25/10
Christian Wangue, l’éphémère empire d’un journaliste africain « en congé »
14/10
Pratiques mafieuses au Cameroun : Mediapart remporte le procès contre Bolloré
23/09
Préparatifs Mondial 2022 : Toko Ekambi forfait pour le match Cameroun-Ouzbékistan.
21/09
La bataille d’équipementier conduit à un bashing entre Samuel Eto’o et Yannick Noah
25/07
L’Union Africaine se félicite de la reprise des exportations de céréales d’Ukraine et de Russie
21/07
Football: la FIFA condamne le Cameroun à payer plus d’un milliard de FCFA au portugais…
20/07
Affaire de mœurs: la sex tapeuse Cynthia Fiangan a passé sa première nuit en prison
19/07
Le Cameroun veut importer 400 000 tonnes de riz en 2022
19/07
Droits de l’homme: Le REDHAC vole au secours du Directeur de publication du journal Le…
19/07
L’ancien Lion indomptable Stéphane Mbia risque la prison en Espagne
19/07
Découvrez le programme du séjour du président français Emmanuel Macron au Cameroun
18/07
Les Lionnes indomptables qualifiées pour les barrages de la Coupe du monde 2023
18/07
Mea Culpa: les camerounais accepteront-ils les excuses de Gaëlle Enganamouit
18/07
Lettre ouverte/Calixthe Beyala au président Macron: «venez-vous pour adouber un homme pour la transition au…
18/07
Emmanuel Macron au Cameroun, c’est confirmé
15/07
Le président de la République nomme de nouveaux responsables au sein de l'armée
15/07
Administration territoriale: le président de la République nomme 14 nouveaux préfets et 57 sous-préfets
15/07
CAN féminine 2022: les Lionnes indomptables éliminées en quart de finale
14/07
Diplomatie: le président Emmanuel Macron annoncé au Cameroun
14/07
Match Cameroun-Nigéria: 5 raisons pour croire à la qualification des Lionnes indomptables

Displaying items by tag: Donald Trump

Un peu moins d’un an après avoir été banni de Facebook et Twitter, qui l’accusaient d’avoir incité ses soutiens à la violence après l’assaut contre le Capitole, Donald Trump s’apprête à lancer son propre réseau social. 

Intitulée « Truth Social », cette plateforme - dont il évoquait le concept dès mars dernier - vise à « résister face à la tyrannie des géants des technologies », selon les mots du communiqué publié par le groupe Trump Media and Technology (TMTG).

Faut-il s’attendre à voir émerger un véritable réseau social ou bien un simple outil de communication personnel pour l’ex-président américain ? 20 Minutes fait le point, selon ce que l’on sait, à ce stade, de cette plateforme dont le lancement est prévu début 2022.

 

En quoi consiste « Truth Social » ?

 

Selon son descriptif, l’application - pré - téléchargeable sur l’App Store - entend proposer « des débats gratuits et ouverts sans aucune discrimination vis-à-vis des idéologies politiques », qu’elles soient libertariennes, conservatrices ou libérales.

« Imaginez que vous êtes au mariage de votre meilleur ami. Qui est là? De nombreuses familles viennent de tous les États-Unis et du monde. […] Nous avons beau ne pas toujours être d'accord, nous accueillons à bras ouverts ces opinions diverses », affirme encore cette présentation.

Pour Alexis Pichard, chercheur en civilisation américaine et auteur de l’ouvrage Trump et les médias, l’illusion d’une guerre ? (VA Editions), Truth Social » relève d’une initiative des plus sérieuses pour l’ex-président : « En début d’année, Donald Trump avait déjà tenté d’exister en dehors des réseaux sociaux après en avoir été exclu, à travers un blog associé à son site officiel.

Ca a été un échec total, au point qu’il a dû le fermer au bout d’un mois car le site, fait à la va -vite, n’était pas du tout ergonomique. Il n’avait clairement pas l’ambition de concurrencer Twitter. »

« Cette fois-ci, en revanche, la création du groupe TMTG, qui va être coté en Bourse, et le design de Truth Social, très inspiré de celui de Twitter, semblent à la hauteur de l’enjeu, on a l’impression que Trump prend au sérieux son ambition de concurrencer les géants de l’Internet que sont Facebook et Twitter », poursuit le spécialiste.

