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Le pays de Paul Biya occupe le 134ème rang au classement mondiale 2020 en matière de liberté de la presse. Dans son rapport, Reporter sans frontières (Rsf) cite le Cameroun comme un mauvais exemple dans le respect de cette liberté et indexe le Gouvernement sur l'arrestation arbitraire des journalistes. 

 

Dans ce classement 2020 de Rsf, le Cameroun perd trois places par rapport au rang qu'il a occupé en 2019 (131ème place). L'organisation non gouvernementale parlant du paysage médiatique camerounais, le qualifie de "pluralisme de façade". Pour elle, "le nombre pléthorique d'organes de presse souvent mis en avant par les autorités ne suffit pas à assurer un environnement favorable aux médias". 

Rsf dit constater qu'au Cameroun, les problèmes de connexion internet mettent à mal la pratique de la profession. L'organisation basée à Paris en France, écrit dans son rapport, "champion africain des coupures internet en 2017, le pays a de nouveau connu des perturbations de son réseau à la suite de la réélection de Paul Biya pour un septième mandat en octobre 2018".

Toujours à propos de la présidentielle de 2018 au Cameroun, l'Ong relève d'exactions contre les journalistes et les médias. "Menaces, agressions, intimidations et arrestations se sont multipliées en marge de l'élection et lors de la contestation des résultats qui a suivi. Les détentions arbitraires des journalistes et les poursuites, notamment devant les tribunaux militaires ou des juridictions spéciales", rapporte-t-elle tout en indiquant que le climat politique actuel n'est pas favorable à l'exercice du métier de journaliste.

L'association dont le journaliste Pierre Haski assure la présidence revient aussi sur la loi antiterroriste de 2014 qui a valu à Ahmed Abba, correspondant de Rfi, un emprisonnement de 02 ans et demi.Figure aussi dans ce document, le cas d'Amadou Vamoulké, l'ancien directeur général de la Crtv. Rsf estime que celui-ci est injustement détenu à la prison centrale de Yaoundé à Kondengui. 

 

Innocent D H

 

Published in Télécommunication

Sur le plan national, ils ont tous agi sous la houlette de Paul Biya - Chef de l’Etat Camerounais en collaboration avec Olusegun Obasanjo – Président du Nigéria à l’époque des faits - Kofi Atta Annan Secrétaire Général des Nations Unies de regretté mémoire.

 

Il s’agit de :  

- Me Douala Moutomè, Premier Agent de l’Etat du Cameroun, ancien Président du Barreau et ministre de la justice garde des sceaux, restera dans l’histoire comme celui qui a introduit la requête du Cameroun dans l’affaire Bakassi. Un contexte difficile qui ne se prêtait pas à l’optimisme. La suite est connue.

- M Edouard Akame Mfoumou, Ministre délégué à la Présidence chargé de La Défense jusqu’en 1997 

- Pr Ferdinand Oyono, Ministre des relations extérieures de 1992 à 1997

- M Laurent Esso, Agent Principal dès 1996, Ministre de la justice garde des sceaux de 1996 à 2001

- M Amadou ALI, Agent Principal du dossier dès 2001, Ministre Secrétaire Général de la Présidence de la République 1996, Ministre Délégué à la Présidence chargé de La Défense 1997-2001, Ministre d’Etat, Ministre de la Justice Garde des Sceaux 2001-2004, Vice-Premier Ministre, Ministre de la justice Garde des Sceaux 2004-2011

- Pr Joseph Owona, Ministre secrétaire Général à la Présidence de la République 1994 

- Pr Maurice Kamto, Membre-Consultant du cabinet Lysias du Barreau de Paris, Doyen de la faculté des sciences juridiques et politiques de l’université de Yaoundé 2 de 1999 à 2004, membre de la commission du droit international du dossier 

- Pr Peter Ntamark, Agrégé des sciences juridiques et politiques université de Yaoundé 2, Barrister - at - law, membre de l’inner Temple 

- Pr Alain Pellet, Agrégé en droit international à l’Université de Paris X-Nanterre, membre et ancien Président de la commission du droit international 

