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Alors que les commentaires sur une prétendue plainte que son épouse aurait déposé contre lui vont bon train sur les réseaux sociaux et dans les chaumières, avec leur cortège de versions les plus abracadabrantes les unes que les autres, le ministre de l’Enseignement Supérieur explique simplement de quoi il est question.

 

Sa publication

« Le couple Jacques Fame Ndongo et Madame ne traverse ni une tempête conjugale, ni un séisme légal. Il se porte plutôt bien.

Monsieur le Ministre d’Etat, Ministre de l’Enseignement Supérieur ne fait l’objet d’aucune citation judiciaire ou de quelques convocations depuis un prétoire de la République.

Bien plus, le couple mène une paisible vie sociale et professionnelle à la très grande satisfaction du Président de la République qui continue de lui renouveler sa Très Haute confiance qui s’origine dans son impérium régalien approuvé par le peuple camerounais lors du scrutin présidentiel du 9 octobre 2018 (71.28 % de voix pour plus de 3.5 millions de votants), pour une nouvelle mandature constitutionnelle de 7 ans renouvelables, car il est le candidat statutaire du RDPC dans toutes les élections présidentielles.

Cette coupure d’un magazine judiciaire qui circule, sous le manteau et dans les réseaux sociaux fait l’objet d’une exploitation tendancieuse et pernicieuse de la part de certains internautes qui tentent de travestir l’actualité et l’acuité d’un texte judiciaire régulier.

Mme Fame Ndongo Louise née Ndodo, digne épouse du ministre d’Etat depuis 21 ans, sans interruption, ni scènes obscènes de ménage, ni fugue schizophrénique ou paranoïaque, n’a jamais saisi la justice contre son époux.

Elle porte encore, toujours et pour toujours, sur l’annulaire de sa main gauche, au teint cuivré, la scintillante alliance des noces ministérielles du 7 mai 2000.

Le ministre d’Etat, au verbe séducteur et ravageur, en ce temps d’épiphanie d’alors, avait jeté son dévolu sur cette muse de la tribu Batanga sur les bords de l’Atlantique à Kribi, après cinq années de fiançailles fructueuses. Le Chancelier des Ordres académiques avait décidé d’en faire une Reine dans son village Nkolandom.

Cette interprétation, que tentent de faire certains foras, est erronée et relève simplement de l’affabulation, de la délation et de la médisance. Les auteurs de ces galimatias, dans une arrogance jupiterienne, se métamorphosent en un diable vauvert.

Cet esprit de panurgisme médiatique et de politico-panurgisme public, qui caractérise certains confrères irresponsables et espiègles, vise à jeter l’opprobre sur un haut commis l’Etat qui est aux affaires depuis 1972, ça dure 49 ans en termes de coefficient qualitatif et d’érudition quantitative. Ces réactions sibyllines et spécieuses sont suivies au curseur de la loi de portée protectrice.

Leurs auteurs, bien identifiés, sont passibles d’interpellation et de comparution devant les juridictions compétentes pour tentative de diffamation et d’outrage avéré, avec élément matériel à charge : les phrases et paraphrases, les textes et péri-textes qui entrelardent les pages numériques des foras.

Madame Louise Ndodo épouse du ministre d’Etat, diplômée de droit et cadre de société à Yaoundé, est une femme loyale, soumise, irréprochable et en sandales dans un foyer sans scandales. Véritable cerbère autour de l’époux qui est un homme public dont la vie privée consiste à être privé de vie au profit du service public.

Le ministre d’Etat est le chef de village de Nkolandom depuis l’arrêté du préfet de la Mvila, signé en 1999, il y a 22 ans. Il était alors le 1er Recteur, à 48 ans, de l’université de Yaoundé 1, avec le grade académique de professeur titulaire acquis en 1992, sur la même liste d’aptitude des plus brillants d’universités avec le professeur Gervais Mendo Ze dans la même discipline scientifique du CCIU (Commission consultative des institutions universitaires au Cameroun qui est une instance organique, coiffée par le ministre de l’enseignement supérieur en sa double qualité de Chancelier des Ordres Académiques, chargée du recrutement, de la promotion et de la déchéance des enseignants chercheurs.
Sa Majesté Jacques Fame Ndongo succédait, après une large consultation coutumière et administrative, à son grand-père et homonyme, James Fame Ndongo.

