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Le ministre de l'Administration territoriale, Atanga Nji Paul, a appelé les responsables de l'administration et de la sécurité de la région Centre à renforcer les mesures visant à garantir la paix et la sécurité après les troubles survenus lundi dernier à la prison centrale de Kondengui à Yaoundé.

 

Le ministre s'exprimait à Yaoundé le jeudi 25 juillet 2019 lors d'une réunion spéciale de coordination de la sécurité tenue sur les instructions du chef de l'Etat, le président Paul Biya, qui a toujours eu le bien-être des Camerounais au centre de ses préoccupations.

 

Au cours de la réunion à huis clos qui s'est tenue dans la salle de conférence du bureau du gouverneur du Centre, le ministre Atanga Nji a déclaré que la récréation était terminée. L'examen de la situation actuelle en matière de sécurité à Yaoundé et dans ses environs figurait en tête de l'ordre du jour.

 

Atanga Nji Paul a déclaré que les informations à sa disposition indiquent que le calme règne à Yaoundé et que les citadins mènent leurs activités quotidiennes en toute tranquillité. Toutefois, il a déclaré que les récents bouleversements survenus à la prison centrale de Kondengui ont ouvert les yeux sur les problèmes de sécurité qui attendent les responsables de la sécurité et de l'administration.

 

A ce titre, le ministre a déclaré que toutes les prisons de la région Centre seront donc soumises à un contrôle de sécurité intense ainsi qu'à l'organisation du secteur des mototaxis et à la répression des crimes de toutes sortes. Les questions relatives aux activités de la police municipale à Yaoundé ont également été examinées avec le Ministre Atanga Nji, qui a donné des directives fermes du Chef de l'État.

 

Pour le ministre de l'Administration territoriale, Yaoundé est la capitale politique et le siège des institutions de l'Etat et doit donc être bien protégée à tout moment. Atanga Nji a déclaré qu'aucune forme de désordre ne devrait prospérer à Yaoundé et que tous ceux qui sèment du désordre devraient être traqués.

 

Il a appelé les responsables de l'administration et de la sécurité à s'asseoir, à être proactifs et à partager rapidement les informations de sécurité afin d'éviter toute forme de désordre public. Le patron du MINAT a rappelé à tous que les Camerounais en toute souveraineté ont donné à Paul Biya un mandat de 7 ans en 2018, condamnant les actions des mauvais perdants auxdites élections.

 

Selon le ministre Atanga Nji, le président Paul Biya a placé son nouveau mandat sous le signe de l'élargissement des possibilités. En tant que tels, les responsables de l'administration et de la sécurité devraient être les moteurs des plus grandes opportunités que le chef de l'Etat a promises aux Camerounais.

 

Pour que cette mesure et d'autres puissent prospérer, les responsables de la sécurité et de l'administration ont été invités à réglementer également le secteur des transports où les plaintes sont légendaires, les moto-taximen volant et agressant les gens. Il a également chargé les autorités administratives de réglementer la police municipale et de lui inculquer les vertus du dialogue et non les actes récurrents de confrontation qui peuvent dégénérer en troubles civils.

 

Otric N. 

 

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C’est l’une des résolutions prises à l’issue des assises de la 7ème Session du Comité de Sécurité Transfrontalière  organisée à Yaoundé au Cameroun, les 4-5 juillet 2019. Session animée par des résolutions stratégiques.

 

Les experts représentants les deux pays, se sont en outre engagés à créer un environnement qui va faciliter la lutte contre la criminalité transfrontalière. Celle ci comprend notamment : le terrorisme – la piraterie maritime – la prolifération et la circulation irrégulière des armes - la contrebande – le braconnage dans les parcs et autres réserves - des conflits agropastoraux …

 

Un comité a été mis en place, avec pour mission l’implémentation effective de ces résolutions. D’autres sous comités vont se charger de mener des études approfondies par rapport à chaque problématique soulevée pendant les séances plénières.