- Pr Jean Marie Bipoum Woum, Agrégé des sciences juridiques et politiques de l’université de Yaoundé 2, Doyen de la même faculté jusqu’à 1999 

- M Michel Aurillac, Ancien Ministre français, conseiller d’Etat honoraire, avocat 

- Pr Jean Pierre Cot, Ancien ministre de la justice en France, Avocat 

- Pr Maurice Menselson, Professeur émérite de droit de l’Université de Londres, Barrister-at-Law 

- Pr Malcolm N. shaw, Agrégé en droit de l’université de Leicester, titulaire de la chaire Sir Robert Jennings, Barrister-at-law 

- Pr Bruno Simma, Agrégé en droit de l’université de Munich, membre de la commission du droit international.

- Sir Ian Sinclair, Kcmg QC, Barrister-at-Law, membre de la commission du droit international 

- Pr Christian Tomuschat, Agrégé à l’université Humboldt de Berlin, ancien membre et ancien président de la commission du droit international 

- Pr Olivier Corten, Agrégé en droit de l’université libre de Bruxelles 

- Dr Daniel Khan, responsable à l’institut de droit international de l’université de Munich 

- Pr Jean Marc Thouvenin, Agrégé à Paris X-Nanterre, Avocat au barreau de Paris, société d’avocats Lysias 

- Me Eric Diamantis, avocat au barreau de paris 

- Me Jean Pierre Mignard, avocat au barreau de paris 

- Me Joseph Tjop, consultant à la société Lysias, chercheur au Centre de droit international de Nanterre 

- Général d’Armée Pierre Semengue, Chef d’Etat Major des Armées de 1973 à 2001 

- Général de Division James Tataw, Chef d’Etat Major de l’armée de terre au moment de la procédure judiciaire, responsable de la logistique. 

- S.E Isabelle Bassong, ambassadeur du Cameroun auprès des pays du Benelux et de l’Union Européenne 

- S.E Pascal Biloa Tang, ambassadeur du Cameroun en France de 1995 à 2006

- S.E Martin Belinga Eboutou, ambassadeur, représentant permanent du Cameroun auprès de l’organisation des Nations Unies à New York en même temps qu'il dirigeait la Représentation du Cameroun auprès de l'Office des Nations unies à Genève. En octobre 2002 il a présidé le Conseil de sécurité de l’ONU. Pendant son séjour aux Nations unies, il a également présidé le Conseil économique et social et l'Autorité internationale des fonds marins basée à Kingston en Jamaïque. Il était au cours de la même période Ambassadeur du Cameroun en Jamaïque. Il a été un membre très influent de la délégation camerounaise dans le suivi de l'affaire Bakassi, à la Cour internationale de justice de La Haye et dans la Commission mixte Cameroun-Nigeria-ONU en vue de la résolution définitive de ce conflit. 1997- 2007. 

- S.E Etienne Ateba, Ministre-Conseiller, Chargé d’affaire à l’ambassade du Cameroun à la Haye 

- M Robert Akamba, Chargé de Mission au secrétariat général de la Présidence de la République. 

- Pr Anicet Abanda Atangana, attaché au secrétariat général de la Présidence de la République 

- M Ernest Bodo Abanda, Directeur du Cadastre, membre de la commission nationale des frontières

- M Ousmane Mey, Ancien gouverneur de la grande province du Nord frontalière au Nigéria de plus 600 Km 

- Chief Samuel Moka Liffafa Endeley, Magistrat honoraire, Barrister-at-law, membre du Middle Temple, ancien Président de la chambre administrative de la cour suprême. 

