Alors que le Social democratic front avait déclaré sa non-participation aux élections régionales du 6 décembre 2020, certains de ses conseillers notamment de Bamenda 3 ont voté.
L’information est rendue publique par Ndi Tsembom Elvis, éditeur du journal The Observer. Il affirme que des conseillers du Social democratic front (SDF) ont voté à Bamenda 3, le 6 décembre 2020, jour du scrutin des élections régionales. Ils n’ont pas respecté le mot d’ordre du parti de la balance qui a choisi de ne pas participer aux premières élections régionales du pays.
«Le maire de Bamenda III, Fongu Cletus Tanwe, et ses adjoints sont venus voter aux côtés d’autres conseillers. Approché par des journalistes, il a refusé de commenter », a déclaré Ndi Tsembom Elvis.
On se rappelle que le SDF avait conditionné sa participation aux élections régionales par l’obtention de deux choses à savoir : une refonte des lois électorales et la nécessité de résoudre la crise dans les régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest. Avec ces revendications, le SDF rejoignait ainsi la posture du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (MRC) parti politique de Maurice Kamto qui a demandé qu’aucun corps électoral ne soit convoqué sans qu’il n’y ait eu la réforme consensuelle du Code électoral et la résolution de la crise anglophone.
Concernant donc les conseillers SDF qui sont allés voter, on attend toujours de connaître la position du parti. En refusant de prendre part aux élections régionales du Cameroun, le SDF a laissé la place au Rassemblement démocratique du peuple camerounais qui sans surprise et selon les tendances, a raflé les sièges des conseillers régionaux.
Liliane N.
Le président du Social democratic Front (Sdf) de retour en terre camerounaise après avoir séjourner dix mois environ aux Etats-Unis pour des raisons sanitaires. Pour de nombreux observateurs, Ni John Fru Ndi retrouve ainsi sa formation politique affaiblie par des querelles intestines qui semblent déjà entamées son implosion.
Depuis l’après élections législatives et municipales du 09 février 2020, le climat au sein du Sdf est loin d’être celui des beaux jours. Le constat est clair, le double scrutin a vu le parti de Ni John Fru Ndi s’effondrer progressivement parce que traversé par des querelles internes perdant dans la foulée sa représentativité à l’échelle nationale. A ce jour, le Sdf ne compte plus que 5 députés sur 180 à l’Assemblée nationale. Pourtant lors de la dernière législature, il totalisait 18 sièges. De même, le parti de la balance ne contrôle plus que 4 conseils municipaux localisés dans le Nord-Ouest et le Sud-Ouest, contre 22 en 2013. Pire encore, l’absence du Chairman qui était parti pour les Etats-Unis pour se soigner, va davantage donner libre cour aux cadres du Sdf qui ne parlent plus d’une seule voix.
Toutefois, le retour de Ni John Fru Ndi au Cameroun et partant dans son Social democratic Front va-t-il par une sorte de baguette magique changer la donne ?
Au regard du climat actuel au sein du Sdf, pour certains observateurs de la scène politique camerounaise, son déclin est à la fois progressif et préoccupant. D’aucuns parlent même de trahison quand on sait que plusieurs figures de proue à l’instar du député Jean Michel Nintcheu, donne la nette impression de travailler pour le compte du Mrc sur fond de cacophonie. Cette même attitude est également reprochée au sénateur Tchoumelou et à Jean Robert Wafo, tous accusés par leurs adversaires politiques de militer pour le parti de Maurice Kamto, apprend-on.
Pour d’autres observateurs, le retour du Chairman est porteur d’espoir pour les fervents militants du Sdf, ceux-là qui restent viscéralement attachés aux valeurs de ce parti d’opposition. Pour ramener de l’ordre dans la maison, Ni John Fru devra donc être intransigeant en vers les cadres de fait qui n’ont pour seul ambition que de voir mourir définitivement le parti. C’est d’ailleurs pourquoi, la rentrée politique du président sera de tous les enjeux.
