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Cette mesure va s’étendre dans le monde entier à travers un programme rénové de lutte contre la désinformation

 

Instagram perfectionne ses techniques pour empêcher le harcèlement en ligne  et étend son programme américain de « fact-checking » (vérification des faits) au reste du monde, a annoncé lundi dernier l’application   

« A partir d’aujourd’hui, nous déployons une fonctionnalité qui prévient les utilisateurs quand leur légende pourrait être considérée comme blessante », explique la plateforme de Facebook, très populaire chez les jeunes. « Cela leur donne une chance de réfléchir avant de poster », continue-t-elle.

Technologie à base d’intelligence artificielle

Instagram avait déjà ajouté cet été cette technologie à base d’intelligence artificielle pour les commentaires sous les contenus, et les « résultats sont prometteurs », estime l’appli. Par exemple, si quelqu’un écrit « tu es stupide », une fenêtre va apparaître pour lui dire « cette légende ressemble à d’autres légendes qui ont été signalées », et lui donner le choix entre modifier sa formulation, « en savoir plus » ou ignorer.

Facebook multiplie les efforts sur toutes ses plateformes pour favoriser une ambiance moins agressive et restaurer la confiance avec les utilisateurs et les autorités. Dans cette logique, le géant des réseaux sociaux a mis en place un programme de vérification des informations douteuses  («fact-checking ») sur son principal réseau, avec l’aide de tiers, principalement des organes de presse, dont 20 Minutes.  

Les informations sur Instagram vérifiées depuis mai

Les partenaires américains de Facebook travaillent aussi depuis mai sur Instagram pour examiner et identifier les contenus qui relèvent de la désinformation. Les informations douteuses sont repérées par des technologies d’intelligence artificielle, des équipes de modération des contenus et les signalements des utilisateurs. Les journalistes partenaires du réseau sont ensuite chargés de les vérifier.

Quand un contenu est évalué comme « faux » ou « en partie faux », « nous réduisons sa visibilité (…) et nous lui ajoutons une étiquette pour que les gens décident eux-mêmes ce qu’ils veulent lire ou partager », explique la plateforme. Les étiquettes seront automatiquement adossées aux contenus identiques sur Facebook et Instagram, précise l’appli.

Et les déclarations des politiques ?

Ce processus de « fact-checking » ne s’applique cependant par  à ce stade aux déclarations des personnalités politiques, un sujet qui suscite la polémique aux Etats-Unis depuis des semaines, alors que Twitter a décidé de bannir toutes les publicités à caractère politique.

 

N.R.M

 

Published in Télécommunication

Une jeune fille de 16 ans a mis fin à ses jours après avoir demandé à ses followers de choisir si elle devait vivre ou mourir. En effet, la majorité de ses followers a choisi la seconde option. La jeune malaisienne est ainsi passée à l'acte peu après les résultats de ce sondage.

 

Lundi dernier, une jeune malaisienne âgée de 16 ans, vivant à Kuching dans l’État malaisien de Sarawak s'est donnée la mort. Selon les médias locaux, l’adolescente, adepte des réseaux sociaux, avait mis sa vie en jeu via un sondage sur Instagram, où ses followers étaient invités à répondre à la question suivante : « Vraiment important, aidez-moi à choisir D / L » (D pour death/mort, et L pour live/ vie,). 69 % des internautes ont ainsi voté pour la mort et 31 % pour la vie, selon la police.

 

Ce suicide a déclenché de multiples réactions en Malaisie. Le député Ramkarpal Singh, a déclaré que ceux qui avaient voté pour la mort pourraient être poursuivis pour incitation au suicide, qui est passible de la peine capitale en Malaisie lorsqu'il s'agit d'un mineur. Dans le cas où la peine capitale n’est pas prononcée, les fautifs risquent une peine de prison allant jusqu’à 20 ans. Hier mercredi, Il a appelé à l'ouverture d'une enquête pour, « éviter d'autres abus sur les réseaux sociaux dans de semblables circonstances à l'avenir ».

Le ministre de la Jeunesse et des Sports, Syed Saddiq, quant à lui s'est dit inquiet pour la santé mentale des jeunes en Malaisie. « C'est un problème national qui doit être traité sérieusement », a-t-il déclaré.

 

Ching Yee Wong, la responsable de la communication d'Instagram pour l'Asie Pacifique a transmis ses condoléances à la famille. Elle a reconnu que le réseau social détenu par le groupe Facebook avait « l'importante responsabilité de s'assurer que les gens qui utilisent Instagram se sentent en sécurité et soutenus ». Et elle a appelé ceux qui y recourent « à utiliser les outils de signalement et à contacter les services d'urgence s'ils voient que la sécurité de quelqu'un est en danger ».

 

Notons que, cette affaire rappelle la polémique suscitée par la mort de Molly Russell, une adolescente britannique qui s’était suicidée en 2017 à l’âge de 14 ans après avoir visionné des contenus liés à l’automutilation et au suicide sur Instagram. En février, Instagram, qui interdisait déjà toute publication encourageant ou promouvant suicide ou automutilation, a décidé d’interdire les photos montrant des blessures infligées à soi-même.

