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Il s'agit là des efforts de l'agence de renseignement américaine pour faire recruter des agents et analystes jeunes. Elle juge Instagram comme un moyen adapté pour atteindre cet objectif.

 

Avant toute chose, il faut situer Instagram comme un réseau social qui a toujours compté plus d'un milliard d'utilisateurs à l'échelle planétaire. Ce qui fait ainsi de lui un compte dont l'entrée en scène parmi les réseaux fait largement écho d'une réussite en date du 25 avril 2019. Une date qui correspond au moment choisi par la CIA pour rejoindre officiellement Instagram avec le pseudo @CIA. Déjà, la directrice de la CIA Gina Haspel, indiquait bien avant que l'agence avait un compte en préparation, au début du mois d'avril.

 

Les raisons ayant présidé au choix d'Instagram par la CIA

A en croire les informations relayées par la chaîne de télévision RTL, instagram se distingue par le fait que la plupart des utilisateurs de ce réseau social ont moins de trente ans. Il est donc une plateforme très prisée par la couche jeune de la population mondiale, mais surtout celle américaine. Instagram défie au passage Twitter qui bénéficie dejà de la présence de la CIA. Et en l'état actuel des choses, il est à noter que plus de 20.000 followers suivent le compte instagram.

Au bout du compte, la CIA pourrait comme elle entend faire recruter le maximum possible de jeunes dans les prochains jours.

 

Innocent D H

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La cérémonie d'inauguration s’est déroulée le mardi 23 avril 2019 au Centre national de réhabilitation des personnes handicapées (Cnrph). 

 

Mardi dernier, les pensionnaires du Centre national de réhabilitation des personnes handicapées (Cnrph) Cardinal Paul-Émile Léger étaient en joie. A l’origine de leur joie, la rétrocession à leur Centre du forage construit sous financement du gouvernement américain. Dans son discours circonstanciel, Henri Peter Balerin l’Ambassadeur des Etats-Unis au Cameroun a précisé que la construction dudit forage s’est faite dans le cadre du Fonds spécial de soutien aux initiatives d’auto-assistance.

«Ce Fonds spécial repose sur un modèle d’assistance destinée aux populations locales qui nous permet de répondre rapidement aux demandes de petites initiatives de développement communautaires qui visent à améliorer les conditions économiques et sociales à un niveau très local», a déclaré le Diplomate américain qui était accompagné de Jennifer Bah madame le chef du service Politique et Economique de l’Ambassade des Etats-Unis, de Mme Laura Miller la toute nouvelle Responsable du programme de subventions, et de Mme Rachelle Ngum l’administratrice des subventions.

Il convient d’indiquer que les Etats-Unis à travers sa représentation diplomatique présente au Cameroun, offre des subventions d’auto-assistance depuis plus de trois décennies au pays de Paul Biya. On comptabilise une centaine de projets financés par ce pays partenaire à travers tout le pays. Pour ce qui est du cas du Cnrph, il faut souligner qu’il a été sélectionné selon un processus rigoureux. Ayant présenté son besoin, le Centre dirigé par M. Alexandre Manga a reçu une subvention d’environ cinq millions de FCFA pour la vue et la mise en œuvre de ce projet. Tout s’est fait dans un délai de quatre mois.

Le Diplomate américain a donc tout naturellement appelé les responsables du Centre à bien prendre soin du forage dont le but est de permettre aux pensionnaires du Cnrph de s’approvisionner en eau potable. « Un forage comme celui-ci peut sembler simple ou petit. Mais si l’on tient compte du fait que des millions de personnes, y compris des enfants, meurent chaque année de maladies causées par une insuffisance d’approvisionnement en eau, de systèmes d’assainissement et d’hygiène, vous conviendrez avec moi que–bien que cela puisse paraître négligeable–un tel projet est d’une importance cruciale. L’accès à l’eau est un droit humain fondamental. Et l’eau potable et l’assainissement sont essentiels à la réalisation de tous les droits de l’homme », a-t-il déclaré.

L’Ambassadeur a par ailleurs salué le travail abattu dans le Centre par M. Alexandre Manga et l’ensemble de son équipe.

