Alors que le Social democratic front avait déclaré sa non-participation aux élections régionales du 6 décembre 2020, certains de ses conseillers notamment de Bamenda 3 ont voté.
L’information est rendue publique par Ndi Tsembom Elvis, éditeur du journal The Observer. Il affirme que des conseillers du Social democratic front (SDF) ont voté à Bamenda 3, le 6 décembre 2020, jour du scrutin des élections régionales. Ils n’ont pas respecté le mot d’ordre du parti de la balance qui a choisi de ne pas participer aux premières élections régionales du pays.
«Le maire de Bamenda III, Fongu Cletus Tanwe, et ses adjoints sont venus voter aux côtés d’autres conseillers. Approché par des journalistes, il a refusé de commenter », a déclaré Ndi Tsembom Elvis.
On se rappelle que le SDF avait conditionné sa participation aux élections régionales par l’obtention de deux choses à savoir : une refonte des lois électorales et la nécessité de résoudre la crise dans les régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest. Avec ces revendications, le SDF rejoignait ainsi la posture du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (MRC) parti politique de Maurice Kamto qui a demandé qu’aucun corps électoral ne soit convoqué sans qu’il n’y ait eu la réforme consensuelle du Code électoral et la résolution de la crise anglophone.
Concernant donc les conseillers SDF qui sont allés voter, on attend toujours de connaître la position du parti. En refusant de prendre part aux élections régionales du Cameroun, le SDF a laissé la place au Rassemblement démocratique du peuple camerounais qui sans surprise et selon les tendances, a raflé les sièges des conseillers régionaux.
Liliane N.
Ces anciens combattants séparatistes ont été accueillis par le Comité national de désarmement, de démobilisation et de réintégration, hier 25 novembre 2020.
Le Comité national de désarmement, de démobilisation et de réintégration (CNDDR) vient d’enregistre une nouvelle vague de repentis de combattants séparatistes. 23 anciens séparatistes ont décidé de déposer les armes. Ils ont décidé de ne plus combattre l’armée et la nation. Ils ont donc été accueillis hier dans la ville de Bamenda par le CNDDR qui se charge de leur intégration dans la société et réinsertion professionnelle.
« Je me sens vraiment léger. Je suis ravi. Je pense qu'ils ont compris le message du chef de l'Etat. Depuis près d'un mois, ils viennent progressivement », a déclaré tout content Francis Fai Yengo, le coordonateur national du CNDDR sur les antennes de Canal 2 International.
Mieux encore, ces combattants qui viennent de Donga Mantung, de la Menchum et de Santa dans la Mezam, ont indiqué qu’ils mettront de leur sien pour amener leurs frères qui restent dans la brousse de déposer les armes. D’ailleurs Francis Fai Yengo a parlé d’un total de 137 anciens séparatistes disposés à faire ce travail.
« Ces villes mortes perturbent l'économie de notre région. Nous, ex-combattants, nous allons nous assurer que cela s'arrête », fait savoir Emmanuel Ichu, ex-combattant.
A titre de rappel, en début de ce mois, 11 séparatistes ont aussi décidé de déposer les armes. Ils ont intégré le Centre de Buea du CNDDR. Ils ont présenté leurs armes le mercredi 18 novembre 2020 aux autorités notamment Bernard Okalia Bilaï, le Gouverneur de la région du Sud-Ouest. On a noté qu’il y avait des dizaines de fusils de plusieurs calibres.
Liliane N.
Les femmes de la ville de Bamenda, chef-lieu de la région du Nord-Ouest sont descendues hier 27 octobre 2020 dans la rue, pour condamner aussi l’assassinat des 7 enfants à Kumba.
Les femmes de Bamenda ont manifesté pacifiquement hier. Majoritairement vêtues de noir, couleur du deuil et des lamentations, elles sont sorties en masse pour dénoncer les massacres des leurs dans les deux régions anglophones à savoir le Nord-Ouest et le Sud-Ouest (Noso). Arbres de la paix en main, elles n’ont eu de cesse durant toute leur manifestation, de réitérer qu’elles veulent un retour à la normale dans leurs régions. Elles veulent la paix. Elles veulent la fin de la crise anglophone.