 

Danielle Ngono Efondo

Published in International

Le PDG de Facebook a présenté plusieurs évolutions à venir sur Instagram, Facebook Messenger et WhatsApp, lors de la conférence annuelle Facebook F8 tenue mardi 30 avril.

 

Mardi 30 avril, le créateur de Facebook a pris la parole pour sa traditionnelle conférence à Facebook F8, l’événement du réseau social consacré aux développeurs. Immédiatement après être monté sur scène, M. Zuckerberg s’est en effet lancé dans un vibrant plaidoyer pour la vie privée, expliquant que c’est sa protection « qui nous donne le pouvoir d’être nous-mêmes », tandis que le slogan « Le futur est privé » s’affichait sur l’écran géant derrière lui.

Le premier réseau social au monde à savoir Facebook, veut se recentrer sur les messages privés et les groupes plutôt que sur les fils d’actualité publics. « L’avenir sera privé », a assuré Mark Zuckerberg qui est en train de transformer progressivement le modèle économique actuel de Facebook basé sur la publicité ciblée grâce aux données des utilisateurs.

Cette nouvelle philosophie n’est pas seulement politique : elle résulte aussi d’une bonne compréhension des attentes des utilisateurs, a expliqué M. Zuckerberg, qui en veut pour preuve le succès des « stories » et des petits groupes de discussion sur Facebook, Instagram et WhatsApp : « Plus que jamais, nous avons besoin de ce sentiment d’intimité », a-t-il dit.

Avec son nouveau visage, Facebook espère contourner ses deux problèmes principaux. D’abord les deux années de scandales liés à l’utilisation frauduleuse des données privées de ses abonnés. Ensuite, la désaffection des jeunes utilisateurs dans les pays riches. « Beaucoup de gens ne sont pas certains que nous sommes sérieux quant au virage vers le privé et  je sais que nous n’avons pas vraiment la meilleure réputation en matière de vie privée, c’est le moins que l’on puisse dire », a-t-il déclaré. Et de continuer « je suis résolu à mener cela à bien et à entamer un nouveau chapitre pour nos produits », a-t-il assuré.

Le réseau social aux 2,5 milliards d’inscrits poursuit donc sa nouvelle stratégie : plus d’échanges privés, moins de partages publics sur lesquels reposent pourtant ses 56 milliards de chiffre d’affaires de 2018, provenant presque exclusivement de la publicité ciblée.

Par ailleurs, une version de Messenger pour Mac et Windows sera bientôt lancée, elle permettra de dialoguer plus facilement avec des groupes de personnes partageant les mêmes intérêts. La fonctionnalité permettant d’acheter directement des produits depuis Instagram sera étendue. Et pour garder ses abonnés, Facebook se dote aussi d’une nouvelle fonctionnalité de rencontre. A l’image du célèbre Tinder, « Secret crush » permettra de sélectionner dans une liste secrète neuf amis avec lesquels on aimerait aller plus loin. Si l’un de ses neuf amis vous a aussi sélectionné, alors c’est le « match » et les deux utilisateurs seront notifiés de leur attraction commune.

Oubliées donc les remarques, certes anciennes, du fondateur qui estimait que la vie privée était un concept dépassé ; relégué aux oubliettes, l’ancien slogan de l’entreprise, abandonné il y a deux ans, qui voulait « Faire du monde un lieu plus ouvert et connecté ».

 

Source : RFI et lemonde.fr

Published in Société

Il s'agit là des efforts de l'agence de renseignement américaine pour faire recruter des agents et analystes jeunes. Elle juge Instagram comme un moyen adapté pour atteindre cet objectif.

 

Avant toute chose, il faut situer Instagram comme un réseau social qui a toujours compté plus d'un milliard d'utilisateurs à l'échelle planétaire. Ce qui fait ainsi de lui un compte dont l'entrée en scène parmi les réseaux fait largement écho d'une réussite en date du 25 avril 2019. Une date qui correspond au moment choisi par la CIA pour rejoindre officiellement Instagram avec le pseudo @CIA. Déjà, la directrice de la CIA Gina Haspel, indiquait bien avant que l'agence avait un compte en préparation, au début du mois d'avril.

 

Les raisons ayant présidé au choix d'Instagram par la CIA

A en croire les informations relayées par la chaîne de télévision RTL, instagram se distingue par le fait que la plupart des utilisateurs de ce réseau social ont moins de trente ans. Il est donc une plateforme très prisée par la couche jeune de la population mondiale, mais surtout celle américaine. Instagram défie au passage Twitter qui bénéficie dejà de la présence de la CIA. Et en l'état actuel des choses, il est à noter que plus de 20.000 followers suivent le compte instagram.

Au bout du compte, la CIA pourrait comme elle entend faire recruter le maximum possible de jeunes dans les prochains jours.

 

Innocent D H

Published in International






Sunday, 05 June 2022 11:01