 

Liliane N. 

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Il s’agit de la Fondation CN World qui œuvre pour le développement et la protection des enfants.

 

Cette Fondation appartient à Eric Cielenou. Elle a remis le 11 avril 2019 à l’Académie nationale de football (Anafoot) dirigée par Carl Enow Ngachu, un important don composé de 40 maillots en deux jeux, 30 paires de bas, 35 sacs pour les entraînements pour jeunes, 56 paires de godasses et des ballons. « Je suis venu à l’Anafoot pour rendre une visite de courtoisie à mon ami Enow Ngachu. C’est un ami d’enfance. Je réponds un peu à son appel par rapport aux équipements pour les enfants. Les enfants étant la priorité, nous devons leur donner le pouvoir qu’il faut, nous devons les accompagner, les protéger. Nous devons utiliser le renforcement positif et surtout les encadrer et avoir un suivi », a déclaré Eric Cielenou.    

Ravi du don que bénéficie l’Anafoot, Carl Enow Ngachu a déclaré face à la presse « lorsque je l’ai sollicité, il m’a dit pourquoi pas. Je lui dis merci et surtout pour ce qu’il fait pour la jeunesse, parce qu’il ne fait pas ce don seulement pour l’Anafoot. Tous les centres de formation qui participent à son tournoi rentrent toujours avec quelque chose. C’est bien, ce qu’il fait pour la jeunesse camerounaise. Ca prouve qu’il y a des gens qui aiment cette jeunesse, qui ne doit pas nous décevoir, que nous devons accompagner pour faire en sorte que son rêve se réalise ».

Il faut dire qu’en fait la Fondation CN World a organisé un tournoi qui s’est déroulé à Yaoundé. Ledit tournoi a pris fin le weekend dernier. Il s’est achevé avec des finales de basketball au terrain annexe du palais des sports et à la garde présidentielle.

Pour revenir à l’Anafoot, il convient de souligner qu’au mois de janvier dernier, cette académie avait reçu un don des Lionnes indomptables. Gaëlle Enganamouit, Aboudi Nchout Njoya Ajara, Edjangue Siliki, Isis Sonken et Raïssa Feudjio ont remis  au Directeur général de l’Anafoot, un matériel devant servir lors des formations des pensionnaires. Ledit matériel était composé de chasubles, des maillots, des shorts. «Il s’agit d’accompagner l’Anafoot, de soutenir nos jeunes sœurs qui ont un  rêve, celui d’être comme nous, leur modèle. Il est donc question de les accompagner dans cette aventure qui ne fait que commencer», avait déclaré Aboudi porte-parole de la délégation.

 

Liliane N.

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Donald Trump a ordonné le limogeage lundi, du directeur des services secret au lendemain de la démission de la secrétaire à la Sécurité intérieure, Kirstjen Nielsen. Le patron des services secrets américains, la prestigieuse police d’élite Randolph Alles, chargée de la protection du président des États-Unis, va quitter prochainement son poste. Donald Trump semble vouloir adopter une ligne plus dure encore sur la question migratoire.

 

Randolph Alles n'est plus le directeur de l’US Secret Service (USSS). Le patron de la prestigieuse police d'élite chargée de la protection du président des États-Unis, va quitter prochainement son poste, a annoncé lundi 8 avril la Maison Blanche sans donner les raisons de ce départ inattendu.

« Le directeur du Secret Service, Randolph Alles […] partira prochainement et le président Donald Trump a choisi James Murray, qui a fait sa carrière au sein de l'USSS, pour le remplacer à partir de mai », a indiqué Sarah Sanders, porte-parole de l'exécutif américain.

Cette annonce intervient au lendemain de la démission de la secrétaire à la Sécurité intérieure, Kirstjen Nielsen. Elle intervient aussi dix jours après l'interpellation d'une Chinoise qui s'était introduite, en possession de plusieurs téléphones et d'un logiciel malveillant, dans le club de Mar-a-Lago en Floride où le président Donald Trump passait le week-end.