De Sonac Street jusqu’à l’esplanade des services du gouverneur du Nord-Ouest, elles n’ont que fait lancé «plus jamais ça». Elles ne veulent plus enterrer leurs enfants. Elles ne veulent plus voir leurs enfants brutalement arraché à la vie. Elles ont indiqué qu’à force de pleurer, elles n’ont même plus de larmes.
Reçues par Adolphe Lele Lafrique le gouverneur de la région du Nord-Ouest, elles ont été réconfortées par celui-ci. Le patron de la région les a recommandées de dénoncer les hommes armés qui se cachent dans leurs communautés. Il leur a demandé d’amener ceux-là à abdiquer et à se repentir. Tout comme les manifestantes, Adolphe Lele Lafrique a agréé que le meurtre des élèves à Kumba en est un de trop.
Il convient de noter qu’en descendant dans la rue, les femmes de Bamenda ont fait preuve de courage. Parce que cette manifestation a eu lieu juste après la journée de villes mortes observée 1 jour avant. Les villes mortes sont imposées chaque semaine aux populations par les séparatistes.
Liliane N.
Il s’est fondu parmi les élèves et a tenté d’enlever une enseignante, mais mal lui en a pris car les Forces de Défense et de Sécurité présentes sur les lieux ont mis fin à ses viletés.
Il aurait pu passer inaperçu, au regard de son jeune âge et bénéficier des enseignements dispensés par des professeurs, qui font fi des menaces des hordes de hors la loi, refusant d’entendre raison. Mais hélas !
L’individu qui a été appréhendé ce Mercredi, dans l’enceinte d’un établissement scolaire situé dans le chef lieu de la Région du Nord Ouest a été pris avec « élégance par les Forces de Défense et de Sécurité qui, rompu à la tâche, qui ont su flairer le piège ».
Des sources concordantes indiquent que « seuls les responsables de ce lycée ont été mis à contribution, afin de ne pas semer la panique parmi les apprenants ».
Refus de retenir les leçons
Quelques heures après le démantèlement de l’un des gangs les plus dangereux dans les régions du Nord et du Sud Ouest, certains hors la loi se croient plus malins que les soldats.
Ils refusent de prendre conscience que même les populations qui étaient traumatisées par eux, refusent de plus en plus d’arborer la casquette de victimes qu’on peut malmener à volonté, sans aucune autre réaction que la terreur.
Croyant aux amulettes et multiples gris gis que leurs remettent des charlatans, ils défient en permanence les autorités et, semblent avoir développé au cours des derniers mois, une inconscience incompréhensible.
Avoir l’ennemi à l’usure
C’est ainsi que l’on est tenté d’analyser ce qui se passe actuellement dans les régions dites anglophones. Une tournure qui a été rendue possible grâce à la collaboration Armée – Populations.
Une symbiose avec les résultats perceptibles de ces derniers mois. Les enfants qui reprennent le chemin de l’école, la vie qui reprend dans les villages et autres campements, la reprise en main des édifices publics et privés qui servaient de base arrière aux ambazoniens…
D’ailleurs, ceux-ci ont pris conscience de ces réalités. Malheureusement, pris dans une sphère utopique par ceux qui, tapis lâchement dans certains pays à l’étranger les financent, ils pensent changer la donne et s’essayent à des actes comme ceux de ce Jour.
Aujourd’hui plus que par le passé, il est évident que la récréation est terminée. Ils seront traqués jusqu’à leur dernier retranchement et leurs ailes seront coupées car, nul ne peut prétendre diviser ce pays, considéré comme l’Afrique en miniature et qui a vu couler le sang de ses enfants, sur toute l’étendue du territoire.
Nicole Ricci Minyem
Une assurance donnée par Adolphe Lele Lafrique - Gouverneur de la Région du Nord Ouest dans un communiqué qui vient d’être rendu public, alors que les spécialistes des fakes news, complices des partis politiques véreux ont mis en circulation une vidéo qui date de 2017.