 

La plateforme sera-t-elle vraiment dénuée de toute idéologie politique ?

 

Malgré ses promesses de neutralité, cette plateforme émanant d’une personnalité aussi clivante que Donald Trump réussira-t-elle vraiment à séduire tous les publics ? 

« L’argument avancé par Donald Trump dans le communiqué, selon lequel les talibans peuvent s’exprimer sur Twitter mais pas lui, est assez judicieux : il donne du grain à moudre et de la crédibilité à ses actions comme à ses critiques de Twitter et de Facebook, qu’il accuse de longue date de censurer la voix des conservateurs », analyse Alexis Pichard.

Et le chercheur en civilisation américaine de poursuivre : « Pour autant, je ne pense pas que ce réseau social sera déconnecté de toute idéologie, d’autant que le groupe TMTG prévoit de lancer des programmes « non-woke » donc en accord avec la base dure de ses partisans. Je vois mal les abonnés de Twitter abandonner ce réseau social pour migrer sur Truth Social, à l’exception des conservateurs. »

Quel intérêt pour Donald Trump ?

 

L’investissement de Trump dans ce réseau social n’est évidemment pas dénué d’intérêt. Mais qui a le plus à y gagner ? L’ex-président en quête de revanche politique ou le magnat des affaires de retour à son cœur de métier ? « Donald Trump a un rapport aux médias avant tout monétaire, commercial. C’est l’un des hommes politiques qui a gagné le plus d’argent en étant président des Etats-Unis », rappelle Alexis Pichard.

« Il entend forcément rendre le groupe TMTG rentable et tirer profit de cette nouvelle aventure. Mais le fait qu’il lance Truth Social en 2022, une année essentielle pour la politique américaine avec les élections de mi-mandat, qui pourraient voir le Congrès repasser chez les Républicains, n’est évidemment pas anodin. 

C’est aussi un moment charnière pour Donald Trump qui ne cache pas ses désirs de revanche et à l'élection présidentielle de 2024 en ligne de mire », analyse le spécialiste.

A ce titre, « Truth Social » présente une plus-value incontestable pour l’ex-président vis-à-vis de Twitter et de Facebook : « Cela lui permet tout simplement d’être présent sur un réseau social».

 

N.R.M

Published in International

De nouvelles dispositions prises à moins de trois (3) semaines du scrutin prévu le 02 Novembre prochain parce que le président sortant « a refusé de perdre son temps avec un débat virtuel  imposé par la commission à cause de son infection au Covid ».

 

Les candidats ont tous les deux répondu aux questions d’électeurs. Donald Trump sur NBC et Joe Biden sur ABC. Et s’il faudra attendre quelques heures pour savoir qui a gagné la bataille de l’audience, ils ont vécu des soirées contrastées.

Donald Trump en difficulté

Sur NBC, la soirée a tourné à un face-à-face entre Donald Trump et la journaliste Savannah Guthrie. Avant de laisser la parole aux électeurs, elle a, sans relâche, mis le président américain face à ses contractions.

A-t-il, oui ou non, été testé négatif avant son premier débat face à Joe Biden  – un point sur lequel la Maison Blanche entretient le plus grand flou. En 90 secondes, Donald Trump a d’abord dit « Je ne me souviens pas », puis « oui, probablement » et enfin « peut-être que oui, peut-être que non. » Ce n’est pas qu’un point de détail : il s’agit d’établir si Donald Trump savait qu’il avait été exposé au coronavirus avant le débat et l’a caché.

Le président américain a ensuite refusé de condamner les conspirationnistes de Qanon, expliquant qu’il ne les connaissait pas, avant d’assurer qu’il soutenait leurs positions « contre la pédophilie ».