« Il a fait un superbe travail ces deux dernières années et le président le remercie pour ses plus de quarante années passées à servir le pays », a déclaré dans un communiqué Sarah Sanders, la porte-parole de la Maison Blanche. Le New York Times souligne toutefois que l’ancien Marine n’avait plus les faveurs du milliardaire depuis plusieurs mois. « Le président s’est même moqué de son apparence, le surnommant Dumbo à cause de ses oreilles ».

Donald Trump semble s’être lancé dans une vaste réorganisation de ce ministère qui chapeaute le dossier clé de l’immigration. Selon les médias américains, d’autres responsables du département de la sécurité intérieure devraient rapidement être remplacés, notamment le directeur des services de l’immigration. La semaine dernière, c’est le directeur adjoint des douanes qui a été contraint de se retirer. Selon une source officielle mais anonyme, qui s’est adressé aux médias américains, le président américain entend « décapiter » cet important département dans le cadre d’une vaste « purge ». Donald Trump  veut appliquer une ligne plus dure sur la question de l’immigration, un sujet qu’il compte placer au centre de sa campagne pour sa réélection. 

 

Danielle Ngono Efondo

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Ce vendredi 05 avril, Donald Trump se rend à Calexico une ville frontière avec le Mexique. Il entend se rendre compte par lui-même de la situation sur place, qu’il qualifie de « crise majeure ». Mais à la veille de ce déplacement, le président américain a reculé sur sa menace de fermer la frontière. Donald Trump évoque maintenant l’idée de taxer les voitures mexicaines si le pays ne fait pas plus pour empêcher l’arrivée de migrants.

 

Le président américain Donald Trump a abandonné jeudi sa menace de fermer la frontière avec le Mexique, jugeant que son voisin du sud avait fait des efforts ces derniers jours contre l’immigration clandestine.

Tout en éloignant le spectre d’une décision aux conséquences économiques potentiellement désastreuses pour les deux pays, le milliardaire américain a ouvert un nouveau front en menaçant d’utiliser l’arme commerciale pour forcer la main de Mexico. « Nous avons besoin du mur, mais nous avons besoin de beaucoup d’autres choses », a mis en garde Trump à la veille de son déplacement à Calexico, petite ville frontalière située à quelque 300 km au sud-est de Los Angeles.

« Si le Mexique ne veut pas aider, pas de problème, nous imposerons des tarifs douaniers sur leurs voitures qui arrivent aux États-Unis », a-t-il ajouté. Cette annonce a provoqué une vive réaction de Mexico, qui a déploré que Washington mêle les deux sujets. « Pour le gouvernement mexicain, il est très important de maintenir séparés les thèmes migratoires et commerciaux », a déclaré la ministre mexicaine de l’Économie Graciela Marquez Colin lors d’une conférence de presse.

Pour rappel, Donald Trump a fait de la lutte contre l’immigration clandestine l’un des sujets centraux de son mandat. Il appelle régulièrement le Mexique à interpeller les migrants originaires d’Amérique centrale (essentiellement du Honduras, du Guatemala et du Salvador) qui transitent sur son sol.

Ces derniers jours, de plus en plus, le président américain agitait la menace de fermer la frontière. Mais cette hypothèse avait été vivement critiquée au sein même de son camp, tant son impact économique serait dévastateur. « Cela aurait un impact catastrophique sur l’économie du pays j’espère que cela n’arrivera pas », a déclaré mardi le chef de la majorité au Sénat, Mitch Mc Connell.

Jeudi 04 avril, l’hôte de la Maison Blanche a opéré un revirement. Il donne finalement un an au Mexique pour freiner le flux de migrants. Et parle de taxer les voitures. « Franchement c’est mieux et moins drastique de taxer les voitures que de fermer la frontière. Et je le ferai, vous savez que je le ferai, je ne plaisante pas. Donc on va leur donner un an pour stopper les migrants et on taxera leurs voitures. Et si cela ne suffit pas, on fermera la frontière. » A-t-il déclaré.