- Me Marc Sassen, avocat et conseil juridique 

- M Francis Faî Yengo, Directeur de l’organisation du territoire au ministère de l’administration territoriale au moment du conflit 

- M Jean Mbenoum, Directeur d’administration centrale au secrétariat général de la Présidence de la République 

- M Edouard Etoundi, Directeur de l’administration centrale au secrétariat général de la Présidence de la République 

- M Robert Tanda, Diplomate Conseiller au Ministère des relations extérieures 

- M Samuel Batah Sona, ingénieur géologue, expert consultant des Nations Unies pour le droit de la mer 

- M Thomson Fitt Takang, Chef de service d’administration centrale au secrétariat général de la Présidence de la République 

- M Jean Jacques Koum, Directeur de l’exploitation à la société Nationale des Hydrocarbures (SNH)

- M Jean Pierre Meloupou, Capitaine de frégate, chef de la division Afrique au Ministère de La Défense 

- M Paul Moby Etia, géographe, Directeur de l’Institut National de la Cartographie 

- M André Loudet, ingénieur cartographe 

- M André Roubertou, ingénieur général de l’armement 

- Mlle Marie Florence Kollo-Efon, traducteur interprète principal 

- Mlle Celine Negre, chercheur au Centre de droit international de Nanterre 

- Mlle Sandrine Barbier, chercheur au Centre de droit international de Nanterre 

- M Richard Penda Keba, historien 

- M Boukar Oumara, assistant de recherche 

- M Guy Roger Eba’a, assistant de recherche 

- M André Esso, assistant de recherche 

- M Nkende Forbibake, Assistant Recherche 

- M Nfan Bile, Assistant recherche 

- M Eithel Mbocka, Assistant Recherche 

- M Olinga Nyozo’o, Assistant Recherche 

- Mme Rénée Bakker, Communication 

- Mme Laurence Polirsztok, Communication 

- M Nigel McCollum, Communication 

- Mme Tete Béatrice Epeti-Kame, Communication 

Faire fi de la contribution de tous ces experts, chacun dans son domaine respectif et attribuer à un seul homme, le retour de cette extension de la péninsule de Calabar au Cameroun est faire preuve de prétention et même de malhonnêteté intellectuelle.

 

N.R.M

 

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Ces détenus pour la plupart ravis de se retrouver à l’extérieur de la prison de New-Bell, ont été reconnaissants envers le Président de la République.

 

Le décret portant remise et commutation de peines signé le 15 avril 2020 par le Président de la République commence à s’appliquer. Hier lundi 20 avril 2020, 608 personnes incarcérées à la prison de New-Bell ont été relaxés. Elles sont sorties en tenant en main leur document de levée d’écrou. A l’extérieur de la prison, la plupart de ces détenus était attendue par des proches, des membres de leur famille qui n’ont pas caché leur joie.

La majorité des désormais ex-prisonniers savent qu’ils sont libres grâce à l’acte présidentiel. Aussi, certains n’ont pas manqué d’exprimer leur gratitude au Chef de l’Etat. “Merci popol. Encore 100 ans de vie. Les camerounais sont avec toi”, a déclaré un ex-détenu à sa sortie de prison.

Il faut savoir que selon les profils définis par le décret du Chef de l’Etat, 770 détenus de la prison de New-Bell ont bénéficié de l’acte présidentiel. Parmi ces 770, 162 obtiennent juste une réduction de peine. Ce pénitencier logé dans la ville de Douala, enregistrent 2485 détenus qui attendent d’être jugés. De ce fait, ils ne pouvaient pas bénéficier du décret de Paul Biya. Etant donné que, les prisonniers dont les condamnations n’ont pas encore été prononcées, ne peuvent bénéficier ni d’une commutation ni d’une remise de peines.

Il y aussi les personnes incarcérées pour des motifs en rapport avec des crimes économiques, l’atteinte à la sécurité de l’État, la fausse monnaie, la fraude douanière, la torture, la pédophilie, le viol entre autres, qui ne sont pas concernées par ce décret.

Coronavirus : Commutation et Remise de peine pour tous au Cameroun

 

Liliane N.

 

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Pour S.E Christophe Guilhou Ambassadeur de France au Cameroun, son audience du 16 avril 2020 au Palais de l’Unité, rentre dans l’ordre naturel des usages diplomatiques.