« Contrairement aux informations qui circulent sur les réseaux sociaux et ailleurs, il n'y a eu aucun rassemblement public à la Place de Bamenda, ni ailleurs ce 22 Septembre 2020… ».
Adolphe Lele Lafrique précise que « Ces images sont vieilles et sont utilisées par certains individus aux agendas cachés, visant à manipuler l’opinion… ».
Selon nos confrères de « afp », la vidéo utilisée par les pyromanes, avides du sang des Camerounais avait été tournée lorsque les mouvements séparatistes avaient le vent en poupe dans cette région.
D’ailleurs, même le commentateur de ladite vidéo loue le « courage des ambazoniens » qui défilaient, le poing levé devant les éléments des Forces de Maintien de l’Ordre qui se contentaient d’éviter les débordements.
Adeptes du fake et de la manipulation
Conscients de l’échec de leur révolution, les initiateurs de la marche de ce Mardi ont choisi de lancer à leurs militants et sympathisants, un message qu’ils espéraient fédérateurs de leur sombre dessein : « Les populations du Nord Ouest ont été réceptifs à notre mot d’ordre insurrectionnel et ils ont décidé du départ de Paul Biya, défilant devant des hommes en tenue débordés…Alors, Yaoundé – Douala - Bafoussam et autres grandes villes du Cameroun, levez vous et suivez cet exemple ».
C’est simplement malheureux
Tout au long de cette journée et même avant, les Camerounais ont démontré qu’ils sont de ‘plus en plus matures. Ils ne veulent plus se laisser berner par un politicien véreux en mal de sensation.
Un politicien totalement invisibles alors que les individus facilement manipulables ont répondu à cet appel qui les invitait « à chasser » le Président de la République.
Ni lui, ni aucun de ses plus proches collaborateurs n’ont été aperçus nulle part. Aucun mot, rien, silence total, juste de la bouffonnerie sur les réseaux sociaux et dans les médias qui leur servent de relai.
L’échec cuisant de ce Mardi et l’utilisation des fake pour exister ne sont – ils pas les signes qui devraient inciter à une prise de conscience de tous ?
La réponse est toute trouvée. Et, elle est affirmative. Le Cameroun ne mérite pas d’être dirigé par des mythomanes – pyromanes, prompts à aller quérir de l’aide en dehors des frontières territoriales, juste parce qu’il faut aujourd’hui, présenter le système qui leur a tout donné et même au-delà sous un visage sombre.
Ce pays, Afrique en miniature mérite d’avoir à sa tête, un Président de la République noble, digne ; qui sait en toute sagesse, opposer une fin de non recevoir, même à ceux qui interviennent sous la casquette de partenaires bilatéraux et multilatéraux, quelque soit les menaces dont il fait l’objet, pourvu que le bien être des Camerounais soit préservé.
Nicole Ricci Minyem
Le Chairman Ni John Fru Ndi va s’exprimer sur les sujets brûlants du Cameroun à savoir les élections régionales, la crise sociopolitique dans les deux régions anglophones.
C’est un rendez-vous que le Chairman Ni John Fru Ndi actuellement aux Etats-Unis donne aux camerounais qui pourront se connecter sur le réseau social Facebook. Le président fondateur du Social democratic front (Sdf), entend parler des élections régionales qui vont se dérouler pour la toute première fois au Cameroun le 6 décembre 2020. Il reviendra sur la position du Sdf qui est déjà connue. Le parti de la balance ne compte pas participer au scrutin. Les raisons étant que la crise anglophone sévit encore au Nord-Ouest et au Sud-Ouest, et il y a un besoin de réforme du Code électoral.
Dans une de ses déclarations faisant suite à l’annonce de la programmation des régionales, le Pr Jacques Fame Ndongo a indiqué qu’en choisissant de boycotter les premières élections régionales, le Sdf ne cherche qu’à exister.