Il a également défendu son retweet d’une théorie du complot farfelue selon laquelle c’est un sosie de Ben Laden qui aurait été tué lors du raid ordonné par Barack Obama : « C’était un retweet, c’était l’opinion de quelqu’un. Je pose ça là, les gens peuvent se faire leur propre opinion ». Réponse de la journaliste : « Mais vous n’êtes pas un crazy uncle (tonton cinglé) qui retweet n’importe quoi. »

Face aux électeurs, Donald Trump s’est ensuite ressaisi. Il a défendu sa gestion du coronavirus, ironisant sur la seconde vague européenne. Avant de rester évasif sur l’immunité collective.

Biden pas vraiment bousculé

Sur ABC, l’ambiance était beaucoup plus feutrée pour Joe Biden. Le journaliste George Stephanopoulos a laissé le micro aux électeurs, qui ont posé des questions polies au démocrate. Il a reconnu avoir fait une erreur en soutenant la réforme pénale de 1994, qui a été très critiquée depuis par la communauté afro-américaine sur ses peines plancher. Il est également resté vague sur la possibilité d’augmenter le nombre de juges à la Cour suprême et a assuré qu’il ne voulait pas « couper le budget de la police ».

Mais globalement, Joe Biden avait une seule mission : ne pas se tirer une balle dans le pied. Il n’a peut être pas convaincu de nouveaux électeurs. Mais avec 9 points d’avance sur Donald Trump, selon la moyenne des sondages, il voulait avant tout ne pas en perdre.

 

N.R.M

 
Published in International

Le Président américain a regagné sa résidence ce lundi après trois nuits passées au Centre médical militaire national Walter Reed où il était soigné du coronavirus. C’est précisément à 18 heures 38, heure locale que Donald Trump a quitté cet hôpital brandissant au passage le poing et remerciant ses supporters.

 

Quelques minutes avant sa sortie de l’hôpital, le Président américain a lancé un message fort sur son compte twitter : « Nous allons bientôt reprendre la campagne !!! Les Fake News ne montrent que les faux sondages ». Pour sa part, le directeur de communication de la campagne Trump, Tim Murtaugh a fait savoir sur la chaîne de télévision CNN que le locataire de la Maison-Blanche prévoyait de participer au prochain débat présidentiel prévu le 15 octobre, à Miami.

Dr Sean Conley, le médecin du Chef de l’Etat américain insistait déjà que Donald Trump était en bonne santé pour rentrer chez lui. « Il a atteint ou dépassé tous les critères de sortie de l’hôpital », a déclaré le médecin à la presse. « Nous prévoyons de le ramener à la maison », a-t-il ajouté.

Selon notre confrère franceinfo, encore malade du coronavirus, le Président américain a retiré son masque dès son retour à la Maison-Blanche, puis il a appelé les Américains à « sortir » avec prudence, après avoir promis de reprendre bientôt sa campagne électorale de la présidentielle du 03 novembre prochain aux Etats-Unis.

En face, Joe Biden, 77 ans qui a maintenu voire son avance dans les intentions de vote après le débat de la semaine dernière, continue-lui sa campagne à son rythme. Biden a opposé lundi le très lourd bilan de la pandémie aux Etats-Unis. « J’ai vu un tweet qu’il a fait, ils me l’ont montré, il a dit : « Ne laissez pas le Covid contrôler vos vies ». Allez dire aux 205 000 familles qui ont perdu quelqu’un », a répliqué le candidat démocrate à la présidentielle américaine.

En rappel, c’est dans la nuit de jeudi à vendredi de la semaine dernière que Donald Trump et son épouse Mélania ont été testés positifs à la Covid-19. L’on apprend également que plusieurs proches collaborateurs du Président américaines seraient aussi atteints de la pandémie du coronavirus et mis en quarantaine en ce moment. Ce qui fait ainsi surgir la problématique de la gestion du coronavirus par le Gouvernement pendant cette période de campagne électorale.

Innocent D H     

 

Published in International

Selon nos confrères de (20 Minutes) Donald Trump annonce la distribution de 150 millions de ces tests aux Etats-Unis, et l’OMS espère pouvoir en distribuer 120 millions aux pays les plus pauvres.