 

La dernière audience que Paul Biya le Président de la République a accordé à S.E Christophe Guilhou l’Ambassadeur de France au Cameroun, a suscité une polémique au pays. Chacun y est allé de sa perception. D’aucuns comme Benjamin Zebaze le Directeur de publication du journal Ouest-Littoral, ont estimé que cette audience qui a coïncidé avec la réapparition du Chef de l'Etat, démontre la soumission du Cameroun à la France.

Invité sur le plateau de télévision du programme Actualités Hebdo de la Crtv, S.E Christophe Guilhou face à Ibrahim Sherif a indiqué d’entrée de jeu, qu’il ne s’attendait pas à ce que son audience du 16 avril 2020 au Palais, fasse naître une polémique. Aussi, répondant aux questions du journaliste Ibrahim Sherif, S.E Christophe Guilhou a tenté de présenter le bien-fondé de ladite audience et son contexte.

“Effectivement j’ai été reçu jeudi dernier par le Chef de l’Etat. Sachez que je suis Ambassadeur de France au Cameroun depuis 8 mois, j’ai été nommé à ce poste par le Président de la République Emmanuel Macron, et dans la structure, je suis accrédité auprès du Chef de l’Etat camerounais M. Paul Biya. C’est lui qui a reçu mon agrément et donc dans ce cadre-là, j’ai des entretiens réguliers avec le Chef de l’Etat. Le dernier avait eu lieu au mois de mars; c’est tout naturellement que j’ai eu un nouvel entretien cette semaine pour faire le point sur les sujets bilatéraux, les sujets internationaux. Je n’ai aucun commentaire à rajouter là-dessus. Nous nous voyons régulièrement et nous discutons des sujets qui intéressent nos deux pays”, a déclaré le Diplomate français.

A la sortie de l’audience du 16 avril dernier, S.E Christophe Guilhou a déclaré qu’il a trouvé le Chef de l’Etat toujours alerte. A la question de savoir donc à qui s’adressait-il? L’Ambassadeur de la France au Cameroun affirme qu’il ne s’adressait qu’à la presse qui l’interrogeait. Et sur le fait qu’il y avait-il urgence ou pas, à ce qu’il  soit reçu par le Chef de l’Etat en ce moment précis, le Diplomate français répond “nous avons des entretiens réguliers. Nous faisons des points sur des sujets bilatéraux. L’Ambassadeur est le messager entre autres de deux Chefs d’Etat et donc nous faisons le point sur un tas de sujets entre les deux pays et Dieu sait si la coopération entre le Cameroun et la France est dense et riche”. 

 

Liliane N.

 

 

 

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Le Sénat a décidé de contribuer pour le Fonds de solidarité nationale créé pour couvrir les dépenses relatives à la riposte de la pandémie du Coronavirus au Cameroun.

 

Marcel Niat Njifenji et les Sénateurs ont décidé d’aller au-delà de la parole. Ils ont décidé d’agir, en faisant un don de 100 millions de FCFA à verser dans le Fonds de solidarité nationale du Coronavirus. C’est Niat Njifenji, le président du Sénat qui a lui-même rendu public l’information au cours de la cérémonie de clôture de la session parlementaire du mois de mars de sa chambre. On retient du discours de la deuxième personnalité du pays, que la stratégie de riposte contre la pandémie conçue par le gouvernement a retenu largement l’attention des parlementaires. Ceux-ci ont rendu un vibrant hommage aux personnels soignants qui au risque de leur propre vie volent au secours des patients du Coronavirus.

Si donc, du côté du Sénat un geste a été posé, à l’Assemblée nationale, on se sera contenté d’un discours et de paroles pour saluer les efforts déployés par le Président de la République, le Ministère de la Santé, le corps médical. 

“Je voudrais du haut de cette tribune, saluer la stratégie de riposte mise en place par les pouvoirs publics camerounais sous la Très Haute impulsion du Chef de l’Etat, Son Excellence Monsieur Paul BIYA, pour barrer la route à la propagation du COVID-19 dans notre pays. La création par le Président de la République, d’un Fonds de Solidarité Nationale avec une dotation initiale d’un milliard de Franc CFA, illustre à suffisance, tout l’intérêt et toute l’importance que Son Excellence Monsieur Paul BIYA accorde à la lutte contre cette pandémie planétaire”, a-t-il déclaré. 