«En réalité, M. Ni John Fru Ndi opte sciemment pour la politique-fiction et le nihilisme ou le négationnisme. Il sait que, jadis 2è force politique du Cameroun, son Parti ne cesse de perdre du terrain. Le SDF veut donc exister : c’est le propre de tout parti. Mais, au lieu de reconquérir l’électorat perdu, et redoutant un « Waterloo » dans les urnes, il choisit la fuite en avant et le saut dans l’abime. Or, la politique est un système de signes (une sémiotique). Elle est fondée sur la quantification cohérente des faits, l’intelligibilité d’un programme actanciel, la rationalisation des arguments et la traçabilité d’une vision stratégique et opérationnelle», a écrit le Pr Fame Ndongo en sa qualité de Secrétaire à la Communication du Rassemblement démocratique du peuple camerounais.
Pour revenir au Chairman, le Sdf fait savoir qu’il parlera également des récents malheureux évènements qui se produits dans la ville de Bamenda. Des évènements qui ont conduit à l’opération «Bamenda clean» et au cours desquels, il y a eu des affrontements entre l’armée et les séparatistes.
C’est à 19 heures, que le Chairman Ni John Fru Ndi va parler aux camerounais.
Liliane N.
L’opération qui a débuté ce 8 septembre 2020, a été baptisée «Bamenda clean».
Dans un communiqué parvenu à notre rédaction, la 5ème Région de gendarmerie, la 5ème Région militaire interarmées et la Délégation régionale à la sûreté nationale tiennent les populations de Bamenda, informées du début d’une opération qui sera menée par les Forces de défense et de sécurité (Fds) dans leur ville. L’opération baptisée « Bamenda clean » instruite par le Haut commandement vise à protéger et à sécuriser non seulement Bamenda chef-lieu de la région du Nord-Ouest mais aussi ses environs.
A en croire ce qui est dit dans le communiqué conjointement signé par le Général de Brigade Valère Nka, le Général de Brigade Divine Ekongwese et le Commissaire divisionnaire Emile Ousmo, l’opération « Bamenda clean » naît du fait des dernières et diverses attaques des groupes séparatistes dans cette ville. Il est reproché auxdits groupes séparatistes les vols et pillages, les braquages des banques et des magasins, les assassinats des civils et des personnels des Forces de défense et de sécurité.
« Ce climat de terreur imposé par ces terroristes et criminels à nos populations est inacceptable. Nous devons donc collaborer avec les Forces de défense et de sécurité tout au long de cette opération. Les populations sont par ailleurs invitées à respecter scrupuleusement les décisions prises par le Maire de la ville de Bamenda et le Préfet de la Mezam relatives à la restriction de la circulation des motos taxis dans la ville de Bamenda », peut-on lire dans le communiqué.
Les autorités convient les syndicats des motos-taxis des arrondissements de Bamenda à veiller au respect scrupuleux des mesures sus rapportées.
Liliane N.
Cette mesure vise à limiter les actions des séparatistes.
A partir de ce lundi 7 septembre 2020, les motos taxis ne sont plus autoriser à circuler dans des endroits jugés stratégiques de Bamenda, le chef-lieu de la région du Nord-Ouest. La mesure est la résultante des évènements tristes qui se sont passés dans la vile ces derniers jours. Ces évènements alimentés par les séparatistes ont causé le décès d’un policier. Toutefois il convient de noter que la mesure qui devient effective dès ce lundi, a été arrêtée de concert avec les associations syndicales et des motos taxis de Bamenda.
«Nous avons vécu à Bamenda, la scène macabre de l’assassinat d’un agent de la police dans l’exercice de ses fonctions. Face à cette situation, le Préfet du département de le Mezam ainsi que le maire de la ville de Bamenda, ont eu rencontre avec les associations syndicales et des mototaxis. Au terme de cette rencontre, ils se sont accordés sur la nécessité de restreindre la circulation des mototaxis dans certaines artères de la ville de Bamenda», a expliqué Adolphe Lele Lafrique le gouverneur de la région du Nord-Ouest à radio Equinoxe.