Selon RFI, chaque jour, 1,7 milliards de dollars de produits transitent par la frontière entre les deux pays. Le Mexique est la première source de produits agricoles importés aux États-Unis. La fermeture de la frontière aurait un effet immédiat sur les prix des fruits et légumes que consomment les Américains. 

 

Danielle Ngono Efondo

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Plusieurs candidats démocrates à la maison blanche évoquent ouvertement l’hypothèse d’octroie des réparations aux noirs considérés comme descendants d’esclaves.

 

Tout a commencé avec la circulation de l’idée chez les Afro-américains. C’est d’ailleurs la toute première fois quand on sait que cette année par coïncidence l’arrivée il y a 400 ans aujourd’hui du premier bateau d’esclaves à Jamestown. Une idée devenue ainsi au cœur d’un débat national. Pour les démocrates de la maison blanche, il faut désormais donner raison à l’histoire en octroyant des réparations aux descendants des noirs d’esclaves. Ceci serait une grande avancée puisque le Président Obama comme Hillary Clinton ou même Bernie Sanders étaient unanimes sur l’idée de réparation.

Depuis l’avènement de la guerre de succession en 1865, le Général nordiste du nom de William Sherman avait donné l’ordre après une discussion inédite qui avait réunie plusieurs pasteurs noirs en Géorgie, une redistribution de 162.000 hectares de terres côtières, de la Caroline du Sud à la Floride, afin de donner 16 hectares à chacun des 40.000 anciens esclaves. Une mesure qui avait pour objectif principal de punir les gros propriétaires confédérés et de trouver un emploi aux nouveaux hommes dits libres. Mais le Président Andrew Johnson a rendu la terre aux planteurs et le Gouvernement américain n’a jamais par la suite décidé de verser des dommages et intérêts, et n’a présenté aucune moindre excuse aux anciens esclaves. De surcroît, le Gouvernement a développé des politiques ségrégationnistes qui ont fait accroître la méconnaissance des avantages économiques pour des générations postérieures.

Les actions entreprises par les démocrates si elles venaient à produire des effets attendus pourront faire rétablir la lumière sur des faits historiques qui ont présenté les esclaves noirs comme des victimes avérés de l’injustice raciale non surement au su de tous, mais aussi à la surprenante méfiance de tous. Il est bien vrai que la question est très délicate, mais en même temps, elle mérite le soutien de l’ensemble de la classe politique américaine pour que les Afro-américains retrouvent désormais la place qui est véritablement la leur aux USA.  Une place mais aussi une reconnaissance qui vaut plus que réparation des dommages et intérêts.

Innocent D.H

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D’origine camerounaise, cette basketteuse américaine  de 17 ans, a réussi l'exploit de dominer tous ses adversaires garçons pour remporter le trophée de ce concours réservé aux lycéens aux Etats-Unis.

 

Impressionnante ! Francesca Belibi l’a été le 25 mars dernier, au concours de dunks du All-Star Game des lycées aux Etats-Unis. Cette basketteuse a remporté   l’édition 2019  de ce concours réservé aux lycéens américains. Du haut de ses 85 mètres, cette Camerounaise née aux Etats-Unis, a dominé tous les garçons  qui ont participé à ce rendez-vous très prisé et un passage obligé pour les futurs stars du basketball américains. Cette jeune basketteuse est la deuxième femme à triompher  dans ce concours, après la superstar Candace Parker en 2004. En effet, le dunk qui  est un ensemble de geste spectaculaire en basketball très commun chez les hommes, est encore très peu pratiqué dans le basketball féminin. Une tendance que pourra changer la  jeune star camerounaise.

Cette réalisation est un  succès phénoménal pour la  future joueuse de l'université de Stanford, qui a fait ses premiers pas dans ce sport, il y a à peine trois ans.  Cette  camerounaise de 17 ans fait partie de plus belles promesses de la balle orange  aux Etats-Unis. Elle  s’est déjà engagée avec la prestigieuse université de Stanford pour la saison prochaine. Avant cette prouesse, Belibi a déjà fait parler d’elle, grâce à ses formidables qualités athlétiques qu’elle dégage sur le parquet.