 

Lors des différentes allocutions à l’ouverture du forum, le ministre Paul Atanga Nji et le général de brigade Ndagi ont rappelé que ces assises émanent de la volonté du Chef de l’Etat Camerounais S.E Paul Biya et son homologue Muhammadou Buhari du Nigéria qui veulent intensifier la coopération entre les deux pays, en matière de sécurité transfrontalière en plus des relations diplomatiques et des échanges commerciaux.

 

Participants

 

Depuis sa création en 2012, ce comité a alternativement été organisé à Yaoundé et à Abuja, conformément à l'article 7 de l'Accord portant sa création. Et, pour ce 7ème rendez vous, qui a duré trois jours, le ministre de l’Administration Territoriale Paul Atanga Nji était le chef de délégation de la partie camerounaise, avec à ses côtés les gouverneurs des dix régions que compte le Cameroun et partie Nigéria, le général de brigade Ndagi était à la tête des Gouverneurs des États Fédérés Nigérians Transfrontaliers.

 

Relation entre le Cameroun et le Nigéria

Le Cameroun et le Nigéria entretiennent des relations bilatérales depuis de nombreuses années, en tant que pays voisins et partageant une très grande frontière. La coopération militaire a permis, plus d’une fois de mettre en déroute, les activistes de la secte terroriste boko haram qui causent peine et désolation dans de nombreuses familles de part et d’autre de cette frontière.

 

Les experts de la partie camerounaise ont regretté le fait que la pugnacité des forces de défenses camerounaises, qui sont à de nombreuses reprises venues à bout des ardeurs de ces hors la loi, ne trouve toujours pas le même écho, côté Nigéria. Ce qui donne le temps à boko haram de se remobiliser, d’où les attaques subies dans la région de l’Extrême Nord depuis quelques semaines.

 

Le Minat, Paul Atanga Nji, en portant un toast lors du dîner offert à ses hôtes à l'hôtel Mont Febe, a émis le vœu que les mesures qui seront mises en place par les deux pays, permettent de venir définitivement à bout de cette secte terroriste.

 

Nicole Ricci Minyem

 

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Paraphé par les gouvernements du Cameroun, de la RCA et les Nations unies, il va permettre le retour dans leur pays de ceux qui le désirent.

 

Trois signatures au bas du document paraphé samedi dernier en mi-journée dans la salle des conférences du ministère de l’Administration territoriale à Yaoundé. Celle de Paul Atanga Nji, le ministre de l’Administration territoriale (Minat), au nom du gouvernement camerounais, de Mme Virginie Baikoua, ministre de l’Action humanitaire et de la Réconciliation nationale, pour le gouvernement centrafricain et un représentant du bureau du Haut-commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR) au Cameroun. Le document, quant à lui porte sur l’accord de rapatriement librement consenti des réfugiés centrafricains vivant au Cameroun, précise Cameroon Tribune.

 

Témoins de la cérémonie, le ministre délégué auprès du ministre des Relations extérieures chargé de la Coopération avec le Monde islamique, Adoum Gargoum, une quinzaine de chefs de missions diplomatiques et des représentants du Système des Nations unies au Cameroun sous la conduite de Allegria Baiocchi, coordonnatrice résidente.

 

S’exprimant avant l’apposition des signatures au bas du document, Paul Atanga Nji a souligné que ce sont environ 400 000 réfugiés centrafricains et nigérians que le Cameroun accueille du fait de l’insécurité dans leurs pays respectifs. Le ministre de l’Administration territoriale a, au nom du président de la République, exprimé la gratitude du Cameroun aux organisations internationales qui ont appuyé le pays pour l’encadrement de ces personnes, non sans souligner que « le statut du réfugié n’a jamais été gratifiant pour celui qui le porte », chacun aspirant à vivre chez soi.

 

Il a souligné la disponibilité du Cameroun à demeurer un pays d’hospitalité et d’accueil. Pour sa part, le chef de la délégation centrafricaine a exprimé la gratitude des plus hautes autorités de son pays au chef de l’Etat camerounais « pour avoir permis la signature de ce document si déterminant pour l’avenir des réfugiés centrafricains », mais également pour avoir tout mis en œuvre durant de longues années pour l’encadrement de ces personnes sur le territoire camerounais.