Le dossier, en cours devant la juridiction a Yaoundé (compétence ratione loci), est une action privée de demande « d’assignation en mutation judiciaire de régime matrimonial ». Il s’agit d’une demande de rectification, d’amélioration et d’évolution de l’acte matrimonial antérieur et son adaptation au consentement mutuel et actuel des époux.

Un acte de droit n’est pas immuable ou statique, il n’est pas fait ne varietur, pour emprunter à un latinisme croustillant du barreau grec.

Cet acte judiciaire a été fait d’un commun accord ou d’accord-parties, entre les deux conjoints qui préparent les noces d’argent (25 ans de mariage) du 7 mai 2025, à Nkolandom ».

 

N.R.M

 

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Le professeur des universités est certain, l’affectation dont il vient de faire l’objet vers l’université de N’Gaoundéré n’est ni plus ni moins qu’une affectation disciplinaire. Mais au lieu de pleurnicher sur son sort, Messanga Nyamding affirme que cette situation l’arme de plus de courage. Ce d’autant plus qu’il n’a rien à se reprocher.

 

Pour le Pr Charlemagne Messanga Nyamding, il est tout simplement victime de ceux qui veulent détruire l’image du Chef de l’Etat et porter atteinte à la stabilité politique du Cameroun. Et il sait très bien qui sont ces personnes. Pour lui, ce sont les qui « ont pillé, sodomisé au quotidien la morale populaire, détruit les projets présidentiels, confisqué le bien-être social, hypothéqué l’avenir des camerounais pour le seul confort de leur petite personne ». Ce sont « des bureaucrates déshumanisés, colériques, impulsifs, injustes, rancuniers et carnassiers ». Messanga Namding affirme sans ambages que ce gens sont des « compatriotes au caractère vulnérable qui plongent dans l’invective, le mensonge, la calomnie, la moquerie, le dénigrement, la haine, la sorcellerie, la jalousie ou le règlement de compte pour se faire reconnaître et sortir de leur stress et de leur torpeur. » Il n’a pas besoin de nous faire un dessin plus exhaustif de ceux qui lui en veulent. Le descriptif est suffisamment éloquent.

 

« Alors, je vous le confirme, j’irai prendre service à l’Université de Ngaoundéré dans les prochains jours, à l’effet de me rendre à l’Annexe de Garoua »

 

Seulement, l’homme politique qui se défini comme le soutien indéfectible du Chef de l’Etat, un Biyaiste jusqu’au bout des ongles, se dit toujours prêt pour le combat. Il ne baissera jamais les bras. « Il n’y a pas de quoi pleurnicher lorsqu’on a rien à se reprocher : surtout lorsque certains entremêlent les opinions politiques aux affaires académiques ». Plus encore, maintenant que tout le monde est au fait de ce qu’il existe selon lui une véritable horde de fauves qui veulent détruire le pouvoir de Pau BIYA, il est temps d’entrevoir une nouvelle administration camerounaise faites de nouveaux hommes. « Cette mission par moment difficile mais exaltante nous a enfin permis d’apporter la preuve à ceux qui doutaient du moins de l’influence des collaborateurs que notre administration a fort besoin, des hommes politiques accomplis aux affaires » Fait savoir le prof.

 

« Ces attitudes peuvent se comprendre, car eux aussi sont frustrés. Par contre leur décharge sur des innocents est inacceptable. »

 

Et c’est peut-être vrai. On pourrait comprendre que ces gens aussi sont en attente depuis des lustres de l’occasion ultime o ils pourront eux aussi prendre place dans le grand fauteuil d’Etoudi. Ils ont accumulé suffisamment d’argent et de pouvoir. Il ne reste plus que cette haute strate pour couronner leur parcours politique. Or, ne pouvant s’en prendre directement au grand patron, ils font ce qu’ils peuvent pour que les meilleurs soutiens de celui-ci soient fragilisés. Et c’est l’occasion pour Messanga Nyamding de rappeler qu’il restera téméraire. « En tout homme politique et universitaire, je suis sans reproche car mon ÉDUCATION FAMILIALE, ma Foi, mon Initiation au Commandement Traditionnel sont en moi une Force Spirituelle et des Valeurs que nul ne peut ébranler.