A ce concours réservé aux lycéens, la basketteuse  a une nouvelle fois fait sensation. Opposée à deux garçons Scottie Lewis, futur joueur de l’université de Florida, et Precious Achiuwa, Belibi a fait la différence avec trois dunks très spectaculaires. Notamment,  une reverse ligne de fond, ensuite après avoir envoyé la balle orange  contre la planche avant de terminer avec le geste de Michael Jordan, par-dessus une joueuse assise sur une chaise. Un véritable phénomène à suivre.

Marie MGUE

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Du retrait total des soldats américains déployés en Syrie annoncé par Donald Trump en décembre 2018, nous en sommes à celui total, avec 400 militaires américains qui restent.

 

C’est à en perdre son latin. Après avoir déclaré en décembre dernier que toutes les troupes américaines seraient retirées de Syrie, Donald Trump a annoncé en février avoir décidé de laisser dans le pays environ 200 militaires. Ce mercredi 20 mars, il annonce désormais le chiffre de 400 soldats.

Depuis l'annonce d'un retrait complet des troupes américaines de Syrie, la position de Donald Trump se bouscule. Désormais, les États-Unis prévoient de réduire leur présence militaire en Syrie à 400 personnes, a déclaré le Président américain aux journalistes à la Maison-Blanche avant son départ pour l'Ohio.

« En Syrie, nous laissons 200 personnes. Et 200 autres personnes ailleurs en Syrie, plus près d'Israël, pour un certain délai », a déclaré le chef d'État.

Il n'a toutefois pas précisé pour combien de temps les États-Unis ont l'intention de maintenir leur contingent militaire dans le pays arabe.

Fin février, la porte-parole de la Maison-Blanche, Sarah Sanders, a fait savoir « qu'un petit groupe de maintien de la paix d'environ 200 personnes restera en Syrie pendant un certain temps ».

Pour rappel, le 19 décembre 2018, Donald Trump a annoncé le départ le plus rapidement possible des militaires américains de Syrie, martelant que les États-Unis ne joueraient plus le rôle de « gendarme du Moyen-Orient ».

Par la suite, la porte-parole de la Maison-Blanche Sarah Sanders a annoncé que les États-Unis avaient commencé à retirer leurs troupes de Syrie, tout en soulignant que la victoire sur les djihadistes de Daech ne signifiait pas la fin de la coalition antiterroriste dirigée par Washington.

En se rapportant à un article de sputniknews paru le 16 novembre 2017 citant La porte-parole de la diplomatie russe Maria Zakharova, les Etats-Unis n’ont reçu aucun mandat de l’ONU pour intervenir en Syrie. « Nous avons été surpris d'entendre les déclarations du secrétaire américain à la Défense, James Mattis, lors d'une réunion avec les représentants de la presse américaine le 13 novembre, selon lesquelles les forces armées américaines seraient en Syrie, je cite "avec l'autorisation de l'Onu"», avait-t-elle déclaré selon le site d’information.

A ce jour, il demeure constant que sous la bannière d’une coalition antiterroriste, Washington a à maintes reprises pris pour cibles des centres de recherche scientifique, plusieurs bases militaires et des locaux de la garde républicaine à Damas et ses environs.

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Tibor Nagy, le sous-secrétaire américain chargé des Affaires africaines est à Yaoundé. Il doit rencontrer ce lundi 18 mars le président camerounais Paul Biya. Sa visite intervient dans un contexte tendu entre Yaoundé et Washington.

 

Au Cameroun depuis samedi dernier, l'agenda du « Monsieur Afrique » de l'administration américaine avec les officiels du gouvernement ne prend effet que ce lundi 18 mars 2019. Son premier arrêt, en milieu de matinée, aura lieu au ministère des Relations extérieures pour une audience avec le patron des lieux. Le clou de la visite interviendra quelques heures plus tard en début d’après-midi au palais présidentiel, avec la rencontre très attendue avec le président Paul Biya.

En parcourant les rues de Yaoundé, Tibor Nagy a dû être saisi de la présence des forces anti-émeutes à plusieurs endroits stratégiques de la capitale, signe d'un contexte particulièrement tendu depuis la fin de l’élection présidentielle du 7 octobre.

