Le joyau architectural qui va accueillir des délégations de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) que le Cameroun va organiser en 2022, a désormais un nouveau nom. Appelé jusqu’ici Hôtel 70 chambres, le Chef de l’Etat, Paul Biya vient de lui attribuer la dénomination de « Ribadou ». L’on apprend aussi que l’infrastructure va bénéficier de plus de 127 millions de FCFA pour ses premiers mois de mise en exploitation.
L’hôtel 70 chambres de Garoua devra désormais porter le nom « Ribadou » hôtel. Ainsi en a décidé le Président Paul Biya. C’est ce que révèle une correspondance du ministre d’Etat, secrétaire général de la présidence de la République (Sgpr), du 14 juillet dernier, adressée au ministre d’Etat en charge du Tourisme et des loisirs (Mintourl).
En effet, Ferdinand Ngoh Ngoh écrit : « J’ai l’honneur de vous informer qu’il (le président Paul Biya) vous demande de bien vouloir attribuer la dénomination « Ribadou » au nouvel hôtel 70 chambres de Garoua ». Selon les explications du ministre d’Etat secrétaire général de la présidence de la République, le choix du Chef de l’Etat s’appuie sur le fait que « Ribadou ayant été la première appellation de la ville de Garoua ».
Par la même occasion, Ferdinand Ngoh Ngoh porte à la connaissance du Mintourl que le Président de la République a demandé de mettre à la disposition du nouvel hôtel, plus de 127 millions de FCFA pour ses six premiers mois d’exploitation. Le personnel à officier au Ribadou est redéployé de l’Hôtel Bénoué avec de nouveaux contrats de travail.
Précisons que l’ouvrage qui était jusqu’ici connu sous le nom, Hôtel 70 chambres de Garoua est situé au quartier Plateau et fait parti des infrastructures de la ville qui vont servir à l’organisation de la Coupe d’Afrique des Nations 2022. Les travaux menés par l’entreprise portugaise Mota Engil achevés récemment ont coûté 6,5 milliards de FCFA.
Innocent D H
Ces partis politiques de l’opposition ont adressé au président national du Rassemblement démocratique du peuple camerounais, une motion de soutien.
L’élection présidentielle de 2025 préoccupe déjà certains partis politiques de l’opposition. Cameroon tribune le quotidien à capitaux publics rapporte qu’il y a 11 partis de l’opposition qui viennent de rendre public leur désir de voir Paul Biya se présenter à cette élection. Il convient de souligner que les partis en question sont peu ou voire pas connus de la scène politique. Pour matérialiser leur voeu, ils ont adressé une motion de soutien au Chef de l’Etat.
Dans cette motion de soutien intitulée «Soutien au Chef de l’Etat : L’appel des présidents des partis politiques de la majorité présidentielle», on peut lire ce qui suit: «appelons les Camerounais à respecter le pouvoir discrétionnaire de notre actuel Président et prochain candidat par ailleurs, Son excellence Paul Biya, par ailleurs seul Président véritablement élu dans le choix de ses collaborateurs à tous les niveaux et sur tous les plans (civil et militaire) Dieu Tout-Puissant étant son inspirateur».
Ces 11 formations politiques de l’opposition indiquent que Paul Biya sera élu en 2025. Elles affirment qu’il fait preuve d’un «esprit d’ouverture démocratique ». Cela se vérifiant par le nombre de partis qu’on trouve au Cameroun. Elles condamnent « avec fermeté l’instrumentalisation du peuple camerounais avec cette affaire de « gré à gré » qui en fait ne consiste qu’à semer la confusion dans l’esprit des Camerounais avec en toile de fond la préparation d’une insurrection populaire ». Par ailleurs, elles regardent aussi d’un mauvais oeil, « certains médias » et les réseaux sociaux coupables à leurs yeux, parce qu’ils tentent de « peindre le Cameroun en noir ainsi que ses dirigeants ».