Cavaye Yéguié Djibril dans son discours prononcé à la cérémonie de clôture de la session parlementaire dans sa chambre, a rappelé que seul l’appel à générosité publique lancé par le Chef de l’Etat est le seul qui soit légal. Tous les autres ne sont que des arnaques. “Toute autre initiative visant notamment à faire un appel de fonds, sans l’aval des pouvoirs publics, sera considérée comme une arnaque et sera traitée comme telle. Des lois existent au Cameroun pour de tels cas”, a-t-il déclaré.

 

Liliane N.

 

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Philemon Yang l’ancien Premier Ministre succède ainsi à Peter Mafany Musonge.

 

Le décret a été lu à l’édition du journal de 17 heures du Poste national. Paul Biya le Président de la République a décidé de nommer Philemon Yang son ancien chef du gouvernement, au poste de grand chancelier des ordres nationaux. Une fonction assumée jusqu’à la signature du décret de ce 17 avril 2020, par Peter Mafany Musonge.

Philemon Yang qui est sorti du gouvernement lors du remaniement du 4 janvier 2019, revient donc aux affaires, à l’âge de 72 ans. C’est lui qui va désormais présider aux destinées de cet organe, qui a la charge de réceptionner les dossiers de candidatures à une distinction honorifique, envoyés par les Ministères compétents. 

 

Philémon Yang, est né le 14 juin 1947 à Jiketem-Oku, département de Bui, dans la région du Nord-Ouest. Il a été Premier Ministre par ricochet Chef du gouvernement entre 2009 et 2019. C’est un ancien magistrat et diplomate anglophone. Il est militant du Rassemblement démocratique du peuple camerounais. En janvier 1975, il a été nommé au Parquet de la Cour d’appel de Buéa au poste d’officier comme Procureur. 

 

Le 30 juin 1975, il a été nommé dans le gouvernement comme vice-Ministre de l’administration territoriale. En mai 1978, il est devenu le Ministre de l’Elevage et des Industries animales. En novembre 1979, il a été nommé Ministre des Mines et de l’Energie. Le 4 février 1984, il a quitté le gouvernement. Et le 23 octobre 1984, il a été nommé Ambassadeur du Cameroun au Canada.

 

Liliane N.

 

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C’est le leader de la BAS (Brigade Anti Sardinards) par qui le mensonge sur l’état de santé du Chef de l’Etat avait gagné la toile. Dans l’un de ses directs incendiaires, il s’est cru dans le devoir de diffuser une nouvelle sortie tout droit de ses fantasmes. Mais comme on le dit au Cameroun, « le mensonge n’a pas de longues jambes ».

 

Le 25 Mars 2020, un activiste, membre influent de la BAS fait une sortie sur Facebook. Le titre est inflammatoire : Paul BIYA est mort. MAX SENIOR puisqu’il s’agit de lui, ne fait que reprendre des assertions faites quelques heures plus tôt par un certain Kamoua La Panthère, lui aussi virevoltant acteur de la rébellion de certains camerounais de la diaspora.

Dans son direct, Kamoua La Panthère était péremptoire. Pour mieux habiller son mensonge, il va donner des éléments de vraisemblance selon quoi, cette information lui viendrait du ministre Robert Nkili. Il a plusieurs fois citer le beau-père du Chef de l’Etat comme pour légitimer ses déclarations. Malheureusement pour lui, il n’en est rien. Paul BIYA est bel et bien vivant.

Il faut dire que ni lui, ni MAX SENIOR en son temps n’avaient donné des preuves irréfutables de son décès. Souvenons-nous que selon MAX SENIOR, Paul BIYA était mort parce qu’il n’avait pas pris la parole publiquement depuis le début de la crise sanitaire au Cameroun comme c’est le cas dans tous les autres pays du monde.