Innocent D H
Selon nos sources, le Chairman Ni John Fru Ndi va organiser dans sa résidence à Yaoundé, une messe œcuménique, en mémoire des cadres décédés du Social democratic front.
C’est demain samedi 31 octobre 2020, que le Chairman Ni John Fru Ndi reviendra au Cameroun. Il vient de passer près d’une année aux Etats-Unis. Contrairement à ce que la fausse rumeur avait laissé entendre, le président du Social democratic front (SDF) est parti au pays de l’oncle Sam, pour avoir des soins médicaux. Cette rumeur avait répandu que le Chairman avait fait une demande d’asile. Le fake news avait conduit le SDF à faire un démenti officiel.
«Des usines à fake news essaient de transformer Ni John FRU NDI en demandeur d'asile. Le Chairman se porte très bien. Il n'a pas fait le Cameroun pendant 30 ans, pourquoi le ferait-il aujourd'hui ?», avait tweeté Joshua Osih candidat investi par le SDF à l’élection présidentielle de 2018.
Ni John Fru Ndi revient donc au Cameroun demain, et des sources internes au SDF, indiquent qu’il organisera à son domicile à Yaoundé, une messe œcuménique. Ceci en la mémoire de plusieurs cadres du parti décédés. On cite dans la foulée, l’Honorable Joseph Mban Ndam, l’ancien Bâtonnier Francis Sam, Me Manga Moussole, le Maire Balik Awah et bien d’autres personnalités.
Liliane N.
Le Chairman Ni John Fru Ndi va s’exprimer sur les sujets brûlants du Cameroun à savoir les élections régionales, la crise sociopolitique dans les deux régions anglophones.
C’est un rendez-vous que le Chairman Ni John Fru Ndi actuellement aux Etats-Unis donne aux camerounais qui pourront se connecter sur le réseau social Facebook. Le président fondateur du Social democratic front (Sdf), entend parler des élections régionales qui vont se dérouler pour la toute première fois au Cameroun le 6 décembre 2020. Il reviendra sur la position du Sdf qui est déjà connue. Le parti de la balance ne compte pas participer au scrutin. Les raisons étant que la crise anglophone sévit encore au Nord-Ouest et au Sud-Ouest, et il y a un besoin de réforme du Code électoral.
Dans une de ses déclarations faisant suite à l’annonce de la programmation des régionales, le Pr Jacques Fame Ndongo a indiqué qu’en choisissant de boycotter les premières élections régionales, le Sdf ne cherche qu’à exister.
«En réalité, M. Ni John Fru Ndi opte sciemment pour la politique-fiction et le nihilisme ou le négationnisme. Il sait que, jadis 2è force politique du Cameroun, son Parti ne cesse de perdre du terrain. Le SDF veut donc exister : c’est le propre de tout parti. Mais, au lieu de reconquérir l’électorat perdu, et redoutant un « Waterloo » dans les urnes, il choisit la fuite en avant et le saut dans l’abime. Or, la politique est un système de signes (une sémiotique). Elle est fondée sur la quantification cohérente des faits, l’intelligibilité d’un programme actanciel, la rationalisation des arguments et la traçabilité d’une vision stratégique et opérationnelle», a écrit le Pr Fame Ndongo en sa qualité de Secrétaire à la Communication du Rassemblement démocratique du peuple camerounais.
Pour revenir au Chairman, le Sdf fait savoir qu’il parlera également des récents malheureux évènements qui se produits dans la ville de Bamenda. Des évènements qui ont conduit à l’opération «Bamenda clean» et au cours desquels, il y a eu des affrontements entre l’armée et les séparatistes.
C’est à 19 heures, que le Chairman Ni John Fru Ndi va parler aux camerounais.
Liliane N.
Le Social democratic front et le Front démocratique révolutionnaire n’ont pas souhaité l’organisation des élections régionales.