 

Viviane Baikoua a indiqué que cet accord est rendu possible aujourd’hui parce que « la plupart des organes prévus par l’Accord de paix signé le 6 février dernier sont désormais en place ». De l’avis du représentant résident du HCR en République centrafricaine, Buti Kale, qui a fait le déplacement de Yaoundé, cet accord vient parachever un processus de négociation enclenché il y a deux ans à la demande des gouvernements des deux pays. Un peu plus de 5 540 réfugiés centrafricains, résidant dans les régions de l’Est, de l’Adamaoua, se sont déjà portés volontaires pour le retour dans leur pays. Il a dès lors salué les « sacrifices consentis par le gouvernement camerounais pour l’encadrement de ces personnes ».

 

Pour le représentant du HCR en RCA, cet accord est conforme aux dispositions du droit humanitaire international et du doit des réfugiés. L’accord de samedi dernier intervient après un précédent autre signé le 2 mars 2017 entre le Cameroun, le Nigeria et le HCR pour le rapatriement volontaire des réfugiés nigérians vivant au Cameroun.

 

Otric N.

 

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Le délai de trois mois indiqué pour cette procédure est largement dépassé.

 

Rendu à ce jour, le parti politique «Les Citoyens» n’a toujours pas été reconnu par l’autorité compétente à savoir le Ministère de l’Administration territoriale (Minat). Approché par le quotidien Mutations pour s’exprimer sur ce sujet, en date du 19 mars 2019, Cabral Libii le créateur dudit parti, faisait savoir que «conformément à la loi N°056 du 19 décembre 1990, nous entrons dans la totale légalité». Il est à préciser que le dossier dudit parti a été déposé au Minat, le 6 mars 2019.

 

Trois mois après le dépôt de ce dossier, les choses n’ont pas changé. On semble être rendu à un statut quo. Cabral Libii créateur de cette formation politique, a quitté le bateau pour porter la direction du Parti Camerounais pour la Réconciliation Nationale (PCRN). La cérémonie y relative a eu lieu le 11 mai 2019 à Guidiguis dans la région de l’Extrême-Nord. Il a pris les commandes d’un parti légalisé en 2003 et qui était jusque-là dirigé par un certain Robert Kona, peu connu de la sphère politique. Pour Cabral son départ du parti « Les Citoyens » n’impactera pas négativement son avenir.

 

« Il n’y aura aucun problème. Nous avons tenu une assemblée, j’ai adressé une correspondance au coordonnateur national pour leur dire que je me retirais. Un nouveau coordonnateur national a été désigné au nom d’Abdouraman Moctar. Ce denier a adressé une correspondance au Minat, par exploit d’huissiers, lui transmettant le Pv de cette assemblée ainsi que la correspondance que j’avais adressée à l’assemblée. Ce qui fait que Le Citoyen reste toujours en légalisation. Lorsque la légalisation aura abouti, je ne serai pas simplement le président du parti », a expliqué le promoteur du Mouvement Onze millions de citoyens.

 

Joint au téléphone le 11 juin dernier par le quotidien Mutations, Armand Okol a indiqué qu’il « était question de compléter le dossier tel que l’avait demandé le Ministère de l’Administration territoriale. Chose qui a été faite. Maintenant, nous attendons la réponse du Minat ».

 

Liliane N.

 

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Il s’agit entre autres du matériel de couchage, notamment des matelas, des draps, des couvertures en plus des denrées alimentaires. 

 

La cérémonie de rétrocession s’est déroulée ce 13 Juin, à l’esplanade de l’Hôtel de ville de Yaoundé. Cérémonie au cours de laquelle, le ministre de l’Administration Territoriale Paul Atanga Nji qui avait à ses côtés, de nombreuses autres personnalités, a présenté le convoi de 54 camions destinés aux sinistrés.