Faites-moi confiance que l’on m’aime ou pas, je subis les influences qui sont en moi une Puissance immatérielle que j’ai héritée de mon charismatique Grand-Père Sa Majesté Fon NYAMNDING NTONGO BITÕN BI MBÈRE NSONG YOHMI. »

 

Stéphane NZESSEU

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L’ancien chef de département de l'Intégration et de la Coopération, à l'Institut des relations internationales du Cameroun subit des quolibets depuis qu’il a été notifié de son affectation comme Enseignant à l’annexe de la faculté des sciences juridiques et politiques de l’université de N’Gaoundéré située à Garoua, chef-lieu de la Région du Nord. Un tollé général qui a pris de l’ampleur, donnant l’impression que les Camerounais qui résident de ce côté n’ont pas droit à une instruction de qualité.

 

Les précisions données par le Professeur Jacques Fame Ndongo, ministre de l’Enseignement Supérieur, alors invité sur le plateau de l’émission Actualité Hebdo vont peut être faire taire cette inutile polémique.

« Garoua ne se trouve pas en Papouasie ou en Nouvelle Zélande. Garoua se trouve au Cameroun. C’est une belle ville camerounaise. C’est une ville mythique du Nord, où le camarade Messanga Nyamding a été affecté. Comme le fut le 07 mai 1993, 32 enseignants avaient été affectés, qui à Buea, qui à Bamenda, qui à Dschang… d’ailleurs l’une de ces personnes qui avaient été affectées est actuellement recteur de l’université de Bamenda …

Il garde ses indemnités. Vous savez que grâce au président Paul Biya, les professeurs titulaires ont une prime de recherche qui est de 1 million 60 mille FCFA par trimestre.

Le professeur Messanga garde tout cela. Il a ses primes, il a son salaire, il n'a pas été rétrogradé, il n’a pas été révoqué, il n’a pas été humilié comme d’aucuns le croit…

Je ne sache pas qu’un fonctionnaire qui est affecté à Garoua ait subi une humiliation ou alors une injustice… On parle même d’acharnement… On ne lui a pas arraché la chaire. Il est toujours professeur. Et j’ai cru entendre qu’il est attendu là-bas en héros ».

Aucune moquerie pour les Populations du Nord

Tout simplement parce que le ministre de l’Enseignement Supérieur, à travers cette sortie vient battre en brèche les assertions de Me Christian Ntimbane Bomo qui a entre autres affirmé que :

« Affectation de Messanga Nyamding à Garoua ou la preuve que le régime Rdpc se moque des populations du Grand-Nord. Il est une tradition française de la première guerre mondiale, léguée aux administrations africaines francophones, qui consistait à affecter les officiers généraux incompétents, insoumis dans une ville sous-développé, un coin reculé, perdu, appelé Limoges.  D'où l'expression limoger. C'est à dire affecter disciplinairement à Limoges ».

 

Nicole Ricci Minyem  

 

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C’est à travers un courrier porté que le ministre dEtat - ministre de l’Enseignement Supérieur a rendu hommage à sa compatriote.

 

« Je suis heureux d’adresser mes chaleureuses félicitations à notre digne compatriote …qui obtenu le prestigieux Prix Goncourt des lycéens, pour son roman intitulé « Les impatientes »…

Cette jeune et talentueuse romancière, (l’une des plus douées de sa génération) a su ciseler les mots, avec dextérité et perspicacité, pour en extraire le nectar littéraire et conduire le lecteur au bout de l’imaginaire le plus téméraire…

C’est un moment cardinal pour l’histoire de la littérature Camerounaise et pour l’écriture féminine, si fine et si cristalline… ».