Avant même la convocation des collèges électoraux, le Social democratic front (Sdf) et le Front démocratique révolutionnaire ont indiqué ne pas être favorable à la tenue des premières régionales du Cameroun. Il y a bien avant eux, le Mouvement pour la renaissance du Cameroun (Mrc) qui s’est montré hostile à l’organisation de ces élections qui paraissent pour le Rassemblement démocratique du peuple camerounais (Rdpc) comme élections historiques. On ne s’appesantira pas sur le Mrc de Maurice Kamto qui en boycottant les élections législatives et municipales du 9 février 2020, s’est disqualifié de celles-ci.
SDF
Le parti politique du Chairman Ni John Fru Ndi a décidé de ne pas concourir. Il évoque deux problèmes à savoir la crise anglophone et le code électoral. Le préalable qu’il demande pour pouvoir aller à ces élections est de mettre fin à la crise anglophone qui met en mal son fief électoral qui se trouve au Nord-Ouest et au Sud-Ouest, terrain d’affrontements entre les groupes séparatistes et l‘armée. Seulement du point de vue du Pr Jacques Fame Ndongo, ces motifs pour décider de ne pas aller aux régionales ne sont pas valables.
«Par son communiqué du 4 septembre 2020, M. Ni John Fru Ndi a basculé dans le camp nihiliste qui subordonne la tenue des futures élections à la révision du Code électoral et à la résolution de la question anglophone. Un ultimatum ubuesque. Il feint d’ignorer que la révision du Code électoral est consécutive au dépôt d’un projet de loi ou d’une proposition de loi au Parlement : a-t-il un nombre suffisant de Députés ou de Sénateurs pour faire voter une proposition de loi, puisque le projet de loi émane du gouvernement ?», a écrit le Pr Jacques Fame Ndongo.
FDR
Le Front démocratique révolutionnaire qui se montre aussi hostile aux élections régionales se retrouve quelque peu dans la situation identique au Mrc. Toutefois, il évoque la crise anglophone comme un obstacle à la tenue des élections au Cameroun.
Liliane N.
Oumarou Fadil le militant du Rassemblement démocratique du peuple camerounais affirme que le Social democratic front, est habitué à déclarer sa non-participation à la veille d’une élection puis faire un rétropédalage.
L’annonce de la non-participation du Social democratic front (Sdf) aux toutes premières élections régionales qui seront organisées au pays, ne surprend guère Oumarou Fadil le militant influent du Rassemblement démocratique du peuple camerounais (Rdpc), le parti au pouvoir. Dans une interview accordée au quotidien Le Messager, édition parue en kiosque ce lundi 7 septembre 2020, il déclare « l'attitude du Sdf ne nous surprend plus. Il en a toujours été ainsi à la veille de chaque élection, et après on observe un rétropédalage. Le Sdf a pris part au double scrutin du 09 février 2020 avec même le code électoral et a obtenu des conseillers municipaux et des députés. Et bien avant ça des Sénateurs ».
On sait que pour justifier sa non-participation aux élections régionales qui se précisent, le Sdf a évoqué des raisons présentées aussi par le Mouvement pour la renaissance du Cameroun pour demander l’annulation de ce rendez-vous électoral. Ces raisons sont la résolution de la crise anglophone et la réforme du Code électoral. Pour ce qui est de la réforme du Code électoral, pour Oumarou Fadil il s’agit là d’un préalable dénué de tout fondement.
En ce qui concerne la résolution de la crise dans les régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest, le militant influent du Rdpc déclare : « je pense comme tous les camerounais d'ailleurs que le Chef de l'État qui est un mendiant de la paix a pris toutes les dispositions dans ce sens à travers des concertations, la mise sur pied d'une commission de désarmement. Sur le plan des idées, nous savons tous qu'il a apporté des solutions à toutes les revendications corporatistes. Et l'année dernière encore, il s'est agi du grand dialogue national présidé par le Premier ministre Chef du gouvernement. Nous avons vu des sécessionnistes abandonner des armes et souhaiter la paix et l'amour de la patrie ».
Liliane N.
Le Social democratic du front du Chairman Ni John Fru Ndi justifie son refus de prendre part aux toutes premières élections régionales, par la persistance de la crise dans les régions anglophones.