 

En prononçant son allocution de circonstance, le membre du gouvernement a relevé que Le Président de la République a mis des moyens importants, afin que soit assuré un soutien constant et permanent aux populations déplacées internes venues de ces régions. C’est ainsi que Le Minat a été doté d'un budget de 12.716.500.000 de FCFAdestiné au Plan d'Assistance Humanitaire d'Urgence. Une somme qui va permettre au gouvernement camerounais d’apporter des solutions face aux différents problèmes auxquels sont confrontés les déplacés et les réfugiés.

 

Paul Atanga Nji a insisté sur le fait que ce lourd convoi, est une grande première, depuis que ces populations bénéficient du soutien présidentiel. Selon lui, « le Président Paul Biya se soucie du bien être de ses concitoyens. Les souffrances dans le Nord Ouest et du Sud Ouest préoccupent le Chef de l'État. Nous nous occupons de cette distribution depuis un an, mais c'est la toute première fois que nous avons un convoi de 54 camions qui vont se déployer dans les régions dans lesquelles sévit la crise… ».

 

Le gouvernement accompagné dans son action

 

Pendant la cérémonie de ce 13 Juin, la présence de l’ambassadeur de  l'Union Européenne Hans-Peter Schadek, n’est pas passée inaperçue. Cet organisme comme de nombreux autres partenaires du Cameroun, se tient aux cotés des membres du gouvernement afin d’apporter cette aide dont a tant besoin les victimes des terroristes qui, sans la présence et la bravoure des forces de maintien de l’ordre, auraient fait leur nid dans ces deux régions.

 

En réponse au discours de Paul Atanga Nji, Hans-Peter Schadek a précisé que l’Union Européenne « veille à la gestion des programmes et des projets de l'aide extérieure de la Commission Européenne ».

 

Critère de sélection très pointu

 

C’est un point sur lequel le ministre de l’Administration Territoriale est revenu avec insistance. Pour bénéficier de ces dons, les déplacés et réfugiés internes sont au préalable recensés avant la prise en charge : « Même si nous pensons que le pire est derrière nous, on peut dire que le travail n’est pas fini. Lors d’un reportage réalisé par la CRTV il y’a quelques jours, vous avez pu vous rendre compte qu’il y'avait près de 8000 personnes au stade de Buea mais, les vivres qui ont été recensés ne pouvaient nourrir que  4500 personnes. Il est donc important d’être très pointilleux lors de la distribution. D’ailleurs, celle-ci sera assurée par les forces de sécurité qui vont en outre le convoyer à bon port… ».

 

Le Plan d'Assistance Humanitaire d'Urgence a été mis sur pied par le Chef de l'État avec plusieurs domaines d'intervention : logement - agriculture – élevage – alimentation – éducation - santé, -  octroie de l’état civil sans oublier l’approvisionnement  en eau potable.

 

Nicole Ricci Minyem

 

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Le ministre de l’Administration territoriale a présidé une réunion de coordination administrative et sécuritaire jeudi à Douala.

 

La région du Littoral est calme et sous contrôle. C’est le constat fait par le ministre de l’Administration territoriale (Minat), Paul Atanga Nji à la fin de la réunion de coordination administrative et sécuritaire qui s'est tenue dans les services du gouverneur de la région jeudi à Douala. Un constat fait sur la base de rapports réguliers qui lui parviennent et peu après un échange avec les autorités administratives et les forces de maintien de l’ordre et de sécurité, sous la conduite du gouverneur, Samuel Dieudonné Ivaha Diboua.

 

C’est pour d'amples informations que le Minat a décidé de réunir ces autorités. D’après Cameroon Tribune, peu avant la rencontre qui a eu lieu à huis clos, Paul Atanga Nji a expliqué qu’il était venu à Douala pour remercier, féliciter et encourager les autorités locales pour la bonne tenue de l’élection présidentielle du 7 octobre 2018. Mais surtout pour le professionnalisme des forces de maintien de l’ordre dans la gestion des mouvements avant et après ce scrutin. Malheureusement, dira le Minat, « des mauvais perdants tentent d'embarquer des citoyens dans une voie sans issue bien après le processus électoral ».

