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Le dernier rapport de la Coalition a lancé sa sixième liste mensuelle, attirant l'attention sur les cas les plus urgents.

 

  1. Jamal Khashoggi :   Des mois après son assassinat brutal, et malgré les conclusions de l'ONU et de la CIA suggérant l'implication du prince héritier saoudien, il n'y a pas eu d'enquête pénale indépendante.  . Les appels à la publication par la Maison Blanche de rapports de renseignements ont été ignorés, de même que la date limite pour répondre au Congrès, comme l'exige la loi américaine Magnitsky.

 

  1. Azory Gwanda, journaliste indépendante chargée d'enquêter sur des meurtres mystérieux dans une zone rurale de Tanzanie, est portée disparue depuis le 21 novembre 2017 et le gouvernement n'a pas mené d'enquête ni divulgué ce qu'il sait. Le 10 juillet, le ministre tanzanien des Affaires étrangères, Palamagamba Kabudi, a déclaré  dans une interview que Gwanda avait "disparu et était mort", mais avait fait marche arrière en raison de demandes de clarification. 

 

  1. Juan Pardinas, rédacteur en chef du journal mexicain Reforma, a été victime d'une série de menaces de harcèlement et de menaces en ligne après que le président Andrés Manuel López Obrador eut critiqué le journal en avril. López Obrador a reconnu les menaces contre Pardinas et a déclaré que son gouvernement avait offert des mesures de protection au journaliste.

 

  1. Paul Chouta, été arrêté en mai, s'est vu refuser la liberté sous caution et a été accusé de diffamation et de diffusion de fausses nouvelles. Son  rédacteur en chef a déclaré soupçonner que l'affaire était en représailles pour des informations critiques. Son cas a été reporté au 13 août et il est toujours dans une prison à sécurité maximale.

 

  1. Le journaliste primé Azimjon Askarov, de souche ouzbèke, a passé neuf ans en prison sur des accusations forgées de toutes pièces pour avoir couvert les violations des droits humains. En dépit de la condamnation internationale persistante et de ses demandes de libération, un tribunal kirghize qui a examiné son cas à la lumière de la nouvelle législation a décidé de maintenir sa peine à perpétuité le 30 juillet.

 

  1. 6. Ayse Nazh Ihcak commentatrice du journal d'opposition Özgür Düşünce et de Can Erzincan TV, a été arrêtée en 2016 et condamnée en février 2018 à la prison à vie sans liberté pour avoir tenté de renverser la constitution par le biais de son journalisme. Au cours d’un procès en janvier, elle a été condamnée à cinq ans supplémentaires pour avoir révélé des secrets d'État. En Turquie, qui est le principal prisonnier des journalistes trois années de suite, les peines d'emprisonnement à perpétuité sans possibilité de libération conditionnelle équivalent à 30 ans d’isolement cellulaire, avec des visites limitées.

 

  1. Les autorités iraniennes ont arrêté Marzieh Amiri, journaliste économique au journal Shargh Daily, basé à Téhéran, alors qu'elle couvrait les manifestations du 1er mai. Sa famille a eu des contacts limités avec elle depuis. Les autorités ont accusé Amiri d'avoir commis des crimes contre la sécurité nationale sans donner plus de détails.

 

  1. Jones Abiri éditeur et rédacteur en chef de Weekly Source, est actuellement incarcéré pour des accusations en vertu de la loi nigériane sur la cybercriminalité, de la loi anti-sabotage et de la loi sur la prévention du terrorisme pour des crimes qui auraient été commis en 2016. Un tribunal l'a exclu après qu'il ait été détenu sans accès à sa famille ou à un avocat de 2016 à 2018. 

 

  1. Assif Sultan reporter pour Kashmir Narrator, sera emprisonné un an le 27 août, arrêté en 2018 et inculpé de complicité pour hébergement de terroristes connus. Sultan continue de se voir refuser une procédure régulière, avec des retards persistants dans ses audiences.

 

  1. Truong Duy Nhat, un reporter vietnamien de Radio Free Asia, a été porté disparu  en janvier à Bangkok, en Thaïlande, où il avait demandé le statut de réfugié. En mars, sa fille a appris qu'il avait été emprisonné sans inculpation dans un centre de détention à Hanoi. Nhat avait déjà été condamné à deux ans de prison en 2013 en raison de ses reportages critiques sur le gouvernement.