Le membre du Gouvernement souhaite le meilleur à cet ambassadeur de la littérature Camerounaise

« Je souhaite bonne chance et un avenir chatoyant à cette plume géniale et étincelante qui fait honneur aux Belles Lettres Camerounaises, Africaines voire mondiales et au combat planétaire que mène la gent féminine pour une meilleure intelligibilité et une visibilité plus flamboyante, à la dimension de son ingéniosité et de sa ténacité… ».  

Reconnaissance d’un érudit de la langue de Molière

« Merci, Djaïli Amadou Amal, notre Prométhée au féminin, qui vent d’arracher le feu aux dieux du Goncourt, à Lutèce (Paris), la ville des Lumières. Elle a mis cet élixir à la portée des amoureux de la magnifique langue française, qui « brille de mille feux, comme les étoiles de la Pléiade » (Léopold Sédar Senghor)… ».

Le combat contre les violences faites, à l’instar du mariage forcé

C’est l’un des maux que l’écrivaine décrit dans son ouvrage « Les impatientes », étant donné que malgré les années qui passent et les nombreux plaidoyers menés notamment dans les Régions du Grand Nord, cette pratique a encore cours.  

Ils sont nombreux, ces parents qui envoient encore en mariage, des fillettes à peine sorties de l’adolescence, qui ne connaissent strictement rien de la vie et dont l’avenir se limite à « Comment honorer, respecter, obéir au mari, tout en lui faisant au passage, des enfants, garçons de préférence ».

Une ignominie que les adeptes de cette pédophilie défendent en arguant qu’il s’agit de leurs Us et Coutumes, qu’il ont l’obligation de préserver et de protéger en toute circonstance.

Des petites filles dont la vie est parfois irrémédiablement liée à celle des hommes qui parfois sont plus âgés que leur père et qui sont de la même génération que leurs grands pères.

Si cette œuvre doit être inscrite dans le programme scolaire, il doit également être l’un des livres de chevet de tous ceux qui défendent cet esclavagisme mental, afin qu’ils prennent conscience des dégâts mentaux et émotionnels qu’ils causent dans la vie de leurs victimes.

 

Nicole Ricci Minyem

 

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Dans une tribune publiée ce dimanche 25 octobre 2020, le secrétaire à la communication du Comité central du Rassemblement démocratique du peuple camerounais (RDPC) condamne d’un ton ferme la tuerie des 06 élèves à Kumba dans la région du Sud-Ouest Cameroun. Jacques Fame Ndongo martèle que ces terroristes sans conscience n’anéantiront jamais la République.

 

« Lovées dans l’Olympe scintillant de leur pureté, de leur candeur et de leur soif du savoir, les six élèves massacrés hier à Kumba par des séparatistes loufoques, baroques et forcenés parlent à la conscience universelle.  C’est l’humanité qui est flagellée, ulcérée et crucifiée. C’est la condition humaine qui est stipendiée et abâtardie », postule d’entrée de jeu, le secrétaire à la communication du Comité central du RDPC.

Jacques Fame Ndongo ne comprend pas comment des humains peuvent-ils arriver à commettre ces genres de crimes, s’ils ne sont des « illuminés moyenâgeux, des sado-masochistes ». « J’accuse les barbares qui massacrent des innocents avec un cynisme inégalé.  J’accuse les scélérats qui s’opposent à l’école, à la connaissance, à la compétence, c’est-à-dire à l’avenir du Cameroun, de l’Afrique, du monde », dénonce-t-il. Il condamne ainsi avec la dernière énergie ces « sado-masochistes qui se complaisent dans la sauvagerie la plus abjecte. J’accuse ces brigands sécessionnistes qui exterminent la jeunesse camerounaise si talentueuse, si inventive, si géniale. J’accuse ceux qui égorgent le Cameroun de demain ».

