les actions de sa formation politique, le Pcrn est devenu le seul crédible pour ce qui est du changement à la tête de l’Etat. Et il affirme que les camerounais sont parfaitement au courant de cela.
« Aujourd’hui Il y’a une ruée des militants d’autres partis et notamment de ceux du parti au pouvoir qui rejoignent aujourd’hui notre parti. Plusieurs Camerounais ont compris que le PCRN est la seule alternative crédible. Nous avons cinq députés, mais nos actions sont visibles sur le terrain », a-t-il déclaré.
Jean Louis Batoum s’est également exprimé sur la non-participation du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (Mrc) aux élections municipales et législatives, qui se sont déroulées le 9 février 2020. Le Secrétaire national à l’organisation et à la mobilisation au Pcrn pense que si le Mrc avait pris part à ces élections, l’opposition serait de moitié représentée à la chambre basse du parlement.
« Si les gens du MRC le voulaient, nous serions aujourd’hui au moins 50 à l’Assemblée nationale. Mais ils ont préféré rester au quartier à critiquer et demander des Orange Money qui sont d’ailleurs non vérifiables. Le MRC qu’on a connu à sa genèse reste pour moi attirant. Aujourd’hui je ne veux pas faire de commentaires. Mais j’estime qu’ils ne sont plus dans la logique normale. Quand un parti n’est pas représenté, je n’aimerais pas parler de ce qui va avec », a-t-il déclaré.
Liliane N.
L’économiste Célestin Monga affirme qu’il est mieux de laisser le peuple décider pour ce qui est du changement à la tête de l’Etat.
Son tweet de ce mercredi 02 septembre 2020 relance d’une certaine façon, le débat sur le changement à la tête de l’Etat qui divise tant les politiciens au Cameroun. Célestin Monga le célèbre économiste appuyant ses déclarations avec des images d’anciens Présidents parmi lesquels Ahmadou Ahidjo, ayant eu recours à la désignation successorale à la tête de leurs Etats, donne sa position sur la question. Pour lui, il est mieux de laisser le peuple faire son choix.
«J. E. dos Santo (Angola), M. Ould Abdel Aziz (Mauritanie), A. Ahidjo (Cameroun)... Tous ces anciens présidents écrasés par leurs certitudes, qui croient pouvoir choisir leurs successeurs et découvrent ensuite qu’ils s’étaient trompés ! Il vaut mieux laisser les peuples décider», a tweeté Célestin Monga.
Comme bon nombre de ces tweets, celui sus rapporté a suscité de réactions de la part de ses followers. S’il y en a qui sont d’accord avec l’expert en matière d’économie, il y en a qui pensent que tout laisser au peuple est un risque. «Il me revient aussi à l'esprit le destin tragique que connut un général Bissau guineen après avoir laissé le pouvoir aux civils par le biais démocratique des élections, il ne pensait pas encore être parti, il agissait encore comme quand il était au pouvoir, la suite.....hélas», a tweeté l’un des followers de l’économiste Célestin Monga.
Pour passer de la discussion virtuelle à celle qui se fait dans le terroir 237, il faut préciser que la question de la succession de gré à gré à la tête de l’Etat, a été portée par Maurice Kamto et le Mouvement pour la renaissance du Cameroun. L’ancien candidat à l’élection présidentielle de 2018 indiquait qu’un tel plan se prépare à la tête de l’Etat. Cependant, il a été repris par les pontes du régime qui ont réfuté l’idée d’un tel plan.
Liliane N.