 

N.R.M

 

Published in Société

Il s'agit là des efforts de l'agence de renseignement américaine pour faire recruter des agents et analystes jeunes. Elle juge Instagram comme un moyen adapté pour atteindre cet objectif.

 

Avant toute chose, il faut situer Instagram comme un réseau social qui a toujours compté plus d'un milliard d'utilisateurs à l'échelle planétaire. Ce qui fait ainsi de lui un compte dont l'entrée en scène parmi les réseaux fait largement écho d'une réussite en date du 25 avril 2019. Une date qui correspond au moment choisi par la CIA pour rejoindre officiellement Instagram avec le pseudo @CIA. Déjà, la directrice de la CIA Gina Haspel, indiquait bien avant que l'agence avait un compte en préparation, au début du mois d'avril.

 

Les raisons ayant présidé au choix d'Instagram par la CIA

A en croire les informations relayées par la chaîne de télévision RTL, instagram se distingue par le fait que la plupart des utilisateurs de ce réseau social ont moins de trente ans. Il est donc une plateforme très prisée par la couche jeune de la population mondiale, mais surtout celle américaine. Instagram défie au passage Twitter qui bénéficie dejà de la présence de la CIA. Et en l'état actuel des choses, il est à noter que plus de 20.000 followers suivent le compte instagram.

Au bout du compte, la CIA pourrait comme elle entend faire recruter le maximum possible de jeunes dans les prochains jours.

 

Innocent D H

Published in International

Le renseignement américain a intercepté une conversation avec un proche conseiller, selon le « New York Times ».

 

C'est un élément accablant supplémentaire contre le prince héritier. Mohammed Ben Salmane  a affirmé en 2017, qu'il irait jusqu'à utiliser une balle contre le journaliste Jamal Khashoggi si ce dernier ne cessait pas ses critiques contre le royaume, affirme ce jeudi, le New York Times.  

 

L’on se rappelle que le 2 octobre 2018, Jamal Khashoggi, critique du régime saoudien qui collaborait notamment avec le Washington Post et résidait aux Etats-Unis, a été tué et démembré dans le consulat de son pays à Istanbul par des agents saoudiens venus depuis Ryad.

 

Son assassinat a plongé l'Arabie saoudite dans une grave crise diplomatique et nettement terni la réputation du prince héritier, accusé par des responsables américains et turcs d'avoir commandité le meurtre. Ryad impute le meurtre à des éléments incontrôlés.

 

Conversation interceptée

 

Le quotidien new-yorkais cite des responsables actuels et anciens américains et étrangers au fait de rapports du renseignement, d'après qui celui qui est surnommé «MBS» a tenu ces propos lors d'une conversation avec l'un de ses proches, Turki Al-Dakhil.

 

La conversation a été interceptée par les services de renseignement américains, qui sont en train de passer au peigne fin plusieurs années de communications téléphoniques et par SMS du prince, affirme le New York Times

 

 Dans l'échange, Mohammed ben Salmane affirme que si Jamal Khashoggi ne rentrait pas en Arabie de son plein gré, alors il faudrait le faire revenir de force et, le prince dit être prêt à le faire avec une balle, selon les responsables cités par le journal.

 

C’est ce vendredi au plus tard que Donald Trump doit donner devant le Congrès américain, l’identité de celui qu’il juge responsable du meurtre de Jamal Khashoggi. Un groupe de sénateurs américains, républicains et démocrates, avaient en effet activé une loi obligeant le président à dire dans un délai de 120 jours quels ressortissants étrangers il considère responsables de cet assassinat.

 

 Certes, le rapport d’enquête n’a pas encore été publié mais, selon des sources du Washington Post, la CIA a conclu que le prince héritier saoudien a commandité l’assassinat du journaliste Jamal Khashoggi  à Istanbul.  Cette information divulguée par le journal où collaborait régulièrement le journaliste de Ryad avait contredit en son temps, les affirmations du royaume saoudien qui a totalement dédouané le prince héritier Mohammed ben Salmane.

 

Nicole Ricci Minyem

Published in International






Sunday, 05 June 2022 11:01