Les noms des signataires de la motion susmentionnée
Mvogo Léopold Marc (MDD), Eyenga veuve Ayissi Ntsama (DAC), Signone Germaine veuve Abe (PUR), Malanga Guy Roger (FPC), Ndameda Annicette Celine Vanessa (POUC), Nlengui (URC), Kangueked Asabe Adam (CNDP), Matip Libam Henri (MPC), Dembelle Tombi Ponce (USD), Polock Mabe (RFN), Benoît Essomba (UBC).
Liliane N.
La Cour pénale internationale s’est déclarée incompétente pour ce dossier.
C’est par voie de correspondance que la Cour pénale internationale (Cpi) a répondu à la demande de Leonel Beteck Kome, défenseur des droits de l’Homme. Ce camerounais avait porté plainte contre Paul Biya le Président de la République en mai 2019, à la Cpi. Cette plainte tenait le Chef de l’Etat responsable de crimes commis dans les deux régions anglophones du pays à savoir: le Nord-Ouest et le Sud-Ouest.
Mark P. Dillon, le chef de l'Unité d'information et de preuve au Bureau du Procureur de la Cpi dans sa correspondance, a fait savoir au plaignant que la juridiction internationale est incompétenc.
«Comme vous le savez peut-être, la Cour pénale internationale («la CPI »ou« la Cour ») est régie par le Statut de Rome, qui confie à la Cour une compétence et mandat très spécifiques et soigneusement définis. Une caractéristique fondamentale du Statut de Rome (articles 12 et 13) est que la Cour ne peut exercer sa compétence à l'égard des crimes internationaux que si (i) sa compétence a été acceptée par l'État sur le territoire duquel le crime a été commis, (ii) la compétence a été acceptée par l'État dont la personne accusée est ressortissante, ou (iii) la situation est renvoyée au Procureur par le Conseil de sécurité agissant en vertu du Chapitre VII de la Charte des Nations Unies», a-t-il écrit.
Liliane N.
C’est par la voix de Simeón Oyono Esono le Ministre des Affaires étrangères et de la Coopération de la Guinée équatoriale, que les efforts du Cameroun qui ont permis l’échec de la tentative du Coup d’Etat orchestré contre le Président Théodoro Obiang Nguéma Mbatsogo, en décembre 2017, ont une énième fois été salués.
C’est l’un des moments forts de la concertation qui s’est ouverte hier 20 juillet 2020 à Malabo entre les Ministres de la Défense du Cameroun et de la Guinée équatoriale. Le pays du président guinéen salue une fois de plus l’implication du pays de Paul Biya, dans la mise en déroute du Coup d’Etat, qui a failli avoir lieu en décembre 2017 sur le sol guinéen et contre son régime actuel.
«Nous exprimons notre gratitude au gouvernement camerounais pour sa collaboration sur l'échec de l'attaque mercenaire de décembre 2017 en Guinée Equatoriale. Cependant, des menaces provisoires persistent de la part de nos ennemis qui tentent de commettre des actes macabres et de provoquer des effusions de sang dans notre pays. Nous félicitons le gouvernement du Cameroun pour son implication auprès de tous ceux qui sont impliqués dans ce coup d'État frustré», a déclaré Simeón Oyono Esono le Ministre équato-guinéen de la Défense.
Sécurité transfrontalière
Il convient de rappeler que le Ministre Simeón Oyono Esono, a tenu les propos susrapportés au cours de la concertation instruite conjointement par Paul Biya et Théodoro Obiang Nguéma Mbatsogo, qui s’est ouverte hier, et à laquelle prend part Joseph Beti Assomo le Ministre de la Défense. Il y est accompagné par Lejeune Mbella Mbella Ministre des Relations extérieures et le Général du corps d’Armées René Claude Meka, chef d’État-major des d’armées. Ces assises qui vont prendre fin ce 21 juillet 2020, vont connaître la signature de l’accord de coopération sur les modalités de coordination et d’actions communes en matières de défense et de sécurité transfrontalière entre la République de Guinée équatoriale et la République du Cameroun.
Liliane N.
Toutes ces 7 nouvelles lois ont été promulguées hier 20 juillet 2020.