 

Alors que la pandémie a fait plus d’un million de morts dans le monde, de nombreux experts en santé publique militent depuis des mois pour l’utilisation de tests dits antigéniques, peu coûteux, comparables aux tests de grossesse et dont le résultat s’obtient en quinze minutes, contre plusieurs jours pour un test classique.

Des tests moins précis, mais plus pratiques

S’ils sont généralement moins précis, ces tests rapides peuvent amplement suffire, en particulier pendant un pic de contagiosité, au moment où il est crucial d’isoler les cas positifs. Ils permettraient ainsi de multiplier le volume de tests afin de mieux détecter la propagation du coronavirus.   

En pleine campagne pour sa réélection, Donald Trump a annoncé lundi que 150 millions de ces tests rapides seront distribués aux Etats – Unis, dont 50 millions « serviront à protéger les communautés les plus vulnérables ». Les enseignants, les maisons de retraite et les universités historiquement noires ou amérindiennes seront prioritaires, a-t-il promis.

Ces tests sont fabriqués par le laboratoire Abbott, qui a reçu une autorisation de commercialisation en urgence fin août et qui est pour l’instant le seul à les proposer aux Etats-Unis.

Développer le dépistage dans les pays les plus pauvres 

Lors d’une conférence de presse, Tedros Adhanom Ghebreyesus - directeur général de l’OMS, a tenu ces propos : « Nous avons un accord, nous avons un début de financement et maintenant nous avons besoin du montant total pour pouvoir acheter ces tests… ».

D’un coût unitaire de 5 dollars, avec un prix qui devrait baisser à mesure que la production augmente, il faudrait cependant 600 millions de dollars à l’organisation onusienne pour financer sa promesse, alors que le Fonds mondial a d’ores et en a d’ores et déjà promis 50 millions.

Une question centrale pour les pays les plus pauvres : selon l’OMS, là où les pays riches réalisent en moyenne 292 tests par 100.000 habitants, les pays à revenu faible et intermédiaire n’en font que 61 et les pays à faible revenu, seulement 14.

L’Europe se referme face à la recrudescence des contaminations

Ces annonces interviennent alors que la pandémie continue de progresser un peu partout dans le monde, en particulier en Europe où le virus circule toujours à un rythme élevé.

Derniers pays en date concernés, la République Tchèque et la Slovaquie ont annoncé lundi leur intention de déclarer l’état d’urgence pour faire face à la forte recrudescence de cas de contaminations. 

« La situation est extrêmement grave, et je pense que nous devons adopter des décisions très radicales et très audacieuses », a déclaré le chef du gouvernement slovaque, Igor Matovic, à l’issue d’une réunion d’une cellule de crise dans son pays.

A l’ouest du continent, la France et l’Espagne  multiplient les restrictions pour tenter de ralentir cette nouvelle vague de contaminations. Madrid a instauré de nouvelles zones de restrictions, tandis qu’Aix-en-Provence et Marseille, dans le sud de la France, ont vu leurs bars et restaurants fermer leurs portes dimanche soir.

Même ambiance de l’autre côté de l’Atlantique. Alors que New York, déjà durement touchée durant le printemps, voit le nombre de contaminations repartir à la hausse, au Canada, Montréal et Québec passent en « alerte » rouge pour 28 jours avec la fermeture de plusieurs secteurs de l’économie durant la période.

L’Amérique latine rouvre

A l’inverse, en Amérique latine, durement touchée par le Covid – 19, les restrictions se lèvent peu à peu : les vols internationaux vont reprendre en Colombie et au Pérou, et la quasi-totalité des 7 millions d’habitants de Santiago du Chili ont retrouvé lundi leur liberté de circulation après des mois de confinement.

Même chose en Australie, avec la fin de deux mois de couvre-feu nocturne à Melbourne à la faveur d’une baisse marquée du nombre de nouvelles contaminations.

La pandémie a fait au moins 1.002.036 morts dans le monde depuis fin décembre, selon un bilan établi par l’AFP à partir de sources officielles ce lundi. Les Etats-Unis sont le pays le plus touché tant en nombre de morts (205.024) que de cas enregistrés (7.147.070), devant le Brésil (142.058 morts).