 

Et le ministre Paul Atanga Nji de rappeler : « Nous avons le devoir de protéger les citoyens et leurs biens ». Autre centre d’intérêt de cette réunion : la drogue en milieu jeune. En effet, selon le Minat, le Tramadol gagne du terrain, même en milieu scolaire. Il a invité les autorités à traquer consommateurs et trafiquants de drogue et autres stupéfiants dans le département du Wouri. Pour des résultats probants, le Minat a instruit une synergie d’actions. En début d’après-midi d’hier, le Minat a rencontré 44 représentants d’associations des motos-taxis de la ville de Douala.

 

Occasion pour Paul Atanga Nji d’évaluer en présence du gouverneur du Littoral et du préfet du Wouri, Joseph Bertrand Mache, la batterie de mesures prises en 2018. Il s’agit entre autres de l’identification des motos-taxis, l’immatriculation des motos, la formation et la délivrance des permis de conduire ; bref de l’organisation de ce secteur du transport urbain à Douala.

 

Le Minat a encore voulu les écouter, à la suite d’une lettre qui lui a été envoyée par les leaders d’associations réunis hier. « Tout évolue normalement. Nous avons apprécié l’attitude de ces conducteurs durant le processus électoral de l’année dernière. Parmi eux, il y a des irresponsables, nous leur demandons de tourner le dos à ceux-là », a déclaré Paul Atanga Nji, à l’issue de cette concertation.

 

Ils ont soulevé des préoccupations. Nous allons les étudier. Une démarche appréciée par ces conducteurs, par la voix de Dieudonné Pagal Baliba, porte-parole de la plateforme de coordination de ces motos-taxis.

 

Otric N.

 

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 Ces données proviennent des autorités à l’occurrence du Ministre de l’Administration territoriale.

 

Selon le Ministère de l’Administration territoriale actuellement dirigée par Paul Atanga Nji, rendu à ce jour, plus de 75000 familles déplacées des régions du Nord-ouest et du Sud-Ouest ont déjà été assistées. Selon les autorités ces familles se déplacent soit pour d’autres régions du pays. Soit elles se retrouvent dans des localités du Nord-Ouest et du Sud-Ouest qui sont relativement calmes.

 

Pour leur venir en aide, le Président de la République a instruit la mise sur pied du Plan d’assistance humanitaire d’urgence. Les opérations dudit Plan sont conduites par Paul Atanga Nji le Ministre de l’Administration territoriale (Minat). C’est lui qui assure la coordination générale du Centre d’assistance humanitaire d’urgence. Le Minat en présentant le premier rapport de ce Plan, a indiqué que jusqu’ici, on comptabilise pas moins d’une soixantaine de descentes sur le terrain. Lesdites descentes ont été faites par ses collaborateurs de la Direction de la Protection civile. Ces descentes sont faites pour distribuer «les appuis» du Président de la République aux populations victimes de la crise socio-politique qui paralyse les deux régions anglophones depuis trois années déjà.

 

Les collaborateurs du Minat ont par ailleurs fait des descentes dans les autres régions du Cameroun où les familles déplacées de la crise ont trouvé refuge. On peut citer entre autres le Littoral, le centre et l’Ouest. Les  autorités dans la conduite des opérations relatives au Plan d’assistance humanitaire d’urgence ont salué l’appui et le soutien des partenaires. Toutefois, le Minat a précisé que l’aide doit être apportée dans un cadre bien réglementé. «Le Chef de l’Etat a prescrit au Minat d’intensifier la distribution de l’aide humanitaire», a déclaré Paul Atanga Nji. Au cours d’une de ses sorties, le Minat a indiqué que du fait de la crise, il y a eu 400 000 déplacés internes.

 

A titre de rappel, le Plan d’assistance humanitaire d’urgence a été lancé le 20 juin 2018 à Yaoundé. La priorité de ce Plan porte sur la reconstruction des édifices détruits, le retour des populations déplacées, la prise des mesures adéquates pour une reprise effective des classes, l’aide à la reprise des activités économiques, la protection des personnes déplacées, la reconstruction des documents d’état-civil et des titres identitaires perdus ou détruits.

 

Liliane N.