Après la délibération et l’adoption au Parlement, Paul Biya le Président de la République a décidé de promulguer 7 nouvelles lois. Deux de ces 7 lois retiennent particulièrement l’attention. Il y a tout d’abord celle portant ratification de l'Ordonnance n°2020/001 du 03 juin 2020 modifiant et complétant certaines dispositions de la loi n°2019/023 du 24 décembre 2019 portant loi de finances de la République du Cameroun pour l'exercice 2020. L’enveloppe passe de 4951,7 milliards de FCFA à 4409 milliards de FCFA, soit une diminution de 542,7 milliards de FCFA, correspondant à un taux de variation de moins 11%.
Après cette loi, il y a aussi celle qui régit les associations culturelles, qui a récemment essuyé de vives et acerbes critiques acerbes dans les milieux artistiques. Certains artistes voit en elle le début d’une autre cise. C’est le cas du Prince Ndedi Eyango qui en a parlé sur les antennes de la radio Balafon le 17 juillet 2020.
«Cette loi est quelque chose de compliquée pour des hommes libres comme les artistes. J’ai lu des extraits qui parlent de peines d’emprisonnement, d’amendes. Ce n’est pas artistique. Nous ne sommes pas habitués. Devant le Ministre des Arts et de la culture je l’ai dit. J’ai dit que nous sommes libres et indépendants. On reconnaît au premier abord que cette loi est compliquée à partir du moment où elle nous empêche de rester libres. C’est fondamental ! Nous ne sommes pas habitués à la bureaucratie, à certaines lois. Encore que nous les artistes avons beaucoup de problèmes. Je peux dire que cette loi n’avait même pas lieu d’être. C’est une autre crise qui commence», a-t-il déclaré.
En plus de ces deux lois susmentionnées, le Chef de l’Etat Paul Biya a promulgué celles régissant l’activité statistique au Cameroun; modifiant et complétant certaines dispositions de la loi n° 90/053 du 19 décembre 1990 relative à la liberté d'associations; autorisant le Président de la République à ratifier le Statut de l'Organisation pour le Développement de la Femme dans les Etats membres de l'Organisation de la Conférence Islamique; autorisant le Président de la République à procéder à l'adhésion du Cameroun a l'Accord sur la conservation des gorilles et de leurs habitats, adopté le 26 octobre 2007 à Paris (France); modifiant et complétant certaines dispositions de la loi n° 90/053 du 19 décembre 1990 relative à la liberté d'association.
Liliane N.
Après la sortie du député SDF, Michel Michel Nintcheu qui qualifiait la gestion de la Covid-19 d’opaque, la réaction du ministre camerounais de la Santé publique (Minsante), Dr. Manaouda Malachie ne s’est pas faite attendre. Le membre du Gouvernement approché par nos confrères du journal Mutations a déploré le fait qu’un député de la République ait utilisé des réseaux sociaux pour poser une question sur un sujet aussi préoccupant.
« J’aurais aimé ne pas dire quelque chose sur ce genre de propos. Mais, si vous m’y amenez, je voudrai tout simplement déplorer le fait qu’un député de la République puisse se déporter sur des réseaux sociaux pour poser une question sur un sujet aussi préoccupant, alors qu’il y a un mécanisme du contrôle de l’action gouvernementale qui est bien connu », répond Manaouda Malachie à nos confrères de Mutations à l’occasion de l’inauguration d’un centre spécialisé dans la prise en charge des personnes malades du Coronavirus le 17 juillet 2020 à Ebolowa. Le ministre de la Sante souligne, « il se trouve que je n’ai pas reçu une interpellation par l’Assemblée nationale pour pouvoir répondre de tout ce qui est dit ».
Précisons que dans sa tribune, le député SDF, Jean Michel Nintcheu demandait des clarifications sur le Fonds spécial initié par le Président Paul Biya dans le cadre de la riposte contre cette pandémie.