 

N.R.M

 
 
 
Published in Corona Virus
Tagged under

Ce mardi soir aura lieu, le premier débat télévisé entre le Président étasunien et son challenger dans le sillage de la présidentielle du 03 novembre prochain. Un duel en mondovision qui intervient après plusieurs mois d’invectives dans les chaumières.

 

Des dizaines de millions d’américains vont suivre avec intérêt ce premier débat entre le Président républicain âgé de 74 ans et l’ancien vice-président démocrate de 77 ans. Donald Trump et Joe Biden vont ainsi se retrouver sur scène pour un duel télévisé de 90 minutes. Tout se fera sous l’œil du journaliste de Fox News, Chris Wallace, figure respectée dans les deux camps, apprend-on de l’AFP.

Pour des observateurs avertis, plusieurs sujets seront au menu de ce débat : la gestion de la crise sanitaire de Covid-19, la Cour suprême, l’économie, les questions raciales, les bilans des deux candidats, mais surtout « l’intégrité du scrutin ».

 Les enjeux de cet affrontement sont clairs pour les deux candidats à la Maison blanche.  Donald Trump espère certainement ce soir, un faux pas de son adversaire qui bénéficie des faveurs des sondages depuis de longues semaines. Pas donc besoin de lire sur une boule de cristal, Trump redoute de devenir le premier président à ne pas être réélu depuis plus d’un quart de siècle (défaite de Georges H. W Bush face à Bill Clinton en 1992).

Toutefois, il serait mieux de s’interdire d’une prise de position hâtive, car c’est une fois que le président sortant actuel s’est présenté en 2016, et a créé la plus grande surprise de l’histoire politique du temps moderne.

De son côté, Joe Biden, entré en politique il y a un demi-siècle, l’ancien sénateur puis vice-président démocrate compte beaucoup sur sa troisième tentative d’accession à la Maison Blanche. L’on se rappelle, le challenger de Donald Trump en 2020 s’était présenté aux primaires démocrates en 1988 et 2008.

Innocent D H

 

Published in International
jeudi, 10 septembre 2020 11:27

Donald Trump : Prix Nobel de la Paix 2021 ?

Pour Christian Tybring-Gjedde – parlementaire norvégien, « cela va de soi au regard du rôle joué par le Président des Etats – Unis   dans l’accord de normalisation entre Israël et les Emirats arabes unis ».

 

Avec un autre élu, il avait déjà proposé Donald Trump pour le Nobel en 2018 pour le rapprochement – aujourd’hui dans les limbes – avec la Corée du Nord. Une information que le locataire de la maison blanche a accueillie avec enthousiasme, selon nos confrères de 20 Minutes Monde

Etre proposé pour le Nobel n’a pas valeur d’adoubement de la part de l’Institut Nobel norvégien. Ce dernier est tenu d’accepter toutes les nominations pour autant qu’elles aient été envoyées avant le 31 janvier par une personne habilitée à le faire, comme c’est le cas de Christian Tybring-Gjedde en tant que député

Jared Kushner, gendre et conseiller de Donald Trump, s’est félicité de cette nomination lors d’une conférence de presse. Tout comme le locataire de la Maison-Blanche qui a tweeté « Merci » en relayant un article annonçant cette initiative.

Dans la foulée, il a retweeté une série de messages sur le même thème : « Le président Trump a été très très honoré d’être nominé ce matin pour le prix Nobel de la Paix, a déclaré Jared Kushner. Je pense que c’est une chose vraiment formidable. »

A plusieurs reprises, Donald Trump a déjà évoqué le prestigieux prix, estimant être mal traité par rapport à son prédécesseur Barack Obama :

« Je pourrais obtenir le prix Nobel de la paix pour beaucoup de choses s’ils l’attribuaient de manière honnête, mais ce n’est pas le cas », avait-il lancé en septembre 2019 en marge de l’Assemblée générale de l’ONU, à New York…

Ils l’ont donné à Obama immédiatement après son arrivée au pouvoir et il n’avait pas la moindre idée de la raison pour laquelle il l’avait reçu », avait-il déclaré. 