Alors que les choses se précisent de plus en plus pour les toutes premières élections régionales que le Cameroun va organiser, le Social democratic front (Sdf) fait se déclare cheval non partant. L’information a été véhiculée par Radio Equinoxe. Et le parti politique fondé par le Chairman Ni John Fru Ndi justifie ce refus par tout naturellement la crise anglophone qui continue de mettre en mal le Nord-Ouest et le Sud-ouest (Noso).
On peut peut-être comprendre la posture du Sdf. Parce qu’on sait que le parti de la balance n’a que fait multiplier les pires scores de ses participations aux élections, depuis la survenue de la crise socio-politique qui paralyse son bastion, son fief électoral : le Noso.
On se souvient que pour la toute première fois de son histoire, le Sdf n’est pas arrivé deuxième à une élection présidentielle. Le parti du Chairman Ni John Fru Ndi a fini troisième avec un score de 3,36% de suffrages. Le parti avait investi Joshua Osih comme candidat. Pour cette Présidentielle qui a eu lieu en 2018, il a été devancé par le Mouvement pour la renaissance du Cameroun de Maurice Kamto qui est sorti deuxième avec un score de 14,23%. Et il a également été devancé par le parti Univers qui avait investi Cabral Libii. Univers est sorti troisième avec un score de 6,28%.
Si le faible score de 3,36% inférieur aux 10% habituellement obtenu par le Sdf a été par certains militants du parti de la balance notamment ceux de la branche d’Allemagne attribué à Joshua Osih, d’autres ont évoqué la perte du bastion de l’électorat du Sdf. La deuxième justification semble donner aujourd’hui raison à ceux des militants du parti de la balance qui l’ont évoqué. Parce que le Sdf lors des dernières élections législatives et municipales s’en est sorti avec moins de 10 députés.
Liliane N.
Abel Elimbi Lobe l’ancien Conseiller municipal de Douala 5e remarque que Maurice Kamto ne pouvant pas battre le parti du Renouveau, veut seulement se servir de la rue pour accéder au pouvoir.
Même Abel Elimbi Lobe l’ancien militant du Social democratic front (Sdf) n’est pas pour l’appel à un Plan de résistance nationale que Maurice Kamto brandit pour menacer le régime, au cas où le corps électoral est convoqué. De passage à la chaîne de télévision LTM, il ne s’est pas fait prié pour user de son habituel franc-parler pour lancer une pique au président du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (Mrc).
«Maurice Kamto est incapable de mobiliser sur le terrain et de battre le Rdpc au pouvoir, mais compte sur une insurrection pour diriger le Cameroun. Le destin du Cameroun est au-dessus des intérêts des villages… nous opposerons le patriotisme », a-t-il déclaré le mercredi 26 août 2020 sur cette télévision privée.
La réaction d’Abel Elimbi Lobe épouse celle du Pr Shanda Tonme qui a aussi indiqué que le destin du Cameroun doit être mis au-dessus des intérêts individuels et communautaires. «Face aux appels à la violence et à l’intolérance, nous opposerons le patriotisme tout court, et nous prêcherons sans relâche le dialogue et la Réconciliation. Le destin du Cameroun est au-dessus des ambitions personnelles et des intérêts des villages, et notre sécurité collective ne saurait être bradée, hypothéquée, ni soumise au chantage des individus ou des villages», peut-on lire dans la tribune qu’il a sortie en réaction des déclarations de Maurice Kamto.
L’Honorable Jean Michel Nintcheu du Sdf a plutôt pour sa part indiqué qu’il était favorable à l’idée d’insurrection de Maurice Kamto.
Liliane N.
Jean Michel Nintcheu le Député du Social democratic front pense que le Mouvement pour la renaissance du Cameroun même en ayant boycotté les élections législatives et municipales du 9 février 2020, continue d’être un acteur de poids politiquement parlant.