Selon le Minsante, le député n’est pas tout simplement informé sur le sujet. Ce qui amène le patron de la Santé à conclure, « pour une personnalité vivant à Douala comme lui, il serait loisible de se rendre au stade Mbappé Leppé, pour constater qu’il y a plus de toilettes mobiles (…). S’il était passé voir le ministre des Finances, il comprendrait que le fonds de dotation spécial n’est pas encore opérationnel ».
Rappelons que c’est dans une lettre la semaine dernière que Jean Nintcheu critiquait et dénonçait le système de gestion du Coronavirus au Cameroun. Le député de la République exigeait ainsi la mise sur pied d’une commission parlementaire qui va mener l’enquête sur la gestion du Fonds de riposte contre la Covid-19.
Innocent D H
L’inauguration de ce Centre d’isolement et de prise des malades du Coronavirus a été conduite ce jeudi, 16 juillet 2020 à Douala par le Secrétaire d’Etat auprès du ministre de la Santé publique, Alim Garga Hayatou. Il s’agit ainsi de la matérialisation des instructions présidentielles sur la décentralisation de la stratégie nationale de lutte contre cette pandémie.
Voici un nouvel élan du Cameroun dans son combat contre l’ennemi commun que constitue le coronavirus. Alim Garga Hayatou, le secrétaire d’Etat auprès du ministre de la Santé publique vient de procéder à l’inauguration du Centre d’Isolement et de prise en charge des malades du coronavirus à Douala. « Je suis venu témoigner à l’ensemble de la communauté nationale, la livraison du premier centre d’isolement instruit par le président de la République qui, a demandé à chaque région de faire le maximum pour que les malades soient normalement traités dans de très bonnes conditions », va-t-il déclarer.
Situé à l’écart d’autres services de l’hôpital Laquintinie de Douala, il a une capacité de 21 lits plus quatre lits pour les soins intensifs. De quoi optimiser la prise en charge des patients dans cette partie du pays. C’est du moins ce qu’explique Gérard Muluem, ingénieur de Glodys Etablissement, chargé des travaux : « ce centre d’isolement est entièrement équipé pour répondre aux normes de traitement contre la Covid-19. Nous avons également une centrale à gaz pour les gaz médicaux, une alimentation en énergie autonome pour permettre qu’on offre des soins adéquats à tout moment aux malades ».
Conformément à la stratégie gouvernementale de riposte à la Covid-19 au Cameroun et sur hautes instructions du Chef de l’Etat, Paul Biya, d’autres centres d’isolement et de prise en charge devront être construits à Ebolowa, Bertoua, Garoua, Maroua, Buea et Bamenda.
La situation épidémiologique en date du 16 juillet 2020 telle que rendue disponible par le ministère de la Santé publique fait état d’un cumul de 16 157 cas positifs avec 373 décès, soit un taux de létalité de 2,3%. 13 728 personnes ont été déclarées guéries, soit un taux de guérison de 85%.
Innocent D H
L’information a été rendue publique ce 14 juillet 2020 par le ministre camerounais de l’Administration territoriale (Minat), Paul Atanga Nji. Elle fait suite à la décision de l’Arabie Saoudite de restreindre la participation au Hadj à ceux qui résident dans le pays.
Dans son communiqué, Paul Atanga Nji informe : « en raison de la persistance de la pandémie Covid-19 un peu partout dans le monde, le royaume d’Arabie Saoudite a décidé de restreindre la participation des pèlerins au Hadj 2020 aux seules personnes résidant en Arabie Saoudite ». Le ministre de l’Administration territoriale précise de ce fait, « les fidèles musulmans camerounais ne pourront pas effectuer cette année comme par le passé, le pèlerinage aux lieux saints de l’Islam ».
Dans un précédent communiqué le 10 juin dernier, le Minat, président de la Commission nationale du Hadj indiquait déjà, « qu’en raison de la pandémie de Covid-19 ayant entraîné des restrictions aux mouvements des personnes à travers le monde, de fortes incertitudes planent sur la participation de nos compatriotes au Hadj 2020 dans les lieux saints de l’Islam ». Le membre du Gouvernement avait alors demandé, « à tous les encadreurs qui servent notamment d’intermédiaires pour les fidèles, de s’abstenir de collecter des fonds pour l’inscription des pèlerins au Hadj 2020 ».