    

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Le Ministre de l’Administration territoriale souligne qu’il y a environ 152 845 déplacés internes dans les régions du Sud-Ouest et Nord-Ouest,  contrairement aux  530 000 déplacés enregistrés depuis 2016 par l’ONG  International Crisis Group.

 

Le ministre de l’Administration Territoriale (MINAT), Paul Atanga Nji n’a pas tardé à mettre à jour les chiffres de l’ONG  International Crisis Group (ICG) sur la Crise sociopolitique, dite anglophone,  qui secoue les régions du Nord-Ouest et Sud-Ouest du Cameroun. Dans un rapport  publié le 2 mai dernier, cette organisation a dressé  un bilan de  l’impact social et humanitaire de cette  crise  qui sévit dans les régions du Nord-Ouest et Sud-Ouest du Cameroun. Selon l’International Crisis Group, ce conflit a   fait  en vingt mois, 1 850 morts, une majorité d’écoles fermées depuis deux ans, plus de 170 villages détruits, 530 000 déplacés internes et 35 000 réfugiés au Nigéria voisin. Un bilan qui risque de s’alourdir, avec l’intransigeance des belligérants qui ont pris ces deux zones camerounaises en otage.

 

Cependant, ces chiffres ont été battus en brèche par le  ministre de l’Administration Territoriale, qui soutient que cette organisation a grossi ses données relatives aux déplacés de la crise anglophone. A en croire Paul Atanga Nji,  qui est revenu sur le sujet au terme de la première réunion d’évaluation du Comité de réinsertion des ex-combattants, créé par Paul Biya en novembre 2018, qui s’est tenue  le 7 mai dernier à Yaoundé, les investigations menées récemment par le Cameroun démontrent qu’il y a environ 152 845 déplacés internes dans les deux régions  et environ 6 000 qui sont entre les régions de l’Ouest, du Littoral et du Centre. Un chiffre largement en deçà des données   des  Nations Unies évaluées à près de  450 000 déplacés et qui se rapprochent de celles l’International Crisis Group.

 

« Il y a environ 75 000 personnes qui ont bénéficié de l’aide constituée essentiellement de denrées alimentaires, du matériel de couchage, de l’aide sanitaire, des matériaux de construction pour ceux qui ont eu les biens détruits, de l’aide financière, des manuels scolaires… La sérénité est en train de revenir et la plupart des déplacés internes rentrent dans leurs localités respectives», a précisé, le Minat,  qui souligne  que le gouvernement camerounais contrôle la situation. Des propos plutôt rassurant,  loin de la crainte émise par l’International Crisis Group, qui soutient que « l’intransigeance des belligérants risque de générer de nouvelles violences et de prolonger le conflit, qu’aucun camp ne semble en mesure de remporter militairement dans la courte durée ».  

 

Marie MGUE

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Le coût du Hadj 2019 est fixé à 2.529.000 FCFA. Soit une augmentation de plus de 300.000 FCFA par rapport à l’année dernière.

 

Le ministre de l’Administration territoriale (Minat), président de la Commission nationale du Hadj, Paul Atanga Nji, a présidé une réunion de concertation lundi dernier à Yaoundé. Selon Cameroon Tribune qui rapporte cette information, cette rencontre était ouverte aux chefs de communautés musulmans et encadreurs des pèlerins à la Mecque. Au menu, la lumière sur les mécanismes qui ont présidé à l’augmentation du prix du Hadj en 2019.

En effet, comme on le sait, le coût du Hadj 2019 est fixé à 2. 529 000 FCFA. Soit une augmentation de plus de 300.000 FCFA par rapport à l’année dernière. Mais comme l’a expliqué le Minat, « cet état de chose ne relève aucunement de la responsabilité du gouvernement camerounais ».

Il est lié essentiellement à trois facteurs exogènes majeurs à savoir : le transport interurbain en Arabie saoudite qui a connu une hausse de 175 000 FCFA; les frais de visa qui sont passés à 109 000F ; le cours du dollar revalorisé à 630 FCFA en 2019 contre 590 FCFA l’année dernière.