Ces sanguinaires vont répondre de leurs actes macabres quel que soit le temps que ça mettra, croit fermement le Ministre d’Etat, Ministre de l’enseignement supérieur (Minsup). D’ailleurs, « L’Histoire retiendra qu’ils ont voulu assassiner le Cameroun. Ils ont plutôt tué leurs desseins macabres et rétrogrades. Leur combat est voué à l’échec : toute la Nation est mobilisée contre ces sadiques sanguinaires. Honnis soient ceux qui les soutiennent, implicitement ou explicitement, parce qu’ils veulent vouer aux gémonies le Président de la République, Chef de l’Etat, Chef des armées, S.E Paul BIYA, apôtre de la paix, de l’unité, du progrès et de la coopération rénovée, dans une Humanité juste et équilibrée », fait savoir l’Homme politique.

D’un ton ferme, Jacques Fame Ndongo interroge ces « Wisigoths des temps modernes ». « Terroristes sans conscience, avez-vous une âme, qui s’attache à la conscience universelle ? avez-vous une conscience pour AIMER nos enfants, vos enfants, nos élèves, nos élèves qui sont la fleur et le nectar du Cameroun ? », écrit-il.

Le secrétaire à la communication du parti du flambeau est sans équivoque, la République ne sera jamais anéantie.  « La République est debout. Sous la houlette du Chef de l’Etat, S.E Paul BIYA, la République avance, fière, digne, intrépide et déterminée, avec tous et pour tous, dans la légalité, la fraternité et la solidarité », indique le Minsup.

Le Pr Jacques Fame Ndongo déclare pour finir, « Honte aux prétendus « libérateurs du peuple » ou « chasseurs du Président démocratiquement élu » : ils rêvent de prendre en otage l’école et les élèves, c’est à dore l’avenir de notre cher et beau pays : « L’école n’est pas une arène politique. L’école aux écoliers, la politique aux politiciens » (dixit S.E Paul BIYA, Yaoundé, le 4 octobre 1991) ».

Innocent D H

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Le document en question est intitulé «Stratégie de conservation du pouvoir au Cameroun, de générations en générations par le régime Biya-RDPC».

C’est un document de 8 pages qui indique que les Forces de maintien de l’ordre avaient reçu la consigne de «procéder aux arrestations au faciès Bamiléké et colorier seulement avec les autres tribus», lors des marches du 22 septembre 2020. Le Pr Jacques Fame Ndongo le Secrétaire à la Communication du Rassemblement démocratique du peuple camerounais (Rdpc) a apporté hier jeudi 24 septembre 2020, un démenti au sujet dudit document qui porte le logo du parti au pouvoir. Le cadre du Rdpc est ferme. Ce document à caractère tribal n’appartient pas au parti du Renouveau.

«Ce document sans entête…circule à travers les réseaux sociaux depuis ce jour (24 septembre Ndlr), après l’échec historique des marches illégales projetées le 22 septembre 2020 au Cameroun, par le Mrc (qui redoute les urnes, passage obligé pour conquérir le pouvoir dans une démocratie avancées). Le Rdpc rappelle que la politique noble et authentique ne s’accommode guère du viol des consciences, de la désinformation et de l’intoxication», peut-on lire dans le démenti du Pr Jacques Fame Ndongo.

Le document réfuté par le Rdpc traitant des marches du 22 septembre 2020, il convient de préciser que celles-ci ont été initiées par Maurice Kamto et le Mouvement pour la renaissance du Cameroun (Mrc) opposés à l’organisation des élections régionales prévues pour le 6 décembre 2020. L’ancien candidat à l’élection présidentielle de 2018 et son parti politique demandent la résolution de la crise anglophone et la réforme du code électoral avant la tenue de toute élection au Cameroun.

Revenant donc au document tribal, le Rdpc demande à l’opinion de n’y accorder aucune importance. «Camerounais de l’intérieur et de la diaspora ce document est faux. Il s’agit de ce que l’on appelle, dans la nouvelle communication, une «infox» (néologisme communicationnel récent, par rapport à intox qui est plus ancien ou, encore, Fake news). N’y accordez aucune considération», peut-on lire dans le démenti du Rpdc.

Liliane N.

 

 

 

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Le Pr Jacques Fame Ndongo convie Maurice Kamto à un débat pour confronter les faits, les visions, programmes et idées de leur parti politique.