Depuis que Paul BIYA a fait cette apparition en compagnie de Christophe Guilhou, toute honte bue, Kamoua La Panthère a pratiquement disparu des réseaux sociaux. Il se cache peut-être. Juste un message laconique du genre « les camerounais demandent à être mieux gouvernés et non assister à une pièce de théâtre nous méritons mieux ».

Un message vide de sens qui équivaut à ne rien dire. Kamoua La Panthère a menti a tout un peuple pour des raisons inavouées. Kamoua La Panthère a voulu manipuler le peuple camerounais pour qui il dit se battre. Au point où à ce jour on peut se demander pour qui se bat-il vraiment ? Quand on sait les mouvements d’humeurs voire la guerre civile qu’aurait pu engendrer une telle nouvelle au cas où les camerounais y avaient fait foi. Heureusement pour nous, les citoyens sont matures et ne cèdent plus à toute sorte de manipulation.

Quant à Kamoua La Panthère et les siens, ils sont des menteurs et ceux qui continuent à les écouter devraient avoir à l’esprit cette fable de La Fontaine, "Le Corbeau et le Renard".

 

Stéphane NZESSEU

 

Published in Société

Cabral Libii le Député du Parti camerounais pour la réconciliation nationale pense qu’à l’heure actuelle, le gouvernement doit revoir son train de vie.

 

L’Honorable Cabral Libii plaide pour un réajustement de la Loi des finances de cette année, au vu de la pandémie du Coronavirus qui sévit aussi au Cameroun. «Au regard de la crise sanitaire qui frappe le monde, qui frappe le Cameroun, au regard des exigences que cela comporte en termes de financements, nous avons dit que le préalable des préalables, c’était une loi de finances rectificative», a-t-il déclaré.

Réagissant sur les antennes de la chaîne de télévision Equinoxe, le Député du Parti camerounais pour la réconciliation nationale (Pcrn), a donné quelques pistes à explorer, pour un financement du Fonds de solidarité nationale, créée par Paul Biya le Président de la République, dans le cadre de la lutte contre le Coronavirus.

Il suggère par exemple, la baisse des salaires des Ministres et même ceux de certains parlementaires. «Il faut revoir l’ordre de priorité de la dépense publique; qu’on revoit à la baisse le train de vie de l’Etat, la rémunération des ministres, des hauts responsables et même des parlementaires pour trouver l’argent nécessaire pour faire face à la crise», a déclaré le Député Pcrn du Nyong-et-Kellé.

Dans le même ordre d’idées, l’Honorable Cabral Libii suggère «des ajustements fiscaux et douaniers» qui doivent être envisagés. Seulement le Député fait remarquer qu’aucun texte sur la révision de la loi des finances de l’année 2020, n’a été adressée par le gouvernement au parlement.

 

Liliane N.

 

Published in Parti politiques

En recevant ce Jeudi l’ambassadeur français le Chef de l’Etats Camerounais a évoqué avec son hôte quatre sujets essentiels : la Santé – l’Economie –la Recherche et l’Humanitaire

 

Et bien évidemment ils n’ont pas manqué de parler du Covid 19, cette pandémie qui touche le monde entier, comme l’a entre autres relevé Christophe Guilhou sur le perron du palais d’Etoudi : «  J’ai retrouvé le Président Biya qui m’avait reçu en audience il y a un peu plus d’un mois, toujours alerte et nous avons eu une très longue discussion, notamment sur les facilités accordées par le gouvernement Camerounais qui a permis le retour en France des français qui ont été bloqués par la fermeture des frontières aériennes et maritimes, et également rappeler tous les efforts de la France en faveur du Cameroun qui traverse comme beaucoup d’autres pays, une épreuve dure avec une épidémie de Covid – 19…Je lui ai rappelé également tous les efforts en matière de fourniture médicale, la prise en charge des malades ». 

Le Président Paul Biya et son invité ont également parlé de l'allègement de la dette du Cameroun : « D’un point de vue budgétaire, financier, le moratoire sur le remboursement de la dette sur le Cameroun qui était obtenue au cours du G20, le président Macron a été un élément moteur de cette décision, va se traduire par un allègement de 230 milliards de FCA pour l’économie camerounaise dont 60 milliards pour la France… ».  