En recevant le prix Nobel, le 10 décembre 2009, le président démocrate avait reconnu d’entrée « la controverse considérable » suscitée par cette récompense surprenante à l’aube de son premier mandat.

Quatre présidents américains couronnés

Interrogé par l’AFP sur les raisons de son initiative, Christian Tybring-Gjedde a estimé que le milliardaire républicain le méritait, « surtout si l’on compare avec d’autres lauréats du passé ». « Que ce soit l’accord de Camp David de 1978 ou celui d’Oslo en 1993 : le prix de la paix a été donné aux protagonistes et cet accord est au moins aussi révolutionnaire pour le Moyen-Orient », a-t-il estimé.

Interrogé sur les chances du locataire de la Maison-Blanche d’être couronné de lauriers dans une Norvège généralement peu acquise à sa cause, Christian Tybring-Gjedde a souligné que c’était accessoire.

« Pour les lauréats du Nobel, que ce soit en mathématiques [il n’y a pas de Nobel dans cette discipline], littérature ou chimie, personne ne s’interroge sur leur personnalité, a-t-il fait valoir. Ce n’est pas la personnalité qui fait qu’on reçoit le prix, mais ce que la personne a effectivement réalisé pour instaurer la paix dans le monde».

Dans le passé, certains des cinq membres du comité qui attribuent le prix ont tenu des propos négatifs à l’égard de Donald Trump. Au-delà de Barack Obama, trois autres présidents américains ont déjà reçu le prix très convoité : Theodore Roosevelt en 1906, Woodrow Wilson en 1919 et Jimmy Carter en 2002, alors qu’il n’était plus en fonction.

 

N.R.M

 

Published in International

Le président américain s’en est pris mardi avec virulence à Michelle et Barack Obama, têtes d’affiche de la convention démocrate et précieux soutiens de Joe Biden, qu’il affrontera le 3 novembre prochain

 

Une sortie qui intervient quelques heures après le discours de l’ancienne première dame Michelle Obama.

Dans un discours enregistré, elle a vanté les qualités de Joe Biden, mais elle a surtout fait le procès de Donald Trump, qui, selon elle, « a montré qu’il n’était pas à la hauteur de la tâche » et fait preuve « d’un manque absolu d’empathie ».

La prise de parole de Michelle Obama arrive aussi à la veille de celui de son prédécesseur, le président américain, en difficulté dans les sondages, a multiplié les attaques contre les « Obama - Biden ».

Dans ce ton qui lui est particulier, le chef de l’exécutif américain fait savoir qu’ « Il faudrait que quelqu’un explique à Michelle Obama que Donald Trump ne serait pas là, dans la magnifique Maison Blanche, si son mari, Barack Obama, n’avait pas été président », a-t-il tweeté.

« Les gens oublient combien notre pays était divisé sous Obama-Biden », a-t-il ajouté, disant être un « rassembleur ».

Il ironise sur l’audience des démocrates

Soucieux de ne pas laisser les démocrates accaparer toute l’attention médiatique, l’ancien homme d’affaires de New-York continue à sillonner les Etats-Unis, concentrant ses efforts sur les Etats-clés. Après le Minnesota et le Wisconsin lundi, il s’est rendu mardi matin dans l’Iowa, avant de rejoindre l’Arizona dans l’après-midi. Il a renouvelé, à cette occasion, ses attaques chaque jour plus agressives envers celui qu’il affuble systématiquement du surnom moqueur de « Sleepy Joe » («Joe l’endormi »).

« Joe Biden est la marionnette de la gauche radicale », a-t-il lancé. « Cela va au-delà du socialisme ». « La Chine veut absolument qu’il gagne ! L’Iran veut absolument qu’il gagne ! », a-t-il lancé sous les applaudissements, se posant un négociateur intraitable. Pour la deuxième soirée de cette étrange convention entièrement virtuelle en raison du Covid-19.

Donald Trump, qui a confirmé qu’il prononcerait son discours à l’issue de la convention républicaine depuis les jardins de la Maison Blanche, a ironisé sur les débuts de ses adversaires : « Pas le meilleur moment de télévision qui soit ».