Selon des chiffres officiels, le 29 juillet 2019 le Cameroun a enregistré 2 389 pèlerins candidats au départ. Ainsi, le nombre de pèlerins était en augmentation de 350 par rapport à 2018. Toujours l’année dernière, compte de la hausse des prix du Hadj pour le pèlerinage à la Mecque, le Président de la République, Paul Biya avait accordé une subvention d’un milliard de FCFA pour combler cette flambée. Les fidèles musulmans camerounais devaient alors payer 2,242 millions de FCFA comme l’année précédente (2018), au lieu des 2,529 millions de francs CFA.
Innocent D H
Paul Biya le Président de la République rassure le Chef d’Etat de la France sur son engagement à œuvrer pour d’excellentes relations entre le Cameroun et son pays.
Paul Biya le Président de la République n’a pas dérogé à la règle. En ce jour de 14 juillet 2020 où la France commémore sa fête nationale, il a adressé une correspondance à Emmanuel Macron, Président de la République française.
« Monsieur le Président, il m’est agréable de vous adresser à l’occasion de la commémoration de la Fête nationale française le 14 juillet, mes vives et chaleureuses félicitations. J’y associe mes souhaits de santé et bonheur pour vous-même et pour le peuple français», peut-on lire dans la correspondance du Chef de l’Etat.
Profitant de cette correspondance, Paul Biya a tenu à rassurer Emmanuel Macron sur son désir d’œuvrer davantage pour bâtir d’excellents rapports entre le Cameroun et la France.
« Dans l’intérêt et le respect mutuels, la France et le Cameroun ont tissé au fil de l’histoire, des liens étroits, denses et multiformes. Soyez rassuré de ma disponibilité à œuvrer davantage avec vous-même, à la consolidation et la promotion continue d’excellentes relations d’amitié et de coopération qui existent entre nos deux pays », peut-on lire dans la correspondance du Président de la République.
Liliane N.
Les pensions des agents publics camerounais à la retraite revalorisées de l’ordre de 20%. C’est la substance d’un décret signé du Président de la République Paul Biya. La lecture de cet important texte a été faite au journal de 17 heures sur le poste national de la Crtv, ce mercredi 08 juillet 2020.
« Les pensions de vieillesse, d’invalidité et de décès en vigueur au 31 mars 2020 sont revalorisées d’un coefficient de 20% pour compter du 01er août 2020 », précise le décret datant du 08 juillet signé du Président de la République du Cameroun, Paul Biya. Il s’agit ainsi d’une bonne nouvelle, mieux un grand évènement pour les pensionnaires qui se plaignent de ne pas recevoir grand-chose pendant leur retraite.
Le Chef de l’Etat montre une fois encore à travers cet acte sa volonté de lutter contre la pauvreté, qu’il est toujours attentif aux soucis de ses compatriotes. La preuve, cette revalorisation du coefficient des pensions des retraités permettra aux bénéficiaires de passer de meilleurs jours après une carrière bien remplie. Il exprime par cette décision sa reconnaissance à l’endroit de ces agents publics qui ont tout donné pour la bonne marche des institutions de la République quand ils étaient encore en activité.
Dans son souci permanent de renforcer la sécurité sociale des travailleurs camerounais, le 21 janvier 2016, Paul Biya avait déjà pris un décret consacrant la revalorisation à hauteur de 55,55% des allocations familiales induisant l’application immédiate dans les mêmes taux des allocations parentales et de maternité.
De nombreux camerounais saluent cette mesure présidentielle notamment sur la toile. Toutefois, certains observateurs souhaitent la liquidation préalable de certains droits des retraités jusque-là bloqués. « Il faut déjà que le peu qui leur était dû leur soit payé. Si non revaloriser même à 100% et les payer dans 10 ou 20 ans après qu’ils sont ou presque morts ne servirait que l’effet d’annonce », propose un internaute.
Innocent D H