 

Aucun lien avec la sortie de Maurice Kamto 

L’évocation de ces sujets, notamment celui relatif à la crise sanitaire au niveau national, a suscité sur la toile et même au sein d’une certaine opinion quelques critiques acerbes. Les militants et sympathisants du Mrc se sont approprié cette sortie du Chef de l’Etat, arguant que c’est suite aux ultimatums de leur leader que Paul Biya a « daigné montrer son nez parce qu’il a eu peur du constat de la vacance introduit à l’Assemblé Nationale ».

Prétendue vacance à la présidence : Fame Ndongo décrypte la démarche de Kamto  

 

En face, ils ont reçu une riposte musclée car considéré comme de simples récupérateurs à l’affût du moindre détail dans leur besoin maladif d’exister 

«  Les rêveries autour d'une éventuelle vacance à la tête du pouvoir sont ainsi stoppées nettes. Les copies renvoyées à leurs auteurs, avec immanquablement mais suffisamment en exergue écrit dessus constatation chimérique. Au-delà d'une simple apparition de "l'homme Lion" donc, une véritable interpellation à l'endroit de ces con-patriotes qui ont fait de l'éventualité de la mort d'un individu un projet de vie.

Quelle absurdité!

Quelle stupidité!

Quelle bêtise!

Quel plaisir un être humain équilibré, détenant l'entièreté de ses sens pourrait bien avoir à faire des incantations pour souhaiter voire disparaître un de ses semblables!

Qui plus est, dans notre contexte des peuples Bantous où atteindre le troisième âge devrait davantage être considéré comme une grâce!

En raisonnant même par l'absurde, c'est à se demander comment certaines gens peuvent un seul instant imaginer qu'il suffira juste que le Président de la République ne soit plus là (nul n'est immortel) pour que leurs vies deviennent roses du jour au lendemain… ».

A travers cette sortie, le Président de la République donne la preuve qu’il n’a jamais eu le moindre problème et qu’il gouverne bel et bien à la tête de la magistrature suprême du pays qui lui a été confié. En rappel, tous les décrets signés et publiés depuis le début de la pandémie du Covid – 19.

 

Nicole Ricci Minyem

 

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L’Union européenne (UE) soutient les efforts de lutte contre la pandémie de coronavirus au Cameroun. La délégation de l’UE basée à Yaoundé indique qu’une subvention à hauteur de 7,2 milliards de nos francs vient d’être débloquée au profit du pays de Paul Biya.  

 

Un pas de plus franchi par l’UE dans le soutien de la lutte anti Covid-19 en Afrique. Le Cameroun bénéficie d’un appui financier de 7,2 milliards de FCFA de cette association politico-économique constituée de 27 Etats européens. De l’argent qui devra aider le pays à renforcer davantage son dispositif de riposte contre cette pandémie. 

Selon les déclarations de la délégation de l’UE au Cameroun, « des systèmes de santé solides et réactifs sont essentiels pour lutter contre la pandémie de coronavirus. Avec notre soutien, nous contribuerons à renforcer les systèmes de soins de santé dans les pays partenaires, afin qu’ils soient en mesure de traiter les personnes touchées et de contenir la propagation du virus ». 

Outre l’UE, il est signalé que le Cameroun attend un soutien financier de ses partenaires multilatéraux à l’instar de la Banque mondiale. En effet, celle-ci annonçait être disposée à fournir une aide rapide d’un montant allant jusqu’à 12 milliards de dollars, soit plus de 7000 milliards de FCFA. Une contribution qui vise à permettre aux Etats membres de cette institution financière parmi lesquels le Cameroun, de mieux venir à bout de la pandémie du siècle que constitue le coronavirus. 

Trésor public : Le Cameroun sécurise une première enveloppe de 71 milliards de FCFA  

 

Innocent D H

 

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Sunday, 05 June 2022 11:01