« L’Arabie Saoudite est le peuple qui communique les différents prix à appliquer. Nous ne savions pas que le dollar passerait de 590 à 630. Nous ne savions pas qu’il y aurait une augmentation des frais de transport. Notre devoir maintenant est de porter l’appel des dirigeants musulmans auprès des pouvoirs en place, en espérant que quelque chose puisse être fait », a déclaré Paul Atanga Nji.

 

Ces clarifications du Minat font suite à une dénonciation de certaines associations islamiques camerounaises, le 02 mai dernier. Elles avaient alors exhorté la Commission nationale du Hadj, présidée par Paul Atanga Nji, de trouver une solution pour revoir à la baisse les frais à payer le Hadj 2019. Des réclamations qui se fondent surtout sur le fait que 2017, le prix du Hadj est en constante augmentation.

En tout état de cause, le gouvernement camerounais, a souligné Paul Atanga Nji, tient à contribuer à une organisation harmonieuse du voyage des fidèles musulman en terre sainte. Dans cette optique, des facilités ont déjà été octroyées aux pèlerins pour le Hadj 2019 sur instructions du chef de l’Etat. Cependant, les encadreurs et chefs de communautés ont adressé une lettre au président de la République, afin de bénéficier d’une assistance plus consistante pour le Hadj 2019.

2389 pèlerins camerounais vont prendre part au Hadj 2019 soit une augmentation de 350 pèlerins par rapport à 2018. Le pèlerinage est prévu du 09 août au 14 août prochain.

 

Otric N.

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Lors de la réunion d’évaluation présidée par Paul Atanga Nji, le ministre de l’Administration territoriale, il a été dit qu’il faut plus de transparence dans la gestion de l'aide humanitaire d'urgence.

 

Vendredi dernier, Paul Atanga Nji en compagnie de Mme Allegra Maria Del Pilar Baiocchi la Coordonnatrice du Système des Nations unies au Cameroun, a procédé à l’évaluation de l'aide humanitaire d'urgence acheminée dans les régions anglophones à savoir le Nord-Ouest et le Sud-Ouest. En prenant la parole en présence d’autres chefs de missions onusiennes, le Ministre de l’Administration territoriale (Minat) a laissé entendre, que les autorités administratives locales ont observé certains dérapages sur le terrain dans la conduite d’acheminement de cette aide humanitaire d’urgence. L’un des dérapages est que la quantité annoncée et attendue n’est toujours pas celle qui est partagée aux populations. Face à cette situation, Paul Atanga Nji a dit qu’il y a besoin de recadrer les choses et d’évoluer avec plus de transparence et de clarté dans la distribution des dons.

 

« La neutralité qui est de règle dans le Système des Nations unies doit être respectée. La transparence aussi. Mais cette transparence ne peut être garantie que par la traçabilité. J’insiste sur la traçabilité », a déclaré le Minat. Comme mesure à prendre, Paul Atanga Nji a suggéré la mise en place des relais locaux. Le rôle de ces derniers sera  de veiller à la régularité des opérations de distribution de ces dons. « Si nous sommes très loin des théâtres des opérations, il faut cependant surveiller pour éviter des dérapages. Ces comités permettront de veiller aux mécanismes de contrôle des opérations afin de s’assurer qu’elles parviendront à leurs bénéficiaires », a ajouté le Minat.

 

A titre de rappel, c’est pour venir en aide aux populations des régions anglophones qui subissent les affres de la crise sociopolitique, que le gouvernement a décidé de lancer le Plan d’assistance humanitaire d’urgence. Ledit Plan a été lancé le 20 juin 2018 par Philemon Yang, Premier Ministre à cette époque. Celui-ci avait indiqué que ledit Plan visait des axes prioritaires. D'abord la protection des personnes déplacées, la fourniture des denrées alimentaires et des produits de première nécessité. Ensuite, les soins de santé, l’éducation, la reprise des activités économiques, notamment agricoles et le logement. Enfin, la reconstitution des documents d’état civil et les pièces administratives et individuelles.

 

Liliane N.

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Sunday, 05 June 2022 11:01