Le Rassemblement démocratique du peuple camerounais (Rdpc) est prêt à affronter le Mouvement pour la renaissance du Cameroun (Mrc) dans le cadre d’un débat en mondovision. Dans la nouvelle déclaration qu’il a intitulée «le désordre ne passera pas» et qu’il l’a rédigé en sa qualité de Secrétaire à la Communication, le Pr Jacques Fame Ndongo condamne pour une énième fois les marches initiées par Maurice Kamto et qui ont débuté ce 22 septembre 2020. Indiquant que tout se construit autour d’un débat, le cadre du parti au pouvoir a convié le Pr Maurice Kamto à un échange qui se fera en mondovision.

«Le Rdpc invite le Mrc à un débat en mondovision : Chiffres contre chiffres, faits contre faits, idées contre idées, programme contre programme, stratégie contre stratégie Vision contre Vision…Le débat c’est la force des idées et la force des arguments. La rue c’est la provocation », souligne-t-il.

Revenant sur l’élection présidentielle du 7 octobre 2018 remportée par Paul Biya candidat investi par le Rdpc, le Pr Jacques Fame Ndongo indique que les revendications du Mrc n’ont pas lieu d’être. «La mystification et les intimidations du Mrc n’auront pas raison du peuple camerounais, libre, souverain et maitre de son destin. Le 7 octobre 2018 ce peuple a porté son choix, en toute liberté, sur le Président Paul Biya le candidat crédité «de la force de l’expérience» poursuit-il.

Pour le Pr Jacques Fame Ndongo le Mrc en choisissant la rue fait dans la provocation. «La rue, c’est la farce du brouhaha pour ceux qui arborent les élections transparentes», a-t-il écrit.

Liliane N.

 

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Le Pr Jacques Fame Ndongo en sa qualité de Secrétaire à la communication du Rassemblement démocratique du peuple camerounais affirme que le parti au pouvoir, est contre tout appel à l’insurrection.

Dans une nouvelle déclaration qui date du mardi 15 septembre 2020, le Pr Jacques Fame Ndongo affirme que le Rassemblement démocratique du peuple camerounais (Rdpc) condamne tout appel à l’insurrection. Dans son texte, il indexe le président de la Conférence épiscopale du Cameroun comme faisant partie des segments de la société civile qui appellent aussi à l’insurrection.

«Le Rassemblement démocratique du peuple camerounais a pris connaissance, avec une stupéfaction inénarrable et indicible, des appels à insurrection émanent du MRC et de certains de ses segments de la société civile, dont le président de la Conférence épiscopale nationale. Ce dernier demande aux populations de «descendre dans la rue pour arracher un changement de cap». Le lexème «arracher» est lourd de signification : on n’arrachera jamais pacifiquement mais brutalement  (d’où la connotation insurrectionnelle du verbe «arracher» dans ce contexte précis», a écrit le Secrétaire à la Communication du Rdpc.

Le Pr Jacques Fame Ndongo affirme que le parti au pouvoir le Rdpc, est favorable à la pluralité des opinions. La raison étant que l’unanimité idéologique n’est pas favorable au progrès des idées et à la dialectique. Cependant il précise que le parti du Renouveau est contre l’appel à l’insurrection. Le Rdpc stigmatise corollairement la transgression des lois et règlements de la République. Le cadre du parti au pouvoir précise que quand les lois ne sont plus respectées, c’est la loi de la jungle qui prend le dessus. Tout en demandant qu’on évite la nuit des longs couteaux au Cameroun, il questionne le fait que certains veuillent prendre le pouvoir en usant la force.

«Pourquoi «marcher» pour conquérir le pouvoir alors que dans toutes les facultés de droit du monde, les professeurs enseignent que la vraie démocratie procède des urnes et non pas des «raccourcis anti-démocratiques». Qui veut tromper qui ? Le peuple camerounais n’est pas dupe. Il est mûr, lucide et responsable. Il sait distinguer les facéties de la réalité», a-t-il écrit.

Liliane N.