En profitant de l’antenne de radio Equinoxe, le gouverneur Adolphe Lele Lafrique avait lancé un appel en direction des populations et de tous ceux qui souhaitent que la mesure ci-dessus rapportée et celles arrêtées lors du Grand dialogue national soient effectives.
«Je voudrai dire qu’à partir de la semaine prochaine ces mesures seront d’application. Et c’est l’occasion pour moi, de demander aux populations, à travers les comités de vigilance et autres âmes de bonne volonté d’apporter leur soutien aux administrations forces de défense et à la Commune urbaine de Bamenda, dans l’implémentation de cette mesure. Ainsi que des autres mesures résultant des travaux du Grand dialogue national », a déclaré Adolphe Lele Lafrique.
Liliane N.
L’élève Ngwang Suh, candidat au General Certificate of Education Ordinary Level a échappé belle à un kidnapping des séparatistes.
Les éléments de la république imaginaire de l’Ambazonie ont voulu enlevé l’élève Ngwang Suh, candidat au General Certificate of Education Ordinary Level. Selon Ndong Djenaga Nambi, proviseure du Lycée bilingue de Bamenda, ils sont venus le kidnapper à la sortie de l’école. L’incident s’est produit le 11 août 2020 autour de 16 heures. Mme la proviseure rapporte qu’à ce moment-là, elle a été alertée par des tirs de coups de feu. Faisant ses derniers rapports, la réaction normale qu’elle a eue dès l’entente des coups de feu a été de se cacher.
«J’ai pris peur et je me suis cachée. C’est en ce moment que les enfants qui rentraient se sont retournés et m’ont dit que les séparatistes voulaient kidnapper Ngwang Suh qui s’est opposé et a reçu une balle», a-t-elle déclaré au micro de la Cameroon radio television (Crtv).
Le kidnapping de Ngwang Suh a échoué. Cependant l’élève candidat au General Certificate of Education Ordinary Level a été blessé par balle. Simon Mooh le Préfet du département de la Mezam mis au parfum de cet incident a fait une descente au Lycée. L’autorité administrative a tout d’abord apporté son réconfort à la victime. Il a prescrit sa prise en charge médicale. Ensuite il a rebooster le moral des autres élèves candidats et des examinateurs.
Selon nos sources, Ngwang Suh n’étant pas un blessé grave, il est revenu le 12 août 2020 soit au lendemain de son attaque pour poursuivre son examen. Surtout que le le Préfet Simon Mooh a rassuré sur le fait que les examens allaient se poursuivre dans les 3 arrondissements de la ville de Bamenda avec un dispositif sécuritaire renforcé.
Liliane N.
C’est à travers un arrêté préfectoral pris le 09 mars dernier que l’autorité a instauré un couvre-feu dans l’unité administrative dont il a la charge. La décision instruit ipso facto, restriction des heures de voyage entre Bamenda et Bafoussam dans le département de la Mezam.
Concrètement, à travers cette décision du préfet du département de la Mezam dans le Nord-Ouest, les voyageurs de Bamenda en partance pour Bafoussam devront désormais, se regrouper au lieu-dit « Custom Junction », et ce dès de 09 heures en ce qui concerne les voyageurs du matin. Ceux du soir sont quant à eux appelés à observer le même comportement à partir de 10 heures.
Pour ceux des voyageurs en provenance de Bafoussam et voulant rallier Bamenda, le rassemblement se fera à « Matazem ». Pour cela le regroupement des voyageurs du matin est prévu à 06 heures, tandis que ceux du soir sont invités à se retrouver à 17 heures.
Cette décision préfectorale précise également que, les véhicules assurant le transport inter urbain des passagers vont désormais être automatiquement escortés par les forces de sécurité.
A titre de précision, ce couvre-feu est instauré au lendemain des attentats de Bamenda et de Galim ayant causé de nombreuses victimes. Cette restriction des mouvements des personnes intervient après celle instaurée en 2017 par l’ancien préfet du département de la Mezam, Simon Pierre.
Innocent D H