Invité au programme dominical «La vérité en face» diffusé sur la chaîne Equinoxe Tv, l’Honorable Jean Michel Nintcheu du Social democratic front (Sdf) s’est exprimé entre autres sur le Mouvement pour la renaissance du Cameroun (Mrc), le parti politique de Maurice Kamto. Il n’a pas caché son admiration face à cette formation politique qui a boycotté les élections législatives et municipales dernière, et réussit tout de même l’exploit d’être un poids lourd dans la scène politique. «Le MRC qui a boycotté les élections a aujourd'hui une grande capacité de mobilisation. Il faut le reconnaître...Le Mrc est dans une posture qui le rapproche le plus de ce que le peuple de l'opposition souhaite», a déclaré l’Honorable Jean Michel Ninctcheu.
LE PCRN DE CABRAL LIBII
Pour ce qui est du Parti camerounais pour la réconciliation nationale (Pcrn), l’Honorable Jean Michel Nintcheu pense que lorsqu’ils passeront plus de temps à l’Assemblée nationale et qu’ils auront une bonne compréhension de la manière dont les choses se passent à la chambre basse du parlement, ils deviendront moins enthousiastes. «Les Députés du Pcrn ont le zèle du néophytes…Ils sont très enthousiastes. Ils n'ont fait que 3 mois au parlement et comprendront la réalité du parlement. Je suis à plus de 15 ans au parlement. Même les Députés Rdpc ne peuvent pas changer une virgule sur un texte de loi sans la volonté de la Présidence», a-t-il affirmé.
LE SDF
L’Honorable Jean Michel Nintcheu pense qu’il serait bien que le parti politique fondé par le Chairman Ni John Fru Ndi se retire des institutions du pays. Pour lui, ce serait un signal fort. « Je ne suis pas le seul dans le parti [Sdf] à penser qu'à un moment Il faudra faire des sacrifices pour sauver ce pays…J'ai fait la proposition à mon parti de quitter les institutions et de laisser le RDPC avec le parlement, afin de créer un électrochoc», a déclaré le président régional du Sdf pour le Littoral. Le Député a tenu à préciser que ses positions ne sont pas celles du Chairman. Une façon de dire qu’il l’assume tout seul ses propos.
Liliane N.
Jean Robert Wafo, le ministre de la Communication du Shadow Cabinet du Social Democratic Front indique qu’il s’agit d’un mensonge, qui vise la manipulation du public.
Le Social democratic front (Sdf) dément enfin l’allégation de corruption portée sur le chairman Ni John Fru Ndi par le Commissaire de police Albert Leopold Ebene aujourd’hui exilé. Jean Robert Wafo, le ministre de la Communication du Shadow Cabinet du Sdf a réagi sur sa page Facebook. Il trouve déjà incroyable que la somme de 500 millions de FCFA ait été transportée dans un sac par un individu. Pour lui, cette affirmation relève de l’absurde. « 500 millions FCFA en billets de 10.000 FCFA ça fait 100 kg. Y a-t-il une valise qui peut contenir 100 kg et qui est de surcroît porté par une seule personne ? Le comble de la cancritude », a-t-il écrit.
Le ministre de la Communication du Shadow Cabinet du Sdf fait remarquer également qu’à l’époque où le Commissaire de police Albert Leopold Ebene indique que les faits se sont déroulés, l’hôtel dans lequel, les 500 millions de F sont censés avoir été donnés à Ni John Fru Ndi, cet établissement hôtelier n’avait pas encore été inauguré. « L’hôtel Djeuga Palace a été inauguré le 17 décembre 2004 soit deux mois après la tenue de la présidentielle d’octobre 2004. Que les détracteurs du SDF retournent au labo construire d’autres Fake news », a-t-il écrit.
A titre de rappel, le Commissaire de police Albert Leopold Ebene au micro de la radio Rsi, a déclaré que le Chairman Ni John Fru Ndi a reçu 500 millions de F, pour casser la candidature unique de l’opposition lors de l’élection présidentielle de 2004. Dans l’accusation qu’il a formulée, il avait indexé l’ancien Ministre de la Défense Edgar Alain Mebe Ngo’o comme étant la personne qui a remis l’argent au Chairman. Le Sdf apporte donc un démenti à toutes ces allégations.
Liliane N.