Published in Parti politiques

Un accord-cadre vient a été signé ce mardi, 08 septembre 2020 à Yaoundé entre Jacques Fame Ndongo, le ministre de l’Enseignement supérieur (Minesup) et Judith Yah Sunday Achidi, directeur général de l’entreprise publique des télécoms, Camtel. Une convention pour la fourniture d’une bande passante qui permettra d’interconnecter les universités d’Etats et l’université Inter-Etats Congo-Cameroun de Sangmélima, dans le sud du pays.

 

En substance, l’on apprend que grâce à la signature de cet accord-cadre, l’offre de connexion internet passera de 263 à 9333 Mégabits par seconde. Ce qui va permettre dans la foulée, la mise en fonction des Centres de développement du numérique dans les universités d’Etats du Cameroun.

A en croire les déclarations de Jacques Fame Ndongo, le ministre de l’Enseignement supérieur, il faut noter un pas de plus enregistré pour le projet « E-National Higher Education ». C’est dans le cadre de ce programme ambitieux que le Chef de l’Etat, Paul Biya avait décidé en 2016 de la mise en œuvre du projet, « un étudiant, un ordinateur ». Une vision matérialisée très rapidement car le président de la République a accordé gratuitement un ordinateur portable à 500 000 étudiants dans les institutions universitaires publiques ou privées du Cameroun.

Il convient aussi d’informer que dans le cadre de la poursuite du programme, « E-National Higher Education », chaque université d’Etat se verra dotée d’un centre de développement du numérique universitaire ultra moderne. Une dotation qui ambitionne de donner une impulsion décisive à l’enseignement à distance, à la numérisation de l’administration universitaire, au travail collaboratif en réseau et à l’interconnexion sécurisée des universités publiques et privées du Cameroun. De sources officielles, l’incidence financière de tout ce programme est de 75 milliards de FCFA. De quoi augmenter davantage la productivité des universités d’Etats camerounaises avec la donne digitale surtout au moment où la professionnalisation des enseignements reste résolument en marche.

Innocent D H

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Le Social democratic front et le Front démocratique révolutionnaire n’ont pas souhaité l’organisation des élections régionales.

Avant même la convocation des collèges électoraux, le Social democratic front (Sdf) et le Front démocratique révolutionnaire ont indiqué ne pas être favorable à la tenue des premières régionales du Cameroun. Il y a bien avant eux, le Mouvement pour la renaissance du Cameroun (Mrc) qui s’est montré hostile à l’organisation de ces élections qui paraissent pour le Rassemblement démocratique du peuple camerounais (Rdpc) comme élections historiques. On ne s’appesantira pas sur le Mrc de Maurice Kamto qui en boycottant les élections législatives et municipales du 9 février 2020, s’est disqualifié de celles-ci.

SDF

Le parti politique du Chairman Ni John Fru Ndi a décidé de ne pas concourir. Il évoque deux problèmes à savoir la crise anglophone et le code électoral. Le préalable qu’il demande pour pouvoir aller à ces élections est de mettre fin à la crise anglophone qui met en mal son fief électoral qui se trouve au Nord-Ouest et au Sud-Ouest, terrain d’affrontements entre les groupes séparatistes et l‘armée. Seulement du point de vue du Pr Jacques Fame Ndongo, ces motifs pour décider de ne pas aller aux régionales ne sont pas valables.

«Par son communiqué du 4 septembre 2020, M. Ni John Fru Ndi a basculé dans le camp nihiliste qui subordonne la tenue des futures élections à la révision du Code électoral et à la résolution de la question anglophone. Un ultimatum ubuesque. Il feint d’ignorer que la révision du Code électoral est consécutive au dépôt d’un projet de loi ou d’une proposition de loi au Parlement : a-t-il un nombre suffisant de Députés ou de Sénateurs pour faire voter une proposition de loi, puisque le projet de loi émane du gouvernement ?», a écrit le Pr Jacques Fame Ndongo.

FDR

Le Front démocratique révolutionnaire qui se montre aussi hostile aux élections régionales se retrouve quelque peu dans la situation identique au Mrc. Toutefois, il évoque la crise anglophone comme un obstacle à la tenue des élections au Cameroun.

Liliane N.

 

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Sunday, 05 June 2022 11:01