Selon l’institut Nielsen, les audiences télévisées de la première soirée démocrate ont été nettement inférieures à celles de 2016 : 18,7 millions de téléspectateurs, contre 25,9 millions quatre ans plus tôt.

 

N.R.M

 
 
 
Published in International
Tagged under

Le Dr Stella Immanuel revendique 350 malades du Coronavirus soignés grâce à la l’hydroxychloroquine.

Le Dr Stella Immanuel semble avoir conquise le président américain Donald Trump. Une vidéo d’elle accompagnés de certains de ses confrères, a retenu l’attention de la Maison blanche. Dans ladite vidéo, la camerounaise explique, devant la Cour suprême des Etats-Unis, que « les gens n’ont plus à être malades » du nouveau Coronavirus. Parce que la pandémie actuelle, se soignerait avec l’hydroxychloroquine et le zinc. Cette vidéo a été partagée par le Président Donald Trump.

Cette dernière qui n’en est pas à sa première sortie, revendique plus d’une centaine de patients soignés du Coronavirus. Le quotidien Le Jour qui parle aussi du Dr Stella Immanuel dans son édition parue ce 3 août en kiosque, indique  qu’«elle avait fait l’objet d’une brève exposition lors de quelques sorties controversées durant lesquelles elle avait assuré que les dirigeants américains étaient en fait mi-humais, mi-aliens. Ces élucubrations ont certainement pesé dans la décision de Facebook, YouTube et Twitter d’effacer la vidéo de ses déclarations du 27 juillet. Depuis, Stella Immanuel est devenue la tête de turc des médias internationaux… un peu à raison».

Il faut savoir que le Dr Stella Immanuel a assuré que le gel hydroalcoolique et les masques ne sont pas efficaces contre la pandémie de Covid-19. En le faisant, elle a corroboré une grande partie des déclarations controversées de Donald Trump, ces derniers mois. Le Président américain s’est d’ailleurs montré très dithyrambique sur le médecin en conférence de presse.

Née en 1965 au Cameroun, Stella Immanuel est diplômée en médecine de l’Université de Calabar, au Nigeria. Elle est arrivée aux Etats-Unis dans les années 1990. Et elle travaille actuellement au Rehoboth Medical Center, à Houston. Elle est suivie au final par 17 millions de personnes sur les réseaux sociaux.

Liliane N.

  

Published in Corona Virus

Il s’agit de Bill Stepien, selon l’annonce faite ce Mercredi par la maison blanche. Il remplace Brad Pascale alors que le président américain  compte neuf (9) points de retard sur Joe Biden à moins de 4 mois du scrutin, prévu le 3 novembre 2020.

 

« Je suis ravi d’annoncer que Bill Stepien a été promu au poste de directeur de la campagne Trump », a écrit le président sur ses comptes Facebook et Twitter. Brad Parscale, lui, est rétrogradé à son ancien poste de directeur de la campagne numérique.

Fiasco du meeting de Tusla

Cette réorganisation intervient alors que Donald Trump, fragilisé par la crise du corona virus,   est à la peine dans les sondages face à Joe Biden. Selon la moyenne des sondages de RealClearPolitics, Donald Trump compte actuellement 9 points de retard sur Biden. Deux tiers des Américains désapprouvent sa gestion de la crise du Covid, et sa cote de popularité est revenue sur ses plus bas, à 38 % de satisfaits, selon le baromètre Gallup.

Brad Parscale paie sans doute le fiasco du meeting électoral de Tuls, fin Juin. Alors qu’il avait juré avoir eu plus d’un million de réponses, environ 7.000 personnes s’étaient présentées dans une salle aux deux tiers vides. Plusieurs membres de la campagne de Donald Trump ont été infectés, et les contaminations ont explosé à Tulsa deux semaines plus tard.

Qui est Bill Stepien ?

Peu connu du grand public, c’est un fidèle de Donald Trump. Ce quadragénaire a géré les campagnes électorales de Chris rejoint l’équipe de Trump. Il a ensuite occupé plusieurs fonctions à la Maison Blanche, et servait de consultant sur sa campagne de réélection.