Tibor Nagy, qui a déjà fait part dans divers médias de la préoccupation de Washington de la persistance de ces tensions, aura le loisir d'en discuter avec le président Paul Biya ; notamment des inculpations de plusieurs leaders politiques, dont Maurice Kamto, le président du Mouvement pour la renaissance du Cameroun ( MRC ), considéré par une partie de l'opinion publique camerounaise et internationale comme un prisonnier politique.

Au cœur des préoccupations aussi, la crise dite « anglophone » qui s'enlise, et dont Washington estime que les solutions jusqu’ici engagées par le pouvoir camerounais sont insuffisantes. Et sûrement des échanges commerciaux entre les États-Unis et le Cameroun.

 Yaoundé, pour sa part, s'est régulièrement ému ces dernières semaines des sorties du sous-secrétaire américain chargé des Affaires africaines qui sont considérées comme une ingérence flagrante dans les affaires internes du pays et d'une méconnaissance des réalités locales. La rencontre avec Paul Biya permettra-t-elle de concilier les points de vue ? Rien n'est moins sûr.

Rappelons que « Monsieur Afrique » est arrivé au Cameroun par l’aéroport international de Douala en début de soirée de samedi 16 mars 2019. Il a été chaleureusement accueilli par le gouverneur de la Région du Littoral, Samuel Dieudonné Ivaha Diboua et l’Ambassadeur des États-Unis au Cameroun, Peter Henry Barlerin. Il a passé une nuit dans la capitale économique avant de prendre la route de Yaoundé dimanche en fin de matinée.

 

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La Société anonyme des brasseries du Cameroun (SABC), filiale du Groupe français Castel, est à la conquête du marché américain. La filiale camerounaise de Castel, vend désormais ses produits aux Etats-Unis.

 

Avec une expérience avérée de plus d’une vingtaine d’années dans la logistique et le commerce international, le Groupe SABC, sous la houlette du lion Emmanuel DE TAILLY, part à la conquête des marchés étrangers pour renforcer le rayonnement du Made in Cameroon à l’international.

C’est dans un communiqué publié ce 14 mars, que la société anonyme des brasseries du Cameroun (SABC) a indiqué que son équipe aux Etats-Unis est actuellement composée d’environ 312 points de vente directs avec quatre centres de distribution au Texas, Maryland, Virginie et New Jersey. « Tout cela témoigne de la reconnaissance de la qualité des produits du Groupe SABC qui répondent aux normes et standards internationaux ; et qui se traduit par des volumes de vente de 54 339 hectolitres de boissons en 2018, en hausse de 63 % sur l’Europe et de 47 % sur les USA par rapport à l’année précédente.».

Cette stratégie a débouché sur la restructuration du service Export avec à la clé le recrutement d’un nouveau responsable afin d’impulser une nouvelle dynamique et créer une croissance tant verticale qu’horizontale. La SABC compte relever le défi américain malgré une législation exigeante en matière de qualité et de packaging. Car, l’objectif selon l’entreprise est de créer un relai de croissance du Groupe SABC à travers le développement des ventes à l’international et de compléter les flux des filiales du groupe Castel sans être des concurrents.

Dans cette optique, et malgré une législation exigeante en matière de qualité et de packaging des produits, le Groupe SABC, à travers ses marques historiques telles que Top, « 33 » Export, Castel, est présent en Europe (France, Belgique, Allemagne…), aux Etats unis (New York, Virginie, Maryland…) et dans la sous-région CEMAC. L’armée Américaine, la MINUSCA  et bien d’autres partenaires en activité dans la sous-région, après plusieurs visites de contrôle à l’usine SEMC continuent leur approvisionnement en Eau Tangui. Tout ceci témoigne de la reconnaissance de la qualité des produits du Groupe SABC, qui répondent aux normes et standards internationaux et qui se traduit par des volumes de vente de 54339 hectolitres de boissons en 2018, en hausse de 63 % sur l’Europe et de 47 % sur les USA par rapport à l’année précédente.

 

 

Published in Economie
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Sunday, 05 June 2022 11:01