Il a gravi les échelons politiques, en tant que directeur de campagne de l'ancien représentant républicain du New Jersey, Bill Baroni, en 2003. En 2008, Stepien a participé aux campagnes présidentielles de l'ancien maire de New York, Rudy Giuliani, et du regretté sénateur de l'Arizona, John McCain.

 Après avoir aidé l'ancien gouverneur du New Jersey Chris Christie à accéder à ses fonctions en lui servant de directeur de campagne, Stepien est devenu le conseiller politique de Christie et son chef de cabinet adjoint. Connue sous le nom de «Bridgegate», la controverse impliquait le Bureau des affaires intergouvernementales que Bill Stepien supervisait. Des e-mails ont été découverts dans lesquels le nouveau directeur de campagne de Trump qualifiait Sokolich d’«idiot». Il n'a pas été inculpé dans l'affaire mais il a été allégué qu’il était au courant du plan visant à interrompre la circulation sur le pont.  

 

N.R.M

 

Published in International
Tagged under

La décision du Président américain a été rendue publique à travers un communiqué publié par la maison Blanche : « Aujourd’hui, le président Donald J. Trump a ordonné une mesure de clémence exécutive pour commuer la peine injuste de Roger Stone ».

 

Dans le document, il est précisé que cet ami de longue date du président est une « victime du canular russe mais désormais, c’est un homme libre… ».  

En rappel, c’est en Février 2020 que l’ex conseiller de Donald Trump a été condamné, pour avoir interféré avec l’enquête du procureur spécial Robert Mueller sur la Russie et la campagne de Donald Trump.

L’homme présenté par « 24 Minutes Infos » comme un adepte auto-proclamé des « arts obscurs » et des « coups fourrés », avait notamment menti au Congrès sur ses contacts avec Wikileaks, à propos des emails piratés d’Hillary Clinton pendant la campagne au mois de Novembre 2019.  Il a également été déclaré coupable de subornation de témoin – il avait cherché à faire taire un associé, Randy Credico, notamment en menaçant son chien

Lors de sa condamnation, le président américain avait dénoncé une peine «injuste»

Dès la condamnation de Stone, Donald Trump avait expliqué qu’il voulait gracier son ex-collaborateur de 67 ans, un conseilleur politique sulfureux connu pour son style haut en couleur et son tatouage de Richard Nixon dans le dos.

La juge avait insisté sur le fait qu’elle n’a été influencée ni par Donald Trump, qui avait dénoncé des réquisitions « injustes », ni par ceux qui voulaient faire Roger Stone un « exemple ». Les procureurs avaient requis une peine comprise entre 7 et 9 ans, ce qui avait poussé le ministre de la Justice Bill Barr à dénoncer une réquisition trop sévère – une intervention qui avait conduit les quatre procureurs à claquer la porte.  

La décision rendue publique ce Vendredi à 20h fait dire par certains acteurs de la vie politico – administrative et judiciaire des Etats Unis qu’une telle décision est en général controversée.

A 20 ans, Stone abandonne ses études pour travailler sur la campagne de réélection du républicain et son nom apparaît même dans la commission d’enquête sur le Watergate.

Roger Stone a inventé les Fake News avant que le terme n’existe. Il se surnomme lui-même le « dirty trickster », le roi des « coups bas » qui trempe dans les « arts occultes ». Il est « prêt à tout pour gagner tant que ce n’est pas illégal ».

Roger Stone a fait ses gammes sous les ordres de Nixon, en faisant passer l’un de ses opposants pour un sympathisant socialiste avec une donation faite en son nom.

Pour Reagan, il a transformé le marketing politique avec des spots de campagne anxiogènes financés par des comités d’action politique. Sa philosophie : « La haine et la peur sont plus efficaces que l’amour».  

Pendant la campagne de Donald Trump, il a enfilé un t-shirt à l’effigie de Bill Clinton avec la mention « violeur » et il a propagé des Fake news aux côtés du conspirationniste Alec Jones.

 

N.R.M

 

Published in International
Tagged under
Page 1 sur 5






Sunday, 05 June 2022 11:01